Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Anonymous
Invité


« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyMar 29 Nov - 21:12

Jonathan & Amy
« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… »

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-7056916-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-amber-heard-15261263-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-22432963-100-100« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-3-amber-heard-21251918-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-3-kellan-lutz-13232315-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Lovely-Amber-amber-heard-25242779-100-100

Come what may – Moulin Rouge (soundtrack)




    « Les invités vont bientôt arriver… » Mon regard clair se réfléchit dans la glace, venant se porter sur Dolorès, plus communément appelée « Nanny », et ce depuis mon plus jeune âge, qui se tient dans l’embrasure de la porte. Je lui souris, hochant la tête.

    « Je suis bientôt prête ! »

    Elle me sourit, et pénètre dans ma chambre, venant déposer sur mon lit une housse contenant la robe que je lui ai demandé d’aller me chercher au pressing. Je la remercie et elle s’éclipse, me laissant devant ma coiffeuse, finir de me préparer. Je n’ai plus qu’à enfiler la robe et me donner un dernier coup de brosse, et je serais fin prête pour cette fameuse soirée… Le calendrier posé sur mon bureau indique : 24 décembre 2011. Ce soir, c’est la naissance du petit Jésus que nous célébrons. Enfin, traditionnellement. Ici, c’est plus l’occasion de s’amuser (si on peut dire !), de manger gratuitement (ça dépend pour qui !), et de passer un bon moment (ça aussi, ça dépend…) Comme chaque année, mes parents organisaient la fameuse soirée « Christmas at the Porter’s ». Une institution, vous l’aurez compris. Beaucoup de monde, une salle entière dressée spécialement pour permettre à tout le monde d’être assis à une table, beaucoup de champagne et de vin français, et un très bon traiteur commandé depuis des mois. Si vous pensiez qu’une fête de Noël se préparait comme on prépare un gâteau… Il faut peut-être que vous revoyiez votre jugement ! Les premiers invités devaient en temps normal arriver sur les coups de 21heures, mais j’avais envoyé un message textuel à Jonathan, qui devait venir avec ses parents (les miens ayant eu l’extraordinaire idée –qu’aujourd’hui je trouvais bonne… Ou presque !- de les inviter !), pour lui demander s’il ne pouvait pas arriver un brin plus tôt, histoire que j’ai un soutien pour affronter les premiers invités. Je n’étais pas fan des mondanités… Vous comprendrez sans doute pourquoi au cours de la soirée qui allait suivre…
    Spoiler:
    Je venais d’achever de me préparer, ma robe passée, mes escarpins enfilés, lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit. Je jetais un coup d’œil à la pendule sur le mur d’en face. Parfait ! Pile à l’heure ! Le sourire aux lèvres, sentant mon cœur battre dans ma poitrine, je sortis de ma chambre en prenant bien soin de refermer la porte derrière moi, et dévala les escaliers (autant qu’il était possible de dévaler des escaliers avec des talons hauts !) pour me précipiter vers la porte d’entrée. De tout le monde présent dans ma maison, je fus la première à la porte, et l’ouvrit, le cœur battant, un immense sourire accroché à mes lèvres légèrement maquillées de rouge.

    « Bonsoir !! »

    Comme je m’en doutais, il s’agissait de Jonathan et de ses parents… Je m’effaçais pour les laisser entrer et enchaîna avec les formalités de base, leur proposant de les débarrasser de leurs manteaux, les remerciant une fois encore d’avoir accepté l’invitation… Je n’avais même pas à me forcer, je pensais vraiment chaque chose que je disais ! Je n’eus pas le temps cependant de dire grand-chose que ma mère débarqua dans le hall d’entrée. En parfaite maîtresse de maison, elle était toujours… parfaite ! Femme d’affaire redoutable, mère visiblement aimante et excellente maîtresse de maison : la femme parfaite non ? … Non… Juste ma mère… Ses lèvres couvertes de rouge à lèvre Yves Saint Laurent, sublime dans sa robe Dior, parfumée de Chanel n°5… Elle était belle, ma mère. « Karen, William ! Que je suis heureuse de vous voir ! » S’avançant jusqu’à eux, elle serra la mère de Jonathan dans ses bras après avoir plaqué deux baisers sur ses joues, avant de faire de même avec son père… Légèrement en retrait, j’observais la scène avec un petit sourire. « Et Jonathan ! Ça me fait très plaisir de vous revoir tous ! » Ma mère déposa à son tour deux baisers sur les joues de Jonathan, sa main sur son épaule et leur proposa à son tour de les débarrasser de leurs manteaux, au moment où l’un de nos employés de maison s’avançait vers le petit groupe qui avait pris d’assaut le hall d’entrée. Ma mère tourna alors la tête vers moi et soudain, une lueur inquiète s’alluma dans ses grands yeux bleus. « Amy ! Mais qu’est-ce que c’est que cette tenue ? Vous n’êtes pas encore prête ? Vous venez ouvrir aux invités habillée de la sorte ? Jeune fille, montez immédiatement vous changer ! » J’ouvris de grands yeux de surprise. Quoi ? Mais… C’était la tenue que j’avais choisis pour la soirée ! Et à l’entendre, on croirait presque que je venais d’ouvrir en pyjama ou vieux jogging… J’ouvris la bouche pour protester. Mais… « Les enfants de nos jours, je vous jure… (lança-t-elle en regardant en riant les parents de Jonathan) Filez, allez, hop, ne restez pas dans cette tenue plus longtemps, les invités ne devraient plus tarder désormais ! (je me mordis l’intérieur de la joue. Il ne servait à rien de discuter…) J’ai fait mettre dans votre armoire une nouvelle robe Versace, vous n’avez qu’à mettre celle-ci puisque visiblement, vous avez été dépassées par les évènements, petite tête de linotte ! » Là résidais le problème. Ma mère m’aimait. Mais elle ne savait pas comment s’y prendre… Et parfois… J’avais envie de hurler ! Alors… Je me contentais de serrer discrètement le poing, me mordant l’intérieur de la joue une dernière fois pour me calmer, et de sourire.

    « Bien entendu, je suis désolée de vous avoir embarrassé de la sorte, je ne sais pas ce qu’il m’est passé par la tête ! Je vais passer une tenue convenable de suite. »

    Tournant les talons, je remontais les escaliers, le cœur gros. Nanny, qui avait assisté à la scène du haut des escaliers, me caressa doucement le bras avec un sourire compatissant, auquel je répondis par un haussement d’épaules, l’air de dire « J’m’en fiche », ou encore « C’est pas grave, je suis habituée maintenant ! » et retira ma robe, ouvrant l’armoire à la recherche de la housse. Sans grand entrains, je défie le zip, m’émerveillant l’espace d’une seconde devant la robe, avant de l’enfiler, et de m’asseoir à ma coiffeuse pour me refaire une coiffure… Dix minutes plus tard, je descendais les escaliers, complètement changée.
    Spoiler:
    Lorsque je pénètre dans la grande salle spécialement réservée pour la réception, avec toutes ces tables dressées de blanc, ces décorations argent et rubis, ce sapin recouvert de fausse neige dans un coin, je jette un coup d’œil circulaire, pour repérer Jonathan… De nouveaux invités sont arrivés, que je m’empresse de saluer avec toute la politesse requise, avant de repérer un pinguin dans un coin, qui semble légèrement perdu avec sa coupe de champagne à la main. Me dirigeant vers lui, je viens glisser mon bras sous le sien, m’approchant de son oreille avec un sourire. J’ai le cœur battant et, à chaque fois que je posais le regard sur lui, je me sens faiblir… Il était beau mon Jonathan.

    « Je suis là, je suis là, tu n’as plus rien à craindre, le grand méchant loup ne pourras plus te nuire ! »

    Je lui souris, avant de m’emparer d’une coupe de champagne à mon tour, juste au moment où mes parents passent devant moi. La réaction est immédiate. « Amy, n’oubliez pas ce que je vous ai dit ! Deux, pas plus ! Je ne veux ni alcoolisme ni embarras lors de cette soirée, c’est bien compris ? » Je repose la coupe, sans y avoir ne serrai-ce que trempé mes lèvres, sur le plateau d’un serveur qui passait. « Je préfère ça ! (elle me sourit) Cette robe vous va beaucoup mieux, n’est-ce pas Charles ? » Mon père hoche la tête avec un sourire, passant un doigt rapide et léger sur ma joue. « Aussi belle que sa mère. » Je le remercie d’un regard et, alors que mes parents s’apprêtent à disparaître pour aller s’occuper de leurs invités, ma mère se retourna une dernière fois vers moi. « Et évitez les petits fours ! Pas vous Jonathan, servez-vous autant que vous le souhaitez… Mais Amy… » Elle disparut avec un sourire bienveillant, et je me saisis de la première coupe qui passait à portée de main, la vidant d’une traite. Cette soirée commençait si bien !

Revenir en haut Aller en bas
MODERATEUR
Jonathan Weathy

Et si tu nous disais tout de toi ?
Groupe: Delta
Etudes: Sport
Relations:
Jonathan Weathy

| Messages | : 1766
| Points | : 855
| Date d'inscription | : 21/08/2010
| Age | : 32
| Célébrité sur l'avatar | : Kellan Lutz

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyMar 6 Déc - 17:39

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Tumblr_lp453sGcej1qbt85do1_500


All I Want For Christmas Is You. Évidement en cette période cette chanson était sur tout les onde radio et passer un nombre incalculable de fois dans la journée, résultat : je commençais a la connaître par coeur cette foutue chanson qui représentais trop bien mon état d'esprit du moment. Oui, la chanson avait raison, pour Noël je ne voulais qu'elle et uniquement elle. Amy. La fille qui avait su me dompté, m'avais appris a aime, mais m'avais aussi fait faire des truc incroyable pour elle, comme allez casser la gueule a un de mes ex amis qui lui avait fait du mal après que j'ai quitté L.A, oh oui, elle me rendait dingue de chez dingue et cela ne datait pas d'hier. Mais même si on avait vécu un longue période très difficile, chacun de notre coté, elle a Los Angeles et moi, à New York, finalement tout c'était a peu près arrangé ces derniers mois, pour mon plus grand bonheur. Bien sur, tout raconter serait vraiment trop, et trop compliquer, moi même je ne comprenais pas la moitié des choses qui m'était arrivé depuis ce fameux soir, ou j'étais tombé sur Amy dans une boite après une discussion houleuse et douloureuse pour elle, comme pour moi, je m'étais rendu compte que malgré tout, je l'aimais encore, plus que je ne pouvais l'expliquer avec des mots, plus que je pouvais aimer une autre qu'elle. J'avais l'impression d'avoir trouver la femme de ma vie, vraiment, avec qui je me marierais, avec qui j'aurais des enfants, un avenir tout simplement. Tout cela me semblait tellement vrai, tellement proche, tellement accessible avec Amy que je me prenais a rêver de tout çà. Cela faisait quelque jours que nous étions arrivés a Los Angeles elle et moi mais nous n'avions pas beaucoup eu l'occasion de nous voir, chacun prit dans sa famille mais là, c'était le grand soir, Noël, la fête annuelle chez Porter, et j'y allais avec toute ma famille. Assis sur mon lit, mon portable en main, je venais de répondre à un sms d'Amy qui me demandais si on pouvais arrivée plus tôt. Quand je la pensais la-bas, toute seule, au milieu des derniers préparatifs, de sa mère montait sur ressorts, j'avais vraiment envie de la rejoindre rapidement mais je devais attendre mes parents et ma soeur. C'était vraiment bizarre de me retrouvé chez mes parents, de dormir dans ma chambre d'ado, de devoir écouter mes parents étant sous leur toit mais je me disais que cela ne durerait pas, et puis, j'avais vécu ici pendant 20 ans après tout.

