Depuis quelques semaines, une fois par semaine, Adam était au même endroit, même heure, même poste. Il allait au théâtre voir une pièce plutôt banale. Au départ, il y avait été pour encouragé des amis à lui qui jouait dedans, des gens de la Julliard en plus, ce qui n'était pas rien quand même. À l'intérieur de cette pièce, il y avait une actrice pour qui il avait développé un certain... goût. Il ne sait pas si c'était son rôle, sa manière d'être, son charisme ou plus simplement, sa beauté, mais en tout les cas, elle le fascinait et il ne se lassait pas de la voir à l’œuvre. Après avoir vu quatre ou cinq de ses représentations, Adam se dit qu'il devrait bien aller la voir en coulisse, mais pour lui dire quoi? "Salut, je suis votre plus grand fan?" Non, cela ne le ferait pas. Le Français se résignait donc et pourtant, il comptait aller la revoir.

L'école reprenait depuis peu pour monsieur le président Davis, qui avait d'ailleurs annoncé sa démission prochaine de la tête du conseil étudiant de sa fac: Great Academy. D'ailleurs, depuis cette annonce, il avait l'impression d'avoir un poids en moins sur les épaules et il se sentait plus léger que jamais, preuve de la sérénité de cette décision. Depuis, il avait d'ailleurs un peu plus de temps à lui et ce soir, il sortait avec quatre de ses amis, des sortes de retrouvailles de début d'année, chacun voulant prendre des nouvelles des autres, savoir ce qu'ils ont fait de leur été.

Le jeune homme s'habilla donc assez bien pour cette occasion, au cas-où, on ne sait jamais. Il se vêtit d'une chemise noir, une paire de jeans propres, ses souliers habituels, il se fit la barbe comme il faut et en plus, se fit une petite coiffure. Comme il gare sa camaro dans un espace de stationnement non loin du bar, il arrive à l'heure, à peu près en même temps que plusieurs de ses camarades. On les installa ensuite à une table avec une banquette et Adam, toujours généreux, était d'ailleurs sur une chaise et non sur la banquette. Il parlait tranquillement de tout et de rien avec ses amis, quand il vit Rosalia approcher. Il connaissait son nom, du fait que les acteurs étaient toujours présenté à la fin de la pièce et puis, son nom était écrit dans la brochure aussi. Quand il la vit, quel ne fut pas son étonnement, et puis, de la voir serveuse en plus. Il aurait cru qu'elle avait plutôt comme boulot tierce une job comme mannequin, un truc du genre. Hey bien non. Alors rapidement, il raconta, à voix basse, un résumé de ce qui vous a été raconté plus tôt: son visionnement d'une pièce, son "coup de foudre" pour la belle actrice, ses autres visites qui ont suivi. Aussitôt, un de ses amis lui dit de saisir l'occasion, carpe diem, et de lui faire son numéro. D'ailleurs, les paris s'ouvrent un peu et finalement, tout se beau monde se tait, sourire en coin, à la venue de Rosalia.

-Pour moi, ce sera une pinte de O'Keefe s'il vous plait.

Il l'avait regardé dans les yeux en disant cela, puis la suivit un peu plus discrètement, de son regard, quand elle quitta la table pour aller chercher leur verre. Quand elle revient, Adam tassa un peu sa chaise, pour laisser la place à la belle blonde de faire son travail et quand elle le servit, il leva les yeux vers elle et lui fait un beau sourire.

-Excusez-moi mais... je crois que je vous connais. Vous jouez dans cette pièce, du théâtre Wells, sur la douzième avenue, une adaptation de la pièce "Jules César". Vous êtes vraiment excellente dans le rôle de Portia.

Spoiler:

Alors que Rosalia prenait la commande du groupe, elle sentait qu'il se tramer quelque chose mais devait sans doute se faire des idées. Si elle devait relever à chaque fois qu'il se passer quelque chose quand elle servait, elle ne dormirai plus. Elle regarda donc le jeune pus, ayant noté sur son petit calpin la commande, elle retourna au bar. Alors que le barman préparer le tout et qu'elle alla débarrasser une autre table elle observer cet homme et voyait bien qu'il la regardait et était persuadé qu'il venait à chacune de ses représentation. c'était plutôt flatteur pour Rosalia qui démarrer juste de le milieu. Elle prit le plateau et apporta les boissons. Alors que la musique qui était jouer en fond par un groupe défilée, elle sourit légèrement en coin au jeune homme. Alors que rosalia avait à présent fini de servir les vers, celui-ci se décida enfin à lui dire quelque chose.

il me semblait bien vous avoir déjà vu à plusieurs reprise.

elle lui sourit et tenait son plateau en main

Je vous remercie c'est très flatteur. J'avoue que ce rôle me plait beaucoup.

