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Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan

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MessageSujet: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptySam 17 Sep - 2:05

JONATHAN & AMY
« Ne viens pas gâcher ma soirée ! »

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    Vendredi soir, New-York, aux alentours d’une heure du matin. A cette heure –ci, les gentilles petites filles ont fermé leurs paupières, se sont glissés dans leur pyjama en coton, sous leurs édredons roses, et se sont laissés séduire par la douceur de Morphée, ce dieu grec qui nous emporte chaque nuit vers de lointaines contrées… Elles rêveront sans doute à leurs amoureux, à leurs amis, à des glaces au chocolat, ou bien à des licornes. Ce sont les gentilles petites filles. Mais moi, je ne suis plus une petite fille depuis longtemps. Gentille, ça reste à prouver… Bon, non, d’accord, je le reconnais, je le suis. C’est l’un des multiples aspects de ma personnalité. Douce. Gentille. Souriante. Taquine. Charmeuse. Mais ce soir, l’Amy que je vais dévoiler au monde, c’est la fêtarde. J’étais sortie de la douche les cheveux humides, ma longue et voluptueuse chevelure plaquée le long de mes épaules et jusque dans mon dos par l’eau, une serviette enroulée autour de la taille… Ouvrant mon armoire, j’avais hésité un moment quant au choix de ma tenue, et avait fini par opter pour un ensemble Victoria’s Secret composé d’un soutien-gorge noir sans bretelle, avec un tanga assortit et je laissai tomber les bas ou les collants : ce soir, j’irai jambes nues, quitte à avoir froid ! Une fois mes cheveux séchés, je m’installai devant ma coiffeuse, afin de me maquiller légèrement… Il faut dire que j’étais le genre de jeune femme à attirer l’œil masculin sans avoir besoin de trop d’efforts… Un coup de blush, un rouge à lèvre éclatant, afin de faire ressortir mes lèvres pulpeuses, un trait de crayon pour souligner mes grands yeux bleus, une touche de mascara pour donner plus d’impact à mon regard, et le tour était joué… J’enfilai ma robe verte, qui était l’une de mes préférées soit-dit en passant. Elle était courte, certes, et peut-être un peu trop décolleté (c’est surtout qu’elle faisait considérablement ressortir mes seins !), mais elle était absolument superbe, et ce, surtout sur moi ! Je fouinais dans mon armoire, à genoux sur le sol, à la recherche de ma paire de Louboutin assortit à la robe…Je commençai à désespérer, lorsque je l’aperçu enfin, dans un endroit totalement incongru : le haut de ma commode… Bon, je tenterai de me rappeler pourquoi elles étaient là-haut plus tard, pour le moment, il fallait que je finisse de me préparer ! Ce n’était pas que sinon j’allais arriver en retard car, sortant seule, je n’avais pas d’heure précise ou de lieu de rendez-vous exact, bien que j’avais entendu à de nombreuses reprises parler d’une boîte de nuit dans le Queens, qui m’avait l’air plutôt bien…
    Une fois mes cheveux coiffés, les dernières retouches apposées à ma tenue (comme par exemple un bracelet en argent, un cadeau de Jonathan que je n’avais jamais pu me résoudre à jeter, et qui était le seul accessoire que j’ajoutai à ma tenue, en plus d’une pochette afin d’y glisser mes clefs, mon spray au poivre –depuis ma tentative d’agression avortée grâce à l’aide du chevaleresque Jake, ce spray ne quittait plus mon sac ! – mon BlackBerry et mon portefeuille –rien que le nécessaire donc !), je me jetais un coup d’œil dans le grand miroir de l’entrée… Oui, j’étais fin prête à aller enflammer la piste de danse !
    Une fois dans la rue, je hélais un taxi dès l’instant où je posais le pied hors de l’immeuble : c’est ça l’avantage de vivre à New-York : où que vous soyez, il y aura toujours un taxi à portée de main, peu importe l’heure ! Je m’engouffrais dans le taxi, et lui donna l’adresse de la boîte de nuit dans le Queens. Le chauffeur était visiblement un connaisseur et nous discutâmes boîtes tout le long du trajet : il me déposa devant la boîte, et me dit d’indiquer au barman que j’étais une de ses amies, histoire de pouvoir boire à l’œil… Je le remerciai d’un clin d’œil et d’un sourire, et entra dans la boîte. L’entrée des boîte de nuit est toujours lieu à de nombreux sujets de désaccords : par exemple, il y a les gens qui font la queue pendant trois heures pour entrer, et il y a les filles comme moi, celles à qui le videur fait signe d’avancer avant même qu’elles aient mis un pied dans la file d’attente. C’est ça être une fille canon ! (quoi, vous trouvez que je me vente ? Détrompez-vous ! Souvent, je suis la première gênée par cette attitude !).
    Cette fois encore ne manqua pas, et je pénétrais dans la boîte de nuit surbookée, le sourire aux lèvres. Je déposais mon sac au vestiaire, tandis qu’on apposait un tampon en forme d’étoile sur l’intérieur de mon poignet, et gagna rapidement le dancefloor. Une chanson que j’affectionnais tout particulièrement commençait pile à ce moment-là, et je me mis à me déhancher en rythme… Je dansais seule, je dansais avec tout le monde… Les corps se pressaient les uns contre les autres, et l’ambiance était électrique… Rapidement, je fus entraînée par je ne saurais vous dire trop qui, et me retrouva à danser sous les spots, debout sur une table, avec trois autres filles à mes côtés… La soirée pouvait commencer !
    Mais alors que la musique se faisait plus lancinante, et que mes mouvements de bassins suivaient, devenant plus sensuels, je balayais la foule du regard et… mon cœur cessa de battre. J’arrêtais de danser, ce qui eut pour effet de déclencher quelques grognements dans l’assistance. Mon regard était fixé sur une personne, à l’autre bout de la salle, accoudé au bar. Il me semblait que cette personne me fixait, regardait tout du moins dans ma direction, mais je n’en aurais pas mis ma main à couper… Je descendis de la table d’un bond (du moins, autant qu’on peut sauter avec des talons de dix centimètres !), et fendis la foule, sourde aux sourires et aux tentatives de m’entraîner pour une autre danse qu’on me prodiguait… Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. Lorsque j’arrivai au bar, il avait détourné la tête. Il ne semblait pas être seul… Pourquoi est-ce que soudain, j’avais aussi chaud ? Je fis un pas en avant, tremblante sur mes jambes et…

    « Un Sex on the beach s’il vous plait ! »

    Je m’étais dégonflée ! M’avançant à la place jusqu’au comptoir, juste à côté de lui cependant, je commandais mon cocktail favori au barman… Je n’osai même pas tourner la tête… Dans ma poitrine, mon cœur semblait sur le point d’exploser.



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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptySam 17 Sep - 13:39

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Je ne pouvais détacher mon regard d'elle, de ses longues jambes nues bougeant gracieusement, sa robe verte, que j''avais tant aimé la voir la porter autant que de lui enlever, mettait en valeur ses formes généreuses de jeune femme, de très belle femmes. Ses long cheveux blond avait l'air d'être vivant, bougeant comme des rayons de soleil. La lumière vive des spots l'embellissais encore plus, alors qu'elle enlaidissait les autres filles dansant avec elle. Comment toujours, Amy ne faisait jamais les choses a moitié. Il fallait qu'elle se donne a fond dans tout ce qu'elle fait. Elle occultait toutes autres présences féminines. Je n'y croyais pas mes yeux. Pourtant, je savais très bien qu'elle était ici, dans la grande pomme, dans mon université même, nos retrouvailles houleuse sur le parking de GA me revinrent en tête, serrant mon coeur et coupant tout autre envie que de rester là à la regarde danser. Lorsqu'elle regarda la foule, nos regards se croisèrent quelques secondes et je fus subjugué de voir que lorsqu'elle me regardait, rien n'avait changée dans son regard. Accoudé au bar, mon verre dans l'autre main, je remercie brièvement le puissant d'avoir fait en sorte que Kim ne vienne pas avec moi ce soir. Elle s'arrêta net et je su que c'était a cause de moi, de mon regard, la fixant trop longuement pour ne pas paraitre suspect à ses yeux. Elle sauta d'un petit saut d'ange, faisant bouger ses cheveux qui rendait la comparaison encore plus vrai et elle se dirigea vers moi, tout en fendant la foule pour se frayer un passage directement vers moi. Je soupirais, je ne voulais pas m'engueuler avec elle comme la derrière fois, même si au fond de moi,j'avais toujours aussi mal, toujours autant de colère pour ce qu'elle m'avait fait, nous avez fait. Lorsqu'elle arriva au bar, j'avais tourner la tête, regardant … m'obligeant a regarder devant moi et non pas elle. La revoir ce soir était presque aussi choquant, douloureux que de l'avoir revus, la bas, sur le parking de GA. D'autant, que Amy vivre a New York ? C'était impossible, elle aimait bien trop LA, le soleil, les gens, la vie là-bas pour tout quitter. Pour moi, cela dépassait l'entendement mais dans ma tête, je ne pouvais m'empêcher de penser que j'étais ceux qui l'avait faire venir ici. Il n'y avait pas d'autre explication. Je luttais de tout mes forces pour ne pas la regarder. Pourtant je la sentais toute proche dans chaque fibre de mon corps. Mon coeur battait la chamade, j'avais de plus en plus chaud dans l'espace confinait de la boite. Elle se rapprochait encore, je le savais. Allait t-elle me parler ?

- Un Sex on the beach s’il vous plait ! Demanda t-elle au barman de sa voix mélodieuse qui m'enchanter tant, même quand elle me réveiller beaucoup trop tôt le matin, pour qu'elle puisse s'éclipser de ma chambre, à l'insu de mes parents qui n'était pourtant pas nés de la dernière pluie et qui savaient très bien qu'elle passait pas mal de nuit avec moi.

Lorsque j'entendis sa commande, j'en aurais presque ris. Son cockail préféré, elle était toujours rester la même. Je me souviens avoir appris avec un ami barman comment faire un Sex on the beach parfait rien que pour que je suis puisse lui en faire dès qu'elle en avait envie et la rendre heureuse. Tout cela me semblait si lointain comme si ma départ, sa vengeance et la haine avait commencer a consumer tout les part d'elle qui était en moi, pour toujours. Je fermais les yeux quelque seconde et un flot de souvenir me serra le coeur, me fit mal au point d'avoir presque envie de vomir, envie de ne plus rien ressentir du tout. Je respirais calmement, je ne pouvais pas l'ignorer, ne pas lui parler, quitte même a me faire jetter. Mais malgré tout, je tenais encore beaucoup trop a elle. J'avais faillis lui demander sa mains bordel ! Pourquoi je ne pouvais simplement pas la laissé partir de ma vie, de mon coeur ? Elle m'avait fait du mal, un mal qui jamais ne s'effacerait. Je resterais a jamais méfiante dans mes histoire de coeur, par sa faute. Je voulais tout lui donner, je l'aimais comme un fou et j'aurais tout fais, vraiment tout fait pour elle, pour qu'elle et moi cela soit pour toujours mais non, il avait fallu que son impulsivité aussi rare soit telle détruise tout en un clin d'oeil.