John ! On y va ! Lança ma mère, Karen, au bas de l'escalier. N'oublie pas de prendre ton paquet surtout !

Je souris avant de secouer la tête. Aucun risque que j'oublie ce paquet là, faite-moi confiance. Je me levais de mon lit, attrapais le petit paquet sur mon bureau et le glissait dans ma poche. J'étais stressé, vraiment stressé. Je sentais que j'étais prêt, prêt a être vraiment en couple avec Amy. Je n'en revenais pas qu'elle est attendu tout ce temps, qu'elle m'est attendu durant de longues semaines. Mais je crois que je l'avais assez fait attendre, et je crois que c'était le moment parfait pour lui dire que j'étais prêt, que je la voulais a mes cotés, vraiment. Je quittais ma chambre, dévalais les escalier et rejoignais ma famille au grand complet, tous sur leur 31, beaux, parfait. Je leur souris et nous partîmes tout les 4, comme avant, comme quand j'étais toujours chez eux, bien avant que je ne grandisse et que tout devienne plus compliqué dans ma vie. Je m'installais derrière mon père, ma soeur a ma droite, comme depuis toujours. Sur le trajet ne pu m'empêcher d'être nostalgique du temps ou j'empruntais ce chemin plus souvent que celui qui menait chez moi, pour rejoindre Amy. C'est comme dirait mon père, le bon temps. Après seulement 10 minutes, nous étions arrivés. Je posais une main sur le haut de la veste, sur le petit mont que former mon cadeau. Puis je quittais l'habitacle de la voiture, attendais ma famille avant d'aller droit sur la porte d'entrer des Porter, le coeur battant. Mon père sonna, ma mère nous souriant a tous, et ma soeur me dit son regard du genre « Il va voir Amy nananère » une vraie gamine ! Évidement, ce fut elle qui ouvrit la porte, un grand sourire sur ses belle lèvres légèrement colorées. « Bonsoir !! » Je souris, Amy dans toute sa splendeur. Elle s'effaça avec grace, et après quelque formalité de base, elle nous remerciât d'être venue. J'allais discrètement tenté de lui parler, de lui dire qu'elle m'avait manquée mais sa mère arriva, en maitresse de maison parfaite. « Karen, William ! Que je suis heureuse de vous voir ! » Lança t-elle a mes parents avant de venir les salués. Bon ben on dirais que cette soirée est bel et bien ouverte. Du coin de l'oeil je vis Amy sourire en regardant la scène et je souris moi-aussi.« Et Jonathan ! Ça me fait très plaisir de vous revoir tous ! » Et elle fit de même qu'avec mes parents et elle finit par ma soeur. Elle nous proposa de prend nos manteau mais moi je n'avait qu'une veste de costard et puis, hors de question que je me sépare du cadeau. Puis madame Porter se tourna vers Amy et je fis de même. Amy était belle, vraiment très belle. « Amy ! Mais qu’est-ce que c’est que cette tenue ? Vous n’êtes pas encore prête ? Vous venez ouvrir aux invités habillée de la sorte ? Jeune fille, montez immédiatement vous changer ! » lança t-elle alors que je restais bouche bée. Waw, mais sa robe était magnifique, je ne voyais pas ou était le problème moi ! J'aurais aimée faire quelque chose pour Amy mais avec nos parents a cotés, j'étais coincé. Pauvre Amy. Je la vis écarquillais les yeux, ouvrir légèrement la bouche, surement pour protesté.« Les enfants de nos jours, je vous jure… » dit t-elle en regardant mes parents « Filez, allez, hop, ne restez pas dans cette tenue plus longtemps, les invités ne devraient plus tarder désormais ! J’ai fait mettre dans votre armoire une nouvelle robe Versace, vous n’avez qu’à mettre celle-ci puisque visiblement, vous avez été dépassées par les évènements, petite tête de linotte ! » Outch … Je regardais Amy, presque en colère contre sa mère du lui faire çà devant tout le monde, comme çà. « Bien entendu, je suis désolée de vous avoir embarrassé de la sorte, je ne sais pas ce qu’il m’est passé par la tête ! Je vais passer une tenue convenable de suite. » Dit Amy avant de tourner les talons et de mon dans sa chambre se changés. Je soupirais et me contentait de suivre un peu le fils des conversation, ainsi que suivre mes parents et les siens jusqu'à la salle ou se tiendrait la réception. Je me posais dans un coin et attendit qu'Amy revienne. Ce qu'elle fit 10 minutes plus tard, encore plus époustouflante dans sa nouvelle robe. Elle salua les invites arrivé entre temps et elle vient vers moi. Je lui souris. Puis elle glissa son bras sous le miens et vient jusqu'à mon oreille. « Je suis là, je suis là, tu n’as plus rien à craindre, le grand méchant loup ne pourras plus te nuire ! » Je ris doucement et mon visage s'illumina, oui j'étais content d'être là par ce qu'elle était là. Je m'approchais a mon tour de son oreille.

- Moi, personnellement, je préférais la première robe. Lui dis-je tout bas. Mais celle-là te va vraiment a ravir ma princesse.

Elle sourit puis attrapa une coupe de champagne, du coin de l'oeil, je vis mes parents discutés entre eux, avec ma soeur, et puis les parents d'Amy arrivèrent. Je retenais mon souffle. Oh oh … « Amy, n’oubliez pas ce que je vous ai dit ! Deux, pas plus ! Je ne veux ni alcoolisme ni embarras lors de cette soirée, c’est bien compris ? » Je soupire discrètement alors qu'Amy repose sa coupe de champagne. Amy m’avait prévenu de la situation mais le voir en direct cela faisait un choc, surtout en comparaison de mes parents a moi, qui étaient vraiment très souples et compréhensifs. « Je préfère ça ! Cette robe vous va beaucoup mieux, n’est-ce pas Charles ? » Dit sa mère en regardant son père en souriant. « Aussi belle que sa mère. » Répondit son père en caresse rapidement sa joue et sur ce point j’étais d’accord avec lui : Amy était superbe. Eblouissante. Parfaite en tous point. « Et évitez les petits fours ! Pas vous Jonathan, servez-vous autant que vous le souhaitez… Mais Amy… » Lance sa mère un dernière fois avant de partir voir les invités. Je secoues la tête abasourdis. Amy prend une coupe de champagne, je la regarde en souriant et me rapproche d’elle discrètement.

- Bonsoir toi … Tu sais que tu m’a manqué ? Lui dis-je en souriant, histoire de lui faire pensée a autre chose, qu’elle soit bien. Alors ? Comment tu va ? Lui demandais-je. Tu est vraiment très belle Amy, ton père a raison ! Bon, on y est comme dirais mon père … Pas trop stressée ?

Spoiler:


Dernière édition par Jonathan Weathy le Ven 23 Déc - 23:46, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité


« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyMar 6 Déc - 21:29

Jonathan & Amy
« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… »

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-7056916-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-amber-heard-15261263-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-22432963-100-100« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-3-amber-heard-21251918-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-3-kellan-lutz-13232315-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Lovely-Amber-amber-heard-25242779-100-100

Come what may – Moulin Rouge (soundtrack)