Certes ce n'est pas ce qui allait la rendre connue, mais après tout, elle ne voulait pas faire ce métier afin d'être connue et apparaitre dans tout les magazines people, c'était uniquement par passion. Pour un début c'était bien. Rosalia était ravi de voir que quelqu'un revenait pour elle.

J'espère vous y revoir...

dit elle avec un sourire en coin. Il fallait qu'elle continue son service. Alors elle commença à se tournait afin de partir. Puis se retourna vers le jeune homme

oh ! Moi c'est Rosalia et vous?

Quand il lui dit qu'il s'appelait Adam elle lui souriat

Alors à bientôt j'espère Adam.

elle ne pouvait pas d'éternisé bien qu'elle le regretter...

Spoiler:

Si les amis d'Adam s'enthousiasme autant, c'est qu'ils ont tous le même espoir pour leur ami. Ce dernier a connu une rupture difficile avec sa dernière petite amie et depuis, il n'a plus rien connu de sérieux. Il a même eu son creux avec les filles, il n'en voyait plus et il faisait le loup solitaire. Peu à peu, il était ressorti de sa grotte et depuis, il allait mieux, mais ses amis espèrent encore que le bel Adam trouvera à nouveau chaussure à son pied. Et à défaut de nécessairement aboutir, un petit flirt ne fait pas de mal à personne après tout, non?

Rosalia était donc venue les servir à leur table, ce qui était quand même une sacrée coïncidence. D'abord, il semblerait qu'elle aussi l'ait remarqué parmi les spectateurs, puisqu'elle lui dit qu'il lui semblait bien l'avoir vu. Adam la gratifia alors d'un beau sourire et acquiesça doucement. Après quoi, elle se dit flattée et une fois encore, il eut un petit geste de tête, qui signifiait en quelque sorte un "pas de quoi". Elle ajouta même qu'elle espérait l'y revoir.

-J'y compte bien.

Répondit-il à la dernière remarque de la belle blonde. Inutile de dire que ses amis scrutaient à la loupe comment se passait la rencontre. Jusqu'ici, tout allait bien, elle était aussi sympathique que reconnaissante et de son côté, bah, il était normal quoi. Il ne commençait pas à se rouler à terre, ébloui par la beauté de Rosalia. Il prenait une gorgée de son verre tandis qu'elle s'en allait, quand elle choisit de se retourner pour se présenter. Avec son accent français, le pays d'où il vient, il ajoute alors:

-Enchanté de vous rencontrez Rosalia, je m'appelle Adam.

Il lui aurait bien serré la main, mais elle était quelque peu occupé. Elle lui dit à bientôt et fit mine de s'en retourner, mais cette fois, c'est Adam qui se lève et qui met doucement une main sur l'épaule de Rosalia, rien que pour elle se retourne et après, il passe cette main derrière sa nuque à lui, esquissant un petit air un brin gêné, mais il la regardait quand même dans les yeux quand il lui demanda:

-Si ça vous dit, après votre quart de travail, on pourrait prendre un verre ensemble, ça vous dit?

Comme elle accepte sa proposition, elle a droit à un beau sourire ravi de sa part, puis, il retourna s'asseoir et quand elle fila ailleurs, ses amis le gratifièrent tous, à leur tour, d'un beau sourire. "Ça promet" lui dit l'un d'eux. L'autre vantait déjà les mérites de la beauté de cette fille. Adam la regarda alors discrètement. "C'est vrai qu'elle est très belle", ajouta-t-il alors. Son visage, ses traits, tout enfin. Les jeunes hommes prirent donc quelques verres, puis, il vit Rosalia, qui semblait avoir terminé son quart de travail et qui discutait avec le barman. Adam s'excuse alors auprès de ses amis, qui lui souhaitent bonne chance et il va retrouver la belle Italienne.

-Alors, qu'est-ce que je vous paie? Au fait... puisque les présentations sont faites et que je vous paie un verre, je crois qu'on peut commencer à se tutoyer, non?

Il avait son troisième verre de bière en main et il commande pour Rosalia ce qu'elle veut. Après quoi, ils vont s'asseoir dans un coin un peu plus tranquille, à l'abri des regards indiscrets de ses amis.

