Il y a maintenant dix ans, un petit groupe d'amis se forma dans l'école primaire de Boston. Ils étaient huit et s'entendaient très bien. Très vite, ils devinrent très liés et se considérèrent comme les meilleurs amis du monde. Ils s'appelaient les Eight et il y avait quatre filles et quatre gars. Malheureusement, ils durent se séparer pour le secondaire. Les deux frères Lewis, Sean et Kyle, partirent pour Londres avec leurs parents. Sabrina et Jason allèrent à Hartford, une ville du Connecticut. Kate et Madisson, les deux cousines, restèrent à Boston. Enfin, Lilly et Matthew étudièrent à Concord.

Ils se virent beaucoup moins, chacun étant absorbé par ses études, ses nuits de folie ou autres. Ils arrivèrent tout de même à organiser des trucs ensemble pour le nouvel-an, mais rien d'autre.

Au moment d'aller à l'université, ils choisirent séparément celle qui leur convenait le mieux. Ils décidèrent de ne pas divulguer leur choix avant d'être sûrs d'être acceptés dans l'université qu'ils avaient choisie.

Le hasard fit bien les choses puisqu'ils se retrouvèrent tous à l'université de Boston. Chacun ayant changé de son côté, ils eurent le plaisir de refaire connaissance. Kyle était devenu un rebelle, tout en gardant sa classe naturelle. Sean avait découvert que travailler n'était pas utile quand on a de riches parents et il avait passé son temps à draguer et à faire la fête. Sabrina avait vite rejoint l'équipe de pom pom girls et était restée très proche de Jason, qui avait fait du basket. Madisson avait continué à faire primer ses études et était devenue une intello de première. Kate, elle, était devenue une fille très superficielle. Du moins, c'est l'image qu'elle donnait en dehors du groupe. Matthew s'était lancé dans une carrière de joueur de football et Lilly est devenue une artiste !

Malgré leurs différences, quelque chose unissait ces huit jeunes gens. Ils devinrent rapidement les chefs de leurs groupes respectifs.

Venez donc incarner un élève de l'université, entrez dans l'un des groupes créé par les Eight, relevez les défis et, pourquoi pas, faites triompher votre groupe !

Tout cela mèlant amour, haine, victoires, défaites, joie et tristesse.

Cela fait des mois que l’air à Manhattan est devenu insupportable, presque irrespirable. Je balayai CENTRAL PARK, ou du moins ce qu’il en restait, du regard. C’était horrible ! Un amas de corps et d’entrailles comme j’en avais encore jamais vu avant. Je m’avançai parmi les décombres en évitant de marcher dans une marre de sang gluante. Mon cœur battait la chamade mais mes narines étaient aux aguets, prêtes à sonder n’importe quelle senteur nouvelle. En vain. Le tueur n’avait pas d’odeur. Il n’avait pas d’âme. J’enfouis mes griffes dans la terre fraîche, mes mains étaient encore humaine mais la bête en moi menaçait de surgir à tout moment. Il fallait que j’affronte le danger qui menaçait les garous, toutes espèces confondus.

« Mais qui a bien pu faire ça ? » Murmurai-je à l’attention de mon camarade rat.
« Les rats-garous ne sortent que de nuit, le carnage a eu lieu en pleine journée. » Se défendit-il.
« Pas moyen que ce soit un loup. Nous ne sommes friands que de chair fraîche et jeune. Regardez-moi ces vieux fripés. » Hurla une jeune louve, prête à ameuter le reste de son groupe.
« Ce n’est pas nous ! » M’affolai-je. « Nous avons des règles. Les léopards mordent sans déchiqueter leurs victimes. Tous ces cadavres sont ouverts. »
« Qui est-ce alors ? »

Un brouhaha s’éleva sur la place. Je me redressai dégoûté. Certes j’étais un monstre avide de sang et de chair, mais ce spectacle était trop gore pour moi. Je retins un haut les cœurs.

« En tout cas ce n’est pas un garou. » Affirma le rat.

Pour une fois, on ne se jetait pas de pierres. Je toisai mes ennemis du regard. Nos trois clans se vouaient une haine sans merci. Les Loups garous n’hésitaient pas à déchiqueter les rats, qui le leur rendaient très bien. Il fallait aussi avouer que les léopards n’étaient pas en reste non plus.

« Alors c’est qui, le rongeur savant ? » S’énerva la louve.
« Oh du calme ! » Intervins-je.
« Je … » Commença le vieux rat.
« Quoi les grands rats-garous ne savent pas ? » Beugla la louve malgré mes efforts pour la calmer.
« Les incubus sont de retour. » Lâcha-t-il enfin.

Un silence de plomb suivit cette affirmation, des plus effrayantes.