    Depuis le siège de ma coiffeuse, je regardais Los Angeles par ma fenêtre. La belle et sublime Los Angeles. Dieu que j’aimais cette ville. Ici, les gens étaient simples et souriant, il faisait toujours beau et chaud (bon, en hiver, c’est un peu exagéré de parler de chaleur, mais tout de même, ce n’est pas la Californie pour rien !), les jus de fruits étaient fait avec de vrais fruits (ça me manquait d’aller prendre mon smoothie quotidien ou mon thé avant d’aller en cours ! A New-York, c’était exclusivement du café… sans doute pour ça que les gens étaient de mauvaise humeur sans cesse d’ailleurs !), l’eau dans laquelle on se baignait était chaude… Los Angeles, c’est le paradis quoi… Je n’y étais que depuis quoi… Une semaine ? Même pas ?... que déjà je n’avais plus envie de repartir, je retrouvais mes marques. Jonathan et moi ne nous étions vus qu’une fois, lorsqu’on avait été rendre une petite visite surprise à Joy, qui aujourd’hui m’adorait (notre première rencontre n’avait pas été la plus joyeuse du monde, elle n’avait cessé de m’observer avec ses yeux de petite fille adorable qui analyse si vous êtes une gentille ou une méchante, et fronce les sourcils quand vous vous approchez trop de Jonathan, qu’elle considérait comme un frère –ou un père – de substitution). Nous n’avions pas eu d’autre occasion de nous voir et… je dois bien avouer qu’il me manquait… J’avais promis d’être patiente, d’attendre, de l’attendre, le temps qu’il faudrait, mais ça devenait de plus en plus dur… Savoir qu’il m’aimait toujours, et ne pas pouvoir me suspendre à ses lèvres chaque fois que nous nous voyions, même par le plus grand des hasards, c’était devenu une torture quotidienne. Mais ce soir, non. Ce soir, il venait, accompagné de ses parents et de sa sœur. Dans ma maison. Chez moi. Pour toute la soirée. Le rose aux joues à cette simple idée, j’étais sur un petit nuage… Ce qui expliqua ma précipitation dans les escaliers lorsque j’entendis sonner à la porte, me doutant que c’était lui, malgré mes talons hauts. Ils entrèrent tous les quatre dans mon hall, et jusque-là, tout était parfait… Quand je dis « jusque-là », c’est-à-dire jusqu’à l’arrivée de ma mère, et ses critiques sur mes choix vestimentaires. Quoi ? Mais elle était belle ma robe ! Simple, naturelle, accordée à des talons clairs, un maquillage naturel… Mais non. Ce n’était pas assez pour Madame Williams. Rien de ce que je faisais par moi-même n’était assez pour ma mère de toute façon. M’excusant comme une enfant honteuse d’avoir été prise la main dans le pot de cookies, je montais enfiler une autre tenue, les joues brûlantes, sentant le regard de Jonathan dans mon dos. J’avais tellement honte qu’il ai assisté à cette scène… Ma mère pensait toujours faire au mieux, et je savais, par ces mots gentils, qu’elle m’aimait, mais elle n’avait pas conscience je pense que ses mots, ses remarques pouvaient être blessantes, surtout pour une enfant, une adolescente, une jeune fille, une jeune femme… Je me changeais complètement, enfilant la nouvelle robe, une paire de talons assortis à celle-ci, changea de coiffure et accentua mon maquillage, assombrissant mes yeux. Voilà. Ainsi, je serais sans doute plus présentable. Le tout me prit une petite dizaine de minutes et lorsque je revins dans la salle de réception, la première chose que je fis fût d’aller vers Jonathan. Emily semblait passionnée par la sculpture de glace, et je passais à côté d’elle, la frôlant avec un sourire, juste pour la remercier d’être là, et l’inviter à faire comme chez elle, avant de rejoindre, le cœur battant au fur et à mesure que j’avançais vers lui, celui qui me faisait tourner la tête… « Je suis là, je suis là, tu n’as plus rien à craindre, le grand méchant loup ne pourra plus te nuire ! » Le sourire sur son visage me fit chaud au cœur et, si j’avais été cette statue de glace qui semblait tant captiver Emily, nul doute qu’à l’heure actuelle, je n’aurais plus été qu’une petite flaque d’eau écarlate sur le sol. Il se pencha doucement vers moi, et je sentis mon épiderme frissonner alors qu’il approchait sa bouche de mon oreille, son souffle chaud me chatouillant doucement. « Moi, personnellement, je préférais la première robe. Mais celle-là te va vraiment à ravir ma princesse. » Mes joues s’empourprèrent et je baissais soudainement les yeux, rougissante, la gorge asséchée. Etais-ce à cause du compliment ou du « ma princesse » lancé si naturellement, comme il le faisait avant, avant toutes ces histoires, comme si… rien ne s’était passé et tout était redevenu comme avant ? Je relevais très rapidement les yeux vers lui, un mince sourire venant creuser ma fossette sur ma joue droite, et saisit une coupe de champagne, pour « réhydrater » ma gorge en feu. C’est forcément le moment que choisirent mes parents pour passer devant nous, et la remarque de ma mère fusa aussitôt. Speedy Gonzalez, s’il vous plaît ! Je reposais immédiatement la coupe de champagne, me contentant d’avaler ma salive (bien piètre consolation…) Le soupire que pousse Jonathan se veut discret, mais je l’entends bien entendu, me trouvant juste à côté de lui, et je sens mon cœur se serrer dans ma poitrine, tandis que la honte me submerge. Que ma mère agisse de la sorte, encore, j’y suis habituée… Mais devant Jonathan… Je me sens tellement minable après ! Heureusement, mon père est là pour sauver (si on peut dire ça…) les apparences, caressant doucement ma joue, comme quand j’étais enfant, me complimentant. Compliment que ma mère gâcha bien vite lorsque, en s’éloignant, elle me rappela d’y aller mollo sur les canapés. Je baissais les yeux et passais une main sur mon ventre. Quoi, elle me trouvait obèse maintenant ? Je me contentais de me mordre l’intérieur de la joue, adressant à mes deux parents un sourire alors qu’ils filaient se livrer à des mondanités et d’autres, et chipa une coupe sur un plateau alors qu’un serveur me passait juste sous le nez, la vidant d’une traite, pour la reposer sur un autre plateau qui passait par là. Un peu de « courage » était nécessaire pour survivre à cette soirée. Et tant pis s’il fallait que je trouve ce courage dans du champagne. « Bonsoir toi … Tu sais que tu m’as manqué ? » Je lui souris doucement, soudainement plus qu’heureuse de me trouver ici, dans cette pièce, avec lui…

    « Bonsoir à toi aussi… »

    Ma voix s’est considérablement adoucie, et mon regard brille d’une flamme qui n’a jamais brillé que pour Jonathan… Si tu savais ô combien tu m’as manqué ! Alors ? Comment tu vas ? » Je tente le sourire le plus convainquant que j’ai en réserve. On y croirait presque vous ne trouvez pas ?

    « Ça va, ça va ! » répondis-je. Mmm… Moyennement crédible non ? Je me rapproche doucement de lui « Si… ça va vraiment… Tu es là… »

    Et si là on peut y croire, c’est parce que c’est tout simplement la vérité. Le simple fait qu’il soit là suffit à enchanter ma soirée. Je lui souris doucement, remettant en place son nœud.

    « Et toi ? Pas trop à l’étroit dans ton costume de pingouin ? » Je ris doucement, laissant glisser mes mains le long du tissu soyeux que je lui ai ramené d’Italie… « Tu es magnifique Jonathan… »

    A couper le souffle en fait ! D’ailleurs, il faudrait peut-être que je pense à respirer moi, non ? Je n’ai pas envie de jouer le remake d’Avatar à la soirée de Noël de mes parents sous crainte de me voir enfermée dans une tour jusqu’à la fin de mes jours… « Tu es vraiment très belle Amy, ton père a raison ! » Je lui souris doucement, tandis que mes lèvres murmurent un « Merci » reconnaissant. « Bon, on y est comme dirais mon père… Pas trop stressée ? » Je réfléchis une seconde, me mordillant doucement la lèvre inférieur, comme j’en ai l’habitude, avant de répondre, avant un petit rire, les bras croisés sur mon ventre :

    « En fait si… »

    Si, je suis morte de trouille, stressée à mort ! Je lui adresse un petit sourire penaud. J’ai tellement peur de tout foirer avec lui… De faire une boulette, de dire un truc, qui le fera fuir plutôt que tomber dans mes bras… Je n’sais pas sur quel pied danser car, comme je l’ai déjà dit, si je respecte sa demande, ça devient de plus en plus difficile… Il suffit de prendre l’exemple de l’instant présent : je suis là, debout, à quelques centimètres de lui… Et j’ai follement envie de l’embrasser. Et je n’en fais rien, pour ne pas le brusquer. Qui a dit que la vie des jeunes gens étaient facile, belle et frivole ?

Revenir en haut Aller en bas
MODERATEUR
Jonathan Weathy

Et si tu nous disais tout de toi ?
Groupe: Delta
Etudes: Sport
Relations:
Jonathan Weathy

| Messages | : 1766
| Points | : 855
| Date d'inscription | : 21/08/2010
| Age | : 32
| Célébrité sur l'avatar | : Kellan Lutz

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyLun 19 Déc - 23:42

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Tumblr_lp453sGcej1qbt85do1_500


Ah Noël, le moment de l'année ou toute les familles sont réunis. J'aimais Noël, j'avais toujours trouver cool que toute les membre de ma famille passe un bon moment ensemble autour d'un bon repas que ma mère mettait des heures a préparer avec l'aide de toute la famille, mon père, ma soeur et moi. C'était vraiment un bon moment pour parler, pour partager des souvenirs qui le plus souvent quand il venait de ma mère nous mettait mal a l'aise mais l'ont finissait toujours par en rire. La famille avait toujours eu une grand place dans ma vie, je dirais même qu'elle tenait la première place. Mais cette année c'était différent, différent dans le sens ou cette année ma famille et moi allions fêter Noël chez les Porter, les parents d'Amy. Un avant goût de se qui nous attend dans le futur ? Enfin, faudrait déjà qu'Amy et moi on se remette ensemble et même si j'avais prévus de lui parler dans la soirée, il faudrait déjà qu'ont puisse avoir un moment tranquille, seule à seul pour que l'ont puisse parler tranquillement, et avec nos parents dans la maison cela ne serait pas facile de nous éclipsés ce soir, mais je ne désespérais pas, j'avais confiance en moi, en elle, et surtout, plus que jamais, foi en nous deux. Je savais que je l'aimais et que je ne supporterais pas plus longtemps de ne pas l'avoir a mes cotés. Je l'avais déjà fait assez attendre que je me décide a sauter a nouveau le pas avec elle, fort que nous ayons réussis a régler, plus ou mois, tout nos problème. Amy était surement la femme de ma vie et je me considérais chanceux de l'avoir rencontré si tôt même si nous avions aussi vécu l'enfer. Alors nous voilà tout les deux, moi en pingouins, elle en super robe de soirée, chez ses parents, les miens discutant avec les autres invités. « Bonsoir à toi aussi… » Me dit t-elle alors que je la salue comme il se doit, une fois ses parents trop loin pour qu'ils puissent nous entendre. Sa voix était bien différente de celle qu'elle avait utilisé pour parler avec sa mère, elle était plus calme, plus posée. Je la regardais, m'émerveillais devant son corps de rêve mis en valeur dans sa belle robe, son visage d'ange, ses trait parfait. Elle m'avait tant manqué, c'était vraiment incroyable, et tellement fort ce que nous avions elle et moi. Impossible a expliqué mais incroyablement vrai. Avec Amy, tout était inexplicable, incroyable, et c'est ce qui me plaisais je crois. Et dire qu'il y a encore quelque mois je la haïssais au plus point, mon coeur brisé. La vie nous joue des tours, et avec Amy ils avaient été bon, puis mauvais et de nouveau bon. J'espérais vraiment que du mauvais ne suivrait pas et je ferais tout pour çà. Je lui demande alors comment elle va, car je savais qu'avec ses parents c'était pas très joyeux, et puis, après ce que j'avais vu de mes propres yeux ce soir, je comprenais tout a fait qu'elle ne soit pas aux anges, surtout avec sa mère surtout avide de critique envers sa parfaite fille. « Ça va, ça va ! » Je fronce les sourcils, pas convaincu du tout par sa réponse. Elle ne pouvait jamais me trompé, les autres peu être mais moi non, je la connaissais trop bien, par coeur presque alors jamais elle ne pourrait me tromper sur ce qu'elle ressentait vraiment, sur ce qu'elle pensait, j'étais vraiment certain de la comprendre mieux que personne. « Si… ça va vraiment… Tu es là… » Je lui souris, histoire de lui faire comprendre que oui j'étais, presque uniquement pour elle, pour ses beaux yeux me regarde tel qu'ils le font maintenant. Elle m'avait vraiment manqué, et il était impossible pour moi de m'imaginer plus longtemps sans elle a mes cotés mais tout cela serait bientôt fini, ce soir normalement, j'étais vraiment décidé a ce que ce soir, tout change entre elle et moi, qu'elle reprenne la place qu'elle a toujours eu dans ma vie, dans mon coeur, la place que je voulais qu'elle prenne. J'aurais voulu la prendre dans mes bras, serrais sa main pour qu'elle voit que je serais toujours la pour elle, qu'elle pouvait compter sur moi, tout le temps, jour et nuit. Elle me sourit, et je su que cela aller un peu mieux. «Et toi ? Pas trop à l’étroit dans ton costume de pingouin ? » Elle se mit à rire tout en touchant du bout des doigts le tissu qu'elle m'avait elle-même rapporter de son voyage en italie, à Rome avec sa camarade de chambre, et meilleure ami. « Tu es magnifique Jonathan… »

Je t'avoue que je me sentirais mieux en jogging et tee-shirt mais bon, il parait selon ma mère, qu'il faut que je fasse un effort pour cette fois ! Dis-je ne riant. Alors me voilà en pingouin, profite-en par ce que c'est pas demain la veille que tu me reverra comme çà, crois-moi ! Dis-je en riant doucement. Je la regardais, touché par son compliment. Merci … C'est grace au super costume que tu m'a ramenais d'Italie, il fait tout !