- Je vois que tu ne change pas tes bonnes habitudes, dis-je en essayant d'avoir l'air calme, normal. C'est bon de le savoir ! Tu est très belle ce soir Am' … Soufflais-je doucement complètement perdu. Apparemment tu t'amuse bien ce soir et tu entraine tout le monde avec toi, comme toujours.

C'était plus fort que moi, plus que tout autre sentiments, émotions que je pouvais ressentir. Je me tournais vers elle avec tout mon courage et la regardant sans détour. Elle, me regardait, semblant voir un fantôme, mi-effrayé mi-soulagée. Je ne disais plus rien, rester silencieux, juste avec mon regard vrillé dans le siens, qui je savais déchiffrer à la perfection en un clin d'oeil.


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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptySam 17 Sep - 15:22

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    Pourquoi fallait-il qu’il soit là ce soir ? Pourquoi, alors que j’allais pouvoir passer une soirée sans penser à lui, fallait-il qu’il se trouve dans cette boîte ? New-York regorgeait de boîtes de nuit ! Il fallait qu’il ait choisit celle-ci… Bien sûr qu’il l’avait fallu ! Ça n’aurait pas été drôle sinon ! Je sentais son regard posé sur moi, et mon cœur eu un raté, et ma gorge se serra. Il ne l’aurait peut-être pas fallu, mais je sautais de la table, traversant la foule pour le retrouver. Ma raison me hurlait de partir, mais les battements de mon cœur m’empêchait d’entendre ce qu’elle avait à me dire. De toute façon, depuis quand j’écoutais ma raison quand il s’agissait de Jonathan ?
    J’arrivai près du bar, et je le vis, de dos… J’humidifiais mes lèvres, nerveuse, alors que je me mettais à tourner le bracelet en argent qu’il m’avait offert autour de mon poignet, dans un geste gêné… Je pris une courte inspiration et… commanda un cocktail. Faire comme si je ne l’avais pas vu, vraiment ? Mais qu’est-ce qu’il t’arrivait ma petite Amy ? Je pianotais du bout des doigts sur le comptoir en bois laqué, déglutissant, ne parvenant pas à trouver la force de tourner la tête, afin de contempler Jonathan… J’étais à la fois heureuse et malheureuse de le voir… « Je vois que tu ne changes pas tes bonnes habitudes. » Sa voix me fit l’effet d’une claque, et je m’agrippai de toutes mes forces au comptoir, pour ne pas que mes genoux flanchent… J’inspirai discrètement, et tourna doucement la tête vers lui… Lorsque nos regards se croisèrent, j’eus soudain très chaud… « C’est bon de le savoir ! » Etais-ce un reproche ? Me dire que je ne changeai pas et que c’était bon à savoir, était-ce une façon de me dire : tu es restée la même, alors je vais me méfier de toi ? Oui, vous l’aurez compris, quand il s’agissait de Jonathan, je pensais toujours au pire en premier… Sans doute parce qu’il me détestait (ce qui entre nous me tuait, même si j’essayais de ne pas le montrer…) « Tu es très belle ce soir Am’… » Sa voix s’était fait plus douce, et je sentis mes yeux me picoter… Je rougis, et détournai le regard. Rares étaient les hommes qui parvenaient à me faire rougir, surtout ainsi, mais Jonathan était l’un d’eux… Voire peut-être même le seul…

    « Je euh… Merci.. » soufflai-je, gênée comme pas deux…

    Je tournai de nouveau la tête vers lui, me donnant mentalement une claque afin de me réveiller, et lui sourit.

    « Tu n’es pas mal non plus ce soir ! »

    Je tentai un sourire charmeur, mais je dois bien avouer que je n’étais pas certaine du résultat… J’en avais les mains tremblantes… Le barman déposa ma commande sur le comptoir, et je le remerciai d’un sourire, le bénissant pour cette interruption plus que bienvenue ! « Apparemment tu t’amuses bien ce soir, et tu entraînes tout le monde avec toi, comme toujours. » Comment rester de marbre face à son regard de braise ? Des souvenirs affluaient des confins de ma mémoire, et je me mis à sourire, avec nostalgie… Ces souvenirs étaient heureux, jusqu’à ce que je revois LA scène… Celle de ce fameux soir où, blessée dans mon orgueil, persuadée qu’il ne voulait plus de moi, meurtrie et ivre, j’avais couché avec un autre… Je revis son visage en colère, et devint subitement très pâle… Saisissant mon cocktail, j’en bû une gorgée… La vodka me brûlait la gorge, mais cependant ne faisait pas disparaître le goût amer que j’avais dans la bouche… Des années après, je me donnais encore envie de vomir lorsque je repensais à ça… Si Jonathan savait… S’il avait compris à quel point je m’en voulais, s’il m’avait vu durant les six mois qui avaient suivis notre rupture, amaigrie, pâle, fantomatique, luttant pour survivre, mais avec cette envie de mourir pourtant présente chaque jour… Est-ce qu’il serait revenu sur sa décision ? Est-ce qu’il aurait tenté de me sauver s’il s’était rendu compte de l’enfer dans lequel j’étais tombée, aux prises avec l’alcool et la drogue, les soirées « hard » que j’enchaînais, tout comme j’enchaînais les verres ? Est-ce qu’il m’aurait… pardonné ?

    « J’ai toujours aimé faire la fête, et je ne fais pas dans la demi-mesure, j’imagine que tu t’en souviens… »

    Chaque mot que je prononçai m’arrachait la bouche. Je posai mon regard sur son visage, et mes yeux se portaient automatiquement sur les contours de celui-ci… J’aurais pu le dessiner les yeux fermés… Ses yeux, que j’avais toujours trouvés si envoutants… Ses lèvres… Lorsque mon regard se posa sur ses lèvres, je fus prise d’une irrésistible envie de lui sauter dessus et de l’embrasser… J’avais l’impression que ma tête et mon cœur étaient sur le point d’exploser… Plus je le détaillais, plus je le trouvais beau, et plus je souffrais… De l’avoir perdu. D’avoir tout fichu en l’air… Je tentai de détourner le regard, afin qu’il ne me voit pas en train de le fixer, avec cet air perdu au fond de mes yeux bleus, et vit qu’il avait une sorte de poussière sur l’épaule.

    « Tu as… un truc… »

    Je tendis la main afin de lui ôter, au moment même où il levait la sienne, afin de faire de même… Nos doigts entrèrent en contact, et je devins livide, et retira vivement ma main comme si j’avais été mordue par un serpent… Ma respiration s’était soudain fait plus saccadée, et je détournai le regard, la lèvre tremblante… Je sentais que mon corps était en feu, et ce contact n’avait rien arrangé… Loin de là !

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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptySam 24 Sep - 13:59

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- Je euh… Merci.. Souffla t-elle gênée par mon compliments puise elle tourna la tête vers moi. Tu n’es pas mal non plus ce soir !

Je lui souris faiblement, plus gêné que flatté par son compliment. Je dois dire que moi non plus je n'étais pas au mieux de ma forme, je me sentais vraiment bizarre alors que c'est moi qui avait entamé la conversation, ce que j'en venais a regretté maintenant,s entant bien, que d'une manière ou d'un autre, cela se finirai mal, encore une fois. Mais je voulais pas qu'elle sorte de ma vie, de cela j'en étais certain, pour le reste, c'était le noir complet depuis que j'avais posé les yeux sur elle ce soir. J'avoue que je ne savais pas trop comment agir, comment parler en sa présence. A chaque fois que je posais mes yeux, deux images bien différentes me revenait en tête. La première, je me revoyais heureux, m'exerçant comme un idiot devant ma glace pour perfectionné ma demande en mariage, lorgnant sur l'écrin qui refermer la bague, poser devant moi. J'étais heureux, au paradis, comblé et puis l'autre image arrivé, je revoyais Amy, dans son lit, son corps parfait a peine voilé par les draps, un de mes amis dormant encore a ses cotés. Je savais que j'aurais du les oublis, les chassée de mon esprit mais je ne peux tout simplement pas, je voulais tout a tout pris l'oublié, être libérée des souvenirs qui me tenait en éveille, accroché a elle alors que je ne le voulais pas depuis qu'elle m'avait du mal, beaucoup de mal et encore aujourd'hui, je n'étais pas guérit des blessures qu'elle avait volontairement ou non faite a mon cœur. J'avais vraiment du mal a la regarder. Le barman lui apporta sa commande et je fus distrais. Je lui fit remarqué qu'elle n'avait pas changée, qui lorsqu'elle s'amusait elle entrainait tout le monde avec elle tant ses émotions était communicatrices. A l'époque, je me rappelle bien d'avoir était heureux en sachant qu'elle allait bien, être tristes quand quelque chose lui faisait de la peine. Elle dictait sans le vouloir mes émotions et c'était pareil pour tout les gens qu'elle croisait, j'en étais certain.

- J’ai toujours aimé faire la fête, et je ne fais pas dans la demi-mesure, j’imagine que tu t’en souviens… Souffla t-elle en réponse a ma constatation. Dans sa voix, je sentais des tonnes d'émotions et cela me serrait le cœur alors que normalement cela n'aurai pas du.

Je ne pouvais pas la regarder, je ne savais pas vraiment pourquoi mais la regardais j'en étais incapable, pas maintenant en tous cas. Je me contentais de regarder devant moi, la salle, mon verre, tout autre chose a part elle. Je détestais cette soirée ! Elle avait pourtant bien commencé mais il avait fallu que je rentre Amy pour que toute gaité, allégresse retournent au placard. Je savais que rester a parler avec elle était une mauvaise idée, une très mauvaise idée mais je n'avais pas la force de partir loin d'elle, ni la force de rien faire d'ailleurs. Je ne pouvais que rester assis au bar, mon verre a la main, mon ex petit amie à coté de moi. Je redoutais la fin de la soirée, Amy et moi nous engueulant encore, comme la dernière fois. Je ne voulais pas revivre çà, jamais de la vie mais je sentais que cela allait arrivé. Il y avait trop de chose mauvaises entre Amy et moi et cela ne pouvais rien donner de bon. J'hochais la tête en entendant ses mots. Oui, elle avait toujours su s'amuser et lorsqu'elle le faisait elle le faisait a fond, sans hésité.

- Oui je sais, tu as toujours su organiser des fêtes, les animer, les diriger, tu est douée, lui dis-je en repensant au nombre de fois ou j'avais du l'aider acheter tout ce dont elle avait besoin pour sa fête, Je soupirais, y repensée ne changerais rien, reprend toi John ! D'ailleurs, je suis vraiment surpris que tu sois venue ici, Après tout, L.A , c'est ta ville, tu aime tellement notre ville, je comprend pas pourquoi tu est venue te perdre ici Am' .. M'exclamais-je, sincère. New York, c'est pas pour toi, crois-moi !