-Faut pas faire attention à mes amis... Je suis célibataire et chaque fois que je prends un verre avec une fille, il s'imagine tout un tas de trucs. Ils te dérangent pas j'espère?

Rosalia fut surprise quand elle sent une main sur son épaule. Elle se retourna. Elle esquissa un sourire quand il lui proposa de prendre un verre.

Ce serait avec plaisir.

Lui répondit elle en le regardant dans les yeux. Elle voyait tous les regards des amis d'Adam fixaient sur eux. Elle part alors servir les autres clients qui l'attendent. Une heure plus tard voilà que Rosalia termine son service. Elle pose alors son plateau et chiffon derrière le comptoir et prend ses affaires : son sac à mains et sa veste en cuir noire. Rosalia parlait avec son collègue le barman, quand elle fut agréablement surprise par la voix d'Adam. il lui proposa un verre et également de se tutoyer.



Très bien. Je vais prendre une vodka.



Une fois que le barman avait servi Rosalia, Adam et elle partirent dans un petit coin discret du bar, à l'abri des regards indiscrets. Quand il s'excusa pour ses amis, Rosalia eut un petit sourire amusé.



Ne t'en fais pas ça ne me dérange pas le moins du monde.

Elle lui sourit puis entendit donc que celui-ci était célibataire.

je suis très sincèrement ravie que tu m'ai invité à prendre un verre.

Elle lui fit un léger sourire en coin et le fixait dans les yeux. Depuis qu'elle était ici, rosalia n'avait eut que très peu de rendez-vous de ce genre malgré les propositions de ses clients. Adam fut l'une des exceptions, mais il faut l'avouer ça fesait très plaisir à Rosalia

Rosalia accueillit avec plaisir l'opportunité de pouvoir prendre un verre avec lui. Tant mieux, ainsi, il n'avait pas l'impression que c'était laborieux pour elle et cela faisait en sorte que la chose n'en était que plus encourageante. Où tout cela le mènerait? Il n'en avait pas la moindre idée et pour être honnête, il ne se lançait avec rien d'autre en tête que faire connaissance avec cette femme qui l'intriguait et qu'il allait voir au théâtre depuis plusieurs semaines maintenant.

Les présentations étaient faites et elle accepta de se tutoyer, ce qui fait en sorte qu'il se sentait déjà un peu plus à l'aise avec elle. Pas qu'il était mal à l'aise, mais disons qu'il pouvait maintenant adopté un ton plus naturel, plus familier. D'ailleurs, aux États-Unis, presque tout le monde se tutoient tout le temps. Il faut dire que l'anglais, avec son absence de deuxième personne du pluriel, facilite cela. Bref, elle prend une vodka, il paie la vodka et les voilà qui vont se retrouver dans un coin tranquille. Rosalia eut un petit sourire quand il mentionna ses amis et il en eut un semblable lui aussi. C'est vrai qu'en définitive, c'était assez amusant, mais somme toutes, il les aime bien ces amis, ce sont de chics types. La belle Italienne, pour sa part, disait ne pas avoir été dérangée par eux. Tant mieux!

-Je t'en pris, le plaisir est pour moi. Et puis, si ça se trouve, je viens peut-être de payer un verre à une future vedette!

Après tout, dans ce milieu, on ne sait jamais quand les gens peuvent percer. Adam ne croit pas qu'il sera célèbre un jour, pas avec les études qu'il fait. Comme il a une bonne ouïe pour les accents, il remarque que Rosalia en possède bien un. Quand il était au théâtre, il croyait que c'était pour son rôle, mais maintenant, il voyait qu'elle l'avait dans la vraie vie.

-C'est jolie ton accent. Tu ne viens pas des États-Unis, c'est certain. D’Europe peut-être? D’Espagne?

Adam est un visuel, alors quand il parle aux gens, il les regarde dans les yeux, pas comme un obsédé hein, c'est juste qu'il établit le contact visuel quoi. Enfin, il prenait des gorgées occasionnelles de sa pinte de bière, poursuivant sa conversation avec Rosalia, qui ne semblait pas du genre très bavarde, mais ça viendra peut-être!

Rosalia sourit à sa premiere phrase.

