Écoute-moi un peu! [PV Jonathan]

Sujet: Écoute-moi un peu! [PV Jonathan] Dim 17 Avr - 1:53

Va savoir comment, j'avais réussis à me rendre jusqu'ici sans vomir, tomber inconsciente ou même sans même faire une crise ou de me faire frapper. Je voyais tellement double que je ne savais même pas où était le trottoir. Au début de la fête, j'avais dit à mon amie que je n'allais que boire un peu... Mais là, je n'avais jamais autant fumé d'Opium de toute ma putain de vie! Jonathan allait bien remarquer que mes pupilles étaient contractées, que j'étais trempe de sueur ou encore que j'avais l'humeur changeante alors j'enticipais déjà sa réaction. Non seulement j'avais fumée une énorme quantité d'Opium mais j'avais bu des litres de bière! Je m'étonnais moi même d'être encore debout, en vie. Et voilà, je sentis la magnifique sensation du vomi que me montais à la gorge. je me pencha alors pour vomir tout se que j'avais dans l'estomac. Je ne regrettais en aucun cas la magnifique fête d'aujourd'hui mais oh mon dieu, ce n'était pas rien! Ah tient... je venais de me rendre compte que je marchais à quatre pattes... ahh d'accord, c'est pour cela que j'avais réussis à me rendre sans m'effondrer! C'est parce que j'étais à quatre pattes! Ah bon... Bref, pour en revenir à ma petite fête, elle était magnifique! Fantastique! Il n'y avais pas de mots pour la décrire! Je m'étais tappé trois mecs, en même temps! C'était magique! Je crois qu'aujourd'hui, j'avais réussis à atteindre se que les gens normaux nommaient le septième ciel. J'avais mis une mini-jupe sexy, rose avec un haut qui ne faisait que couvrir l'essentielle: ma poitrine. Mon haut était d'une couleur noire. Oups... je l'ai oublié là-bàs... Je suis en soutient-gorge pour aller chez mon ami... bon il m'a déjà vu pire je crois! Je grimpa les quelques marches pour atteindre la porte d'entré des Deltas. Je voulais faire savoir à Jonathan, mes sentiments si fort pour lui, je l'aimais, je le voulais dans mon lit, dans ma vie! Peu importais se que pensais sa conasse de petite-copine, moi se qui m'importait, c'était le beau Jonathan Weathy. Je finis par me rendre à sa chambre, tenta de me lever, mais ne réussis qu'à m'effondrer. Je tentais de cogner mais ne réussis encore une fois, qu'à m'effondrer. J'ai alors tenter de l'apeller, de crier son nom, mais tout se qui sortit de ma bouche était de la vomissure... Je me mis alors en boule, devant la porte de mon ami, sanglotant, pleurant toutes les larmes de mon corps.

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Hier avait été une journée plus que sympa qui c’était terminée en apothéose avec un rendez-vous avec Delilah. Cette fille était vraiment faite pour moi, j’aimais chaque chose d’elle et tout ce que je découvrais sur elle, sur sa personnalité me faisais l’aimer encore plus, comme si cela était possible de l’aimer plus. Je n’avais jamais rien ressentit de semblable a ce que je ressens pour elle. C’est fort et réellement inexplicable. Si un de mes amis m’avais dit il y a quelques temps que je serais autant amoureux et accro d’une fille, je lui aurai rie au nez tellement cela me semblais incroyable d’aimer autant une personne. Delilah et moi étions rester ensemble jusque tard dans la soirée puis je l’avais raccompagnée jusqu'à sa chambre pour être sur qu’elle soit bien arrivée. Je ne supporterais pas qu’il lui arrive quelque chose. J’étais rentrer dans ma chambre en prenant soins de ne pas les autres deltas. J’avais envoyer un dernier message a mon amour avant de m’endormir heureux et épanouis. Dans la nuit, alors que dormais paisiblement, des bruits étranges me réveillèrent. Je me levais silencieusement et regardais dans la chambres pour savoir d’ou provenais les bruits que j’entendais. Je regardais de partout mais rien. Puis, lorsque je me rapprochais de la porte j’entendis les bruits plus distinctement. C’était des pleurs mêlés à des sanglots. Inquiet j’ouvre la porte a la volé et pose mon regarde sur la jeune fille recroquevillé devant ma porte, en pleurs et secouée par de violent sanglots. La fille a de long cheveux blond et ne porte pas de tee-shirt. Je la reconnais et me jette a terre pour la prendre dans mes bras.