Je souris en la regardant. Sans que l'ont s'en rende compte, nous nous étions instinctivement rapprochés, sans que nous ne nous en rendions compte. C'était naturelle, inconscient. Nous devions toujours être près l'un de l'autre, fusionnel comme personne. J'avais vraiment besoin d'elle mais je ne m'expliquais en aucun cas le pourquoi de se besoin. Mais avec le temps, les disputes, les choses que l'ont regrettés elle comme moi, nous étions aussi liés l'un à l'autre et je n'avais vraiment pas envie que cela change un jour. Je lui dis alors qu'elle était belle, et en la regardant bien peu de mot était assez fort pour la représenter, la définir, dans sa superbe robe, son visage éblouissant. Elle me remercie du bout des lèvres, ce que je trouve charmant. Puis, je lui demandais si elle n'était pas trop stressée par la soirée, et le reste par ce que je me doutais que cela n'était pas forcement la joie pour elle surtout avec sa mégère de mère là et puis, pleins d'autre choses … « En fait si… » Je grimaçais, légèrement mal à l'aise. Je savais que j'y étais un peu pour quelque chose, sans vouloir me venté. Elle aussi me rendait nerveux, vraiment très nerveux, comme si nous étions revenu au tout début de notre relation, alors que clairement, ni elle, ni moi, n'étions plus des ados. Je m'approchais d'elle encore un peu plus.

Ecoute Am' … Je la regardais, cherchant mes mots. Je crois que je suis aussi stressé que toi tu sais. Je veux vraiment que toute ce passe bien … M'exprimais-je en quittant son regard quelque seconde avant de m'y replongé avec délice. Je veux pas te faire flipper, même si je sais que tu va flippé quand même, mais humm … J'ai un cadeau pour toin pour Noël et il faudrait qu'ont puisse se parler tranquille toi et moi, j'ai quelque chose a te dire, même si tu dois t'en doutée un peu. Terminais-je en souriant.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité


« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyMar 20 Déc - 3:43

Jonathan & Amy
« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… »

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-7056916-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-amber-heard-15261263-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-22432963-100-100« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-3-amber-heard-21251918-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-3-kellan-lutz-13232315-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Lovely-Amber-amber-heard-25242779-100-100

Come what may – Moulin Rouge (soundtrack)




    De retour dans la salle, après quelques derniers mots échangés avec Nanny (à croire qu’elle était la seule personne dans cette maison qui parvenait à me mettre à l’aise –oui, même Jonathan me stressait… Quelque part, c’était logique me direz-vous !), j’eus quelques politesses diverses et variées pour le gratin présent dans ma salle de réception (mode petite fille parfait : ON), avant de rejoindre la personne qui m’importait le plus dans cette pièce… Le grand et beau jeune homme, qui semblait tout sauf à l’aise dans son costume ! Mes lèvres pulpeuses s’élargirent en un mince sourire, tandis que mon cœur battait la chamade dans ma poitrine, douce mélodie (Boum Boum Boum Boum !) au rythme de mes pas me rapprochant de lui.
    « Bonsoir à toi aussi… » Et voilà, le simple fait de me retrouver près de lui suffisait à me faire oublier toute cette histoire avec la femme que j’appelais ma mère… Pas que soudainement, un immense soleil venait de chasser les sombres nuages, les oiseaux se mettaient à gazouiller, et ma vie devenait plus belle (quoique…) puisqu’il me mettait tout de même extrêmement mal à l’aise, mais tout de même. En fait, je ne savais jamais trop comment réagir avec le jeune homme… je devais me faire violence pour ne pas me suspendre à ses lèvres chaque fois que je le voyais, car je lui avais promis d’attendre, qu’il soit prêt, s’il l’était un jour, mais ses mots, ses gestes, ses sourires… Le simple fait qu’il soit là, près de moi, agissant comme il le faisait, me regardant comme il le faisait, comme avant, ou plutôt non, pas comme avant, plutôt comme si soudainement, il me redécouvrait, comme s’il ne m’avait jamais vu… C’était troublant, et je ne savais plus où donner de la tête ! Inquiet et prévenant comme à son habitude, le jeune homme me demanda comment j’allais et, comme à mon habitude, je répondis par le fameux « ça va, ça va », qui tentait de camoufler le fait qu’en réalité, ça n’allait pas si bien que ça, mais qu’on faisait comme si… Il fronça les sourcils. Bien sûr qu’il fronça les sourcils, il ne pouvait en être autrement… Jamais Jonathan ne me croyais… Il devait avoir un radar ou quelque chose comme ça dans le crâne, parce qu’il savait toujours quand je mentais ou pas. Un radar à Amy… C’était une idée des plus plaisantes… « Si… ça va vraiment… Tu es là… » Et cette fois, c’était vrai. Avec le jeune homme à mes côtés, je ne pouvais qu’aller bien… Dire qu’il y a quelques mois, c’était encore une torture de me tenir là… A le regarder amouraché d’une autre que moi, heureux, et moi, pauvre cruche, amoureuse de lui encore et toujours, me haïssant toujours pour ce que je lui avais fait (chose qui aujourd’hui était toujours vraie !), espérant sans plus oser espérer qu’il finirait par me revenir, essayant à la fois de le reconquérir et de m’écarter de sa vie… Paumée, on peut dire que je l’étais oui… Et aujourd’hui quoi ? Lui, moi, chez mes parents, à nous regarder, nous sourire… Et l’espoir qui avait refleurit en moi, l’espoir qu’un jour, il me prendrait la main et, en plongeant ses merveilleux yeux dans les miens, il me dirait qu’il se sentait prêt à retenter l’expérience avec moi… C’était cet espoir, d’une promesse qui me faisait tenir, me permettait de l’attendre, sans le moindre regret.
    « Et toi ? Pas trop à l’étroit dans ton costume de pingouin ? » « Je t’avoue que je me sentirais mieux en jogging et tee-shirt mais bon, il parait selon ma mère, qu’il faut que je fasse un effort pour cette fois ! Alors me voilà en pingouin, profite-en parce que c’est pas demain la veille que tu me reverra comme ça, crois-moi ! » Je ris doucement, tout en laissant glisser mes doigts le long du tissu.

    « Dommage… Tu as un charme fou vêtu de la sorte… »

    Je lui souris doucement et, venant me mettre sur la pointe des pieds, mes deux mains à plat sur son torse musclé pour ne pas tomber, j’approchais ma bouche de son oreille.

    « Merci d’avoir fait l’effort pour moi… »

    Mes lèvres glissèrent l’espace d’une seconde le long de sa joue, sans pour autant s’y apposer avant de l’embrasser, et je revins me placer comme je l’avais été précédemment, c’est-à-dire face à lui, à une distance « raisonnable ». « Tu es magnifique Jonathan ». « Merci… C’est grâce au super costume que tu m’a ramené d’Italie, il fait tout ! » Je ris doucement, en secouant la tête.

    « Oh non ! Crois-moi, c’est toi qui fait tout… N’importe quel autre homme pourrait porter ce costume dans la salle, il n’en resterai pas moins que tu le portes à merveille… »

    Lorsqu’il me demanda par la suite si je n’étais pas trop stressée, je lui avouais la vérité dans un petit rire…. Ô si, j’étais stressée, bien plus qu’on ne pouvait le croire… Pas uniquement par cette soirée, ma mère qui me surveillait pour que je ne mange pas trop, ne boive pas trop, ne parle pas trop fort, ne dise pas de chose déplacée, bref, ne fasse aucun faux pas susceptible d’entacher l’image que ma famille donnait… Mais aussi (et surtout je pense !) par la présence de Jonathan… Doucement, il fit un pas vers moi, et je me rendis alors compte que nous nous étions beaucoup plus rapprochés que je n’aurais pu le soupçonner… A croire que nos corps, indépendant de notre volonté propre, avaient décidés de céder à leurs pulsions premières, avide de celui de l’autre ! « Ecoute Am’… Je crois que je suis aussi stressé que toi tu sais. » Je souris doucement. Ah, le stress… Vilain stress ! Je veux vraiment que tout se passe bien… Je veux pas te faire flipper, même si je sais que tu vas flipper quand même (ça y est, il me faisait flipper !) mais humm… J’ai un cadeau pour toi, pour Noël et il faudrait qu’on puisse se parler tranquille toi et moi, j’ai quelque chose à te dire, même si tu dois t’en douter un peu. » Mon cœur bondit dans ma poitrine, et je vacillais l’espace d’un instant… Mon dieu, étais-ce possible ? Etais-ce possible que ce soit ce que je pensais ? Etais-ce… Mon dieu… J’inspirais brusquement, comme si mes poumons s’étaient soudainement vidés de leur air, et que j’allais suffoquer, et leva mon regard à la fois plein d’espoir, et un brin effrayé peut-être, vers Jonathan… Je réfléchis une seconde en détournant la tête… Parler, seul à seul…

    « Le patio… »

    Je relevais la tête vers lui, un sourire songeur venant étirer mes lèvres. Du coin de l’œil, j’aperçus mon père me faire un signe de la main, l’air de dire « Viens là, il faut que tu vois quelqu’un pour jouer à la famille parfaite ! », et je poussais un petit soupir, lui adressant un signe positif de la tête…