Quant à moi je bois un verre avec mon premier fan dit elle en rigolant.
Rosalia compter percer mais n'était pas prête à tout pour cela comme certain. Si elle ne percer pas, Rosalia n'avait aucune idée de ce qu'elle ferait par la suite. N'ayant pas fais d'études, elle n'as pas de grandes issues de secours.

Bien joué!

En effet cet accent lui servait beaucoup pour son rôle mais lui portait préjudice pour d'autre.

Je viens de florence, en Italie. je dois avouer que ce pays me change beaucoup ça n'as rien à voir mais j'aime beaucoup. Et toi? d'où bien-tu? moi je ne suis pas douée pour reconnaitre les accents mais une chose est sur tu n'es pas américain dit elle en rigolant.

Rosalia n'était que depuis peu avec le jeune homme mais passer une agréable soirée en charmante compagnie. Rosalia n'avait pas vraiment fait beaucoup de connaissances depuis son arriver tout de même récente, alors passé une soirée comme celle-ci, en très bonne compagnie lui fesait du bien. Rosalia n'avait jamais était du genre à aller à droite à gauche, mais n'était pas non plus du genre à s'engager trop vite ou voir trop loin. elle aimer vivre l'instant présent, comme à cet instant précis. il lui dit alors de quelle origine il était. rosalia avait était en France, quelques jours et avais beaucoup aimé.

C'est très jolie la France.

Puis après avoir parler de leur origines, Rosalia voulait en savoir un peu plus sur le jeune homme.

Apparemment tu sais ce que je fais dans la vie, maintenant à moi de savoir! dit elle en rigolant légèrement. La jeune femme était de nature légèrement curieuse et aimer savoir à qui elle parlait..

tu fais des études? tu habite où? .. elle le bombarder mais n'allait pas jusqu'a demandé pourquoi il était célibataire même si elle s posé la question.. un bel homme comme lui. Lui demandé était un peu direct.

Lorsque Rosalia lui dit qu'elle buvait en compagnie de son premier fan, Adam rit de bon cœur à la remarque. Son premier fan, voilà qui était amusant à constater, mais oui, c'était peut-être vrai après tout. Il cogna brièvement son verre contre celui de Rosalia et ajouta, toujours aussi souriant:

-Je vais boire à ça.

Après quoi, il tente de découvrir l'origine de l'accent de la belle blonde. Il opte d'abord pour l'Europe, puis précise l'Espagne et apparemment, il n'était pas loin de la bonne réponse, au vue de la réaction de la serveuse du bar, actrice en devenir. Elle venait donc de Florence, en Italie. Voilà qui n'est pas si loin de chez lui, à Marseilles. En tout cas, c'est moins que New-York, voilà qui est certain. Ce qui est certain aussi, c'est que la culture nord-américaine et les États-Unis, n'ont rien à voir avec ce qui se passe en Europe, ce sont deux mondes complètement différents: le nouveau et l'ancien. Adam leurs trouvaient des qualités et des défauts propres à chacun.

-Effectivement, je suis Français et je viens de Marseille, mais mon père est Anglais. Je vois qu'on ne peut rien te cacher!

Cependant, comme son père lui dit souvent, il est tombé en amour avec la France, ou plus précisément, avec sa mère. Ainsi, Adam est un franco-anglais qui fait des études aux États-Unis. N'empêche, comme il a grandi en France et qu'il y a fait la majorité de ses études et qu'il n'a passé que quelques jours en Angleterre, il se considère plus Français qu'Anglais.

Adam vient de passer un été chez lui, en France et il ne pouvait qu'être d'accord avec ce que disait Rosalia, à savoir que ce pays était très joli. Le jeune homme acquiesça, mais ne put s'empêcher d'ajouter:

-J'ai entendu dire que l'Italie, c'est pas mal non plus!

Ensuite, c'est à son tour de se faire poser des questions. Personnellement, il n'a rien à cacher, ou en tout cas, à peu près rien, alors ça ne le gêne pas de se faire poser des questions et à dire vrai, il le prend souvent comme un témoignage d'intérêts, ce qui est plutôt une bonne chose. Il répondit donc patiemment à chacune des questions.

-Ahah, d'accord, vas-y.

Les deux premières questions étaient assez faciles.

-Ouep, je fais des études en droit, à Great Academy et j'ai un petit quatre et demi, dans le Queens. C'est pas le luxe, mais c'est mon appartement à moi quoi et c'est bien mieux que les petites chambres d'étudiant à l'université. Et toi? Tu habites où?