- Stelly ? Qu’est ce qui c’est passer ? Dis-je ne la tenant contre moi.

Je la garde dans mes bras. Elles est en piteux état. Elle a sûrement du encore faire la fête et boire je ne sais combien de verre et fumer je ne sais quoi. Son halène empeste l’alcool et les relent de vomis. Je soupire cette fille ce tu à petit feu. C’est une très bonne amie a moi et je ne peux rien faire pour l’aider. J’enlève les cheveux qu’elle a devant les yeux, les met en arrière et la regarde. Ses yeux sont rouge, elle tremble de tout son corps. Je la prend dans mes bras, elle se cramponne a moi. Je la serre fermement et me relève avec elle dans mes bras. Je l’emmène dans ma chambre et la dépose sur mon lit. Je veux la lâcher mais elle me retient en s’agrippant a mon bras. Je la regarde, caresse sa joue et soupire.

- Dans quoi tu t’est encore fourré Stelly ? Dis-je pour moi-même.

Spoiler:

Mon état ne peut même pas s'apeller l'inconscience puisse que j'étais consciente mais ne pouvait pas non plus s'apeller la conscience puisse que je ne l'étais pas complètement. À force d'attendre, devant la porte de Jonathan, recroquevillé, l'Opium commençait à faire effet. Je tremblais de plus en plus, je voyais de moins en moins clair et de plus en plus, je me sentais délirer, je sentais la folie s'emparer de moi comme si c'était un nuage qui lentement, prenait possession de mon corps tel un démon. Puis, je l'entendis ouvrire la porte. Il était là, mon sauveur, mon ami, mon amour... Jonathan Weathy était tout se qui me restait. Il était tou pour moi et l'avais toujours été. La porte s'était ouverte à la volée, presque violemment, je sentis son regard se poser sur moi. Je sentais son inquiètude à savoir qui j'étais pour me poster devant sa porte, vomir sur sa porte, pleurer, sanglotter, devant sa porte. Puis, il me reconnu malgré mes tremblement, mes cheveux horrible et tout. Il me reconnu et me pris dans ses bras tel mon chevalier sauveur délivrant sa princesse en délire. Je l'entendis à peine me demander se qui c'était passer malgré qu'il était très près de mes oreilles. Mes tremblements ne faisaient qu'empirer, l'effet de l'Opium était connu pour prendre du temps avant d'apparaître. Mais je savais que lorsqu'elle allait vraiment apparaître, j'allais être euphorique, me sentir forte. Je sentais malheureusement que cette fois-ci, l'euphorie qui était censer gagner mon corps n'allait pas apparaître, au contraire, je sentais que cette fois-ci, j'avais exagéré et pourtant, j'aimais cette sensation. Malgré la douleur que me causait les nausé, malgré l'euphorie qui n'apparaîtra pas, malgré tout se qui était censer arrivé mais qui n'arrivera pas, je me sentais au dessus de mes moyens. J'étais dans les bras de Jon', dans sa chambre. J'étais presqu'aux anges et n'avais pas besoin d'Opium pour avoir un état d'euphorie. Il retira les quelques cheveux qui étaient devant mes yeux, les mis derrière mes oreilles et me fixa comme si j'étais un monstre. Mais au moins, j'avais son attention. Mes tremblements augmentaient toutes les secondes, j'avais froid, j'avais mal, mais j'étais bien dans ses bras. Lorsque le message se rendit à mon cerveau, j'étais dans les bras de Jonathan, mon cerveau envoya l'information à mes bras qui s'accrochèrent à mon ami. Il me serra... Jonathan Weathy me serrait dans ses bras! Bon j'étais en piteuse état, mais il me serrait dans ses bras tout de même! Lorsqu'il tenta de me déposer sur son lit, je ne voulais pas. S'il me déposait sur son lit, il allait me lâcher, je n'allais plus être dans ses bras et cette état d'euphorie totale allait disparaître aussi rapidement qu'elle était apparue. Je le serra donc le plus fort que le permettait mon état. Il me caressa alors la joue. Oh mon dieu, il me carresse la joue... Bon ça, c'est pas nouveau mais j'avais l'impression qu'il y avait quelque chose de nouveau dans son regard. Peut-être de l'amour? L'espoir me gardait consciente. Je crois qu'il me demanda dans quoi je m'étais fourré. Dans quoi je me suis fourré? Je souris. Je me suis fouré dans la meilleure situation au monde! Je suis dans ta chambre, en soutient-gorge, sur ton lit, et je sais pas si tu as remarqué, mais tu es par dessus moi. Alors je me suis fourré dans une merveilleuse situation. Cette idée me donna la force de sourire et de lui répondre.

