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| | Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 22:34 | |
| ❝ McCulloch & Nateo Lyam ❞
ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE ■ 29 ans, le 28 Avril 1982 à Houston. CELIBATAIRE ? ■ Yep. NATIONALITÉ ■ Irlando-américaine. MÉTIER ■ Producteur de musique, mais agent de la CIA, en réalité. ORIENTATION SEXUELLE ■ Hétérosexuel. GROUPE ■ Citadin AVATAR ■ Matthew Bomer. CREDITS ■ tumblr matthew-bomer.
Je veux savoir ..
COULEUR PREFEREE ■ Le blanc. ANIMAL PREFERE ■ Le loup. TA PLUS GRANDE PEUR ■ Les insectes, mais surtout tout ce qui rampe, à commencer par les vers de terre . TON PLUS GRAND SECRET ■ Un secret n'est pas censé être dévoilé, mais comme vous êtes gentil, je vais vous en dire un ... mon métier de producteur de musique est en fait ma couverture, puisque je suis en réalité un agent secret, vous savez comme James Bond, tout ça, tout ça . TON PLUS GRAND REVE ■ Ce serait de voyager dans le monde entier, pays par pays avec une bande de copains ou la famille. ça serait magnifique et extrêmement enrichissant . DESSERT PREFERE ■ un moelleux au chocolat très fondant, trop fondant avec une boule de glace à la vanille . FRUIT PREFERE ■ La pomme. Toc toc toc, qui est là ? PRENOM/PSEUDO ■ Abril, Ab's pour les intimes ^^. AGE ■ 18 ans, bientôt 19 ^^. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ■ Je le connais depuis loooongtemps. TA PREMIERE IMPRESSION ■ Bah, le nouveau design est sympa ^^, et content de voir que le forum est toujours là . MULTICOMPTE ■ Nope. CODE REGLEMENT ■ - Spoiler:
OK BY DOLCE EXEMPLE DE RP ■ J'en ai pas de récents :/. SUGGESTIONS POUR AMELIORER LE FORUM ■ //. AUTRES ■ Euh, on va dire que je suis un revenant ^^.
Dernière édition par Nateo L. McCulloch le Sam 14 Jan - 22:44, édité 11 fois |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 22:35 | |
| C'est l'histoire de la vie .. « Nateo Lyam McCulloch ! Viens ici, tout de suite ! » S'écria la voix mélodieuse de mon père. J'étais âgé de sept ans et déjà, je n'en faisais qu'à ma tête. Mon père avait pris l'habitude de m'appeler au moins cinq fois par jour, soit pour me crier dessus, me sermonner, me disputer, m'engueuler ou bien me gronder. Comment ça? Tous ces mots signifier la même chose ? Ah bon. « Nateo, pourrais-tu m'expliquer, s'il te plaît, pourquoi la petite Wildmore est venue me voir, des vers de terre plein les cheveux ? » « Mais papa ! Elle m'avait demandé si je voulais lui offrir un ver, alors, je lui en ai donné plusieurs ! » Répliquai-je en esquissant un sourire narquois vers mon père. Cette fille, Meiko Wildmore, avait toujours essayé de faire ami-ami avec moi, mais que voulez-vous, avec son prénom de raton laveur, je ne pouvais que lui causer des problèmes - ce qui changea au fil des années. « Très bien, Nateo ! Si tu te trouves si drôle, tu vas aller présenter tes excuses à la pauvre petite Meiko et quand tu seras revenu, tu peux être sûr que ni ta mère, ni moi allons t'emmener à ton cours de judo ! » Mon père savait vraiment ce qui pouvait me calmer rapidement. En effet, me priver d'un entraînement de judo était équivalent à une torture, pour moi. « Tu présenteras tes excuses à la pauvre petite Meiko... Gnagnagna... Pff, ce que cette fille peut m'énerver ! Pourquoi il faut toujours qu'elle aille se plaindre à mes parents ?! Sale raton laveur, va ! » Marmonnai-je en me rendant chez mes voisins, les Wlidmore. Je n'eus pas besoin de sonner à la porte, que je vis la tête brune que j'adorais torturer apparaitre. « Hey, le raton laveur ! J'dois te présenter mes excuses pour les vers de terres, alors bah... pardon. Allez, au revoir ! À la prochaine ! »Dis-je en tournant les talons, mais bien entendu ce ne serait pas si simple. « Nateo ! Excuse-toi, sincèrement et correctement ! » Je me retournai et vis mon père me regarder avec son regard sévère. Comment pouvait-il avoir entendu mes excuses envers le Raton Laveur ? Je le soupçonnai, parfois, d'être