    « Vas m’y attendre, je te rejoins dans deux minutes… »

    Les yeux pétillants, j’exerçais une légère pression sur sa main, avant de m’éclipser à regret, traversant la salle pour rejoindre mes parents, en grande discussion avec un homme que je ne connaissais pas le moins du monde. « … et quand on parle du loup… Amy, ma chérie, justement, nous parlions de toi… Je tenais à te présenter Maître Weber, l’un des membres de la Cour Suprême, que nous avons l’honneur d’avoir chez nous ce soir ! » Mes yeux s’écarquillèrent de surprise, et je serais la main de l’homme, timidement. « Ma fille fait des études de droit… A la Great Academy cependant (dans sa bouche, ça sonnait presque comme une insulte !) Nous aurions préféré la voir intégrer Harvard, mais que voulez-vous… Les enfants sont si têtus de nos jours ! » Je dû me retenir pour ne pas lever les yeux au ciel. « J’ai entendu dire que cette Université avait d’excellent professeur en droit, et un très fort tôt de diplômés des plus talentueux ! » Je remerciais le juge d’un sourire discret… Il prenait le risque de prendre mon parti contre ma mère, c’était plutôt risqué de sa part… Mais peut-être que de l’entendre de la bouche d’un homme si important rassurerai ma mère, qui cesserai enfin de me reprocher d’avoir choisi cette université-ci, et pas une autre. « Vraiment ? Eh bien, je suis heureuse de l’apprendre… Maintenant, il ne lui reste qu’à travailler pour finir majeure, et elle aura des chances d’obtenir un travail convenable… N’est-ce pas chérie ? » Je hochais doucement la tête, vaincue. De toute façon, ça ne servait à rien de tenter de se battre avec ma mère.

    « Bien entendu ! Je vous promet de faire mon maximum pour ne pas vous décevoir ! »

    Ma mère me caressa doucement la joue, comme pour me congédier. « Le maximum n’est pas assez, c’est l’excellence qu’il faut viser. » Je tournais les talons. Mon regard se porta sur l’endroit où Jonathan et moi étions quelques instants plus tôt, et voyant qu’il n’y était plus, je pris la direction des portes de la salle, pour sortir de la salle de réception, et gagner les portes fenêtres qui donnaient sur l’extérieur, le jardin, et le fameux patio, que j’aimais tant pour le kiosque qui y avait été installé, toujours décoré de guirlandes lumineuses lorsque venaient les fêtes. Mon côté romantique sans doute ! Une silhouette s’y tenait déjà, et je marchais en direction de celle-ci. Lorsqu’elle se retourna, je souris à Jonathan.

    « Désolée… J’espère que tu n’as pas attendu trop longtemps dans le froid ! »

    Je gravis les trois marches du kiosque, et m’approcha doucement de lui, incapable de cesser de lui sourire, le cœur battant dans ma poitrine.

Revenir en haut Aller en bas
MODERATEUR
Jonathan Weathy

Et si tu nous disais tout de toi ?
Groupe: Delta
Etudes: Sport
Relations:
Jonathan Weathy

| Messages | : 1766
| Points | : 855
| Date d'inscription | : 21/08/2010
| Age | : 32
| Célébrité sur l'avatar | : Kellan Lutz

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyVen 23 Déc - 23:43

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Tumblr_lp453sGcej1qbt85do1_500


Pourquoi fallait toujours que l'ont stresse ? C'est vrai, le stresse ne sert a rien, vraiment, surtout quand ont sait très bien que ce que l'ont compte faire l'autre l'attend depuis si longtemps ! J'avais pourtant tout dans ma tête, ce que j'allais lui dire, tout. C'était le moment parfait, c'&tait clair dans ma tête, je devais le faire, elle comme moi avions déjà beaucoup trop attendu pour çà, par ma faute. J'avais voulu prendre un peu de recule, la séparation avec Kim avait été particulièrement dur a digéré, et puis avait entrainé tout un tas de truc pas vraiment cool, dont mon retour sur le campus de Deltas. Bref, beaucoup de chose en peu de temps alors je lui avais demander du temps, sachant très bien que je prenais me risque qu'elle passe a autre chose avant que je sois prêt. Je ne pouvais même pas décrire vraiment ce que je ressentais en cette instant, comme si ce jour était le plus important de toute ma vie et qu'il déterminerait mon avenir. Cela peut paraitre bizarre, complètement con, mais au fond j'ai toujours su qu'un jour, je me retrouverais à cette instant, prenant a bras le corps mon avenir. J'avais toujours su qu'elle ferait partie de ma vie, et surement pour toujours. Oui, Amy Eclipse Porter était la femme de ma vie, celle avec qui je voyais un avenir radieux, avec qui je me voyais marié, père, heureux et comblé comme avec personne d'autre. Tout ce que j'avais toujours rêver était a porter de main, je n'avais plus qu'a faire le dernier pas afin de toucher et de prendre mon avenir en main et c'est bien ce que je comptais faire. Lorsque je faisais part a Amy de mon envie de lui parler seul à seule, dans un coin tranquille, je vis bien dans son regard si beau, si pure, qu'elle était partagée entre l'impatience et l'angoisse puis regarda de chaque coté, restant muette. « Le patio… » Je souris, cela serait parfait a mon avis et je vis avec plaisir qu'elle aussi avait son beau sourire sur ses lèvres et rien que çà, cela suffisait a mon bonheur, je n'avais besoin de rien d'autre que de la voir heureux, comblée pour l'être aussi. Elle était vraiment tout pour moi, plus que mes parents, mes amis pouvaient le comprendre, l'imaginaient. Puis elle se mit a soufflé alors que son père lui demander clairement de venir le rejoindre, je soupirais aussi, ayant aucune envie d'être séparé d'elle, de la laissée partir. Mais c'était son père et même si je savais qu'elle non plus ne voulait pas partir, mais elle n'avait pas le choix, et puis, elle me reviendrait bien assez vite, enfin, je l'espérais. « Vas m’y attendre, je te rejoins dans deux minutes… » Je hochais la tête, tachant de ne pas montrer mon mécontentement, pour lui facilité la tâche. Elle pressa doucement ma main, me regarda avec son regarde pétillant, je souris lui souris avant de la regarder filer vers ses parents qui de mon avis, ne méritait pas une fille comme elle, surtout sa mère ! Je quittais la chaleur de la salle, et allais vers le patio, bien sur l'air était plus frais mais cela aller. Je tourne le dos a la porte fenêtre et me plonger sans m'en rendre compte dans mes pensées. Ce n'est que me bruit de la porte qu'ont ouvre qui me ramena a la réalité suivit par le bruit de talons martelant le sol. Je souris et me retournais. Elle était la, devant moi, si belle, si attirante. « Désolée… J’espère que tu n’as pas attendu trop longtemps dans le froid ! » Elle gravit les quelque marche qui la séparer de moi, et mon coeur se mit a battre fortement, a presque m'en faire mal. Je souris en lui tendant ma main dont elle se saisit. Je la tirais vers moi, le sourire aux lèvres. Je suis vraiment heureux d'être là, avec elle, tranquille.

Ne t'en fait pas, je suis du genre robuste comme garçon ! Dis-je, en riant doucement, la gardant tout près de moi, refusant de la voir loin, prenant doucement sa main dans la mienne. Je la regardais, tout sourire. Ils te voulais quoi tes parents ? J'espère qu'ils n'ont pas été trop méchant … Je la regarde en grimaçant. J'avais bien envie d'aller leur dire quelque mots a ceux-là, pas content de la fille parfaite qu'il avait. Bon, je crois que je dois me lancé non ? Dis-je le coeur au bout des lèvres, en stress. Je crois que tu sais tout çà mais j'ai besoin de te le dire, là, maintenant. T'est surement celle qui m'a fait découvrir comment aimer et être aimer en retour. Avant toi, jamais je n'avais connu çà, et après toi, rien n'était plus pareil. T'a toujours eu une si grande place dans ma vie, dans mon coeur, depuis toujours ! J'ai toujours su, au fond de moi que tu était, comment dire, la femme de ma vie tu vois, que c'était avec toi que je voyais mon avenir, et avec personne d'autre. Je prenais une inspiration, levais les yeux vers elle pour continuais de parler. Je t'aime Amy, et je veux plus être séparé de toi, c'est vraiment trop dur, j'en peux vraiment plus, même si à la base, c'est moi qui ai voulu du temps pour réfléchir et tout çà, mais maintenant c'est terminé, je suis prêt, vraiment prêt pour être avec toi, comme avant … Non, mieux qu'avant même ! Je la regardais, serrant sa mains, guettant une réaction de sa part. Je lâchais alors sa main, et fouillais rapidement dans la poche de ma veste pour en sortir un petit étui a bijou : le cadeau de Amy, une bague en argent. Hum, je sais que normalement les cadeaux c'est plus tard, mais je crois qu'il vaut mieux que je te le donne ici, tant que nous somme tranquille, par ce que sinon, je crois que cela serait … Enfin bref, voilà ton cadeau. Soufflais-je en lui tendant le petit paquet. Joyeux Noël Amy …

Enfin terminé. Je respirais beaucoup mieux maintenant que je n'avais plus a parler devant Amy qui me rendait toujours nerveux comme pas possible, je ne savais pas ce qu'elle m'avait, ni comment elle avait fait, mais elle me retournais le cerveau. Dès qu'elle était là, il n'y avait plus qu'elle, et je devenais tout calme, tout mielleux, et le pire, j'aimais çà avec elle. J'étais accro, et j'assumais tout a fait !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité


« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptySam 24 Déc - 2:35

Jonathan & Amy
« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… »

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-7056916-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-amber-heard-15261263-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-22432963-100-100« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-3-amber-heard-21251918-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-3-kellan-lutz-13232315-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Lovely-Amber-amber-heard-25242779-100-100

Come what may – Moulin Rouge (soundtrack)




