Ce n'est un secret pour personne... [LIBRE]

J'entrai dans la cafétéria armée de mon sac à dos, qui contenait tous mes livres. J'avais assez de devoirs à faire, alors si je ne voulais pas y passer ma soirée et ma nuit, j'étais mieux de commencer maintenant. Je repérai un coin isolé, tranquille et désert, où j'allai m'installer pour étudier un peu. Je m'assis avec mes livres et mis mon baladeur dans mes oreilles pour écouter ma musique. Très honnêtement, les devoirs de mathématiques n'étaient vraiment pas mon fort. Et même que je détestais ça pour mourir.

J'aperçu alors le seul et unique Samuel Whissel. Mon pire ennemi, le meilleur baiseur de femme. Je le détestait à un point tel que ça frôlait presque l'amour. L'amour physique, on s'entend... Rien de plus que de l'amour physique. Le jour où je l'ai rencontré, ç'a été le pire jour de ma vie. Dès la première minute, j'étais déjà dans son lit, nue, attendant seulement qu'il me fasse monter au septième ciel. C'était atrocement bon, péniblement agréable. Un véritable cauchemar ambulant, ce Samuel !

Je détournai le regard, pensant qu'il ne m'avait pas aperçue. Je me mis à travailler un peu, puis sentis deux bras s'enrouler autour de mon cou, puis des lèvres qui me donnèrent un baiser terriblement charmeur sur la nuque. Il me chuchota à l'oreille « On fait ça chez toi où chez moi ? » Je me levai d'un seul bon, furax, du feu dans les yeux. Mais pas le genre de feu qu'on aime voir dans les yeux d'une femme...

« Qu'est-ce que tu veux ? T'en à pas assez de ce petit jeu là ? Tu trouves pas que t'en à assez fait ? Tu trouves pas que t'a assez gâché ma vie comme ça ? Vas-t'en Sam, laisse moi tranquille... »

J'entrais dans la cafétériat avec la décision d'en sortir avec au moins une fille. Mais lorsque j'entra dans la salle, je vis la belle Sherryl Adam. LA Sherryl Adam avec qui j'ai coucher. C'étais la première fille avec qui j'avais coucher à GA. Je suis certain qu'elle espèrait que je ne l'avait pas vu puisqu'elle détourna le regard au moment même où je posa les yeux sur elle. ''Ah ma belle, oublie ça, je t'ai déjà vu et tu es la première avec qui j'ai envie de coucher pour l'instant.'' Je m'approcha alors d'elle et tranquillement, posa un doux baiser sur sa nuque en lui murmurant huit petits mots qui la mit hors d'elle.

« Qu'est-ce que tu veux ? T'en à pas assez de ce petit jeu là ? Tu trouves pas que t'en à assez fait ? Tu trouves pas que t'a assez gâché ma vie comme ça ? Vas-t'en Sam, laisse moi tranquille... »

Oh oh... je l'avais déjà vu dans un état de colère, mais pas une telle frustration. Respire Sherryl, respire. Je lui souris et lui dit alors.

-C'est toi que je veux ma jolie. T'es la plus belle femme que j'ai rencontré, tu es telle une fleur durant l'été, le soleil de ma journée. Je t'en supplie, laisse moi une seule petite chance ma belle.

Je souris encore plus puisque je l'avais sortit il y avait quelques heures de cela à la belle Tamara. Mais bon, tant et aussi longtemps qu'elles ne se rencontraient pas, j'étais correct et personne ne serait blessé. Au fond, je détestais Sherryl mais je ne pouvais être conscient qu'une seule et unique fille de GA me résistait. Je me pencha et lui chuchota à l'oreille.

-Pour info, je la sort à toute les filles qui me résiste alors cesse de me résister et je te laisse tranquille ma belle.

Je me releva et lui fit un joli clin d'oeil, gettant sa mauvaise réaction.

Sentant que j'allais sortir quelque chose de pas trop gentil, je pris une grande respiration en fermant les yeux. Je me rappelai à quel point il m'avait eu facilement dans son lit. Mais évidemment, dans ce temps-là, j'étais jeune et insouciante. C'était un temps qui était maintenant révolu, puisque je n'aimais pas Samuel. En fait je l'aimais, mais juste physiquement. Il était beau, certes, mais disons qu'il y en avait certain qui étaient pas mal plus beau que... ça...