C'était vraiment dur de rester la sans rien faire, alors que je me sentais vraiment mal, très mal. Je me tournais finalement vers elle et l'observait avec de rapide coup d'oeil, histoire de pas me faire prendre. Elle semblait la même mais pourtant je savais, je me doutais qu'elle devait surement avoir changée d'un manière ou d'une autre. Moi j'avais changée deux fois dans ma vie,et à chaque fois grâce a elle, a ce qu'elle représentait pour moi. Au début, avec Amy, rien ne comptait plus pour moi que ma carrière et mes potes. J'étais un vrai con avec les filles et même avec ma famille. J'étais impulsif, parfois sans raison, j'étais un vrai salop. Puis, Amy est arrivée dans ma vie et là, paf, je voulais tout faire pour être digne d'elle, digne de son amour et de me tenir a ses cotés. Bien sur j'avais toujours une forte personnalité, assez bagarreuse mais elle m'apaisait, m'a appris a aimer pour aimer, pas pour le sexe, ni pour faire comme tout le monde et se foutre de la personne. Puis, j'avais rechangée quand tour c'est détraqué entre elle et moi, je ne croyais même plus en l'amour, je le laissais plus personne atteindre mon coeur qui se remettait de ses blessures. Je lui avais donner la chose la plus précieuse au monde, mon coeur et elle a tout gâché pour se venger de moi, pour se venger que je parte pour New York. Je la regardais, le visage insondable, oui elle m'avait plus de mal que je ne le disait a tout le monde.

- Tu as… un truc… M'appris t-elle en tendant la mains vers mon épaule en même temps que moi.

Nos doigts se touchèrent furtivement, avant qu'elle ne retire sa main, livide, vraiment a mal a l'aise. J'en restais surpris, la main en l'air, la regard vers elle. Elle, elle fuyait mon regard, elle qui le cherchait si souvent avant. Même en cours, je la voyais se retournait, me regardait avec un sourire magnifique … Des souvenirs, c'était tout ce qu'il me restait d'elle, ce qui restait de nous. Je la regarde, ne sachant quoi dire, quoi faire. Je respirais difficilement, cherchant mon air et mes mots.

- Merci … Soufflais-je en regardant mon verre. Comment vont tes parents ? Je suis sur qu'ils sont très tristes de voir qui a quitter le nid, la ville. Tu as croisais mes parents quelque fois ? Cela fait un moment que je ne l'est aient pas vu, leur parler par téléphone, c'est bien mais les voir c'est mieux !


HJ : tadammmm ! Cool ! J'espère qu'elle te plaira ! l
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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptyLun 26 Sep - 3:04

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    Je sentis ma gorge s’assécher, et je déglutis ave difficulté… Mon cœur battait dans ma poitrine, me faisant presque mal et… soudainement, je regrettais, amèrement, d’être ici. Ici, au bar, dans ce club, dans ce quartier, dans cette ville, dans cet état. Je n’étais venue à New-York que pour une raison, une seule et simple raison : récupérer Jonathan. Mais chaque fois que nous nous étions trouvés l’un en face de l’autre… Et bien disons que ça ne s’était pas passé comme je l’avais espéré. Bien sûr, je ne m’étais jamais fait d’illusion : je savais bien qu’il ne me suffirait pas d’un sourire ou d’un « coucou Jonathan, ça fait un bail » pour qu’il me retombe dans les bras. Mais… Cette engueulade sur le parking… Et puis mon attitude maintenant dans le bar… Je me serai mise des claques ! Pourquoi est-ce que je flippais autant ?
    Le barman déposa ma commande devant moi, et je m’en emparais, en buvant une longue gorgée, les mains légèrement tremblantes. Si seulement les pulsations de mon cœur voulaient bien se calmer un peu ! « Oui je sais, tu as toujours su organiser des fêtes, les animer, les diriger, tu es douée. » Un petit sourire triste vint flotter sur mes lèvres l’espace d’une seconde, et je tournai la tête vers le jeune homme, tandis qu’un voile nostalgique passait devant mon regard.

    « T… »

    Mais je refermai la bouche aussitôt ouverte. « Tu te souviens la fois où… », voilà ce que j’allais dire. Mais l’émotion m’empêcha de dire un mot de plus, enserrant ma gorge, et je tournai la tête une fois encore, inspirant profondément, buvant une gorgée supplémentaire de mon cocktail. « D’ailleurs, je suis vraiment surpris que tu sois venue ici, après tout, L.A., c’est ta ville, tu aimes tellement notre ville, je comprends pas pourquoi tu es venue te perdre ici Am’ » Il… ne comprenait pas… J’avais envie de le saisir par le col, de le secouer, et de hurler, hurler, hurler que j’étais là pour lui, parce que je crevais d’amour chaque jour un peu plus pour lui, parce que j’étais incapable de vivre loin de lui, parce que j’avais besoin de lui, parce que je l’aime, je l’aime… Je l’aime... Mais les mots qui sortirent de ma bouche furent tout autre.

    « Jusqu’à preuve du contraire, L.A n’est pas seulement MA ville, c’est aussi censé être la tienne. »

    Ô je me serai giflée ! Pourquoi, grand dieu pourquoi avait-il fallu que je dise ça ? « New York c’est pas pour toi, crois-moi ! » Je serai le poing autour de mon verre. Pourquoi disait-il cela ? Pourquoi est-ce qu’il me disait ça ainsi ? Est-ce qu’il essayait de me dire que je n’avais rien à faire ici, que je ferai mieux de repartir, car de toute façon, je perdais mon temps ?

    « Depuis quand ça t’intéresse ce qui est pour moi ou pas ? »

    Pitié, dîtes moi que je n’ai pas dit ça… Pourquoi fallait-il que je me braque ainsi ? Je venais ici pour le récupérer, et j’avais l’impression de tout faire de travers ! Une femme blessé, c’est si contradictoire…

    « J’ai le droit d’aller où je veux tout de même… » repris-je sur une note plus neutre.

    Je ne voulais pas m’embrouiller avec lui. Pas une nouvelle fois. Je voulais… Je voulais l’embrasser. Ça allait tourner au maladif à ce rythme-là ! Plus je le regardai, plus je me détestais. Oui, vous avez bien compris : « détester ». D’avoir tout fichu par terre. C’était ma faute si je ne pouvais pas l’embrasser à l’heure actuelle. C’était ma faute si je n’étais plus avec lui. C’était ma faute si je me faisais du mal en venant ici pour tenter de le récupérer. C’était ma faute… ma faute !
    Mais c’était aussi la sienne ! Pourquoi avait-il fallu qu’il parte à New-York ? Qu’il m’abandonne ? Pourquoi avait-il eu besoin de partir à l’autre bout du pays, aussi loin de moi ? S’il avait été prêt à partir, sans regrets, c’est sans doute que je ne comptais pas tant que ça à ses yeux… N’est-ce pas ? Le regard fixé sur mon verre, je ne sentais même pas les coups d’œil que me portait le jeune homme. Je pensais. Ressassait mes souvenirs. Me torturait mentalement (exercice auquel je me livrais assez régulièrement je dois bien l’avouer…)… Je finis cependant par me tourner vers le jeune homme, et mon cœur chavira lorsque nos regards se croisèrent.
    Parfois, lorsque j’étais seule dans ma chambre, après avoir pleuré, je me regardai dans le miroir, et je me disais : « arrête Amy. C’est fini. Il faut t’y résoudre. Il ne veut pas de toi. Il ne veut plus de toi. Laisse-tomber, et sois heureuse. » Et parfois, l’espace de quelques instants (une fois, ça avait même duré quelques jours !), ça fonctionnais. Je réussissais à me convaincre que je ne l’aimais plus, et que j’étais capable de tourner la page. Mais là, lorsque nos regards se rencontrèrent et que je sentis mon cœur bondir dans ma poitrine, je su. Que quoique je puisse dire, la vérité était bien simple : j’étais toujours amoureuse de lui.
    Je tentais de focaliser mon esprit sur autre chose et remarqua qu’il avait un truc sur l’épaule. Alors que je tendais la main pour le lui ôter, nos doigts se touchèrent, ce contact électrisant tout mon être, faisant bondir mon cœur dans ma poitrine. « Merci… Comment vont tes parents ? » Je tournai la tête vers lui, un air sincèrement surpris sur le visage. Il… me demandait des nouvelles de mes parents ? Je me mordis la lèvre, luttant pour ne pas répondre « on s’en fout de mes parents, je ne suis pas là pour parler d’eux, je suis là pour toi ! » « Je suis sûr qu’il sont très tristes de vori qui a quitter le nid, la ville. » Je haussai les épaules.

    « Tu connais mes parents… Ils sont obnibulés par leur travail. Bien sûr, mam… ma mère a été triste, mais c’est surtout Nanny qui a pleuré… »

    Je baissai les yeux, le regard humide au souvenir de « Nanny ». Elle était la personne que je considérais le plus comme une mère (parfois même plus que celle qui m’avait donné la vie, bien que celle-ci ai été plus présente pour moi que la plupart des mères de mes petits camarades). Bien des gens étaient surpris de l’amour que je portais à Nanny, et de l’amour que j’avais porté à sa fille, disparue bien trop tôt, emportée par la maladie… Souvent en me voyant, et en sachant qui j’étais, les gens s’attendaient à trouver une abominable peste qui prenait les gens de haut, se croyait tout permit… Vous voyez le tableau j’imagine ! Eh bien pourtant, c’était justement tout le contraire. « Tu as croisais mes parents quelques fois ? Cela fait un moment que je ne les aient pas vu, leur parler par téléphone, c’est bien mais les voir c’est mieux ! » Je me mis à me tordre nerveusement les mains, sans même m’en rendre compte.

    « Mes parents ont organisés une Garden Party peut avant mon départ, et tes parents sont venus… C’est la dernière fois que je les ai vu… Ils étaient en forme… Tu leur manque beaucoup… »

    Je lui lançai un regard, et j’aurais juré qu’on pouvait y lire ce à quoi je pensais : « Il n’y a pas qu’à eux que tu manques ! Tu ME manques Jonathan… » Je tentai le sourire furtif. Sans grand succès.