Jusqu'ici, il ne savait pas de son côté si Rosalia était célibataire ou non, mais de toute façon, il finira bien par avoir la réponse, il ne se sentait pas obligé de poser la question de façon explicite.

-À mon tour maintenant de poser une question. Euh... Pourquoi être venu ici, à New-York? Tu tenais vraiment à vivre le rêve américain?

Rosalia avait eut du mal à quitter sa famille mais avait toujours voulut partir. Elle trinqua avec Adam, à leur reussite. elle l'écouta donc répondre à ses questions et puis répondit ensuite aux siennes. Elle n'a jamais voulut faire des études, l'école ça n'as jamais était son truc.

J'ai grandit en italie mais j'ai toujours voulut voyager. Je suis parti dans beaucoup de pays à travers le monde. L'Amérique est le pays qui me tenais le plus à coeur surtout New York. De plus j'ai une cousine ce qui fesait qu'en arrivant je serais moins seule. ça fait 2 mois que je suis ci. J'ai un petit appartement non loin de là dans lequel je vis seule..

on pouvait donc en conclure que Rosalia était bel et bien célibataire. Cela fesait un long moment qu'elle n'avait pas eut de vraie longues relations mais pour l'instant ça ne la préoccuper pas vraiment.

Je me plait bien ici, je me suis fais mon petit cocon.

elle lui souriat.

Alors comme ça tu es célibataire d'après ce que tu m'as dis..

D'après Rosalia ce n'est pas qu'il n'attirait pas les filles mais surement qu'il ne se prenait pas la tete..

moi aussi, je n'ai personne dans ma vie pour le moment, je prend mon temps..

Rosalia ne se prennait pas la tête, quand le bon viendra, il viendra c'est tout. Depuis ça plus sérieuse relation où on l'a tromepr sans qu'elle le sache Rosalia n'accorde plus vraiment sa confiance a cent pourcents mais celà ne l'empeche pas d'avoir des relations.

Adam était curieux d'entendre ce qui pouvait bien pousser une belle Italienne a quitté sa Toscane natale pour aller tenter sa chance à la grosse Pomme. Faire du théâtre à Rome ou à Palerme, ça ne lui disait pas? Franche et honnête, Rosalia n'hésita pas à raconter ses différentes motivations qui l'ont emmené à New-York et le jeune homme l'écouta bien attentivement. D'abord, elle aimait voyager, ce qui ait un pré-requis pour aller vivre ailleurs, c'est un fait. De plus, elle avait à cœur la ville de New-York et il comprend par là qu'elle rêvait de venir ici. C'était un peu pareil pour lui d'ailleurs. Enfin, elle avait de la famille ici et enfin, elle mentionna qu'elle aussi, elle avait un petit appartement dans Brooklynn, où elle vit seule. Pas de petit ami donc, c'est ce qu'il déduit.

-Et tu te plais ici?

Elle enchaîna en disant que oui, elle se plaisait ici et il eut un petit sourire à cette bonne nouvelle. La belle blonde mentionna ensuite qu'il était célibataire et à nouveau, il acquiesça, prenant une gorgée de sa bière.

-J'ai eu une relation assez sérieuse pendant un bout de temps. Ça a duré deux ans et demi environ, puis, ça a cassé. Depuis, je suis un peu comme toi, je prends mon temps. On ne sait jamais quand on peut tomber sur la bonne personne par contre, il faut être aux aguets.

Rosalia écouta attentivement ce que le bel homme lui disait. Il avait eut une petite amie sur une longue période, ce qui signifiait qu’il était capable d’avoir de longue relation, c’était simplement qu’il n’avait pas trouver la bonne personne.

Je trouve que prendre son temps c’est la solution, il ne faut pas s’avancer trop vite. J’aime vivre au jour le jour.

Vivre au jour le jour c’est la meilleur des solutions, ne pas penser au lendemain, au futur, aux sentiments qui pourraient s’installer. Rosalia n’est tomber qu’une fois amoureuse dans sa vie et ça a été une terrible déception, mais ce n’est pas pour autant qu’elle met tout les hommes dans le même panier, chacun est différents.

Je ne pense pas au futur au tout début, j’aime le mystère, ne pas savoir de quoi est fait demain dans une relation. On ne sait jamais si on reverra la personne.

Rosalia réalisa qu’il était tard et que les gens commencé a déserté le bar, bientôt il ne resterai plus qu’eux. Rosalia aimer la compagnie de ce beau brun, très charmant et tout à fait son style physiquement. Il faisait très sombre dans le coin où ils étaient.