-Jo,murmurais-je,j'ai réussis

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- Jo, j'ai réussis. Murmura t-elle en me serrant toujours plus fort, un sourire sur les lèvres.

Je la regardais sans comprendre ou elle voulait en venir. Plus le temps passait et plus elle délirait. Tous son corps tremblait, secouait par de violents soubresauts. Elle reste agrippait a moi comme si j’étais la dernier chose qui la tenait en vie comme on agrippe une bouée espérant qu’elle nous sauve la vie. Ce n’est pas la première fois que je retrouve ma Stelly dans cette état. Je me demande comment elle peut se faire temps de mal en voulait s’amuser. Plus le temps passe et plus les effets de ce qu’elle a prit se manifeste. Je crois me souvenir de qu’elle drogue provoque ses effets. L’opium. Si seulement il n’y avait que çà mais je sens son halène imbibé d’alcool. Elle ne se rend pas compte qu’elle aurait pu faire une overdose ou même mourir. Car pas de doute que si elle ne reprend pas, ses cocktails finiront pas la tuer. La chose qui m’interpelle aussi, c’est le fait qu’elle soit en soutient gorge. Je me demande ce qui a bien pu se passer. Je suis tellement inquiète pour elle. J’ignore pourquoi elle a fait de moi son sauveur. Enfin, je veux ignorer pourquoi elle la fait car au fond de moi, je le sais parfaitement. Stelly m’aime et ce depuis longtemps. Mais même si je tiens à elle, j’aime Delilah plus que ma propre vie. Je sais qu’un jour, cela me créera des ennuis son comportement avec moi. Sa phrase prend alors son sens dans ma tête. Elle a réussit, elle a réussi a être dans ma chambre, à moitié nu, moi la tenant dans mes bras. Elle a réussit a capter mon attention. Je ne peux m’empêcher de sourire. Cette fille ne recule devant rien. Bon, elle ne sais drogué à cause de moi mais j’ai l’impression maintenant d’être responsable d’elle mais sauf que c’est elle qui l’a décidait et pas moi. Son corps frêle, dans mes bras, tremble comme une feuille. J’ai si peur pour elle. Je voudrais l’aider mais elle ne me laissera pas bouger de la et dieu sait qu’elle pourront être ses réactions. J’ai conscience de jouer avec le feu mais je ne laissera pas dans cette état à la merci du premier mec éméché qu’elle rencontrera et qui sera toujours moins stone qu’elle et profitera de sa faiblesse. Je ramène la couverture sur nous doucement. Je soupire. Je sais qu’elle est fière d’elle d’être arriver jusqu'à entrer dans ma chambre même si elle aurait pu ne plus jamais en avoir l’occasion. Je la garde dans mes bras, là au moins personne ne lui fera du mal. Ses tremblements étaient de plus en plus fort. Je ne la quitter pas des yeux une seconde. Il fallait que je fasse quelque chose mais elle ne me laissera pas la lâche. Un naufragé lâche t-il, ne serait ce qu’un moment, sa bouée ?