    « J’avais vu Emily aussi… Pas mal de fois… Enfin, je veux dire, après ma… »

    Mais je ne stoppai net. Non… Je ne voulais pas qu’il sache. Intérieurement, je priais pour qu’il ne me pose pas la question que je savais qu’il me poserait toujours en temps normal « ta quoi ? »…

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Jonathan Weathy

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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptyLun 17 Oct - 0:36

Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Johnam10

Tout était confus dans ma tête, je ne savais même plus comment agir devant elle. Deux sentiment prenait toute la place en moi. D'un coté, la rancœur, la colère, de savoir qu'elle avait gâché la plus belle relation de toute ma vie et que maintenant, elle venait ici, à New York, avec pour unique but, a n'en pas douter de me reconquérir. Je ne la laisserais pas détruire ma vie encore une fois … Le deuxième sentiment était le manque, le regret qui me hantait depuis que je savais qu'elle était proche de moi qu'elle ne l'avait était ses dernière années et elle débarquait à peine que c'était de nouveau le foutoir dans ma tête, surtout que le peu l'alcool que j'avais bu ce soir n'arranger rien du tout a mon trouble. Je ne savais vraiment pas quoi faire, si je devais rester, ou partir et risquer que la situation ne s'arrange jamais entre elle et moi. Mais peu être que cela règlerais tout si je pouvais l'oubliais et qu'elle aussi m'oublie. Il n'y aurait plus de haine, plus de gène, plus de stress entre nous et tout serait beaucoup, on pourrai être amis sans que les souvenirs, les regrets viennent polluer le tout et faire de nos des étrangers alors qu'elle était surement la personne qui me connaissais le mieux après mes parents et ma soeur. Ma j'avais l'impression que tout cela n'était plus qu'une illusions que jamais plus nous ne pourrions être capable de se parler, de se voir sans que cela dégénère en règlement de compte douloureux, déchirant et violent. Comme si tout ce que l'ont avait partagée était réduit en cendre, et ne faisait partit que du passé, qu'il n'en rester plus rien aujourd'hui. Je luttais pour ne pas m'enfuir de cette boite et rester planqué chez moi. Je faisais en sorte de la regarder le moins possible pour garder mon sang froid. Je fronçais les sourcils lorsqu'elle commença a parler puis s'arrêta sans même avoir dit quelque chose de compréhensible. Depuis quand avait t-elle peur de parler librement devant moi ? J'avoue que cela me faisait tout drôle de la voir hésité a me parler, à me dire les chose clairement mais je laissais couler, ne ne lui demandant aucune explication qui pourrai la rendre encore plus mal à l'aise ce que je ne voulais vraiment pas. Je rassemblais mon courage pour arrivé à formuler une phrase avec du sens. Je lui faisais remarqué combien j'ét ais surpris qu'elle soit venu ici, à New York, elle qui aimait tellement Los Angeles, qui s'y sentais parfaitement bien. Elle avait la ville dans le sang mais elle était venue a New York, pour moi, même en ne sachant pas si cela s'arrangerait entre elle et moi.

- Jusqu’à preuve du contraire, L.A n’est pas seulement MA ville, c’est aussi censé être la tienne. Me dit t-elle, ce qui sonnait comme un reproche à mes oreilles

Je tiquais légèrement. J'avais pas quitter LA par plaisir, et je ne l'avais pas quitté elle par plaisir non plus. Mais je devais le faire, pour moi, pour mes études. GA était l'université parfaite pour moi même si 'javais du quitter ma ville, mes amis, la femme que j'aimais plus que tout mais je pensais a l'époque que cela n'était que le temps que je m'installe dans ma nouvelle vie mais non, il avait fallut qu'elle réduise tout néant en une seule erreur, un putain d'erreur qu'elle comme moi regretterions pour le reste de nos vies. J'enchainais en lui répétant que New Yord, n'était pas pour elle, elle la summer girl, la fille qui vit de plage, de soleil. Bien sur cela ne lui plus pas du tout et elle me le fit très bien comprendre.

- Depuis quand ça t’intéresse ce qui est pour moi ou pas ? Me dit t-elle, plus froide et tranchante que jamais elle ne l'avait été avec moi. J’ai le droit d’aller où je veux tout de même…

J'en avais marre. Marre qu'entre elle moi, il n'y ait plus rien d'autre que des choses mauvaises. Rancoeur, peine, douleur, haine, regret, souvenir. J'en avais plus qu'assez de tout çà, de me sentir fébrile, de sentir mon coeur se serre dès que ses mèches blonde apparenté dans mon champs de vision. Je voulais pas qu'on se fasse encore plus de mal mais c'était plus fort que nous, il y avait trop en jeu. Elle fuyait mon regard, je le sentais, le savais. J'avais toujours sus lire en elle même avant que nous soyons devenus un couple. J'avais toujours saisis ses moindre variations d'humeur. Je connaissais cette fille par coeur mais pourtant, dès que l'ont se voyait, cela finissais en dispute et j'en avais vraiment plus qu'assez. Je voulais qu'ont soit amis mais peu être que j'étais trop optimiste et que elle et moi nous ne pourrions pas l'être, a cause de tout ce qu'il y avait eu entre nous, jamais nous ne pourrions tout oublié pour être des amis normaux. C'était impossible.

- C'est bon Amy, calme toi ! J'ai jamais dit que n'avait pas le droit d'aller ou tu veux ! Évidement que tu va ou tu veux, je serais qui pour t'en empêcher ? Lui dis-je en la regardant sans ciller. Lorsque son regard croisa le miens, je la sentis frémir, et je dus moi aussi reconnaître que c'était une sensation très bizarre. LA, c'est ma ville aussi mais je suis passer a autre chose maintenant, j'ai toute ma vie a New York, je disais que je ne pensais pas que tu quitterais L.A, c'était pour moi un truc impensable, surtout toute seule …

Je faisais tournée doucement mon verre, regardant les personnes dans la boite, buvant une gorgée. Je ne voulais pas me prendre la tête, pas encore avec elle. Cela me faisait trop de mal a chaque fois mais je ne pouvais pas non plus partir comme çà, sans rien dire non ? Je voulais pas qu'ont se prenne la tête encore une fois alors je décidais de changer de sujet et maladroitement je la questionnais sur ses parents. J'avais déjà rencontrés ses parents, a plusieurs reprise même. C'était des gens bien, bien que surement trop pris par leur travail l'un comme l'autre mais qui aimaient profondément leur fille à ne pas en douté. Je la regardais et je vis bien que ma question l'avait surprise mais ma question était sincère et pas juste pour changer de sujet.

- Tu connais mes parents… Ils sont obnubilés par leur travail, Me dit t-elle, confirmant ce que je pensais . Bien sûr, mam… ma mère a été triste, mais c’est surtout Nanny qui a pleuré… Continua t-elle alors que j'avais presque l'impression qu'elle allait fondre en larme.

Je savais qu'elle aimait beaucoup Nanny, une femme extraordinaire d'ailleurs, qui c'était occupé d'elle bien plus que sa vrai mère. Cette femme m'avait toujours apprécié et c'était réciproque. Par exemple, je me souviens d'être jour ou Am' et moi on s'étaient un peu embrouillés et Amy' avait fini par plus vouloir me voir juste pour me faire comprendre que j'étais aller trop loin. J'étais bien sur aller chez elle m'excuser et alors que je toquais a la porte, j'avais vue Nanny me regardais avec de gros yeux et me dire de la suivre. Ce jour-là, en l'entendant me sermonner, je me jurais de ne plus jamais aller si loin. Après m'avoir sermonner, elle m'a dit comment m'y prendre pour que Am' me pardonne. En y repensant, je deviens moi aussi un peu nostalgique de L.A, de ma vie là-bas. Je jetais un oeil à Amy, compréhensif. Puis je lui demandais pour mes parents, si elle les avaient revus ou pas et comment ils allaient.

- Mes parents ont organisés une Garden Party peut avant mon départ, et tes parents sont venus… C’est la dernière fois que je les ai vu… Ils étaient en forme… Tu leur manque beaucoup… Me dit-elle en me regardant, le regard parlant pour elle. Puis elle me sourit, d'un sourire magnifique mais bien pale par rapport a ceux qu'elle avait déjà pu me montrer. J’avais vu Emily aussi… Pas mal de fois… Enfin, je veux dire, après ma…

Je tournais la tête vers elle, les sourcils fronçait. Que me cachait t-elle ?

- Je vois, toujours fidèles a eux même. C'est bien de voir que la vie continue même sans moi, cela me rend les choses plus facile ici … Lui avouais-je en la regardant. Oh tu as revues ma soeur, c'est bien çà, je sais qu'elle t'adorais ! J'eu un rapide sourire en évoquant ma soeur puis, je regardais Amy. Ta quoi ?

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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptyLun 17 Oct - 21:22

JONATHAN & AMY
« Ne viens pas gâcher ma soirée ! »

Little Bad Girl – David Guetta && Taio Cruz && Ludacris
CRÉDIT - CSS



    Dégoût. Colère. Voilà les deux sentiments qui s’emparaient de mon esprit lorsque je repensais à toute cette histoire. Ô, pas envers Jonathan, bien sûr que non. Envers moi. Moi, moi, qui avait tout gâché… Je jouais nerveusement avec mon verre, le faisant tourner et retourner entre mes doigts mon regard fixé sur le liquide qui restait au fond. J’étais sur la défensive, alors que je n’avais qu’une envie : lui tomber dans les bras. Me jeter à son cou, l’embrasser, et sentir ses bras se refermer autour de ma taille, ne serais-ce que pour croire, l’espace d’un instant, que notre histoire n’était pas terminée, pas pour lui… Car, pour moi, même si j’essayais de me convaincre parfois que c’était fini, et que je devais l’oublier… J’en étais tout bonnement incapable… Jonathan tentait d’avoir… une conversation intelligente, et moi, j’étais sur la défensive, comme ces hérissons qui se roulent en boule et sortent leurs piquants. « Jusqu’à preuve du contraire, L.A. n’est pas seulement MA ville… » Mais à quoi je jouais, mince ! Pourquoi… Pourquoi je ne pouvais pas… Agir normalement ? … Peut-être parce que mes sentiments pour Jonathan étaient trop fort pour être normaux… « J’ai le droit d’aller où je veux tout de même… » Plus je parlais, et plus j’avais cette impression d’être dans les sables mouvants : plus je gesticulais, parlait, bougeait, plus je m’enfonçais rapidement. « C’est bon Amy, calme toi ! J’ai jamais dit que tu n’avais pas le droit d’aller où tu veux ! Evidemment que tu vas où tu veux, je serais qui pour t’en empêcher ? »

    « En effet… »

    Qui serait-il pour me dire où aller, où ne pas aller ? C’est une bonne question. De toute façon, je n’avais aucune envie de partir. Même si Los Angeles me manquait. Réellement. Parfois, je me réveillais le matin, et j’avais envie de pleurer en me rendant compte que j’étais à New-York. Bien sûr, New-York était une belle ville, pleine de surprise, et de vie… Mais rien ne valait Los Angeles à mes yeux. « L.A, c’est ma ville mais je suis passé à autre chose maintenant, j’ai toute ma vie à New-York… »

    « Oui, j’avais cru remarqué que tu avais tourné la page… »

    Point d’impertinence dans ma voix, juste… une peine sans borne. Mes yeux s’humidifièrent, les lumières du bar les faisant briller, et je portais mon cocktail à mes lèvres, le vidant d’une traite, adressant un petit signe de tête et un sourire au barman, pour lui signifier que j’en voulais un autre. Mon verre disparut, rapidement remplacé par un nouveau. « … je disais que je ne pensais pas que tu quitterais L.A, c’était pour moi un truc impensable, surtout toute seule… » Croyez-le ou non, mais cette déclaration me brisa le cœur… Mes genoux flanchèrent, et je me raccrochais de toutes mes forces au comptoir, devenant soudain très pâle… Je tournais la tête vers lui, les yeux écarquillés de surprise…