« Contexte || à lire !! »
♣ REMEMBER THAT DAY

Extrait du journal intime de Camilla J. Roberts ;

15 Juin 2010 :

Une vague de souvenirs m'emporte. Des centaines d'images se bousculent dans ma tête. Je ne sais toujours pas comment j'arrive à sourire sans vous ... J'ai redécouvert les vieux albums photos que maman entassait dans son bureau. Je n'aurai jamais du tourner ces pages, pourtant je savais que l'émotion allait me submerger, mais pourquoi se priver de revivre le bonheur qui unissait notre famille avant l'accident ? Te souviens-tu maman ? Il y a treize ans que tu as immortalisé cet instant. Tout cela me paraît si loin, j'ai même l'impression que c'était dans une autre vie. Dans une vie où nous étions tous les quatre et où rien ni personne n'aurait pu nous séparer. Les sourires que dessinent nos lèvres étaient resplendissants. Toi, ma petite Ellie, tu aurais dû avoir tes dix-huit ans cette année... Quel dommage que tu sois partie aussi tôt. Tu aurais été si belle... Souvent, je me dis que si vous n'aviez pas pris l'avion ce jour là, ma vie ne serait pas celle que je mène aujourd'hui. Elle aurait été bien plus rose... Vous m'avez quitté bien trop tôt !!! Pourquoi ? Il ne se passe pas une journée, pas une minute sans que je pense à vous. Papa, maman, sœurette, si seulement vous étiez là ... ! Mes larmes coulent doucement sur mes joues. Je m'efforce de les essuyer, pour ne pas qu'elles mouillent le papier, qu'à jamais elles auraient marqué.

Extrait du journal intime de Ethan Johnson ;

17 juin 2010 :

Nous sommes le 17 juin 2010. C'est mon anniversaire; pourtant je suis seul. Personne n'a eu le courage de me passer un coup de fil, ni de m'offrir un cadeau, ni de m'envoyer une lettre ... Je suis seul avec mes bouteilles de bierre et ma guitare. Vous vous demandez surement pourquoi la solitude est ma seule amie... Et bien parce que voilà 25 ans que je suis né et 25 ans qu'on me rejette. Mes parents ne m'ont jamais aimé, ils ne savent même pas que j'existe. Mes études : je les ai foirées et pour couronner le tout, je suis un drogué dépressif. Pff... je ne sais même pas pourquoi je perds mon temps à écrire ces mots. Comme on me l'a souvent répété, je suis un VAUT-RIEN !!!! Pourquoi suis-je né si personne ne veut de moi ? A quoi ça sert la vie ? Je pense que c'est un jeu dans lequel il est plus facile de perdre que de gagner ... Ma décision est prise, depuis longtemps déjà. Je ne veux plus jouer. J'écris mes derniers mots, je respire mes derniers souffles, je pars ! De toute évidence, personne ne s'en apercevra ...

Extrait du journal intime de Félicie McHower ;

Le 19 juin 2010 ;

Je viens d’avoir dix huit ans. Je suis enfin majeure. Je suis encore plus libre que par le passé. J’ai toujours été heureuse. Que ce soit autour de ma famille, seule ou avec l’amour de ma vie. Nous formons un couple magnifique d’après mes amies. On est jeune pourtant, mais ça fait trois ans que nous filons le parfait amour. Demain, c’est notre anniversaire de couple, Paolo veut m’emmener dans un lieu, d’après lui, « magique ». Je suis tellement heureuse, encore plus qu’avant. Et ça va toujours de mieux en mieux.
Je ne comprends pas tous ces gens qui se morfondent sur leur sort. La vie est tellement courte, ils devraient en profiter. Ils devraient mettre toutes les chances de leur côté. J’ai beau avoir souffert un jour, j’ai réalisé que me renfermer sur moi-même ne mènerai pas à grand-chose. Aujourd’hui, je croque la vie à pleines dents. Je suis heureuse et je ne le cache pas. Même si parfois j’ai droit à des regards noirs, antipathiques, je m’en fou. Je veux vivre. Rire, sourire, danser et chanter, dans cette belle ville qu’est Buenos Aires. J’ai passé tellement de bons moments ici, je ne compte en aucun cas partir pour retourner de là où je viens.

Les petits + du forum :

• Selon l'évolution de l'histoire de votre personnage au fil des RPs, vous avez la possibilité de changer de groupe. Votre personnage peut " évoluer ".

• Une partie propre à RTD sera mise en place : " Your Diaries " est une partie ou chaque personnage pourra avoir son journal intime et exprimer ses sentiments.