- C’est vrai tu a réussi Stelly. Dis-je avec un soupire.

Mais elle n’est plus là, prise dans ses délires. Je n’est plus le choix, je dois faire quelque chose. Je n’est qu’a faire ce que je fais toujours. La mettre dans la douche, sous de l’eau chaude pour calmé ses tremblement et qu’elle reprenne un peu de lucidité. J’enlève la couverture, resserre mes bras autour d’elle et use de ma force pour me relever, Stelly dans mes bras. Je sens ses larmes coulaient sur mon épaule alors qu’elle y appuie sa tête. Lentement, je me dirige vers la salle de bain. Chaque geste est un épreuve car avec Stelly dans mes bars, je ne peux utilise qu’une seule main. J’ouvre la porte a la volé et me dirige vers la douche. De ma main plus ou moins valide j’allume l’eau et la règle à la bonne température. Malgré ses gémissement, je dépose Stelly sous l’eau. Elle se démène et m’agrippe toujours. Je suis presque aussi trempé qu’elle. Je m’assois alors dans la douche et elle viens dans un geste chaotique se reloger dans mes bras. Elle continue de tremblait. Je la tiens fermement sous la douche. Elle m’en voudra sûrement lorsqu’elle sera remise mais j’en est rien à faire. Au vue de l’heure, je sais que je vais devoir rester avec elle toute la journée à la surveiller alors que, comme a chaque fois, elle dormira a point fermé. Sauf que cette fois, c’était dans mon lit qu’elle dormirai. Je ferme les yeux. L’eau tiède m’a complètement trempé et d’autant plus que je suis tout habillé sous le jet d’eau. Les seule bruit sont les sanglots de Stelly. Son corps est encore secoué de tremblements. J’ignore qu’elle heure il peut être mais les effets de ce qu’elle a prit vont se manifester encore pendant un moment, j’en suis certain. Je ne sais pas quoi faire pour l’aider à arrêter ses bêtises et de mettre sa vie en danger comme elle le fait sans penser aux conséquences dans l’avenir.

Il n'a pas comprit sur le coup, mais finit par comprendre se que j'ai voulu dire. Et lorsqu'il comprit, il me couvrit avec sa couverture. Je souris en tremblant de plus en plus. J'ai doublement réussis. J'étais sous les couvertures, à moitié nue, avec lui. Malheureusement, mon moment d'euphorie ne dura pas longtemps puisse qu'il me prit dans ses bras et m'amena dans la salle de bain. Non, non, il n'osera pas! Et merde... Si, il ose. Je tentais alors de me débattre, mais c'était a son tour de me serrer plus fort contre lui. Il finit par ouvrir l'eau tiède. Non! Non! Merde que je le déteste... Je sentis tout les effets de l'alcool et de l'Opium se dissiper lentement. Mes idées redevinrent lentement plus claire. Puis, d'un seul coup, c'était comme si je venais de me réveiller. Dans la salle de bain de Jonathan, a moitié nue, avec lui, sous la douche.

-NON MAIS T'ES MALADE OU QUOI? Mais qu'est-ce qui te prends?

Puis, lentement mais surement, je me rendais compte que j'étais à moitié nue avec lui. Saoule ou pas, gelé ou pas, j'étais en amour avec lui.

J'ai allumé en quelque seconde. Qu'est-ce que j'attendais? Je me suis alors étendu près de Jonathan, collé contre lui et fein que j'avais peur, que j'avais besoin de lui, je voulais ''lui faire comprendre que sans lui, je n'étais rien.'' Mais au moment même où je le sentais détendre un peu ses muscles, décrispé sa mâchoire, se calmer sur l'idée que j'allais lui sauté dessus, je le fis. Je fis promener ma main sur son torse dessous son chandail, et me mit à l'embrasser dans le cou. Je le voulais, le voulais plus que tout.[HJ: Post de merde, je suis vraiment désoler...]