Je passe vraiment une bonne fin de soirée en ta compagnie

Elle se rapproche légèrement car elle était un peu loin de lui.

Carpe Diem, saisir le jour. Voilà une phrase qu'Adam comptait appliquer cette année, après une longue période de réflexion avant chaque action, mais aussi, du fait qu'il était si occupé, il devait toujours avoir une vision à court, moyen et long terme. Maintenant qu'il avait moins de responsabilités, il se sentait un peu plus libre et il était sorti aussi de sa période "les filles sont toutes pareilles". Néanmoins, on ne changera pas Adam, il va toujours être quelqu'un de plutôt réfléchi. Rosalia de son côté aussi aimait vivre au jour le jour et cela faisait plaisir à entendre.

-Carpe Diem. Je porte un toast, à ceux qui profitent de la vie.

Il lève son verre et trinque avec Rosalia, s'il le veut bien. Après quoi, il finit son ixième verre de bière et il ne se sentait pas pressé d'en prendre un autre. De toute façon, son centre d'intérêt était ailleurs. La belle blonde disait aimer le mystère et Adam la regarda alors avec un petit air intrigué.

-L'excitation de la première rencontre, c'est ce dont tu parles?

Quand on a encore tout à découvrir chez l'autre: ses qualités, ses défauts et qu'on étonne encore. Ils parlaient tout les deux depuis un bout de temps et apparemment, il n'y avait plus grand monde dans les lieux. Alors quand elle se rapprocha, alors qu'elle le fixait avec ce regard si... particulier qu'elle sait avoir, il n'en fallut pas plus pour qu'Adam tende la main contre le cou de l'Italienne et s'approche à son tour pour se risquer à un baiser, qui ne dura qu'un court instant, et pas parce qu'il ne voulait pas le prolonger.

Sorti de nul part, ses amis, dont un en particulier, armé d'un appareil photo, vinrent prendre un cliché des deux jeunes gens. Surpris par le flash, Adam sursaute et détache ses lèvres de celle de Rosalia, se tournant vers ses amis qui rigolaient pour l'occasion et apparemment, il y a qui avait gagné leur pari. "Bon hey bien, on te laisse Adam. Sois sage! Oh et demain, ce truc sera partout sur ton facebook, ne t'en fais pas!". Les joies d'avoir des amis sur qui on peut compter. Reportant son attention sur les dernières personnes qui venaient de quitter le bar, il se passa la main derrière la nuque, visiblement gêné.

-Je suis désolé... c'est vraiment des cons quand il s'y mette.

Adam se doutait bien que le baiser n'avait pas déplu à Rosalia. D'abord, aucune fille ne s'est jamais plaint, à sa connaissance, de ses qualités "d'embrasseur", ou même, d'amant, de façon plus large et puis, de son côté, la jeune femme, comme toute actrice il parait, embrassait très bien aussi et le contact de ses lèvres sur les siennes avaient été plus qu'agréable, Adam ne comptait pas mentir là-dessus. Alors faisant un trait d'humour, il avait posé une petite question et voilà que la belle blonde venait l'embrasser de nouveau, alors que doucement, il posait sa main contre la joue de la belle, prolongeant ce nouvel échange, où cette fois, ils purent prendre le temps d'apprécier le baiser, en toute tranquillité. Plus à l'aise encore qu'au baiser précédent, il se mettait au diapason de la serveuse de ce bar. Langoureux, il garda une certaine douceur aussi et ne précipitait pas les choses, il en appréciait plutôt chaque seconde.

Loin de détourner le regard du sien, il ne la quittait pas des yeux et il eut un fin sourire à ce qu'elle dit. Maintenant, il était à même de pouvoir dire que la réponse à la question qu'il avait posé était non. Son sourire s'agrandit quand, en retour, elle lui demande alors son avis. Ce n'était pas évident?

-Pour être honnête, j'ai bien aimé. Ça donne envie de visiter l'Italie.

Adam, dans ce genre de moment, peut devenir un brin stupide. Pas qu'il soit gêné, mais enfin, parfois, il ne sait pas trop quoi dire, tout simplement. Il jeta un petit regard aux alentours, ayant bien saisi maintenant le sens de ce qu'elle lui disait un peu plus tôt.

-C'est toi qui ferme le bar?

Petite question comme ça, à tout hasard, il ne la lâchait pas des yeux et dans un sens, c'est à peine s'il ne la dévorait pas de son regard.