une sorte de super-héros. « Très bien... Meiko, je m'excuse pour ce que j'ai fait et je ne recommencerais plus. » Elle me regarda alors avec ses beaux yeux bleus, avant de me demander timidement : « C'est... c'est vrai ? » « Oui. Je ne recommencerais plus et je serais sympa' avec toi. » Dis-je en parlant fort et distinctement pour que mon père puisse entendre, puis je baissai d'un ton avant d'ajouter à l'adresse de Meiko : « Nan, en fait, je vais continuer de faire de ta vie un enfer ! Mais, tu n'as pas intérêt de le dire à tes parents et encore moins aux miens, sinon, je dirais à tous mes copains de venir te voir. » Je lui adressai alors mon fameux sourire machiavélique. Dire que quelques années plus tard, elle et moi deviendrions les "meilleurs amis du monde", voir même davantage par la suite... « Hey ! Le Raton Laveur ! Tu veux que l'on t'aide à retrouver ta pote, Pocahontas ? » Demandai-je hilare à l'adresse de Meiko, ma "bande" d'amis gloussant à ma blague. J'avais alors seize ans, j'étais l'un des mecs les plus populaires du lycée. J'étais capitaine de l'équipe de basketball, l'un des meilleurs élèves du lycée et également le mec qui avait toutes les filles à ses pieds. J'avoue qu'à cet époque-là je jouais énormément de mon physique et que je ne me gênais pas pour faire vivre un enfer aux "intellos" dont faisaient partis Meiko. « Hey, McCulloch, tu ne veux pas fermer ta grande gueule ? » Je la regardai avec des yeux ronds. Jamais, ô grand jamais, Meiko ne m'avait tenu tête, ce qui me laissai pantois durant quelques secondes. « Alors, McCulloch, on a perdu sa langue ? » Ma bande d'amis me regardaient interloqués, se demandant comment j'allais bien pouvoir réprimer ce comportement "indigne" à mon égard. « Je... Le Raton Laveur a appris à parler ? Toutes mes félicitations ! » Dis-je en applaudissant tout en étant suivi demes pairs, qui devaient sans aucun doute penser que j'étais tellement "génial". « Franchement, McCulloch, tu m'appelles comme ça depuis nos septs ans, tu penses franchement que ça me fait encore quelque chose ? » « Tu préférerais que je t'appelle comment, dis-le-moi, Meiko ? » « Par mon prénom, tu penses que ce serait possible, McCulloch ? » « Je... » Je ne terminai jamais ma phrase. La cloche venait de retentir dans les couloirs du lycée et la masse importante d'élève nous sépara, elle et ma bande d'amis. À partir de ce moment, nous avons commencé à nous parler le plus calmement possible... En à peine un an, notre relation était passée d'ennemi à meilleurs amis, autant dire que ma relation avec Meiko était en quelque sorte exceptionnelle. Je lui avais d'ailleurs d'ailleurs trouvé un travail dans le casino de mon père qui était LE casino de Houston. Je prenais un malin plaisir à la tourmenter lorsqu'elle était de service ou autre... - Spoiler:
J'étais âgé de dix-sept ans et comme d'habitude, depuis mes cinq ans, je passais tout mon temps libre au casino. Grâce à mon observation des joueurs de poker, j'avais une sorte de don pour décrypter une personne en moins d'une minute. Lorsqu'une personne me ment, je le sens directement, je peux même raconter la vie d'une personne, rien qu'en observant sa tenue vestimentaire, ses manies, sa façon se tenir, etc. Je suis également doué pour l'hypnose, chose qu'un ami proche de ma famille m'a appris, lorsque j'avais quatorze ans. « Oh non ! Sérieusement, Nateo, comment tu fais pour gagner à chaque fois ? » Demanda un de mes amis, Craig, que je battais chaque samedi au poker.