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Spoiler:

- NON MAIS T'ES MALADE OU QUOI? Mais qu'est-ce qui te prends ? Hurla Stelly en se débattant.

Au moins la douche avait réussit a dissipé les effets de la drogue sur son corps. Stelly se débattait comme une lionne dans la douche, bougeant de tout les coté, dans tous les sens mais je tenais bon, serrant mes bras contre son corps pour l’empêcher de s’en aller. Elle allait me détester mais j’en avais rien a faire. Si elle croit que je l’aurais laissée délirante, tremblante sans rien faire pour la soulager, elle se trompe. J’avais vraiment peur pour elle, pour son avenir. Elle était fragile et elle se mettais dans des états ou elle ne se souvenait même pas de ce qu’elle avait fait. Une typer avec de mauvaise intention pouvait faire ce qu’il voulait d’elle, elle ne de débattrait même pas trop stone pour savoir ce qu’il se passait. Après m’avoir crier dessus un bon coup, elle se calma, arrêtant de se débattre lentement. Je la relâchais progressivement afin d’éviter qu’elle me saute dessus ce qu’elle serait bien capable de faire. L’eau continuait de me tremper et de coulait sur nous.

- Ce qui me prend ? Je fais du mieux que je peux pour te sauvé la vie que tu t’acharne à détruire sans t’en soucié plus que çà ! Lui dis-je amer.

Stelly vient alors s’étendre a mes coté, coller contre mon corps détendu par l’eau tiède, calme à nouveau. Je soupire, heureux de voir qu’elle va mieux si on occulte ses yeux rouge et vitreux et son teint plus que blafard. Ce qui compte c’est qu’elle ne tremble plus et qu’elle de nouveau lucide, ou juste un peu du moins. Notre proximité était dangereuse, surtout pour moi en faite. Sans que je m’y attende, elle se jeta sur moi, comme si sa vie en dépendait, comme si j’étais le seul qui pouvait la sauvé, qui pouvais l’apprécié réellement. Elle passa une main sous mon tee-shirt trempé, faisant promener ses doigts sur mon torse. Puis elle vint dépose ses lèvres sur mon cou, comme si c’était le seule moyen de la sauvée. Je ne savais plus quoi faire. Elle avait besoin de moi, c’était certain mais je ne pouvais pas la laissé faire çà. Je ne pouvais pas faire çà à Delilah même si elle savait que je l’aimais plus que tout, elle m’en voudrais de l’avoir laisser faire. Posant doucement mes main sur ses bras, je soupirai.

- Qu’est ce que tu fais Stelly ? Qu’est ce qui te prend ? Soufflais-je, lasse.

Lentement, je la repoussais, sans être brusque. Je savais qu’elle n’allait pas apprécié mais je ne pouvais pas la laisser faire au risque de faire exploser mon couple en mile morceau et d’être vue comme le dernier des salop. Je me relevais et éteignais les robinet. Puis je baissais la tête vers Stelly, prostrée sur elle même dans la douche.

- Je suis désolé mais si tu refait çà, je ne resterai pas avec toi.

En me disant qu'il faisait du mieux qu'il pouvait pour me sauvé mais que moi, je m'acharnais à me détruire et que je ne m'en souciais pas, je me rendis compte à quel point on s'était éloigné depuis qu'il sort avec sa petite pute. Il savait que je ne faisais pas ça pour me détruire ou pour mourir mais bien parce que lorsque j'étais sous l'effet de la drogue, je ne souffrais pas. Comme lorsque j'étais sous l'effet de l'alcool. Je voyais bien qu'il ne savait plus quoi faire, qu'il hésitait à me laisser faire. Il posa délicatement ses mains sur mes bras et soupira. Puis, il me demanda se que je faisais, se qui me prenais. Arrête Jon' comme si tu ne savais pas se que je faisais ou se qui me prenais! Je t'aime moi, mais tu ne veux jamais rien savoir... Sans le vouloir, des larmes coulèrent le long de mes joues. Mais l'eau continuait de couler le long de mon corps alors peut-être que si j'avais un peu de chance, il ne verrait pas que je pleurais. Et si il le voyait, j’espérais qu'il ne me pose pas la question du pourquoi...