Je ramassai mes cartables sur la table avec mon sac à dos puis me mis en marche pour m'éloigner de lui, mais il me barra la route. J'arrêtai de bouger, certaine que j'allais péter les plombs. J'avais toujours mes cartables avec moi. Un petit coup sur le nez ne le dérangerait surement pas...

« Si t'es pas partis jusqu'à ce que j'ai compté jusqu'à 100 dans ma tête, t'es mort. Capitche ? »

Je ne pris même pas la peine de me mettre à compter et lui fourra le bord de mon cartable dans l'estomac. Je me surpris moi-même. C'était rare que j'utilisais mes bras pour autre chose que la natation, et ma force me surpris. Il eut le souffle coupé momentanément, mais me barra la route aussitôt.

« DÉGAGE ! »

Petite expression dite en français, comme François, mon entraineur, m'avait conseillé de le faire quand j'étais folle de rage.

Pour qui elle se prend celle-là? Elle croit vraiment me faire peur avec ces menaces ridicules? Franchement, cette fille est pathétique! Qui a-t-il de pire que de ce faire menacer par une pétasse devant tout le monde? RIEN!!! Rien n'est pire sauf arrêter de bander et d'arrêter d'aimer les filles. OU PIRE ENCORE, ARRÊTER D'ÊTRE AIMER PAR LES FILLES!!! Oh mon dieu je n'ose pas imaginer la torture que ce sera que ce cauchemar! Ou pire! Je pourrais arrêter d'être beau!!! OH NON!!! Je peux pas arrêter d'être beau, je serais toujours beau moi! Oh mon dieu, t'as vu comment elle te rends? Elle te rends fou mon coco! Tu pense que tu va réussir a me rendre mort? Jamais ma belle ;). Elle m'enfonça alors son cartable dans mon magnifique ventre. J'en ai eu le souffle coupé . Espèce d'agace, tu me cherche, tu vas me trouver salope! Je lui barra la route, elle ne sortira pas d'ici de si tôt.

-Espèce d'agace. Tu te crois forte hein? Mais t'es pas forte! Une fille qui couche avec son entraîneur et qui n'as jamais eu de mère auprès d'elle, ne peut pas être forte! Ta mère est une putain, pareille comme toi et tu le sais très bien ma chère.

Tout de suite après, je ''regrettais'' se que j'avais dit. Après tout, ce n'est pas de sa faute si son père l'a laisser tomber et que sa mère est une putain selon son père. Mais c'est de sa faute si elle couche avec son entraîneur, c'est elle qui décide après tout non? Ce n'était peut-être qu'une rumeur pour l'entraîneur, mais la mère , je savais que c'était vrai, c'était elle qui me l'avait dit. J'eût soudain une étrange sensation... Quelque chose qui fit vibrer mon corps. Je n'avais jamais ressentit ça... Enfin je crois. J'ai poser mes yeux dans les yeux de Sherryl et voulu lui envoyer un message, ''je suis désoler...'' . Je me rendis assez rapidement compte que ce que j'ai ressentis il y a un millième de seconde était l'émotion que je ne voulais pas, ma plus grande peur. L'amour... j'étais tomber en amour avec Sherry Adam... Oh non! Oublie mon grand, oublie! Mais je ne pouvais oublier se que je venais de dire et se que j'ai ressentit pas la suite. Moi et Sherryl, on s'est toujours détester, j'avais même entendu parler que l'amour était près de la haine, mais il y avait des limites entre les deux... Éh merde, laisse tomber ton orgueil, j'avais envie, une envie irrépréssible de l'embrasser et se que je fis. Je m'avança tranquillement, la pris par la taille d'une main et je déposa l'autre main sur sa joue. Je l'embrassa comme je n'avais jamais embrasser aucune fille, avec passion et amour...

Les paroles qui sortirent de la bouche de Sam me blessèrent profondément. Mon entraineur était la personne la plus importante dans ma vie, je l'adorais, mais ce qu'il me dit me blessa. Me déchira le coeur. Et ma mère... Ma mère avait eu ses raisons pour partir. J'étais persuadée qu'elle n'était pas une putain, et encore moins que j'étais comme elle. Je voulu seulement lui faire ravaler ses paroles, mais j'avais la gorge nouée par l'émotion. Je couchais peut-être avec tout le monde, mais au moins, moi je le faisais par amour, par pour la simple raison de chercher de l'attention de la part de tout le monde.