« Le talent mon cher, le talent. » « Arrête Nateo, tu as forcément un truc, non ? » « Tu veux une petite démonstration ? Attention les yeux !» Je sortis une pièce de monnaie de ma poche de jeans et la tendit à Craig. « Une pièce... C'est ça, qui est censé être incroyable ? » ironisa-t-il. « Nop. Il faut que tu caches cette pièce, à l'endroit de ton choix, puis je tenterais de la trouver, sans te demander quoi que ce soit. » « Mouais... » Dit-il dubitatif, avant de se lever et de partir durant cinq minutes. À son retour, il avait un grand sourire sur le visage. « Bonne chance pour trouver la pièce, Nateo ! » Je lui adressai mon plus beau sourire avant de me lever. Je commençai à le fixer, en le sondant de mon regard le plus profond. « Tu l'as caché à un endroit totalement improbable. Un endroit où tu es sûr que je ne chercherai pas, je me trompe ? »« Je ne dirais rien ! » Dit-il avec un grand sourire. « Hum, ça doit être ça, tu es bien trop content de toi pour l'avoir cachée sans coup retord. » Il ria légèrement, avant de se tourner vers quelques autres de nos amis, qui connaissaient mon "tour" et qui avaient perdu, à chaque fois . Je déambulai pendant près de quarante minutes, ne trouvant pas un endroit où Craig aurait pu cacher cette foutue pièce. « Hey, McCulloch ! » Je me retournai vers la douce voix de ma meilleure amie, Meiko. Elle avait toujours ce foutu sourire aux lèvres, dont elle ne se séparait jamais. Elle prenait un malin plaisir à me tourmenter, même si nous étions meilleurs amis. À ce moment-là, je voyais bien qu'elle me cachait quelque chose, se pourrait-il que... « Dis-moi, Meiko, tu n'aurais pas quelque chose à me cacher? » Elle me dévisagea étonnée. « C'est encore un de tes jeux ? ! » « Bizarre... » Marmonnai-je.« Bizarre, quoi ? » « Tu ne sembles pas mentir. » « Te mentir à propos de quoi ? De quoi tu parles, Nateo? » « Oublie. Je finirais bien par trouver. » Je tournai les talons et repartis m'asseoir à la table où se trouvait mes amis. J'adressai une grimace à Craig, qui lui, souriait de toutes ses dents. Près d'une heure avant la fermeture du casino, je ne savais toujours pas où se trouvait la pièce de cinquante centimes. Tous mes amis étaient partis, Craig, lui, continuait de m'observer, toujours avec ce sourire sur les lèvres. Je repassais en revue sa journée, essayant de voir les détails qui auraient pu m'échapper, comprendre le comportement de Craig. J'aurais pourtant juré que Meiko était dans le coup. « Tu as jusqu'à demain matin. Si tu n'as pas trouvé d'ici là, tu devras t'avouer vaincu. » « Je ne te ferai pas ce plaisir. » Répondis-je, dans un sourire. « Et pourtant... Bonne chance, McCulloch. »Plusieurs minutes passèrent, puis le doute m'assaillis derechef. Et si Meiko avait réussi à me mentir ? Ça serait un coup dur pour mon égo, mais je préférais largement perdre cette bataille, plutôt que de perdre la guerre. Je me dirigeai alors vers le bar, où était encore Meiko. Je m'y accoudai et attendit qu'elle se dirige vers moi. « T'es sûre que tu n'as pas vu une pièce que Craig a caché ? » Demandai-je d'emblée. « Craig m'a expliqué que tu étais en train de perdre un de tes fameux jeu... » « Ah je vois... Vous vous êtes ligué contre moi, non ? Ça te dérange, si je fouille le bar ? » « Oui, ça me dérange. » Je haussais les épaules, l'air de n'en avoir pas grand-chose à faire, puis je me levai pour me diriger de l'autre côté du bar. Je fouillai entre les bouteilles et les verres posées sur une étagère, sous le regard amusé de Meiko, puis je me tournai pour la fixer. Elle était impassible, si on omettait son sourire victorieux. Je fronçai les sourcils, puis je me dirigeai vers le bout du bar, tout en la fixant. Elle ne cilla pas. Je me rapprochai d'elle et elle prismême la peine de se pousser, pour que je puisse accéder en dessous du bar. Je soupirai et m'apprêtai à partir, lorsque je vis Meiko avec un grand sourire. Je fis de nouveau le tour du bar, en souriant. « Hum, je vais vérifier une dernière fois ce coin. » Elle se poussa une nouvelle fois du bar, mais lorsque je m'approchai d'elle, elle se tendit. « AhAh ! Tu as la pièce sur toi ! » « Oh, vraiment ? » « Je suis impressionné, tu m'as vraiment bien menti. Tu me donnes la pièce maintenant ? » « Je ne vois pas de quoi tu parles, Nateo. » « Tu ne veux pas en arriver là, Meiko, je te jure que tu ne veux pas en arriver là. » « En arriver à quoi ? » Je lui fis le coup du sourire en coin, celui