Citation :

Journal de Lola Stenford

01décembre 2009

Cher journal,
J'ai de plus en plus peur, Ethan rentre de plus en plus tard du boulot, je sais qu'il essaye de mettre de l'ordre dans cette ville avec d'autre collègue mais c'est risqué, tous ces gangs qui font rage et cette nouvelle société qui a ouvert et dont l'un des responsables est venu au travail pour débaucher du monde, c'est vrai que le salaire est intéressant mais, je ne sais pas quoi faire bien qu'on ait besoin de cet argent surtout avec Anaëlle qui vient tout juste d'avoir 4 ans et son petit frère qui va naître dans 4 mois... Je ne sais pas quoi faire et je n'ose pas en parler avec Ethan, je sais ce qu'il va me dire, qu'on en a pas besoin qu'il va travailler encore plus mais, à quoi bon sachant qu'on en a besoin de cet argent et qu'il n'arrivera pas à faire plus d'heures, il en fait déjà plus..... Je ne sais pas..............

14 décembre 2009

Cher journal,
Voilà j'ai pris ma décision, Ethan l'a mal pris mais, pas grave, il m'aime et me comprend, j'ai accepté l'emploi de la nouvelle société je viens de commencer et j'ai l'impression que tout me convient, le patron est formidable, il est très prévenant avec moi, mais je ne sais pas, j'ai de mauvaises impressions quand même, je ne sais pas ce qu'il fabrique ici, je vois parfois, des petites fioles contenant un liquide bleu passer mais, je ne sais pas à quoi ça sert parfois il y a des personnes étranges qui viennent à la société mais bon je fais mon travail et tout se passe bien, je ne parle pas de ce que je fais exactement à Ethan ni de ce qu'il se passe en dehors de ça....

01 juin 2010

Cher Journal,
J'ai repris le travail après la naissance de John mon fils, mon patron est très content de mon retour et me fait de plus en plus d'avances, il veut que je sorte avec lui, il est vrai qu'il est bel homme mais je ne veux pas, je suis heureuse avec Ethan et nos enfants mais j'ai en ce moment de plus en plus de mal à me concentrer à la maison, je commence à voir des choses, Ethan voit bien que je cache quelque chose mais, même moi je n'arrive pas à l'expliquer....Peut être est-ce le café que je bois au travail qui ne me convient plus... Je vais faire attention..........

10 juin 2010

Cher Journal,
J'ai commis l'irréparable, j'ai cédé à mon patron ...Mais que m'arrive-t-il...J'ai souvent des absences même au travail et je viens de faire une découverte en regardant un document sur le bureau de mon patron, les fioles avec le liquide bleu est une nouvelle drogue, je me demande si ce n'est pas tout ça qui ont fait que je suis devenue ce que je suis maintenant....demain, je ne travaille pas et je vais aller au bureau pour enquêter un peu avant d'en parler à Ethan, j'emmènerai John, je suis sûre comme ça qu'il ne m'arrivera rien.......

sous copyright
Texte inventé et écrit par BlueBurrey alias Jess

Durant ses deux dernières années, Vancouver n’a plus entendu parler d’EF pour la simple et bonne raison que l’école était en reconstruction totale pour se spécialiser dans la section sport, une grande première pour le Canada. L’école à ouvert ses portes il y a un an tout juste et accueille déjà des centaines et des centaines de jeunes venus du monde entier. Si votre sport est toute votre vie, si vous rêvez de gloire ou des jeux Olympiques, c’est ici qu’il faut faire ses études. J’ai visité il y a quelques heures seulement les locaux et je peux vous dire que tout est neuf. Grand gymnase pour les basketteurs en herbe ou encore les danseurs, terrain idéal pour les footballeurs, une patinoire conçue spécialement pour les fans de hockey.

Poser ses valises sur le sol d'un geste sec, adresser un regard haineux à sa mère, et soupirer bruyamment. Le cérémonial est presque toujours le même, lorsqu'on intègre l'Université de New-York. Loin du prestige de Yale, Harvard ou Stanford, combien d'étudiants ont déjà regretté d'être coincés dans cette université qui fait parler d'elle pour les frasques qui si passent ? Certains ont cependant vite comprit qu'être dans une université a priori banale pouvait apporter de nombreux avantages... En effet, pendant que les regards se tournent vers les grandes écoles, les plus modestes, elles, sont libres de faire ce que bon leur semble... Et ne s'en privent pas. Bien vite, la rumeur se répand dans tout le pays: il paraitrait que dans l'université de New, on s'y amuse plus qu'ailleurs... Et ce n'est pas peu dire. Depuis une dizaine d'années, l'Université de New-York a su, grâce à ses étudiants, se forger une réputation de fêtard, où l'alcool coule à flot, tandis que personne ne semble y prêter attention, en dehors des murs du campus... Après tout, tant que Yale et Harvard continuent de resplendir de mille feux, le sort des autres universités parait bien secondaire... Il y a maintenant un an, l'université fut vu comme la pire de tout les États-Unis et on décida de remédier à tout ça en mettant un couvre feu au campus, des cours un peu plus strict diriger par un tout nouveau proviseur qui ne semble pas être très tendre. Ce nouveau train de vie à l'université de New-York va vite calmer les jeunes, mais qui à dit que personne ne continue à s'amuser ? Attention à vous, car à New-York rien n'est prévisible ... Bien au contraire !