    « Tu… »

    Mais alors, s’il était si persuadé que je ne quitterais jamais Los Angeles… Et qu’il m’avait dit qu’il partait pour New-York… Ça voulait dire que… Des pensées plus contradictoires les unes que les autres tournoyaient dans mon esprit à m’en donner le vertige, à m’en donner envie de vomir : s’il était persuadé que je ne quitterais pas Los Angeles, et qu’il était partit faire sa vie à New-York… ça signifiait qu’il pensait que je ne le suivrais pas. Alors… Est-ce que ça rejoingnait ce que je pensais ? Qu’il avait voulu rompre, mais sans savoir comment s’y prendre ?! A cette idée, je me sentis soudain très mal, et je ne sais par quelle force je restais encore debout.
    La conversation dévia sur mes parents… Mes si géniaux parents. Qui m’aimaient, sans aucun doute : j’étais un enfant longuement désiré, élève accomplie, fille modèle, gentille, « bonne à marier » comme on dit souvent. Mais de toutes les personnes avec qui j’avais passé mon enfance, celle qui avait sans doute été la plus touchée par mon départ soudain était sans doute Nanny. La femme qui m’avait élevé, parallèlement à sa jeune fille, Maria, que j’avais toujours aimée comme une sœur. J’avais été particulièrement touchée par sa mort : il faut dire qu’elle était atteinte d’une maladie qui n’offre pas grande espérance de vie… « Je vois, toujours fidèle à eux-même. C’est bien de voir que la vie continue même sans moi, cela me rend les choses plus facile ici… »

    « Ça dépend pour qui… »

    Je portais mon verre à mes lèvres, le regard fixé droit devant moi. La vie continue… Ou pas. Ce n’était pas vraiment ce que j’aurais dit quand il était partit. Les jours passaient, les heures s’écoulaient, les minutes se succédaient, et cependant, j’avais l’impression d’être plongée dans le néant. Je vivais à deux cent à l’heure, sortant tous les soirs, ne prenant plus la peine d’aller en cours, ne voyant même plus mes vrais amis… Je m’étais mise à fréquenter des gens que jamais en temps normal je n’aurais fréquenté, à fumer, boire… Je dégradais mon corps, dans l’espoir, je crois, de me punir. Je devenais objet, dépendance. Je me répugnais. Nanny avait même fait ôter les miroirs chez moi, depuis que je m’étais blessée à la main en en brisant deux, un soir où j’étais particulièrement mal… Je dormais le jour, sortait la nuit, me réveillant dans des draps inconnus, parfois dans des lieux inconnu, sans souvenir de comment j’étais arrivée là. J’avais maigri, perdu la jolie couleur bronzée de ma peau, je cachais mes yeux derrière des verres fumés, je perdais mes forces, et j’étais devenue… d’une beauté cadavérique. Je faisais peur à mes amis. La preuve, Lia s’était même enfuie. Et puis… Josh était arrivé, tel un preux chevalier sur son cheval blanc. Et aujourd’hui, j’étais là : j’avais repris du poids, retrouvant mes courbes superbes (il suffisait de voir que tous les regards masculin étaient tournés vers moi, admirant mes longues jambes fuselées, la courbure de mes hanches, la forme rebondie et généreuse de ma poitrine), je n’avais plus à cacher mes yeux, qui étaient redevenus si beaux, si bleu, et ma peau avait rapidement fait le plein de mélanine… « Oh tu as revus ma sœur, c’est bien ça, je sais qu’elle t’adorais ! » Un mince sourire naquit sur mes lèvres au souvenir d’Emily…

    « Je sais… Enfin, ça a été… compliqué après ton départ. Elle m’en voulait. A mort. Et je la comprends tout à fait. Elle n’était pas la seule à m’en vouloir… (traduction : oh et moi aussi, si tu savais !) Et puis, un jour, elle est venue me voir. M’expliquer sa façon de voir les choses… Et puis… Elle m’a vu quoi… »

    Ce qui rejoingnait ce que j’avais faillit lâcher tout à l’heure : « après ma… » J’espérais intérieurement que Jonathan n’avait pas fait attention à ce que j’avais dis. Mais, ça aurait été mal connaître le jeune homme. Que je connaissais par cœur… « Ta quoi ? » Je me mordis la lèvre. Dans ma tête, la conversation qui allait suivre se déroulait déjà… « Rien. –Dis moi. –C’est pas important. –Si c’est pas important, tu peux me le dire. –Ca ne t’intéressera pas. –C’est à moi d’en juger. –J’ai pas envie d’en parler. –Amy… -J’ai pas envie ! C’est tout, laisse moi ! –Amy ! »

    « Ma… période… post… rupture… »

    Une lueur de douleur s’alluma dans mon regard, que je tentais de noyer dans mon cocktail. Pas assez fort pour l’anesthésier cependant. Une fois mon verre vide, je fis un signe au barman, qui rappliqua de suite. « Qu’est-ce que je te sers ma belle ? »

    « Une vodka on the rocks s’il vous plait… »

    « J’te fais ça tout de suite beauté ! » Je lui adressais un mince sourire, et tourna la tête vers Jonathan. Je voyais bien qu’il n’attendait qu’une chose : que j’en dise plus. Mais je n’étais pas certaine d’avoir la force de lui avouer. Lui avouer que j’avais passé six mois à essayer de me détruire, tellement je me haïssais… Mais d’un autre côté, je n’avais pas la force de résister à Jonathan. Je ne l’avais jamais eu. Plus après être tombée amoureuse de lui… Si j’avais tout d’abord refusé de m’avouer mes sentiments pour lui, après le premier mois de notre relation, c’était parce que je savais, au fond, que c’était plus fort que tout ce que j’avais jamais pu ressentir pour quelqu’un. On peut avoir plusieurs chances, plusieurs vies… Mais une seule grande histoire d’amour… Quand on donne son cœur, comme je l’avais fait, même une fois finie, l’écho des sentiments continue à résonner en nous. Et on ne veut pas que ça finisse. Jonathan était cette grande histoire d’amour. Le premier homme à qui j’avais donné mon cœur sans réserve, au risque de le voir le briser. Sans retenue. Entièrement, complètement. Mon cœur. Il l’avait pris, dérobé, gardé, chérit, brisé, et aujourd’hui, il l’avait toujours, caché, la clef du coffre jetée au fond de l’océan Pacifique. Oh, oui, il le détenait toujours.

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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptyMar 25 Oct - 15:59

Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Johnam10


- En effet… Me confirma t-elle comme si je n'avais pas compris qu'elle ne voulait rien avoir a faire avoir moi, que je n'étais plus rien pour elle.

Je secouais la tête, lasse. J'avais beau vouloir la protéger, veiller à ce qu'elle ne fasse pas de bêtise, je savais qu'elle ne me laisserais pas faire. Elle m'en voulait, je lui en voulais aussi, jamais elle ne me laisserais intervenir dans sa vie. Pour elle, j'étais partir, j'en avais plus rien a faire d'elle et donc, je n'avais plus a intervenir dans sa vie. Et elle avait raison, je n'en avais plus aucun droit mais pourtant, je ne pouvais pas la laissée, je tenais a elle, même si elle m'avait fait du mal. On avait beau dire ce qu'ont voulait l'un comme l'autre, jamais cela ne sera facile entre nous deux. Jamais. Trop de souvenirs, trop de sentiments, trop de regret, aussi. Cette conversation ne me plaisait pas, je sentais que cela ne finirait pas bien du tout et j'en avais de souffrir, de ne pas pouvoir tirait un trait sur ma vie à Los Angeles, et lorsque je lui dis que j'étais passer a autre chose, que tout va vie était ici, à New York, je sentais bien son regarde réprobateur, je l'entendais clairement m'insulter de tout les mots possible. Mais a quoi s'attendait t-elle à la fin ? Que je lui saute au cou, que je sois a l'article de la mort depuis mon départ de L.A ? J'avais souffert, longtemps et même encore aujourd'hui, j'avais du mal a me laissée approché, j'avais trop souffert.

- Oui, j’avais cru remarqué que tu avais tourné la page… Ironisa t-elle, encore une fois avec de reproche qu'elle ne disait pas mais que je devinais mais avec aussi de la peine.

Je la regardais, les yeux noir de colère. Je n'étais pas le méchant de l'histoire mais on dirait que pour elle, je suis responsable de tout, d'avoir fichu en l'air notre couple, d'avoir quitter L.A, et même d'avoir réussi a refaire ma vie à New York. Pourtant, la fautive c'était elle, je n'étais bien sur pas tout blanc dans l'histoire mais c'était elle qui avait coucher avec un de mes amis, réduisant nos projets d'avenir, notre couple, notre vie a néant en une seul erreurs mais une erreur fatale et c'était pour çà que je lui en voulais tellement. Je l'aimais plus que tout, je ne voyais personne d'autre avec qui faire ma vie, me marier, fonder une famille, elle était absolument tout pour moi. A chaque fois que la vie devenait trop dure, je pensais à elle, à notre futur vie commune et cela m'empêchait de faire des choses que je regretterais plus tard. Elle m'avait empêcher de devenir un gros con, se jouant des sentiments des autres, elle était arrivé a temps pour me sauver. Mais maintenant, tous était partir, il n'y avait plus rien. Absolument plus rien.

- Tu va me reprocher çà aussi ? Lui demandais-je abruptement, froid, vif. D'avoir tourner la page ? D'avoir continuer a vivre sans toi Am' ? Tu voulais quoi ? Qu'un jour on t'appelle et qu'ont te dise que je n'étais plus qu'une loque humaine ? Que je n'étais plus que l'ombre de moi même ? J'ai été mal Amy, très mal, pendant longtemps. J'ai vu tout mes projets, mes envies s'écroulaient comme un château de carte mais je me suis relevé, grâce à Kim, à mes amis, aux femmes qui ont partagées ma vie, même quelque temps ! Alors tu vois, désolé de te décevoir, désolé d'avoir réussis à vivre sans toi, avec le coeur brisé, et des plaits que personnes n'a refermés !! Lançais-je implacable, presque hystérique.