qui la déstabilisait toujours un peu. « Je vais devoir te fouiller. » Annonçai-je en tendant les mains. « Tu me touches, tu es mort ! La phrase est assez simple à comprendre ? » M'arrêta-t-elle, menaçante. Je ris en croisant les bras, la regardant des pieds à la tête. « En fait, je n'en aurais pas besoin, tu m'as indiqué la réponse. » « J'ai fait ça ? » Répliqua-t-elle, agacée et sarcastique. « Tu as immédiatement posée ta main sur ta poitrine, j'en déduis que la pièce est dans ton décolleté. Donne-la-moi, s'il te plait. » Elle me dévisagea, à mi-chemin entre l'offense et la surprise. « Ne fait pas l'enfant, j'ai gagné, c'est le jeu. » « Il n'y a rien dans mon décolleté. » « Ne sois pas si dure avec toi-même. » Raillai-je. « Rappel-moi pourquoi je ne dois pas te frapper ? » « Tu m'aimes trop pour ça. » « Faux, je vais te frapper... Et arrête tout de suite de regarder ma poitrine ! » « Donne-moi cette pièce, qu'on en finisse Meiko. » Répétai-je. Elle me fusilla du regard, comme à chaque fois que je l'agaçais. Puis elle soupira. Elle vit avec déception un immense sourire illuminer mon visage. Elle plongea sa main dans son t-shirt et en sortis la pièce de monnaie. Je la pris avec un sourire de vainqueur, je restai quelques instants supplémentaires face à ma meilleure amie, pour qu'elle sente l'agacement de la défaite s'emparer d'elle. Lorsque je jugeai que le regard de ma meilleure amie était assez noir, je lui adressa un dernier sourire, lui souhaita une bonne soirée, puis me dirigeai vers la sortie. « Le noir te va à ravir.» Commentai-je avec malice. Meiko écarquilla les yeux, rougit violemment, puis me lança un verre suivie d'un « NATEO ! » particulièrement bruyant. Je repartis en riant, fier de ma réplique, fier de ma victoire et fier d'avoir évité le verre. Je donnai la pièce à un vigile, lui disant de la remettre dès le lendemain à Craig. J'imaginai avec délice la mine déçue de mon ami, lorsqu'il découvrirait le lendemain, qu'on ne cachait rien à Nateo McCulloch ...même pas le décolleté de Meiko Wildmore.
Puis, nous eûmes dix-huit ans. Toutes nos connaissances nous voyaient déjà ensemble, marié, avec une dizaine de gamins. Choses totalement improbable. Elle comme moi étions des handicapés des sentiments, impossible pour nous d'avoir une seule relation stable, en dehors de la nôtre, même si nous n'étions qu'amis. Nous ne pouvions pas nous passer l'un de l'autre, nous étions complémentaires, elle était en quelque sorte mon "âme soeur". Mais, il fallait croire que les autres avaient raison. Lors d'une fête un peu trop arrosée, nous passâmes notre première nuit ensemble, à ce moment-là, notre relation passa au stade supérieur. Nous devînmes rapidement un couple, nous rendant alors compte que depuis le début, nous avions été plus que des amis. Pendant ce temps, je m'étais engagé dans la CIA, mon "don" d'observation leur semblait très utile, ainsi que celui d'hypnose, sans compter ma bonne condition physique. Je devins rapidement un agent d'importance, me voyant confier d'importantes missions à seulement vingt-et-un ans. Quant à ma relation avec Meiko, tout était au beau fixe. Nous sortions ensemble depuis trois ans, nous venions à peine d'emménager ensemble à Houston. Meiko devint ma plus belle histoire, la flèche qui m'avait transpercé le coeur. Et puis, un jour... Je venais de franchir la porte de mon appartement. Je m'étais absenté, comme souvent, durant un mois, pour une mission de protection de témoin important, laissant Meiko seule dans notre appartement. Fort heureusement pour moi, ma petite amie était policière et comprenait parfaitement tout ces déplacements incessant dut à mon emploi. Je posais mon sac dans l'entrée, puis je la vis. Elle était assise dans le fauteuil regardant son dessin animé préféré, avec un pot de glace au chocolat et une cuiller dans les mains. « Alors, comme ça tu ne m'attends même pas pour notre traditionnelle soirée Bob l'Eponge ? » Demandai-je avec mon habituel sourire