Si Adam pouvait lire dans les pensées, il ne cesserait de l'étonner. Dans sa tête, il se voit comme un gars comme les autres. Pourtant, il y a de ces filles qui n'ont pas manqué de lui faire savoir qu'il avait quand même quelque chose de plus que le commun des mortels n'a pas, mais le jeune homme se dit que tout le monde a bien un petit quelque chose de plus justement. Pour le reste, en ce qui concerne son succès avec les filles, bah il joue de chance voyons... et peut-être un brin de charme, mais ça, c'est parce que les Américaines sont habitués aux Américains, qui dans leur genre, ne sont pas vraiment charmeur.

Rosalia fit savoir que ce n'était pas à elle de fermer le bar, mais apparemment, c'est quelque chose qui pouvait s'arranger. Adam lui fit un petit sourire, se doutant bien de ce que cela pouvait sous-entendre et à dire vrai, c'est bien dans cette direction qu'il voulait aller. On n'a qu'une vie à vivre, alors autant en profiter non? Esquissant un petit sourire, il la suivit des yeux et se leva peu après, pour aller à la salle de bain, puis, s'installer au bar, en attendant qu'elle ait tout fermé. Rosalia ne mit pas de temps à venir le rejoindre et légèrement appuyé contre le comptoir du bar, il se redressa et se tourna vers elle pour la regarder. À ce qu'elle dit, il esquisse un petit air satisfait et lui prend la main, l'attirant debout, contre lui.

De ses yeux, il la fixait elle et il vint frôler ses lèvres avec son doigt, qui suivi ensuite le long de son cou, tandis que son autre main restait contre la taille de l'Italienne.

-Vraiment, rien que nous?

Lui demande-t-il à voix un peu basse. Était-ce un fantasme pour lui, cette femme? Peut-être bien. Il l'avait tant admiré sur cette scène et maintenant, il la voyait dans un autre contexte, mais les deux s'entendaient pour le mieux et il n'allait pas passer à côté d'une occasion pareille. Alors, il déploie à nouveau sa main contre le cou de la belle, qu'il revient à nouveau embrassé et cette fois, il est langoureux, mais il y met aussi un peu plus d'énergie, de désir aussi, qu'il laisse entrevoir à Rosalia.

S'ils ne se connaissaient pas beaucoup, Adam avait le pressentiment que sous peu, ils se connaîtraient de façon plus intime. Dans un sens, c'était tant mieux et les deux amants ne faisaient rien de mal. Tous deux célibataires, tous deux jeunes et beaux, ils n'avaient aucune raison de se retenir, sinon au nom de principe ridicule auquel Adam est plus ou moins attaché. Disons qu'il y a de ses principes qu'on peut adopter quand ils nous conviennent et abandonner quand il le faut. Comme celui de ne pas coucher avec un client, par exemple...

Un baiser plus passionné que les autres complétaient cette nouvelle série de rapprochements. Il baisse alors brièvement les yeux, pour voir les doigts de Rosalia commencer à détacher la chemise noire qu'il portait. Assez rapidement, il finit sa besogne et pendant ce temps, un petit sourire en coin, Adam avait détaché ces manches, histoire de faciliter la tâche de la belle blonde. Puis, elle écarta les pans de sa chemise, venant aussitôt caresser son torse, tandis que lui se débarrassait de sa chemise qu'il laissait contre un banc près du comptoir. Apparemment, il ne décevait pas et assez rapidement, leurs baisers se retrouvent, mais pour un baiser plutôt bref, qu'Adam interrompt, puisqu'à son tour, il a saisi le bas du haut de Rosalia et au moment où leurs lèvres se séparent, il l'enlève de sur le dos de la jeune femme.

Un nouveau baiser, de nouvelles folies et voilà Adam qui tient le visage de la belle à deux mains et qui l'embrasse avec plus de fougue et de passion cette fois, plus d'énergie aussi. Presqu'à bout de souffle, le Français va jouer de sa langue contre le cou de la belle, jusqu'au creux de celui-ci, où il attarde aussi ses lèvres, tandis que ses mains détachent le soutien-gorge qu'elle portait peut-être. Visiblement, il n'était pas homme à hésiter et reculer une fois lancé. Il lève à nouveau le regard vers elle et alors que leurs yeux se fixent, il écarte avec une certaine fermeté les jambes de la belle, tandis qu'il vient détacher sa jupe courte ou ce qu'elle porte en bas du corps en tout cas.