Mon coeur battait fort, irrégulièrement. Je n'en pouvais plus, j'en avais assez, assez de souffrir a cause d'elle, de ce qu'elle nous a fait, et assez de ne pas pouvoir juste l'ignorer, ne plus la laisser me toucher et l'oublier. Simplement l'oublier. Mais non, il fallait qu'elle soit là, dans ma ville, dans mon université, a me faire comprendre qu'elle voulait me récupérait. J'en arrivait même a m'engueuler légèrement avec Kim a son sujet. Kim avait peur, peur que je la quitte, que je retourne avec Amy et j'avais beau la rassurée comme je le pouvais, je sentais bien qu'elle était toujours inquiète et je ne voulais pas la voir comme çà. Kim était la meilleur chose qu'il me soit arrivé ici, je l'aimais, et je vais me battre pour notre avenir. Je n'écoutais, je ne bougeais plus, je ne parlais plus. J'étais dans un bulle, une bulle de douleur, de haine, de désespoir. Je tâchais de calmé ma respiration le plus possible, de calmer les battements fou de mon coeur mais rien n'y faisait, j'avais envie de vomir, j'avais mal à la tête, mal au coeur. J'attrapais mon verre rapidement, le bu cul sec et en redemandais un autre à peine le verre reposait sur le comptoir. Elle voulait que je sois mal ? Soit et bien elle a réussit et elle verra très bien comment je suis quand plus rien ne va, quand je suis mal, au point même ou j'en viendrais a faire des choses que jamais je ne ferais sinon.

[ … ]
- Je sais… Enfin, ça a été… compliqué après ton départ. Elle m’en voulait. A mort. Et je la comprends tout à fait. Elle n’était pas la seule à m’en vouloir… M'expliqua t-elle alors que j'étais surpris qu'elle et ma soeur aient gardés le contact après notre rupture et mon départ de Los Angeles. Et puis, un jour, elle est venue me voir. M’expliquer sa façon de voir les choses… Et puis… Elle m’a vu quoi…

Cela ne m'étonnais pas de ma soeur qu'elle soit aller la voir d'elle même. Emy avait toujours crus bon de me défendre alors qu'elle pensait que je ne savais rien. Hors, de nous deux, j'étais le protecteur et cela me faisait toujours rire quand j'apprenais ce qu'elle faisait. Oui, ma soeur avait son petit caractère mais elle ne ferait pas de mal a une mouche, j'en étais certain, et on ne pouvais pas dire la même chose de moi … Je pouvais vraiment péter un câble si on faisait vraiment du mal a ceux que j'aime. Je continuais de regarder Amy, les yeux ronds, les sourcils froncés. Elle n'avait pas répondu a ma question et elle savait bien que cela m'énerver qu'ont ne me réponde pas. Qu'est ce qu'elle me cachait ?

- Ma… période… post… rupture… Finit t-elle par me dire, les yeux brillant de douleur et de peine.

Je ne savais même plus quoi dire. J'étais vraiment un con parfois, a trop vouloir la vérité, a n'importe qu'elle prix et aux dépend des autres. Je n'avais jamais voulu lui faire autant de mal, j'avais jamais voulu la détruire comme çà, la blessée pour toujours. J'avais surement fais des choses que je n'aurais jamais du faire, mais j'étais moi aussi détruit a cette époque, il n'y avait en moi que douleur, déception, haine, peine, vide. Je m'en rappelais comme si c'était hier. Les images n'avait jamais quitter mon esprit depuis, et c'était ce qui faisait mal, s'en rappelait, encore et encore. Am' bu son verre puis elle fit signe au barman, qui bizarrement, rappliqua de suite.

- Qu’est-ce que je te sers ma belle ?
- Une vodka on the rocks s’il vous plait…
- J’te fais ça tout de suite beauté !

Je le regardais et attendait qu'elle m'en dise plus, même si au fond, je n'étais pas vraiment de savoir ce qu'elle ne me disait pas sur les mois après mon départ. Non, je voulais savoir, je devais savoir, même si cela devait me faire encore plus de mal, si cela devait me détruire encore plus. Je devais assumer mes choix, et leur conséquences et j'étais prêt et de toute, je ne n'avais jamais été un lâche et je ne le serais jamais, ce n'était pas dans mon caractère. Je n'étais pas sans peur, et surement pas sans défaut, la plupart des gens m'idéalisais, me prenait pour ce que je ne suis pas. Il n'y à pas que du blanc en moi, il y a aussi du noir, du doute, de la peur, de la colère, de la haine. Je soupirais, fermais les yeux quelques secondes et regardais derechef Amy.

- Écoute Am' … Je sais que je suis pas tout blanc dans cette histoire, j'ai aussi des tord, je n'est jamais pensé avoir été irréprochable. Lui dis-je, laissant mon coeur parler pour moi. Alors, parle-moi, dit moi ce que tu me cache, ce que tu garde pour toi. J'ai pas besoin d'être protégé, je veux savoir, même si cela va me faire mal. Tu sais que l'honnêteté est quelque chose qui m'aie chère … Conclus-je en baissant les yeux.

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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptyMar 25 Oct - 17:40

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    « Tu vas me reprocher ça aussi ? D’avoir tourné la page ? D’avoir continué à vivre sans toi Am’ ? Tu voulais quoi ? Qu’un jour on t’appelle et qu’on te dise que je n’étais plus qu’une loque humaine ? » « C’est ce que tu aurais appris si tu avais répondu à mes appels. C’est ce que tu aurais appris si tu t’étais intéressé à mon sort. » Quand on y pense… Si Nanny et si Joshua n’avait pas été là, c’est de mon enterrement dont il aurait entendu parler, non du fait que je dépérissais à vue d’œil. « Que je n’étais plus que l’ombre de moi-même ? J’ai été mal Amy, très mal, pendant longtemps. J’ai vu tous mes projets, mes envies s’écrouler comme un château de carte mais je me suis relevé, grâce à Kim, à mes amis, aux femmes qui ont partagées ma vie, même quelques temps ! Alors tu vois, désolé de te décevoir, désolé d’avoir réussis à vivre sans toi, avec le cœur brisé, et des plaies que personne n’a refermé ! » Chaque mot était un supplice. Une souffrance. Une autre souffrance. Une de plus. La souffrance, c’était mon lot quotidien. Je vivais avec, comme on vit avec un colocataire envahissant, et qui ne voulait plus partir.
    « Ma période post rutpure »… Pourquoi avait-il fallut qu’il veuille savoir. Pourquoi est-ce que Jonathan voulait toujours savoir, voulait toujours découvrir les choses qui font mal. Quand on cache la vérité, qu’on se tait, qu’on ne veut pas parler ce n’est pas pour rien. Pas pour énerver l’autre. Pas dans mon cas. Ma gentillesse naturelle n’empêche de tenter de faire volontairement du mal aux gens. Même si je le voulais, je sais que blesser, volontairement, quelqu’un, tout du moins dans mon état normal (et pas quand j’étais sous l’emprise de drogues diverses et variées, comme j’avais pu l’être durant six longs, longs mois), c’était quelque chose dont j’étais incapable. Les gens pouvaient me prendre pour ce qu’ils voulaient. Mes parents étaient riches, je n’avais jamais manqué de rien. Bien souvent, les gens pensaient que j’étais une petite pétasse prétentieuse, une autre blonde sans cervelle, qui n’aimait que la carte bleue de papa, et qui se marierai avec quelqu’un ayant AU MOINS le même compte en banque que papa. Une pauvre cruche qui ne ferait jamais rien de sa vie, outre bronzer aux Caraïbes et claquer le salaire annuel d’un employé moyen chaque semaines en shopping sur la 5ème avenue. Si vous pensez ça, pour savoir qui je suis, prenez l’exact opposé de cette fille, et vous saurez qui je suis.
    « Ecoute Am’… Je sais que je ne suis pas tout blanc dans cette histoire, j’ai aussi des torts, je n’ai jamais pensé avoir été irréprochable… Alors, parle-moi, dit moi ce que tu me cache, ce que tu gardes pour toi. J’ai pas besoin d’être protégé, je veux savoir, même si cela va me faire mal. Tu sais que l’honnêteté est quelque chose qui m’aie chère… » Mon regard se brouilla, alors que mon cœur se serrait dans ma poitrine…

    « Ce n’est pas forcément à toi que ça va faire mal… »

    Je fermai les yeux, et laissa les souvenirs m’envahirent. A chaque image qui me revenait en mémoire, j’avais l’impression qu’on me plantait un coup de couteau dans le cœur, dans le dos, dans le ventre. Ma gorge se serra alors que je me souvenais… Six mois. L’enfer. Le noir complet. Six longs mois. La peine. La douleur. Le manque. Le manque. Les frissons. Mon index que je m’enfonçais dans la gorge pour me faire vomir après chaque repas. Les kilos que je perdais. La souffrance physique. Mais c’était une souffrance qui n’équivalait même pas la souffrance mentale. Même pas un peu.

    « J’ai déconné. Aussi simplement que ça… Je suis restée… Trois semaines. Alitée. A refuser de me nourrir. Seule Nanny arrivait à… me faire avaler des trucs et d’autres. Et puis un soir… Je suis sortie… Et… J’étais à une fête. Lia m’avait dit de venir avec elle… Et y avait… Connor, et toute sa bande… Je les avais jamais fréquenté avant. Tu les aimais pas, et je n’étais pas portée sur leurs délires. Mais pourtant… Ce soir là… Je suis allée vers eux. Je me suis assise avec eux. Et je ne suis plus repartie. »

    Six mois. De la coke qui neigeait comme en Alaska en plein mois de décembre. L’alcool coulant à flot. Dire « Sex, Drugs and Rock’n’roll » serait encore un euphémisme. C’était une longue, longue descente aux enfers. J’atteignais les bas-fonds de l’humanité. Je me tuais à petits feu. Mais pas assez rapidement à mon goût…

    « Je mangeais plus, ou si peu. Je… J’osais même plus me regarder dans la glace. Nanny les avait tous fait couvrir après que j’en ai brisé deux à coups de poings… »

    Je sentais presque encore les éclats de verre dans ma main… Ça faisait mal… Ô, si mal…

    « Mais c’est pas encore le pire que j’ai fait. »

    Me saisissant du verre de Jonathan, je le portais à mes lèvres, rejetant la tête en arrière alors que je finissais le verre d’une traite. Je le reposais avec une grimace, qui me permit de cacher l’expression de douleur sur mon visage, au moins pour quelques instants… L’alcool aidant sans doute, mais aussi le regard de Jonathan posé sur moi me donna le courage (peut-on parler de courage ?) de remonter le bracelet d’argent (cadeau de Jonathan) le long de mon bras, découvrant mon poignet.

    « Deux fois. »

    Deux cicatrices s’y trouvaient, peu espacées l’une de l’autre. J’eus un frisson de dégoût, et détourna le regard, sentant que j’étais aux bords des larmes. J’étouffais. Il fallait que je sorte. Maintenant !

    « T’es content maintenant ? T’as eu ce que tu voulais ? Tu sais, maintenant, ce que ça m’a fait ? J’espère que tu as apprécié ce que tu as entendu, et vu ! »

    Je m’arrachais de ma chaise, et me mis à courir en direction de la sortie du bar, sentant les larmes commencer à couler le long de mes joues. Je fendais la foule, bousculée de toute part, bousculant de toute part. Lorsque je poussais les lourdes portes, le froid mordant me surprit, et je me mis à trembler. Je fis quelques pas le long du bar, vers la droite, pour m’éloigner de l’entrée et, soudain, pliée en deux de douleur, je me penchais en avant, les bras croisés sur mon ventre, et je me mis à pleurer. Pas de simples pleurs, pas de simples larmes… Des sanglots qui provenaient du fin fond de mes entrailles, du fin fond de mes tripes et de mon cœur. Des sanglots qui me faisaient mal, si mal…
    Je sentis une main se poser sur mon épaule, mais ce contact ne me fit même pas réagir. Peu importait qui était cette personne. Homme, femme, videur, violeur, gentil, méchant, tout ce que je voulais, c’était qu’on me laisse en paix. Qu’on me laisse crever en paix.