en coin. « Nateo, il faut qu'on parle. » Dit-elle en posant ce qu'elle avait dans les mains et en éteignant la télévision. Elle avait ce regard qui signifiait "j'ai quelque chose d'important à t'annoncer, tu n'as pas intérêt à sortir une connerie, ou je te tue sur place". Elle m'avait sorti ce regard une seule fois, lorsqu'elle avait déchiré, par inadvertance mon tee shirt préféré, je ne me doutais alors pas du tout de ce qu'elle allait m'annoncer. « Euh, oui, si tu veux. » Dis-je avant de m'asseoir à côté d'elle. Meiko pris une grande inspiration avant de commencer. « Nateo. Je suis enceinte. » Décharge électrique, crise cardiaque, déficience cérébrale. Je rêvais. J'hallucinais. « De... moi ? » « Qui d'autre ? »Après cette annonce, tout s'enchaîna très vite. Nos fiançailles, l'organisation du mariage, le mariage en lui-même furent précipités. Elle comme moi souhaitions garder l'enfant, mais Meiko ne souhaitait pas qu'il naisse hors-union. Moi, cela ne me dérangeait pas plus que ça, mais je ne pouvais rien lui refuser. Comme n'importe quel homme amoureux et normalement constitué, mon mariage fut le plus beau jour de ma vie. Mais il fut rapidement relégué à la seconde place, quand mon fils, Gawain, vint au monde. J'avais vingt-deux ans, un enfant, une partie de mon âme et de celle de Meiko qui dépendrait de nous deux et nous liait jusqu'à la fin des temps. C'était beau, n'est-ce pas ? Un bonheur presque égoïste. Mais, comme tout le monde le sait, toutes les bonnes choses ont une fin. Mon bonheur s’effondra lorsque la vie des deux êtres qui m'étaient le plus cher furent prise, le début de ma descente aux enfers. Gawain avait alors trois ans, il était entré en maternelle et comme sa mère et moi, il était brun aux yeux bleus accompagnés d'un visage d'ange. Tout le monde en étaient fous, à commencer par Meiko et moi. Il ne manquait de rien, mis à part ma présence, mais il ne semblait pas m'en tenir rigueur, du haut de ses trois ans. Puis vint ce fameux jour. Meiko devait emmener notre fils à l'école avant de partir au travail, la routine habituelle. J'étais assis dans ce même canapé où Meiko m'avait annoncé sa grossesse, regardant la télévision, comme chaque matin. Je vis une petite tête brune passer à toute allure devant moi, un cartable Bob l'Eponge sur le dos. « A ce soir Papa !!! Je t'aimeuh ! » Dit Gawain avant de s'enfuir en courant dans le garage et de monter dans la voiture de sa mère. Je levais les yeux au ciel, son amour de l'école ne venait pas de moi, ça c'était sûr. Je ne me doutais pas néanmoins pas un seul instant, que ces mots furent les derniers qu'il m'adressa. J'entendis ensuite les pas de ma femme qui descendait les escaliers, je la trouvais toujours aussi magnifique, malgré nos sept ans de relation. Elle vint m'embrasser furtivement sur les lèvres, puis s'éloigna vers le garage. « A ce soir chéri. Je t'aime, je t'aime vraiment, tu le sais n'est-ce pas ? »Bien-sûr que je le savais ! C'était étrange, mais je ne réfléchis pas plus que ça, sur l'instant. Je refermai la porte derrière elle. Il y eut un bruit de moteur, quelques secondes de silence et puis une énorme explosion. BOUMÀ nouveau un silence, assourdissant et puis des sirènes de voitures qui s'allumèrent. Je sortis précipitamment. Meiko était partie. Elle n'était plus de ce monde, envolé son sourire malicieux. Gawain était lui aussi parti. Il n'aurait pas eu le temps de pouvoir vivre, de connaitre un amour aussi pur que celui que j'avais connu avec Meiko. Il ne restait plus que deux cadavres qu'il était impossible d'identifier et notre voiture. C'était fini pour elle, pour lui, pour moi, j'ai crié, hurlé, j'ai pleuré pour la première fois depuis bien longtemps. Quelques jours plus tard j'avais tout jeté à la poubelle, souvenirs au fond de mes poches de jean et affaires en tous genres. Je partis de Houston avec très peu d'effets personnels, simplement quelques vêtements de rechange. J'avais laissé ma peine et ma douleur, enfermés