    Les « deux minutes » me semblèrent durer une éternité. Ce n’était pourtant que quelques mots échangés avec mon père, ma mère, et l’un des invités, mais le temps sembla s’écouler tellement doucement ! Toutes mes pensées allaient à Jonathan… Une fois encore. Mon esprit était sans cesse tourné vers lui. Comme toujours depuis que j’étais tombée amoureuse de lui, il y a de cela des millénaires. Je n’avais jamais réussi à me le sortir de la tête depuis ce jour. Même après que, par ma faute, dans un moment de faiblesse, d’abandon, de tristesse, de dégoût, de fierté, et surtout de connerie, nous nous soyons séparés… Je n’avais pas réussi à l’oublier. Même lorsque j’avais tout fait pour (car oui, j’avais essayé de l’oublier…). Rien à faire. Il était tout le temps là. Au contraire même : plus j’essayais de l’oublier, plus je pensais à lui. L’amour et le cœur sont des cercles vicieux
    Après sa rupture avec Kim, Jonathan m’avait fait savoir qu’il avait besoin de temps. Par écrit en réalité. Les occasions de nous voir avaient été… minimes dirons-nous. Et j’avais dit oui. Parce que ce temps dont il avait besoin représentait un espoir. Que nous puissions reprendre notre histoire. Même si je vous avoue avoir eu des moments de doute. A plusieurs reprises, j’avais douté qu’un jour, il me revienne. Et pourtant, je l’attendais depuis qu’il me l’avait demandé. Un jour, une semaine, un mois, un an… Peu importait, il y avait toujours cette flamme en moi. L’espoir. Qu’un jour, lui et moi pourrions à nouveau former un nous tant désiré…
    C’est pourquoi enfin pouvoir quitter la chaleur de ma maison m’était si important. Dès que l’occasion s’était présentée, j’avais déguerpi sans demander mon reste, trop heureuse de pouvoir m’éclipser. Arrivée dehors, j’avais aperçu au loin sa silhouette (car je n’imaginais personne d’autre pouvant attendre dans le kiosque dans mon patio, alors que la fête battait son plein à l’intérieur de la maison !), et mon cœur bondit dans ma poitrine, me donnant littéralement des ailes, tandis que je pressais le pas pour le rejoindre au plus vite. Sa main se présenta sous mes yeux alors que je m’excusais de l’avoir fait attendre, et je m’en saisis, lorsqu’il m’attira soudainement vers lui, nos deux corps se retrouvant plus proches encore qu’ils n’avaient pu l’être plus tôt dans la salle, se frôlant presque l’un l’autre à chaque inspiration que nous prenions. Mes joues s’empourprèrent délicatement, et je lui rendis son sourire. « Ne t’en fait pas, je suis du genre robuste comme gaçon ! » Je ris doucement, alors que ses doigts venaient se glisser entre les miens, me faisant frissonner. Mon dieu, il n’y avait vraiment que Jonathan qui arrivait à me mettre dans des états pareils ! « Ils te voulaient quoi tes parents ? J’espère qu’ils n’ont pas été trop méchant… » Je lui souris doucement, secouant la tête de gauche à droite.

    « Seulement me présenter quelqu’un ! »

    Je lui adressais un sourire qui se voulait tout ce qu’il y avait de plus rassurant au monde. Je me plaignais déjà suffisamment, principalement auprès de Jonathan, je ne voulais pas risquer de l’inquiéter. De toute façon, ce n’était pas quelques petites remarques qui allaient me chambouler (quoique…), j’y étais habituée, je les entendais depuis toujours. Ça me passait par-dessus la tête à présent ! (ou presque…)
    « Bon, je crois que je dois me lancer non ? » A ces mots, mon cœur s’emballa dans ma poitrine, et je me sentis soudain faiblir. L’instant de vérité, celui pour lequel il avait demandé à me voir, en privé, seul à seul. Soudain, ma bouche fut très sèche, et je me mis à regretter de n’avoir pas songé à nous prendre deux coupes de champagne. Visiblement, il n’était pas en meilleure forme que moi. Je hochais doucement la tête de bas en haut à deux reprises, comme pour dire : « oui, vas-y, je t’écoute », chose que j’aurais été incapable de prononcer à voix haute sans bafouiller, m’emmêler les pinceaux, et pire encore. « Je crois que tu sais tout ça mais j’ai besoin de te le dire, là, maintenant. T’es sûrement celle qui m’a fait découvrir comment aimer et être aimé en retour. » Je fermais doucement les yeux, retenant un gémissement plaintif, serrant la main de Jonathan dans la mienne pour ne pas à tomber à genoux devant lui. Ô mon dieu… Enfin… C’était ça… L’entendre prononcer ces mots, ça n’avait rien à voir, strictement rien, rien, rien à voir du tout avec des mots échangés par ordinateurs interposés. C’était mille fois, dix mille fois mieux. « Avant toi, jamais je n’avais connu ça, et après toi, rien n’était plus pareil. T’as toujours eu une si grande place dans ma vie, dans mon cœur, depuis toujours ! J’ai toujours su, au fond de moi que tu étais, comment dire, la femme de ma vie tu vois, que c’était avec toi que je voyais mon avenir, et avec personne d’autre. » Je sentis les larmes me monter aux yeux, et déglutis, conservant mes paupières closes, le cœur au bord des lèvres, battant comme celui d’un lapin effrayé. « Je t’aime Amy. » Mes paupières se rouvrirent aussitôt, dévoilant mon regard bleu embué à Jonathan. Mon cœur eut un raté l’espace d’une seconde, cessant de battre dans ma poitrine, avant de repartir comme s’il reprenait vie. Je papillonnais des paupières, pour m’empêcher de me mettre à pleurer, tandis qu’une sorte de petit sourire, qui semblait ne pas y croire, se dessinait sur mes lèvres. « … Et je ne veux plus être séparé de toi, c’est vraiment trop dur, j’en peux vraiment plus, même si à la base, c’est moi qui ai voulu du temps pour réfléchir à tout ça, mais maintenant c’est terminé, je suis prêt, vraiment prêt à être avec toi, comme avant… » Je relevais mon regard débordant de larme vers le toit du kiosque, tandis qu’un petit rire (ou étais-ce un soupir ?) venaient mourir entre mes lèvres pulpeuses. Je n’arrivais pas à en croire mes oreilles. Je faillis me pincer pour être certaine que je ne rêvais pas… Tout ceci était vraiment en train d’arriver ? Jonathan était vraiment en train de me dire ça ? Tout ceci était réel ?
    « Non, mieux qu’avant même ! » Il finit par lâcher ma main, et je reportais mon attention sur lui, toujours sans un mot, suivant des yeux chacun de ses gestes, et le vis alors sortir un petit écrin de la poche de sa veste. Mes yeux s’écarquillèrent de surprise tandis qu’une moue mi surprise/mi paniquée s’installait sur mon visage. Mon regard passa de l’écrin à Jonathan, puis de Jonathan à l’écrin, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’il reprenne la parole. « Hum, je sais que normalement, les cadeaux c’est plus tard, mais je crois qu’il vaut mieux que je te le donne ici, tant que nous tranquille, parce que sinon, je crois que cela serait… Enfin bref, voilà ton cadeau. Joyeux Noël Amy… » Je continuais de le fixer et de fixer cette petite boîte, même une fois que l’écrin fut au creux de ma main. Un moment passa avant que je me trouve enfin le courage de soulever le boîtier. Je vins plaquer la main contre ma bouche pour étouffer un cri de surprise devant la bague que l’écrin refermait. Mes yeux s’ouvrirent encore plus ronds, et je relevais immédiatement le regard vers Jonathan.
    Bien entendu, tout le monde sait ce que signifie offrir une bague à une fille quand on est un garçon, amoureux de cette même fille. L’espace d’une seconde, je me mis sérieusement… à flipper. Pas que l’idée que Jonathan pose un genou à terre devant moi me déplaisait, non, loin de là, mais parce que je n’étais absolument pas prête pour ce genre de chose, pas comme ça, pas maintenant. Même si lorsque je fermais les yeux et tentait d’imaginer mon avenir, aucun autre visage que celui de Jonathan ne me venait à l’esprit. Mais non, il ne s’agissait pas là d’une demande en mariage. Grand dieu non. C’était une toute autre demande, tout aussi importante pour nous deux cependant… Tremblante, je me saisis de la bague entre mon pouce et mon index, la levant à hauteur de mes yeux pour m’émerveiller devant l’éclat de la lune et des guirlandes sur l’argent de la bague, et le reflet sur ces petites pierres blanches translucides (non, je sais, ce ne sont pas exactement des pierres !) qui la sertissaient.
    Doucement, n’en détachant pas mon regard, je vins la glisser le long de mon annulaire droit (les bagues de mariage et de fiançailles se portent à gauche quant à elle !). Elle allait à la perfection. Je la regardais en souriant, tandis que je refermais l’écrin. Il me fallut quelques secondes pour trouver la force de relever la tête vers Jonathan, qui attendait une réaction quelconque de ma part.

    « Merci… » murmurai-je d’une voix faible.

    Les mots semblaient ne pas vouloir sortir de ma bouche, mais mon regard exprimait toute la gratitude et tout l’amour que j’éprouvais pour lui, à cet instant précis, depuis toujours, et pour encore des années, des années et des années. Lentement, je vins lever ma main pour la déposer sur sa joue, en une douce caresse. Ma lèvre tremblait légèrement, et mes yeux brillaient.

    « Je t’aime Jonathan. »

    Et sur ces mots, que j’avais tant attendu de sa part, et que je pouvais enfin reprononcer sans craindre de m’effondrer par la suite, je vins saisir son visage à deux mains, l’attirant vers moi tandis que je me redressais sur la pointe de mes escarpins, et déposa mes lèvres contre les siennes. Dans ma poitrine, ce fut un véritable cataclysme. Une explosion. De bonheur. Une larme vint rouler sur ma joue, tandis que mes lèvres s’entrouvraient, et entraient à nouveau en contact avec celles de Jonathan. Bienvenue au Paradis.