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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptyMar 15 Nov - 19:13



Ce n’est pas forcément à toi que ça va faire mal… Me dit t-elle en fermant les yeux, me cachant son regard. Je voyais bien sa peine, son chagrin sur son jolie visage d'ange, qui avait hanté mes nuits durant de longs mois. J’ai déconné. Aussi simplement que ça… Je suis restée… Trois semaines. Alitée. A refuser de me nourrir. Seule Nanny arrivait à… me faire
avaler des trucs et d’autres
. M'avoue t-elle alors que je me sentais partir dans un doux état de coma, tant je me sentais mal, coupable. Et puis un soir… Je suis sortie… Et… J’étais à une fête. Lia m’avait dit de venir avec elle… Et y avait… Connor, je fronçais les sourcils à l'évocation de ce nom tout droit sortit d'une autre vie, un autre moi, et toute sa bande… Je les avais jamais fréquenté avant. Tu les aimais pas, et je n’étais pas portée sur leurs délires. Mais pourtant… Ce soir là… Je suis allée vers eux. Je me suis assise avec eux. Et je ne suis plus repartie. Je baissais la tête, je n'étais vraiment plus certain de vouloir connaître toute l'histoire. Je savais que j'allais avoir mal, et lui faire revivre tout çà n'était surement pas la meilleure solution pour qu'elle aille mieux, je pense. Je mangeais plus, ou si peu. Je… J’osais même plus me regarder dans la glace. Nanny les avait tous fait couvrir après que j’en ai brisé deux à coups de poings… Plus elle en disait et plus je me sentais de plus en plus nauséeux, malade. Je ne pouvais plus entendre tout çà, sa descente aux enfers point par point, c'était ma faute et j'avais du mal a assumé. Mais c’est pas encore le pire que j’ai fait. Je la regardais, a deux doigt de vomir. Elle prit mon verre et le bu d'une traite en rejetant sa tête en arrière. Elle remonta un bracelet, et je me rendis compte seulement que c'était moi qui lui avait offert il y avait une éternité me semblait t-il aujourd'hui. Je regardais son poignet et je crus que j'allais défaillir, je plantais mes ongles dans le bois du bar. Deux fois. Je tressaillis une nouvelle fois. Mais qu'est ce que j'avais fais ? Comment avais-je pu autant la détruire en pensant faire bien ? T’es content maintenant ? T’as eu ce que tu voulais ? Tu sais, maintenant, ce que ça m’a fait ? J’espère que tu as apprécié ce que tu as entendu, et vu ! Dit-elle en se levant brusquement de sa chaise. Aussitôt, cela fut comme une claque qui me ramena a la réalité, à mes choix, mes actes et leurs conséquences désastreuse.

La femme de ma vie, et en bien des points jamais je n'avais cessé de le pensée vraiment, se mit a courir vers la sortie de la boite. Loin d'être dans mon état normal, je me levais d'un bond et courait a sa suite, me frayant un chemin parmis la foule. Je l'appelais mais elle ne m'entendrais pas. Qu'est ce que j'avais foutu bordel ? Je poussais les gens, les bousculaient doucement. Je ne pouvais plus me cacher la vérité, plus faire comme si de rien était alors qu'au fond, je savais et j'avais toujours su, je crois qu'Amy était celle que je n'oublierais pas, jamais, qu'elle était celle avec qui j'avais toujours voulu un un avenir, avenir dont j'avais si souvent rêver, privé d'elle. Soudain, les portes furent a ma portais et je me ruais sur elle pour sortir. Je regardais à droit, puis a gauche, une peur déraisonnable me tordant le ventre, me serrant le coeur. Je devais la retrouvé. Je commençais a marcher lorsque je la vis, pliée en deux, des sanglots puissant secouant son corps frêle. Elle tremblait, je le voyais de la ou j'étais. Sans que je m'en rende compte, je sentis me joues se mouillaient petit à petit. Je ne réalisais pas tout de suite que je pleurais, trop absorbé à contempler ce que j'avais fais. J'avais été lâche, je ne l'avais pas laissée s'exprimer et j'avais fuis, en bon lâche que j'étais, mais j'étais jeune, impulsif et peu enclin a me laissé trahir comme çà, sans rien dire, surtout par les gens que j'aimais. Mais aujourd'hui, aujourd'hui, je n'étais plus le même, comme Amy n'était plus la même non plus, nous changions tous à un moment ou à un autre, c'était inévitable, mais le mal était fait et il serait long a réparré mais je le ferais, quitte à ce que je souffre de la voir avec un autre homme que moi, mais qu'elle soit heureuse. Je marchais vers elle, les yeux mouillés de larmes que je ne contrôler pas . Je ne pleurais jamais, j'étais triste mais je ne pleurais pas, j'étais le solide, celui sur qui on s'accroche quand tout va mal mais moi, moi je n'avais personne sur qui me reposer et maintenant, me voilà, pleurant dans une rue, après une fille que je n'aurais jamais du quitté. Doucement, je posais ma mains sur son épaules mais elle ne réagit pas, comme en état second. Je la regardais et réussis, entre mes larmes a parler.

Amy … Commençais-je, ma voix ayant des ratés. Je m'en veux, si tu savais combien je m'en veux, combien je me sens un moins que rien ! J'aurais pas u partir comme çà, j'aurais du te laisser une chance de t'expliquer, j'aurais du NOUS laissés une chance. Je te connais, je savais que tu n'aurais pas fait çà juste pour me faire du mal, j'aurais du le comprendre, et j'aurais du prendre tes appels, répondre a tes messages et mails. J'aurais du faire les choses bien ! Dis-je, furieux contre moi même, contre cet enfoiré qui avait su lui parler, qui avait sur la faire douter de moi dans un moment de faiblesse et en avait profité. Je suis désolé, vraiment, tout est de ma faute, je m'en rend compte, j'ai été trop entêté, je n'est pas compris a temps que je me trompais, que je faisais n'importe quoi, avec toi, avec tout le monde. J'aurais jamais du partir comme je l'ai fait, j'aurais du être raisonnable ...

Je pleurais, comme une merde, je pleurais, je craquais. J'avais pleuré deux fois dans ma vie, et les deux fois elle en était la responsable. Je regardais ma main sur son épaules, tellement pathétique alors que je crevais d'envie de la prendre dans mes bras, d'être la pour elle, comme avant. J'emmerde les autres, je passais devant elle et l'entourais de mes bras, la laissant pleurée sur mon épaule, alors que mes larmes se tarissait peu a peu. J'avais tellement mal, mal de la voir comme çà, la voir si mal, j'étais le plus con des mecs à l'époque, trop impulsif et résultat j'avais brisé la femme de ma vie en jouant au con et je devais assumé et cela faisait mal, vraiment mal Comment avais-je pu faire çà, nous faire çà. Je le serrais contre moi doucement. Elle m'avait tellement manquée, plus que je n'osais me l'avouée, plus que je n'avais pu le pensé au départ. Elle avait toujours une place immense dans ma vie, je le sentais, je savais.
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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptyMer 16 Nov - 3:18