à double-tour, quelque part au fond de deux tombes à Houston, où était inscrit : Meiko Wildmore-McCulloch, 1982 - 2006 et Gawain Galaad McCulloch, 2003 - 2006. Comment étaient-ils morts ? Il y aurait eu semble-t-il un mauvais branchement et la voiture aurait explosé suite à cela, enfin, c'était la version officielle, celle que la CIA avait inventé pour tous ces p*tains de journalistes. En vérité, une bombe avait été posée dans cette voiture, j'étais visé par cette bombe, pas ma famille... Je me doutais très bien de l'identité de leur assassin, le chef d'un petit gang minable des bas quartiers de New York qui avait finis en prison grâce au témoignage d'un témoin que la CIA m'avait chargé de protéger. À partir de ce moment-là, je fus affecté dans des missions à longue durée, toutes à l'étranger, la CIA souhaitait sûrement m'empêcher de préparer une quelconque vengeance contre cet homme. Il faisait bien de prendre leurs précautions d'ailleurs... « Allez, Patron !!! S'il vous plait ! Soyez sympa !!! Juste une dernière fois ! Après, je ne vous emmerde plus ! » Voilà à quoi j'en étais réduit. Divertir la galerie, du moins, mon nouveau coéquipier, Wayne Anderson, un " jeunot " de vingt ans qui semblait être un de mes... fans. Il travaillait avec moi depuis un mois et il me faisait faire au moins un tour de passe-passe tous les jours, ou plusieurs fois, mais toujours le même tour. Il s'amusait ensuite à s'exercer pour pouvoir refaire à la perfection mes tours. Bref, il me saoulait. « Très bien, mais c'est la dernière fois. » Dis-je en soupirant. « Vous allez voir Patron, cette fois, vous ne réussirez pas à la retrouver ! » Dit-il en s'enfuyant avec une pièce de cinquante centimes pour la cacher, je ne sais où. Il revint, cinq minutes plus tard, un air victorieux sur le visage. « Si vous trouvez cette fichue pièce, vous serez mon Dieu vivant, Patron! » Dit-il avec une lueur d'excitation dans les yeux. « Calme-toi, le Bleu. Je vais te la retrouver ta fichue pièce et tu as intérêt à me foutre la paix pour au moins dix ans ! » Sur ces derniers mots, je m'en allai arpenter tout l'étage de la CIA. Je fis le tour de presque tous les bureaux, demandant à mes collègues s'ils avaient vu le Bleu trainer dans le coin, mais aucun d'eux ne l'avait vu. Puis, je passai devant le bureau de Jessica Woods. Jessica était une jeune femme de mon âge, blonde, les yeux bleus, des formes généreuses, sportive... Bref, tout à fait le genre de femme qui me plaisait. J'avais d'ailleurs entretenu avec elle relation de quelques semaines. Ça n'avait pas duré longtemps, le souvenir de Meiko et Gawain étaient encore très présent. En effet, ils étaient décédés que depuis deux ans et même si, je couchais avec toutes les filles qui me plaisaient un minimum, elles avaient toutes un trait commun avec Meiko (couleur de cheveux, yeux, tempérament...). « Dis-moi, Jessica, le Bleu ne serait pas passé par ici, pour je ne sais pas, par exemple... Te demander de cacher une pièce ? » Demandai-je l'air de rien. Jessica parut suspicieuse un instant, puis elle me répondit : « Non. Je ne l'ai pas vu. Tu veux vérifier ? » Elle me fit son habituel sourire en coin qui m'était réservé en se décalant de son bureau. Cette scène m'était plus que familière, je l'avais vécu près d'une dizaine d'année auparavant. Je fus plongé dans un état second, les yeux dans la vague, ce qui sembla étonner ma collègue, puisqu'elle se rapprocha de moi, soucieuse. « Nateo, tu te sens bien ? » Je levai les yeux vers elle, sans rien lui répondre néanmoins. Alors, elle passa ses bras autour de mon cou, se collant un peu plus à moi. « Si tu as besoin de te... détendre, je suis là... » Je sortais alors de ma torpeur. Elle était beaucoup trop près, je devais me sortir de là et le plus vite possible. « Vous allez me foutre la paix, un peu oui ! » Dis-je en faisant glisser ma main dans la poche arrière de jeans pour récupérer cette foutue pièce - elle s'était touchée subtilement les