Il me repoussa et j'eu le coeur brisé à ce moment même... Je savais qu'il était en couple, mais combien y'avait-il de chance que sa belle Delilah débarque dans sa chambre sans prévenir? Il pouvait au moins me laisser un peu d'amour... d'affection que je n'ai jamais eu de la part de personne. Non? C'est lorsqu'il éteignit le robinet que des secousses se mirent en place dans mon corps. Mais ces secousses n'étaient pas dû aux effets de la drogue ou de l'alcool, ils étaient dû au chagrin énorme qui me pris immédiatement. Je connaissais Jon' et je savais se qu'il allait me dire. Et pour me le confirmé, il me le dit à voix haute, il me dit que si je refaisais se que je faisais, il ne resterait pas.

Il ne m'aimait vraiment pas... Il ne voulait rien savoir de moi... Je souffrais, plus que jamais. Je me mis donc en boule, lui jetant un seul regard, un regard remplit de douleur... j'aurais aimé avoir des parents qui m'aimaient... j'aurais aimé avoir une seule personne au monde qui m'aime... qui se laisse aimé et qui me donne de l'affection. Je descendis mon regard remplis de douleur, d'amertume et d'absence et je perdis connaissance, ne voyant seulement que du noir. Au moins, dans cet état, je ne souffrais pas, personne ne me détestait dans cette univers parallèle.

J’étais complètement perdu, ne sachant que faire pour l’aider. Je ne trouvais plus les mots, ne savais plus qu’elle geste pourrai la calmé. J’en trouver toujours … Sous l’eau, je ne la quitter pas des yeux. Elle, elle fuyait mon regard, laissant l’eau couler sur son corps en abandonnant toute résistance. Je faisais tout ce que je pouvais mais la limite était fragile. Stelly s’accrochait a moi comme si j’étais la seule personne pouvant la sauvée. J’étais responsable d’elle et le serai toujours mais c’était lourd a porter sur ma conscience que la vie d’une personne que j’apprécie vraiment. La, l’eau coulant sur son corps, je vis combien elle était mal en point, combien elle souffrait. Elle tremblait légèrement et sa poitrine, juste couverte d’un soutient gorges, se soulevait doucement. Elle pleurait … J’avais une décision a prendre, je ne la laisserai pas se détruire comme çà sans rien faire. Les mes des tribunaux appelle çà : non assistance en personne en danger. Et ce que j’avais crains jusque là arriva, elle passa une main sous mon tee-shirt trempé, laissant courir ses doigts sur mon torse. Elle se rapprocha de moi et embrassa mon cou. Si je n’avais eu Deli, je l’aurai probablement laisser faire, elle en avait besoin plus que tout autre chose, besoin de moi, de ma présence. Mais il y avait Deli et je ne pouvais pas la trahir ni lui mentir. Cela entacherai notre relation même si je ne lui disait rien, moi, ma conscience me rappellerai cette faute. Elle pleurait toujours, je n’étais pas dupe. Je ne dit rien pour autant. Je la repoussais le plus tendrement possible, en douceur. Et je savais qu’elle irait encore plus mal a cause de moi. Je me levais et éteignis les robinets de la douche de ma chambre. Elle commença a être secouée violemment, cela me déchirai le cœur mais je devais mettre les choses au clair, mais cela ne m’empêchais pas de me faire l’effet d’un monstre sans cœur. Puis tout s’enchaîna à un rythme effréné. Elle se mis en boule, là dans la douche et me lança un regard. Plongeant dans son regard, je lus à quelle pont elle n’était pas bien, a quel point elle souffrait. Soudain, son regard se ferma tout doucement et puis plus rien. Elle avait perdue connaissance. Comme fou, je me jette à ses cotés, criant son nom, mort de frousse à présent.