Revenir en haut Aller en bas
MODERATEUR
Jonathan Weathy

Et si tu nous disais tout de toi ?
Groupe: Delta
Etudes: Sport
Relations:
Jonathan Weathy

| Messages | : 1766
| Points | : 855
| Date d'inscription | : 21/08/2010
| Age | : 32
| Célébrité sur l'avatar | : Kellan Lutz

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptySam 7 Jan - 21:28

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Tumblr_lp453sGcej1qbt85do1_500


Je crois que j'allais avoir du mal a me dire que tout çà est réel, que je ne suis pas entrain de rêver tout çà. C'était surement les meilleur vacances de ma vie, le meilleur Noël, et le meilleur cadeau dont je puisse rêver, le meilleur cadeau que j'ai jamais eu, l'avoir elle,en ce réveillon de Noël, tout était parfait, je n'avais rien a demander de plus, j'avais tout et je me sentais vraiment chanceux, comme sur un nuage et j'espèrerais ne jamais en descendre. Elle était si belle, si attirante, si touchante, et rien qu'un sourire d'elle, qu'un regard pouvait me faire aller beaucoup mieux, et oublier tout mes petite tracas qui m'embrumait l'esprit et m'empêcher d'être bien, détendus. Je savais que j'avais de la chance, que peux de gens de mon âge pouvait se venter d'avoir trouver la bonne personne, celle avec qui il se voyait finir leur vie, mais moi, moi j'avais cette chance. Bien sur ce n'était pas facile, pas facile du tout même mais au bout du compte, on y été arrivés. Et on fond, j'avais je crois, toujours sur que je finirais avec Amy, elle était la fille que j'avais le plus aimais, et que j'aimais encore comme un fou. Elle avait vraiment tout changé dans ma vie, elle m'avait même changé moi, et pour çà, elle était vraiment la meilleur. Je me rappelais les fois ou j'étais sur les nerfs, mal, elle devait le sentir par ce que sois elle débarquait devant moi, sois elle m'appelais et j'allais de suite beaucoup mieux, rien que par sa présence. Tout était parfait, et rien qu'en la regardant, je savais que cela le serait encore longtemps. J'avais sortir le grand jeu comme on dit. Une bague, mon dieu. J'étais stressé, allait t-elle lui plaire ? N'allait t-elle pas fuir, effrayée ? C'était peu être trop tôt mais je voulais qu'elle puisse se rappeller de ce Noël toute sa vie, et je savais qu'en posant les yeux sur cette bague, elle n'oublierait pas. Je la regardais alors qu'elle ouvrait l'écrin qui renfermer la bague, et je souris en voyant ses yeux s'écarquillaient. Elle savait pourtant que ce n'était pas ce que cela semblait être, mais je savais qu'elle y pensée, comme tout les jeune fille y pense. Le mariage. Mais je n'étais quand même pas aussi fou, mais j'y pensais, avec elle. Cett bague c'était aussi pour marquée le coup, aujourd'hui était un grand jours pour nos deux et aucun de nous ne l'oublierait de sitôt. Après avoir observer la bague longtemps, et après s'être remis de l'émotion, elle releva la tête vers moi. « Merci… » Me dit-elle d'une voix faible, empreinte d'émotion. Elle avait du mal a parler mais je ne lui en voulais pas, son regard parler pour elle. Je savais, je comprenais tout ce qu'elle ne disait pas, ne pouvait pas dire, rien qu'en la regardant. J'avais l'impression que rien ne c'était passée, que tout était oublié, et dans un certain sens, c'était bel et bien le cas. Tout était arrangé, cela avait était compliqué, hasardeux, douloureux aussi mais nous étions enfin réconcilier et tout allait pour le mieux. Elle leva sa main vers ma joue et la caressa doucement, je lui souris, heureux d'être avec elle. « Je t’aime Jonathan. » Je le regardais dans les yeux, murmurant un moi aussi du bout des lèvres. J'étais raide dingue de cette fille, Depuis toujours il me semblait. Elle était l'une des seule a vraiment savoir qui j'étais, comment je fonctionnais, comment être avec moi. C'était comme si le temps c'était arrêté, que nous restions comme figé. Elle attrapa mon visage entre ses mains, se souleva un petit peu et vient déposait ses lèvres tout contre les miennes. Je souris, et répondit a son baiser avec envie. Ses lèvres m'avait tellement manquait, un manque si douloureux, ses lèvres, ses yeux, sa présence, tout cela m'avait tellement manqué que je n'avait pas les mots pour exprimé combien tout m'avait manqué. Je l'attirais contre moi doucement, ne voulant plus jamais être loin d'elle, c'était vraiment trop dur. Je rompais le baiser, la gardant près de moi, caressant doucement sa joie. J'allais parler mais un toussautement m'en empêcha. Je regarde Amy, inquiet de savoir qui c'était, je me décalais un peu d'elle avant de regarder la personne qui venait de nous dérangés. C'est pas vrai ! Ma soeur ! Merde ! « Hum … Je suis vraiment désolée, je … Je voulais pas vous dérangés. » Dit-elle sincère, je le savais bien. J'attrapais la main d'Amy, et soupirais tout en regardant ma soeur. « John, papa et maman te cherche, et je crois que les tiens aussi te cherche Amy. Vous devriez retournée a l'intérieur, par ce que je doute qu vous vouliez qu'il vous trouve comme çà …  » Dit-elle avec un sourire entendu. «  Elle me le payera ! « Au faite, jolie bague Amy ! » Finit t-elle en faisant un clin d'oeil avant de retournée à l'intérieur.  

Je ne pu m'empêcher de sourire. Ma soeur était vraiment un cas, mais je l'aimais plus que ma propre vie, je ferais n'importe quoi pour elle, comme je le ferais pour Amy. Je me retournais vers elle en souriant, l'embrassant furtivement, toujours sa main dans la mienne. Je n'avais pas vraiment envie de rentrer, pour voir nos parents, qui nous poseront certainement des questions auxquelles nous n'avions pas de réponse, ou auxquelles on ne voulait pas répondre. Mais nous n'avions pas le choix. Je regardais Amy, souriant.

Bon, je crois que l'ont ferais mieux de rentrer … Lui dis-je en serrant sa main. Je suis vraiment content d'être avec toi ce soir, c'est surement le plus beau Noël de tout ma vie ! Avouais-je en riant doucement.

hj : désolée c'est nul ! confused
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité


« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyDim 8 Jan - 23:51

Jonathan & Amy
« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… »

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-7056916-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-amber-heard-15261263-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-kellan-lutz-22432963-100-100« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Amber-3-amber-heard-21251918-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Kellan-3-kellan-lutz-13232315-100-100 « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Lovely-Amber-amber-heard-25242779-100-100

Come what may – Moulin Rouge (soundtrack)




    Je restais là, à fixer la bague, sans savoir quoi faire, ou quoi dire. Elle était magnifique. J’en étais littéralement amoureuse. Relevant la tête, je réussis à murmurer un vague « Merci », bien faible comparé à ce que j’aurais voulu lui dire, à ce que j’aurais voulu qu’il sache, à ce que je ressentais vraiment. Si faible. Mais c’est parce que le langage ne comportait pas de mots capables de décrire tout ceci. Aucun mot n’était assez fort. J’aurais voulu pouvoir lui montrer, ce que je ressentais… Lentement, je vins caresser sa joue, alors que son sourire me réchauffait le cœur. « Je t’aime Jonathan ». Ses lèvres n’eurent que le temps de murmure « Moi aussi », que je les accaparais des miennes, venant placer mes mains de part et d’autre de son visage. A l’instant précis où elles entrèrent en contact, je sentis mon cœur exploser dans ma poitrine. Si on avait pu mettre en scène ce qu’il se passait à l’intérieur de moi, on aurait vu des feux d’artifices, une foule en délire qui agitait des drapeaux, criaient unanimement son nom, les trompettes qui résonnaient, la fanfare qui jouait, la hola dans les gradins… Mon cœur était un stade de baseball jour de match et de victoire chez les Lakers. Sérieusement, c’était une véritable explosion. Du bonheur à l’état pur. Et ce fut pire encore lorsqu’il commença à me rendre mon baiser. J’aurais pu crier tellement c’était bon… Ses lèvres, faites juste pour épouser à la perfection les miennes, ses mains, posées sur mes hanches, qui m’attirait à lui, caressant langoureusement mon corps et mes courbes, tandis que nos dents s’entrechoquaient, et que je me sentais transportée, ailleurs… Au paradis ? Oui, ça doit être ça, je suis en fait morte, et le paradis a décidé de m’ouvrir pour je ne sais quelle raison ses portes. Je ne voyais pas d’autre solution à l’heure actuelle que celle-là. Doucement, nos lèvres se décollèrent et, tremblante, je rouvris les yeux, au bord des larmes, mais de joie… Je souris doucement, tandis qu’un léger, très léger rire s’échappait d’entre mes lèvres entrouvertes, plus comme un soupir qu’autre chose. Nos regards ne faisaient plus qu’un, et j’aurais voulu rester dans cette position pour l’éternité. Peu importait la température, la fête, les gens, mes parents. A cet instant, plus rien n’existait, à part lui, moi, et ce kiosque. Jusqu’à ce qu’un toussotement vienne rompre la magie du moment, me faisant automatiquement tourner la tête. Je ne craignais pas vraiment qu’on nous surprenne… Sauf peut être si c’était mes parents ! Je ne leur avais jamais clairement dit que je sortais avec Jonathan, à l’époque où c’était le cas… peut-être parce qu’ils s’obstinaient à me présenter des jeunes hommes « convenables ». Quelqu’un devrait leur dire que les mariages arrangées, c’est « So 1600 ! ». « Hum… Je suis vraiment désolée, je… Je voulais pas vous déranger. » déclara Emily, que j’avais reconnu s’avançant vers nous. La main de Jonathan dans la mienne me fit l’effet d’un coup de jus, et j’adorais cette sensation. Alors c’était ça ? Nous formions à nouveau un couple, à nos yeux et ceux des autres ? « John, papa et maman te cherche, et je crois que les tiens aussi te cherche Amy. Vous devriez retourner à l’intérieur, parce que je doute que vous vouliez qu’ils vous trouvent comme ça… » Je tournais la tête vers Jonathan, lui adressant une grimace. En effet, je préfèrerai que mes parents ne nous surprennent pas dans cette position. Ma mère m’avait clairement indiqué ne pas vouloir de scandale ce soir, je tenais malgré tout à lui éviter toute crise cardiaque ! « Au fait, jolie bague Amy ! » Je baissais les yeux en rougissant, avant de relever la tête vers elle, souriante, lui adressant un signe de tête alors qu’elle s’éloignait pour retourner vers la source de chaleur et d’agitation.
    Jonathan se tourna doucement vers moi déposant ses lèvres en un baiser rapide et solennel sur les miennes. [b] « Bon, je crois que l’on ferait mieux de rentrer… je suis vraiment content d’être avec toi ce soir, c’est sûrement le plus beau Noël de toute ma vie ! » Je haussais les sourcils, et lui souris.

    « Le plus beau Noël de toute ta vie, pour l’instant ! » corrigeai-je, fidèle à ma passion pour les Simpsons !