poches lorsqu'elle je lui avais demandé où se trouvait la pièce, m'indiquant ainsi où elle se trouvait -, puis je la repoussai violemment, en quittant son bureau dans la foulée. « Patron, vous avez retrouvé la pièce ? » Le vautour était déjà là, à croire qu'il me suivait à la trace... Je ne pris même pas la peine de lui répondre, posant la pièce violemment sur son bureau. « Patron, vous allez bien ?! » je soupirai bruyamment, l'ignorant toujours cordialement. Après tout, c'était SA faute si j'avais revécu la scène du casino avec Meiko... Je claquai la porte de mon bureau et m'asseyais sur ma chaise. Je fus tranquille seulement une dizaine de minutes avant que l'on ne toque à ma porte. « Qui est-ce ?! » Demandai-je d'une voix agacée. La porte s'ouvrit sur Alexander, le secrétaire du Boss de la CIA. « Excusez-moi, agent McCulloch, mais Mr Ewart vous demande dans son bureau... » Je suivis le secrétaire en soupirant, ma parole, ce n'était vraiment pas ma journée, quoi qu'avec le Boss j'allais pouvoir m'amuser à mon tour. underco
Dernière édition par Nateo L. McCulloch le Mar 7 Fév - 0:04, édité 15 fois |
| | | • ETUDIANTE • Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: BETA Etudes: UFR 7 - Sciences et Santé Relations:
| Messages | : 344 | Points | : 449 | Date d'inscription | : 10/10/2011 | Age | : 33 | Localisation | : In your dreams | Célébrité sur l'avatar | : Taylor Momsen
| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 22:39 | |
| Bonjour beau même très beau monsieur Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuue et AMY RAVALE TA SALIVE ET ATTACHE TOI ON VIOLE PAS (a) |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 22:42 | |
| Merci à toi, jolie m'zelle . Oh, tu peux me violer, aucun problème . |
| | | • ETUDIANTE • Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: BETA Etudes: UFR 7 - Sciences et Santé Relations:
| Messages | : 344 | Points | : 449 | Date d'inscription | : 10/10/2011 | Age | : 33 | Localisation | : In your dreams | Célébrité sur l'avatar | : Taylor Momsen
| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 22:47 | |
| AAAAH FAUT PAS ME DIRE CA MDR tu prends des risques là x) Bon courage pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 22:52 | |
| OMG ! Bon choix de vava ! *_* Bienvenue ! |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 22:57 | |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 23:06 | |
| @ Leya; t'inquiètes, j'aime le risque . Merci encore ^^. @ Jay; Merci à toi . @ Kinder; Et oui, me revoilà, et pour de bon, j'espère =D. Non, tu me l'avais pas dit, mais, j'm'en doutais un peu quand même . Merci à toi petit Kinder . T'inquiètes, j'vais essayer de faire cette fiche le plus vite possible . |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 23:15 | |
| Depuis quand j'ai un maillot de bain rouge ? Pour l'histoire, j'hésite encore sur certains points, mais une partie est déjà écrite, donc pas de problème de ce côté là ^^. Toi aussi tu m'as manquée 'tit Kinder , et ça m'étonne pas de toi, franchement . Blonde comme tu es . Bref, stop the flood, j'veux pas polluer ma superbe fiche de présentation . |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Sam 7 Jan - 23:20 | |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 8 Jan - 1:00 | |
| *meurs sur le coup* *ressuscite* *remeurs* MY F****** GOD ! *reprend ses esprits* Bienvenue sur le forum, et bonne chance pour la fin de ta fiche... (c'est vrai qu'on peut te violer ? ) |
| | | • ADMINISTRATRICE • Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Gamma Etudes: Musique Relations:
| Messages | : 2714 | Points | : 2721 | Date d'inscription | : 31/01/2010 | Age | : 32 | Localisation | : Dans ses bras ♥ | Célébrité sur l'avatar | : Taylor Swift
| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 8 Jan - 1:06 | |
| Je valiiiiiide ton code HAAAAAAAAAAAAAAN T'es de retour |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 8 Jan - 11:26 | |