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    Mon cœur me faisait mal dans ma poitrine… Au fur et à mesure que je parlais, je voyais Jonathan se décomposer lentement devant moi. A l’extérieur, je pâlis doucement… A l’intérieur, c’est le branlebas de combat. Tout mon être s’écroulait… Les barrières que j’avais érigées pour me protéger s’effondrait, libérant ces souvenirs douloureux, objets de cauchemars, qui semblaient n’avoir attendu que ça, être libérées, pour revenir me blesser, encore, et encore, inlassablement… Toujours ces mêmes cauchemars… Je saisis son verre, le vidant d’une traite, l’alcool me brûlant la gorge, avant de remonter sur mon avant-bras le lourd bracelet d’argent que je portais, et qui devait être familier à Jonathan, si tenté qu’il s’en souvienne. Là, sur ma peau bronzée par le soleil de Los Angeles, se profile deux minces cicatrices, contrastant légèrement par leur pâleur avec ma peau. Je vois ses ongles s’enfoncer dans le bois du comptoir, et je comprends que ça le touche. Mais et moi ? A l’intérieur, je défaille, je hurle, je trépigne… Je me revois, face contre terre, sur le sol de la salle de bain, pleurant, n’arrivant pas à prononcer autre chose que son nom… La lame brillant entre mes doigts… Le pincement, le frémissement lorsqu’elle s’appuie contre la peau. La douleur, vive, lorsqu’elle s’y enfonce… Puis, l’état léthargique dans lequel on est plongé lorsque le sang commence à s’écouler… Ce n’est pas douloureux… Engourdissant tout au plus… Et puis le cri de Nanny qui me découvre… Le bruit de la lame qui rebondit sur le sol, la compresse sur mon poignet, le transfert en urgence à l’hôpital… Round 1 : Emy -0, La vie -1. J’aurais préféré que ce soit l’inverse… Et la seconde fois… Shootée à en avoir les yeux explosés, assise sur mon balcon, un miroir brisé à mes côtés… J’y avais été moins doucement cette fois, sans doute plus déterminée… Mais Joshua était là… Joshua était toujours là… Toutes ces images me revenaient en mémoire, et je sentais des picotements au niveau de mes veines, et mes doigts semblaient… emplis de fourmis… « T’es content maintenant ? T’as eu ce que tu voulais ? Tu sais, maintenant ce que ça m’a fait ? Tu sais, maintenant, ce que ça m’a fait ! J’espère que tu as apprécié ce que tu as entendu, et vu ! » Sentant que j’étais sur le point d’exploser, je me relève brusquement, et me précipite vers la sortie, bousculant, étant bousculé, peu importe, tout ce qu’il me fallait, c’était de l’air. Miraculeusement, je la gagne, cette fichue sortie, qui me narguait à l’autre bout de la pièce, et fais quelques pas pour m’écarter des portes, et de la foule des gens qui n’attendent qu’une chose : entrer… Je sens les larmes se mettre à couler sur mon visage. Ma poitrine se contracte, et je pousse une sorte de gémissement plaintif, avant d’éclater en sanglots. Pliée en deux, le corps agité de soubresauts, ma gorge me brûle, ma poitrine est en feu, et mes pleurs sont incessants… J’ai envie de mourir, de m’enfouir sous terre, de disparaître… Je voudrais n’être jamais venue ici, dans ce bar, n’être jamais venue à New York, que toute cette histoire n’ai jamais existée… Que tout ça ne soit qu’un cauchemar dont je me réveillerais… Mais c’était impossible… j’étais là, tremblante de froid et à cause des sanglots, dans une robe trop courte, trop légère, pas assez couvrante, tanguant sur mes talons hauts, mon épiderme parcourut de frissons. Une caresse. Un geste doux, une main sur mon épaule… Et pourtant, je ne réagis pas… Je voulais qu’on me laisse. Laissez-moi crever ! Laissez-moi me débattre, n’venez pas m’secourir… Venez plutôt m’abattre… pour m’empêcher d’souffrir… « Amy… Je m’en veux, si tu savais combien je me sens un moins que rien ! J’aurais pas dû partir comme ça, j’aurais dû te laisser une chance de t’expliquer, j’aurais dû NOUS laisser une chance. Je te connais, je savais que tu n’aurais pas fait ça juste pour me faire du mal, j’aurais dû le comprendre, et j’aurais dû prendre tes appels, répondre à tes messages et mails. J’aurais dû faire les choses bien ! Je suis désolé, vraiment, tout est de ma faute, je m’en rends compte, j’ai été trop entêté, je n’ai pas compris à temps que je me trompais, que je faisais n’importe quoi, avec toi, avec tout le monde. J’aurais jamais dû partir comme je l’ai fait, j’aurais dû être raisonnable… » Un sanglot s’échappe d’entre mes lèvres, alors que mes pleurs redouble. Tais-toi, mais TAIS-TOI DONC ais-je envie de lui hurler. A quoi ça servirait de savoir tout ça ? A RIEN ! A strictement, strictement R-I-E-N ! A quoi ça sert hein, qu’il me dise qu’il est désolé, et qu’il regrette ? Ça n’effacera rien, encore moins le fait qu’il est en couple, et semble respirer le bonheur. Qu’est-ce que ça m’apporterai de bon, de savoir qu’il regrette, qu’il s’en veut ? Qu’il aurait souhaité faire les choses autrement ? Il ne les a pas faîtes autrement. Et aujourd’hui, je suis là, debout dans la rue, pleurant toutes les larmes de mon corps, avec l’impression que mon cœur va s’arracher de ma poitrine.
    L’ombre de Jonathan vint assombrir ma vision troublée par mes larmes (car, oui, vous l’aurez compris, il s’agissait bien de Jonathan), alors que, soudain, je sentis ses bras (que j’aurais pu reconnaître entre mille, même endormie) venir s’enrouler autour de moi… J’eus un hoquet de surprise en sentant son étreinte brûlante contre ma peau glacée. Je n’étais plus la seule à pleurer, je le sentais, je le voyais… J’étais incapable de m’arrêter… Les larmes jaillissaient de mes paupières, coulant sur mes joues, rougissant mes yeux, me collant un mal de tête abominable. J’avais mal à la tête à force de pleurer… J’avais mal à la gorge à force de pleurer. J’avais mal au ventre à force de pleurer. J’avais mal au cœur, à force de pleurer. Ses bras se refermèrent un peu plus contre moi et, l’espace d’une seconde, je me surpris à rêver, à m’imaginer, que rien n’existait, outre cette étreinte, que nous n’étions que deux corps, brûlants l’un contre l’autre, hautement inflammables et prêts à s’embraser à la moindre étincelle. J’en profitais… Quelques instants… Mes pleurs semblèrent s’estomper, devenant plus irréguliers, plus espacés… Je me calmerai presque… Ma tête me fait mal. Tout mon corps me fait mal, tout mon corps tremble sous le coup de l’émotion… Je m’en veux, d’être aussi faible, de pleurer de la sorte devant Jonathan. Moi qui m’étais jurée d’être forte. De lui faire comprendre que j’allais bien. Que j’étais forte oui… C’était… comment dire… loupé non ? D’un geste tremblottant, je vins essuyer mes yeux, du plat de ma paume.

    « Chui tellement pathétique… »

    Je reniflais, essuyant toujours mes yeux débordants de larme, et laissa échapper un rire nerveux…

    « Tellement pathétique… »

    Ce rire nerveux se transformait peu à peu en sanglot désespéré, et je me mordis la lèvre, pour ne pas craquer… Je repoussais Jonathan. Il avait une copine. Il l’aimait. Il ne m’aimait plus. Il ne pouvait pas se permettre ce geste, n’est-ce pas ? Pourtant, dieu que j’avais envie de me blottir dans ses bras, de l’embrasser comme une folle, et surtout, de me réveiller à ses côtés le lendemain… J’aurais donné tout ce que je possédais et bien plus encore pour ça…

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MessageSujet: Re: Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan Ne viens pas gâcher ma soirée ! [ft. Jonathan EmptyMar 29 Nov - 21:02


J'avais mal, vraiment mal. Mal a un point tel que le reste n'avait plus d'importance. Mon coeur battait si fort que j'en avais mal, encore plus mal. Et je savais que la douleur n'allait pas s'arrêter de sitôt, pas tant que je savais qu'elle souffrait, qu'elle n'allait pas bien. Plus cela allait et plus je savais que jamais je n'aurais du la laissée, jamais j'aurais du partir comme çà, énervé, le coeur brisé. J'aurai du me calmer et revenir la voir une fois toute colère passé, j'aurais du me battre pour elle, l'écoutait, et la laissé s'expliquer. Elle avait fait une seul erreur, et comparer à la puissance de nôtre, cela n'aurait jamais du compter autant. Je savais qu'ont aurait pu surmontée çà, même si c'était difficile par ce qu'ont s'aimait vraiment. Elle avait beaucoup compter, et compte toujours d'une certaine manière, pour moi. Et la voir comme çà, brisée, en pleure, tremblante sous ses sanglots était un châtiment a la auteur de, et je m'en rendais compte maintenant, la plus grosse connerie que j'avais faite de tout ma vie. Je la serrais dans mes bras, et je sentis ma peau s'échauffer, s'éveiller comme si elle avait endormit sans le contacte de la peau d'Amy. J'avais l'impression de me consumer sur place, mes bras autour d'elle, comme avant, comme dans bien de mes rêves. Jamais je ne pourrais l'oublié, jamais. Qu'importe ce qu'il pouvait se passer, elle serait toujours la femme que j'ai aimé le plus et la tout de suite, plus rien, ni personne d'autre ne m'importer qu'elle, dans mes bras. Aucun de nous ne parler, elle en pleure, moi pas beaucoup mieux. Pourtant je la sentais se calme, ses pleurs s'estomper, sa respiration se calmer, lentement. Puis, tremblante, elle vient essuyer ses yeux de la paume de sa main.

Chui tellement pathétique… Dit-elle en reniflant, coupant court au silence devenue pesant entre nos deux. Je n'aimais pas çà, j'aurais pas du m'en soucier, pas après ce qu'elle m'avait fait, mais c'était plus fort que moi, plus fort que le mal qu'elle m'avait fait. Je tenais a elle, vraiment, et plus que je ne pouvais le dire. Je l'entendis rire nerveusement, tout en sachant ses yeux larmoyants. Tellement pathétique… Dit t-elle en sanglotant.

Sans que je m'y attende vraiment, elle me repoussa, doucement, mais me repoussa quand même. Et çà c'était surement la chose la plus douloureuse qu'elle pouvait me faire, alors que j'avais fais des effort, je lui avais parler, m'étais excuser, avais essayer d'arranger les choses entre elle et moi, que nous puissions être amis, ou tout au moins que ne se sentent plus obliger de s'ignorer, que chaque rencontre vire au drame. Je n'en pouvais plus de tout çà, et apparemment, elle, elle n'était pas prête pour cela, je la comprenais, je crois. Je ne suis pas naïf, je sais bien que rien ne pourra jamais être comme avant entre nous, si tenter qu'il puisse toujours y avoir un nous, mais était-ce si mal de vouloir que nos relation soient meilleures, de vouloir qu'elle fasse partie de ma vie, même en temps qu'amie ? Je ne crois pas. Mais, je n'allais pas la forcer, 'autant que je la comprenait dans un sens, et mieux que quiconque, car la fille, là, devant moi, le visage insondable, c'était Amy, mon Amy, ma joie, ma « femme », celle que j'avais aimé et que, dans un certain sens, j'aimais toujours aujourd'hui. Je ne savais plus quoi faire, trop chose avait changée en moi ce soir, je n'étais plus sur de rien, ni de ce que je voulais. J'étais perdu, paumée, dans le floue, et incapable de réfléchir alors qu'elle était là, devant, et pas bien du tout. Je la regardais et la je ne voyais plus que l'amour que j'avais pour elle, le manque d'elle qui avait réussis a s'enfuir pendant tout ce temps et qui m'éclater a la gueule maintenant. Je baisse les yeux, le coeur serré, la tête en feu, bref, je vous fais pas un dessin, j'étais pitoyable.

Non, tu n'est pas pathétique. Crois-moi … Soufflais-je, épuisé. Je crois que tout çà nous dépasse … Je veux dire par la qu'ont y peut rien si on arrive pas vraiment a passer a autre chose. Car crois-moi, même si j'ai beau en donner l'impression, tu reste toujours dans un coin de ma tête. Je sais que tu t'en fiche surement, que cela n'a plus d'importance pour toi, mais pour moi cela en a, cela ne devrait pas mais cela en as ! Avouais-je en la regardant, le visage sérieux. J'ai essayé de t'oublier, de faire en sorte de passer a autre chose, mais tu reste toujours là, dis-je en montrant ma tête, et là, je posais ma main sur mon coeur. Maintenant je … Je crois que je ferais mieux de partir. Je me sens vraiment pas capable de faire la fête là. Je passais ma main sur ma nuque, yeux baissés avant de les relevés vers elle. Tu veux faire un truc pour moi ? Prend soin de toi Amy … Sois heureuse et ne met jamais ta vie en danger, je ne le supporterais pas … Vraiment pas. Avouais-je, alors que je savais que si elle se faisait du mal, je m'en ferais aussi, si elle ne s'en sortait pas, moi non-plus. Voilà … Je … Tu sais ou me trouver si jamais, un jour tu en a envie. Au revoir Amy … Je la regardais, elle fuyait mon regard, je savais que je n'avais plus rien a faire ici, avec elle, elle ne m'écouterait pas.

[i]Je soupirais, puis je me retournais lentement, le coeur en mile morceau. J'étais supposé faire quoi maintenant hein ? Reprendre ma vie comme avant ? Faire comme si j'avais pas de sentiments pour elle ? Et qu'ils ne me bouffaient pas de l'intérieur a petit feu ? Non, j'en étais pas capable, vraiment pas et je ne le voulais pas, je voulais que ce que je ressentais soit oublié, mit aux oubliettes. Je marchais jusqu'à ma voiture, mettant de plus en plus de distance entre la femme de ma vie, celle que j'ai toujours aimé et moi, et plus j'avançais, plus je sentais que j'allais m'effondrai, perdre pieds mais j'avais fait un pas vers elle, à elle de choisir maintenant, de toute façon, aucune autre fille ne serait aussi importante qu'elle a mes yeux, c'était certain.[/
i]
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