    Je souris, et toujours ma main dans la sienne, me dirigea vers la maison, aux baies vitrées ouvertes. Plus nous avancions, plus le brouhaha nous parvenait, de plus en plus fort… Je serrais la main de Jonathan dans la mienne, me rapprochant de lui quelque peu, appréhendant en fait le simple fait de rentrer…

    « Jonathan… Je voulais te dire… Tu sais, à propos de mes parents… Je pense que c’est mieux si… on ne leur dit pas… ce soir… Je veux préparer le terrain avant de te présenter… officiellement… »

    Je baissais la tête. Je détestais dire ça. J’avais l’impression de… cacher Jonathan. J’avais l’impression d’être une de ces personnes dont j’ai horreur, qui ont hontes de ceux qu’ils aiment. Ce n’était pas mon cas, je n’avais pas honte de Jonathan, j’estimais même être loin d’être assez bien pour lui, et le « cacher » était une idée ne m’ayant même pas traversé l’esprit… mais je connaissais mes parents. Et à cet instant, je les détestais pour ça…

    « Je suis désolée de ça… Ne m’en veux pas, j’t’en supplie ! »

    Je crois que la simple idée que Jonathan puisse m’en vouloir m’anéantirais sur place plutôt qu’autre chose… Je plaquais mes lèvres contre les siennes, et pénétra dans le corridor menant à la salle de réception. A peine avais-je posée le pied dans la salle, la main de Jonathan toujours dans la mienne (je n’allais pas la lâcher pour mes parents !), qu’aussitôt, mes parents me tombèrent sur le dos. Ma mère m’attrapa par le bras, m’attirant à elle, me forçant (sans s’en rendre compte), à lâcher la main de Jonathan. « Amy Eclipse Porter, pour l’amour du ciel, où étiez-vous passée ? Vous souhaitez donc m’embarrasser et ruiner ma soirée ? Le photographe vous attends depuis je ne sais combien d’heures ! Dépêchez vous ! Ces photos sont très importantes pour l’image de la société ! » Je baissais les yeux et, avec un dernier regard qui semblait dire « Sauve moi ! » à Jonathan, je suivis ma mère, qui avait soudainement retrouvé son sourire de maîtresse de maison parfaite. Dans un geste de tentative de survie, je tournais la bague offerte par Jonathan vers l’intérieur de ma paume et, alors que je posais auprès de mes parents, mon sourire de petite fille parfaite, que ma mère m’avait fait répéter (Je me souvenais encore de ses « trop adulte ! », « trop fade ! », « trop faux ! », « trop aguicheur ! », « pas assez de cœur ! » pendant qu’elle me forçait à le répéter devant la glace). Il y eu des flashs par dizaine, je ne saurais vous dire combien exactement et, lorsque le calvaire fut terminé, j’avais le tournis. Deux mains vinrent se saisir de ma taille alors que j’étais à deux doigts de tourner de l’œil, et je souris.

    « Dieu merci, j’ai cru que ça ne finirait jamais ! » Je posais une de mes mains sur la main posée sur mes hanches. « Mais tu es là ! »

Revenir en haut Aller en bas
MODERATEUR
Jonathan Weathy

Et si tu nous disais tout de toi ?
Groupe: Delta
Etudes: Sport
Relations:
Jonathan Weathy

| Messages | : 1766
| Points | : 855
| Date d'inscription | : 21/08/2010
| Age | : 32
| Célébrité sur l'avatar | : Kellan Lutz

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptySam 14 Jan - 20:58

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Tumblr_lp453sGcej1qbt85do1_500



C'était vraiment le meilleure Noël que j'avais jamais eu. Tout était vraiment parfait, d'un bout a l'autre et mon dieu, tout ce que j'espérais c'était que cela continue comme çà pendant longtemps, que ma vie soit heureuse, calme, sans problème pour une fois, cela me ferait des vacances vraiment bien mérité. Amy était de nouveau mienne, enfin. Cela avait toujours plus qu'une évidence pour moi, mais avec se qu'il c'était passait avant mon départ pour New York, j'avais appris a vivre sans elle, sans son amour, sans sa présence. Maintenant tout était arrangé et j'étais l'homme le plus heureux du monde, rien que par la présence d'Amy, désormais ma petite amie et tellement plus encore. J'avais vraiment tout ce que je pouvais espérer avoir et j'étais conscient de la chance qu'était la mienne et je ne la laisserais en aucun cas passé, je tenais vraiment trop a Amy, a nous pour çà, même si je devais faire compromis et sacrifice pour que cela marche. I don't wanna lose her, no matter what. « Le plus beau Noël de toute ta vie, pour l’instant ! » Me corrigea t-elle alors que je lui faisais part de mon bonheur d'être là, avec elle, ce soir. Je la regardais en riant. Elle avait raison, mais l'instant présent était ce qui compter ce soir, elle et moi, a L.A, notre ville, le soir du réveillon, le reste attendrait bien la fin des vacances ou même juste le lendemain. Nous marchions vers la maison, vers les invités, le bruit, et nos parents a l'affut de tout, et surtout a l'affut de nos possible faut pas. Je n'avais pas vraiment envie de rentrer, et je savais qu'Amy n'ont plus mais nos parents nous cherchés, et comment dire que l'ont ne voulaient vraiment pas qu'ils nous trouvent comme çà. Je sentais la main d'Amy serrait de plus en plus fort la mienne, signe qu'elle aussi était tendu a l'idée de retourner a l'intérieur, avec nos parents. Elle se rapprocha de moi, je la regardais, inquiet. « Jonathan… Je voulais te dire… Tu sais, à propos de mes parents… Je pense que c’est mieux si… on ne leur dit pas… ce soir… Je veux préparer le terrain avant de te présenter… officiellement… » Oh, voilà donc ce qui la tracassait tant. Je la regardais, surpris mais compréhensif. Je connaissais ces parents, et ils n'étaient clairement pas comme les miens, qui considérait déjà Amy comme de la famille, ces parents a elle était différents et donc nous dévions être vigilent. Car je n'étais pas sur d'être le genre d'homme qu'ils avaient prévus pour leur petite Amy mais je savais qu'elle irait contre leur avis, mais je sais qu'elle ne voulait pas non plus créer de problème. Elle baissa la tête et je savais qu'elle s'en voulait de me demander çà. Elle semblait vraiment très nerveuse et je n'aimais pas la voir comme çà. « Je suis désolée de ça… Ne m’en veux pas, j’t’en supplie ! » Je relevais doucement sa tête et lui souriais. Elle n'avait pas a avoir peur, pourquoi lui en voudrais-je ? Je savais très bien comment étaient ses parents et je ne voulais pas la mettre dans une mauvaise position, et puis ce n'était que partie remise !

Calme toi Amy. La rassurais-je en souriant. Je ne t'en veux pas, je sais trop bien comme sont tes parents, alors on fait comme tu le décide, je ne veux pas causer de brouille entre vous, je sais bien que je ne suis pas le genre d'homme qu'ils espéraient pour toi, je ne suis pas aveugle. Je serrais doucement sa main. Mais si tu veux mon avis, tu devrais peu être cherche un explication pour la bague ! Souriais-je, taquin.

Je ne me défis pas de mon sourire, même lorsqu'elle vienne m'embrasser. Comme a chaque fois, le contacte de nos lèvres nous faisait l'un comme l'autre perdre la tête, mais c'était ce qui était génial. J'aimais Amy et je ferais vraiment tout pour elle, et cela me faisait aussi un peu peur. Reboostée, elle m'entraina vers le salon, vers les invités, toujours main dans la main. A peine avions nous fait un pas dans la maison que ses parents débarquèrent. Je soupirais, et plus encore lorsque Amy lâcha ma main, tirée par sa mère qui voulait surement encore lui faire une réflexion. « Amy Eclipse Porter, pour l’amour du ciel, où étiez-vous passée ? Vous souhaitez donc m’embarrasser et ruiner ma soirée ? Le photographe vous attends depuis je ne sais combien d’heures ! Dépêchez vous ! Ces photos sont très importantes pour l’image de la société ! » Je grimaçais. Oh merde … Amy baissa les yeux, puis me regarda, me demandant de l'aider par son regard, mais je ne pouvais rien faire, pas contre ses parents mais déjà sa mère l'emmenais loin de moi. J'avais peur, peur que ses parents découvre la bague, découvre que nous sommes ensemble et que cela ne se passe pas bien. Après un temps interminable sans elle, je l'a rejoignais et posais mes deux main sur ses hanches, heureux de la retrouve, enfin. « Dieu merci, j’ai cru que ça ne finirait jamais ! »  Je souris alors qu'elle posait une de ses mains sur l'une des miennes, posées sur ses hanches. J'étais heureux, vraiment heureux, je supportais mal d'être loin d'elle, c'était pas très viril mais c'était que la pure vérité et je n'en avais pas honte. « Mais tu es là ! » Je souris encore, oui j'étais là et je ne comptais aller nul part sans elle, je passais devant elle, sans me défaire de mon sourire. Je le regardais dans les yeux, tout sourire.

Oui, je suis là, et je le serais tant que tu voudra de moi ! Dis-je en riant, avant de prend sa main, celle ou trônait la bague que je lui avais offerte. Ca va ? C'était pas trop dur ? Tu m'a manquée tu sais ! Dis-je en souriant. Tu sais que si t'en a vraiment marre, tu fugue et tu viens dormir chez moi ! Mes parents seraient trop content de t'avoir ! Je te jure, limite ils te considèrent comme de la famille déjà !
Revenir en haut Aller en bas
ADMINISTRATRICE
Kimberley A. Winters

Et si tu nous disais tout de toi ?
Groupe: Beta
Etudes: Arts - Cinéma
Relations:
Kimberley A. Winters

| Messages | : 3759
| Points | : 3699
| Date d'inscription | : 06/11/2009
| Age | : 32
| Célébrité sur l'avatar | : Ashley Greene

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyLun 13 Fév - 13:03

RP toujours d'actualité ? Smile
Revenir en haut Aller en bas
http://www.great-academy.com
MODERATEUR
Jonathan Weathy

Et si tu nous disais tout de toi ?
Groupe: Delta
Etudes: Sport
Relations:
Jonathan Weathy

| Messages | : 1766
| Points | : 855
| Date d'inscription | : 21/08/2010
| Age | : 32
| Célébrité sur l'avatar | : Kellan Lutz

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyLun 13 Fév - 16:48

normalement oui, faut attendre le retour d'amy (:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité


« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan EmptyLun 27 Fév - 17:09

Je suis là je suis là !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty
MessageSujet: Re: « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan « What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true…  » [Jonathan Empty

Revenir en haut Aller en bas

« What people say about true love, lasting for ever, and stuff… When I look at you, I know it’s true… » [Jonathan

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» It's time for us to make our dream come true [ ft Kim ]
» People Diaries
» Écoute-moi un peu! [PV Jonathan]
» Artémis ⊰ people are lonely because they build walls instead of bridges [terminée]
» 07/04 JONATHAN

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: AU DEPART :: ♣ Corbeille :: Anciens RP-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit | Forums RPG | Ecoles, Académies, Pensionnat, Poudlard