Il y aurait pu y avoir une guerre dehors, Adam ne s'en serait pas soucié le moins du monde. En cet instant, il n'y avait que Rosalia qui comptait à ces yeux, un peu comme lorsqu'il allait la voir à sa pièce de théâtre et maintenant, il avait l'impression de rêver avec elle. S'il avait su que dès leur première rencontre, tout aurait si bien été, il aurait été la voir en coulisse l'autre jour. La tournure actuelle des événements n'étaient donc pas pour lui déplaire. Après, quel homme n'a jamais rêvé de coucher avec la plus belle des serveuses du bar, dans le bar même et d'assouvir ainsi son fantasme en un acte de pure folie? Adam plaidait coupable, il n'en avait guère le choix. Chose certaine, il ne dira pas à ses amis jusqu'à quel point la serveuse et lui ont été. De toute façon, ils ne le croiraient quand même pas. Quoique...

Rosalia était tout aussi active que lui et tandis qu'il s'affairait à la déshabiller, elle faisait de même, s'occupant de sa ceinture, entre autre. Alors qu'il la couvrait de baisers, il sentait les mains de la belle qui caressaient tout son corps et cela ne faisait que l'encourager encore à poursuivre. Bientôt, il la débarrasse de son jeans, qu'il fait glisser le long des jambes de la belle et sentant ce qui devait arriver, il arrive aussi, avec un subtile jeu de pieds, à enlever les souliers qu'il portait. Heureusement qu'ils n'étaient pas attachés trop serrés! Rosalia revient l'embrasser, défait ses jeans à lui. C'était du coup sur coup et c'était bien tant mieux, Adam n'avait pas envie d'être le seul habillé, bien au contraire. Les deux étaient donc à peu près à égalité et le Français décide alors de passer un peu plus aux choses sérieuses.

Les deux amants s'embrassaient de plus belle et le jeune homme se fit langoureux pour le dernier baiser, mais toujours aussi passionné, ne cachant plus le moins du monde son désir et sa passion. Alors qu'il caressait tout le corps de Rosalia, une main s'arrête au niveau de la poitrine de celle-ci et appuie quelque peu, faisant en sorte qu'elle se laisse un peu plus aller sur le comptoir, quitte à se détacher de lui. Il dépose alors un baiser à l'intérieur de ses cuisses, y laisse serpenter ses langues, avant de saisir le dernier vêtement qu'elle portait et le faire glisser le long de ses jambes. Après quoi, n'écoutant que ces envies, il vient glisser sa tête entre les jambes de la belle et commence à lui administrer tout un traitement avec sa langue. Une main appuyée contre le ventre de la belle, qui remontait parfois vers son visage, l'autre qui tenait plutôt une de ses jambes, il se plaisait à donner du plaisir à Rosalia, accentuant peu à peu les gestes de sa langue, qui s'attardait souvent au niveau du bouton de plaisir de la jeune femme. Il ne voulait pas la faire craquer, du moins, pas complètement, mais bien la rendre folle de désir. Et qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour rendre une femme pareille folle de désir?

En prenant son poste ce soir là, Rosalia était loin de se doutée qu'elle passerai comme celle ci. Ce soir, elle avait découvert un admirateur mais également un amant merveilleux, ou du moins qui le semblait.. elle verrait tout celà par la suite. A cet instant ils n'y avaient qu'eux..

Rosalia éprouvait un immense désir pour Adam mais savait que ça pouvait encore grimper, ce qu'il ne tarda pas à lui confirmer. Son corps était parcourus de frisson à chaque contacts d'Adam. Il passa aux choses un peu plus sérieuses après avoir déposer un baiser merveilleux à Rosalia. Alors qu'il la touché, parcourait son corp, elle se recula un peu plus, soupirait un peu de désir, plus il décendait plus l'intensité des soupirs augmenté. elle sentit sa langue venir à son intimité et soupira de plaisir à chacun de désir, chaque gestes étant mieux que le précédent.

Adam...

dit elle à voix basse tout en soupirant de plaisir. elle le fit remonter verre elle sans brutalité. Elle descendit du comptoir et lui fit une petite gaterie mais de taille à espérer qu'il se souvienne d'elle tel qu'il la voyait sur scène. Quelques instant plus tard elle remonta à son niveau et l'embrassa, désireuse de lui, parcourant son corps puis ses fesses en les malaxant avec fermeté.