Mon cerveau stagnait dans une brume noire, aussi noire que de l'encre. La colère, la haine et la passion s'entremêlait dans ma tête. Je peinais à penser par moi-même. Je sentis seulement ses mains sur mon corps, puis ses lèvres contre les miennes. Un baiser passionné, amoureux, douloureux. Combien de fille étaient passées avant moi ? Il y avait les microbes de qui dans sa bouche ? Mais ce fut suffisament douloureux pour que je puisse avoir les idées à la bonne place. J'ouvris les yeux en mettant fin au baiser, déposa mes cartables sur la table et le regardai dans les yeux. J'avais l'impression qu'il sondait mon âme, comme j'avais l'impression de sonder la sienne.

J'enroulai mes bras autour de son cou, collant mon corps contre le sien. Il descendit ses mains jusqu'au creux de mes reins, puis je l'embrassai, lui rendant du même coup son baiser. Il remonta doucement mon chandail, laissant une petite brise m'effleurer le dos. Je frissonnai en souriant, puis me détachai et luifit un clin d'oeil coquin. La plupart des gens étaient en cours, donc nous étions seuls dans la cafétéria. Une petite partie de jambe en l'air, quoi de mieux ? J'allai vers mon sac puis sortit deux petits comprimés. Du speed. J'en tendis une a Sam et avala la mienne. Je lui enlevai son chandail, observant son corps.

Oh mon dieu mais qu'est-ce qui nous prenais? Qu'est-ce qui me prenais? Et là tout d'un coup, elle s'offrit complètement à moi. Je voyais la flamme dans ses yeux mais j'avais une vague impression de déjà vu... Une vague impression qu'elle ne le faisait pas parce qu'elle m'aimait mais bien parce qu'elle voulait avoir une petite partie de jambe en l'air... Pourquoi j'avais l'impression que mon propre jeux se retournais contre moi? Merde Sam' couche pas avec elle, tu n'es pas si... tu ne peux pas coucher avec elle! Pourquoi ma conscience m'empêchait d'avoir du sexe avec Sherryl? MERDE! Un gros combat s'engagea en dedans de moi. Et le combat doubla lorsque je pris la pillule de speed qu'elle m'offrait puisse que le speed doubla la tentation de la baiser. Mes sens doublèrent et j'eût vraiment de la misère à résister lorsqu'elle enleva mon chandail. Pourquoi je ne voulais pas coucher avec elle? J'avais l'estomac noué, le souffle court et l'impression que j'avais déjà vu ou rêver à tout ça... Je continuais à l'embrasser passionnément et pourtant je n'étais pas capable... Mais je pourrais pas lui dire puisse que... Oh aller dit lui! Mais plus je l'embrassais, plus je la serrais fort contre moi, sentant mon entre-jambe s'excité tranquillement.

-Je... je continuais à l'embrasser, fronçant les sourçils. Je peux... Merde le speed doublait vraiment mes sens, les triplais, les quadruplais même! J'étais... Je peux pas Sherryl...

Oh mon dieu, mon souffle était presqu'absent tellement j'avais envie d'elle, mais pour une raison ou pour une autre, j'étais incapable de coucher avec elle... Incapable! Je continuais malgré se que je venais de dire, à l'embrasser fougueusement, je l'a voulais trop, mon corps me disait quelque chose, ma tête en disais une autre, j'étais incapable de choisir lequel était important. Sherryl le savait, toute les filles le savaient, je n'avais jamais été capable de dire non pour coucher avec une fille puisse que j'aimais trop sa. Je n'ai jamais rien dit de tel, jamais dit non, jamais dit que je ne pouvais pas. Alors qu'est-ce qui se passait? Pourquoi je ne pouvais pas coucher avec elle? MERDE qu'est-ce qui m'arrivais?