| Welcome back! Merci pour ton inscription! Et bon courage pour faire ta fiche N'hésite pas si tu as un problème mon p'tit loup Et préviens nous dès que ta fiche est terminée! See ya |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 8 Jan - 16:13 | |
| Sublime le choix d'avatar. Des putains d'yeux je dois dire. Ne t'étonnes pas de m'avoir dans les jambes d'ici peu (prend le au sens que tu veux |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 8 Jan - 16:17 | |
| (re)Bienvenue! viens donc jouer de ma corne muse gentil monsieur bwahaha |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Mer 11 Jan - 5:48 | |
| OMG! Bienvenue a toi adonis Moi je me réserve un lien, obligatoire hein? Bienvenue à toi dans notre gang de fou! En fait, rebienvenue... Enfin, je me comprends! J'espère que tu vas bien t'amuser! Ou te reamuser? |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 15 Jan - 20:11 | |
| @ Kinder; Ouais, c'est bon, on réglé cette affaire de maillot de bain . Genre, la meuf qui se la pète parce qu'elle est modératrice . PS: Je ne t'ai toujours pas donné l'autorisation de me violer, 'fin, je crois . @ Amy; Je ne savais pas qu'un avatar pouvait faire tant d'effet . Merci à toi . Et oui, pour le viol, aucun problème . @ Dolce; La plus belle . Oui, me revoilà !! Toi, obligé, tu me réserves un super lien . Et merci . @ Louan; Merci !! @ Lotus ; Merci bien =). Bah j'le prendrais au sens que tu voudras . @ Loukas; Merci . Sympa comme entrée en matière . @ Stelly; (j'adore ton deuxième gif )Merci bien . Aucun problème pour le lien, ce sera même avec plaisir ^^. J'espère bien me ré-amusé, j'suis là principalement pour ça après tout . Pour info, si ma fiche n'est pas fini ce soir, elle le sera Mardi dans l'après-midi, ou vraiment, au plus tard, mercredi soir ^^. |
| | | • ADMINISTRATRICE • Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Gamma Etudes: Musique Relations:
| Messages | : 2714 | Points | : 2721 | Date d'inscription | : 31/01/2010 | Age | : 32 | Localisation | : Dans ses bras ♥ | Célébrité sur l'avatar | : Taylor Swift
| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 15 Jan - 20:35 | |
| Pas de soucis pour le lien ♥ Préviens nous quand tu auras terminé dans ce cas :D |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 5 Fév - 22:31 | |
| Bon, comme d'habitude, je dois m'excuser pour mon retard (j'changerais jamais j'crois ). Donc, j'ai eu des semaines chargées ces derniers temps, avec les cours, le boulot, les week ends chargés... Donc je n'ai pas eu le temps d'avancer sur ma fiche --'. Mais, n'ayant pas cours demain, j'pense pouvoir trouver un petit moment pour terminer ma fiche, d'ici demain soir, j'crois que ce sera même ma priorité pour demain . Donc bah.. Voilà, c'était juste pour prévenir ^^'. Et encore désolé pour le temps que je mets pour finir ma fiche --'. |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 5 Fév - 22:55 | |
| Bienvenue a toi !!! super choix d'avatar en tous cas ;) et n'oublis pas de prévenir le staff quand ta fiche sera finit, comme ça tu n'attendra pas longtemps avant d'être validé ;) :3 |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Dim 5 Fév - 23:06 | |
| Merci de nous prévenir, car tu aurais certainement fini dans les CED ;) On prends note et te laisse donc un délai de 15jours |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Jeu 1 Mar - 14:44 | |
| Aucune nouvelle, malheureusement :S ! Je me vois dans l'obligation de supprimer le personnage et de mettre la présentation à la corbeille. :S Bisous. Si tu veux récupérer le personnage chou, n'hésite pas à me contacter, je l'ai gardé en mémoire sur mon disque dur. Tu as un traitement de faveur ! :O ♥ |
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| Sujet: Re: Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. | |
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| | | | Nateo ☞ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. | |
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