Malgré le fait que Samuel m'avait dit qu'il ne pouvait pas coucher avec moi, je continuai. La sensation, doublée par le speed, était tout simplement géniale. Je n'avais jamais touché à de la drogue, mais maintenant que je savais ce que cette petite pilule pouvait faire à mon cerveau, j'avais presque envie de me faire la promesse de ne jamais coucher avec quelqu'un sans speed. Puis, au lieu de faire celle qui en avait super envie, je deviens passive et le laissai faire. Voyant que je ne le forçais à rien, il sembla changer soudainement d'avis. Il m'attrapa par les cuisses et m'attira contre lui avant d'aller me déposer sur une table. Il continuait toujours à m'embrasser aussi furieusement, passionnément qu'au début, mais je ressentais son hésitation. Pourquoi il était aussi mal ? Il se détacha de moi un moment puis s'éloigna à grande enjambées. Il fit le même manège plusieurs fois ; il s'éloigna, puis revint vers moi et m'embrassa, puis revient, et repartis. Il remit son chandail, ramassa ses choses et se dirigea vers la sortie. Je me levai précipitamment et le rattrapai.

« Hey toi ! Tu penses quand même pas me faire un coup comme ça ? Môssieurs se croit tout permis parce qu'il a vu les vagin de presque toute les filles du lycée ? Wow. T'es vraiment toute une lumière ! Tu préfères une médaille ou un os à chien ? Ah, mais j'oubliais... On donne rien à des moins que rien. »

Je me retournai, pris mes cartables et sortit de la cafétéria, frustrée et troublée. Pour qui se prenait-il ? J'étais certaine que tout ce qu'il m'avait dit, il l'avait déjà dit aux autres filles qui était passée sur son corps. Sérieusement, pourquoi, à chaque fois, j'embarquais dans ses conneries ? J'étais bête à ce point ?

Bon bon, merdique... Mais bon, a 20h, heure de l'hôpital... Disons que c'est pas le meilleur endroit xD

« Hey toi ! Tu penses quand même pas me faire un coup comme ça ? Môssieurs se croit tout permis parce qu'il a vu les vagin de presque toute les filles du lycée ? Wow. T'es vraiment toute une lumière ! Tu préfères une médaille ou un os à chien ? Ah, mais j'oubliais... On donne rien à des moins que rien. »

Oh non ma belle, tu t'en fileras pas comme sa! Je vais t'apprendre moi comment parler au gens! Je la pris par le bras et l'empêcha de partir.

-Tu te crois où là? Tu crois pouvoir partir en m'insultant comme ça? Oh non!

Je l'amena alors sur la table où on était avant de se disputer et l'obligea à s'asseoir. Je recommençais à l'embrasser mais cette fois, elle n'était plus consentente, et je le sentais très bien. Elle commençait à se débattre, me suppliant de la lacher et de la laisser partir. Mais ô petite pucelle, tu ne t'en sortiras pas comme ça. Je lui tenais les bras, elle se débatait. Elle me disait le la laisser tranquille, qu'elle ne voulait plus et blablablabla.

-C'est se qui t'arrive lorsque tu provoque une personne!

Je lui tenais les bras d'une seule main, les serrant assez fort pour qu'elle gémisse de douleur. Et de plus en plus, ça m'exitait. Elle tournait sa tête pour éviter que je l'embrasse, mais je me sentais énormément plus fort à cause du speed. De l'autre main, je me suis mis à lui enlever son chandail, voyant les larmes commençer à remplir les yeux de la pauvre Sherryl. Tant pis pour toi ma belle, on ne provoque pas une personne de la sorte. Son chandail retiré, je me suis mis à lui descendre sauvagement son pantalon. J'étais de plus en plus bandé, de plus en plus exité. J'adorais la voir se débattre pour essayer d'échapper a Samuel Whissel. Je lui déchirais sa petite culotte, puis, d'un coup de bassin puissant, fit pénétré mon membre en elle. Sherryl Adam se débattait, pleurait à chaude larme et sa m'exitait, j'adorais. Elle était à moi, soumise.

Sujet: Re: Ce n'est un secret pour personne... [LIBRE]

» Un lien entre nous, une page pour le décrire, un rp pour le vivre ~
» Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour le RP.
» Keep it secret (Samuel)
» Une panne au mauvais moment avec la mauvaise personne [Judith]
» Personne ne sait jamais comment se terminera la soirée [ Pv : Justin ]

Ce n'est un secret pour personne... [LIBRE]

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