- Stelly … Soufflais-je. Me laisse pas t’entend ! Reste avec moi.

J’enlève d’une main, les cheveux qui entrave son visage, son beau et angélique visage. Je caresse doucement sa joue en la serrant comme un fou contre moi. J’ai peur, peur de la perdre, peur de ce qui va lui arrivait. J’avais vraiment très peur pour elle c’est pour cela que j’étais si dur avec elle, je voulais qu’elle arrête ses conneries qui mettent sa vie en danger. Je continuais de caresse ses cheveux tendrement. Je la gardais contre moi pendant longtemps, les minutes me semblais des heures. Je caressais toujours sa joue tendrement, la serrant contre moi. Puis soudain, elle ouvrit les yeux. Je me relevais et attrapais une serviette sèche et l’enrouler dedans pour qu’elle n’est pas froid. Elle avait les yeux dans le vide, mais elle était là. Je la reprenais dans mes bras, la réchauffant avec la chaleur de mon corps.

- Pardonne-moi … Dis-je en embrassant ses cheveux. Je vais rester là, tu peux compter sur moi Stelly.

Je suis certaine qu'au moment même où j'ai fermé les yeux, il a paniqué. Jonathan ne m'aimait pas en amour, mais il tenait à moi et se souciait de ma santé et de ma pitoyable vie. Je l'entendais paniqué, l'entendais crier mon nom, m'ordonner de rester avec lui. Au moins, il ne voulait pas que je meure malgré tout se que je lui avais fait subire, il m'aimait encore en tant qu'ami. Mais il m'aimait, il tenait à moi. Souvent, je doutais, souvent je croyais qu'il ne m'aimait pas, qu'il voulait que je meure parce que je suis une des raisons des chicanes entre lui et sa douce. Je pensais souvent qu'il était égoïste mais je savais au fond de moi qu'il ne l'était pas.

Après tout, c'était lui qui me secourait dans mes pires moments, c'était lui qui m'aidait lorsque je n'étais pas capable de me rappeler de mon nom. Lui qui m'aidait lorsque je pouvais me faire abusé sans que je m'en rende compte. Il était mon sauveur, mon chevalier sauvant sa princesse.

Je finis par ordonner a mon corps de se réveillé et lorsque j'ouvris les yeux, il me serrait contre lui, caressant ma joue. Il se leva rapidement, attrapa une serviette et vint m'enroulé dedans pour que je n'ai pas froid. J'étais encore dans les vape, sous l'effet de l'Opium. L'effet de l'alcool avait par contre presque toute disparue. Je pensais à nos moments à moi et Jon', je pensais au moment où il avait rencontré Déli, à quel point il était heureux... Cette petite garce avait réussis à le rendre heureux, à lui faire connaître la véritable amour... Je devrais avoir honte de tenter ma chance... Et pourtant, je l'aimais. Je l'aimais à la folie, je l'aimais au point de m'enlever la vie pour aller le rejoindre au paradis dès sa mort.

Il me reprit dans ses bras, tentant de me réchauffer avec la chaleur de son corps. Ça fonctionnait. Il était si... Enfin, il me demanda de lui pardonner. Il m'embrassa dans les cheveux et me dit qu'il allait rester là, que je pouvais compter sur lui. Jon', je sais que je peux compté sur toi... Je souris, très faible.

-Je suis désolé... Désolé de te causé tant de trouble... désolé d'insister à chaque fois malgré le fais que tu sois en couple...

Je suis désolé de t'aimer...
Je ne suis pas certaine de ne l'avoir que pensé. Je fermais alors les yeux, profitant du moment que j'avais avec Jon' avant qu'il se rende compte qu'il me serrait fort contre lui...

Cette fille me conduirait à ma perte j’en étais certain. Elle avait fait de moi son sauveur, son chevalier, la personne sur qui elle comptait pour veiller sur elle. Et c’était exactement ce que je faisais, tout les jours, a chaque heures. Je la cherchais, l’appeler, lui demander de me rejoindre quelque part. Pas un jour sans que je la vois ou que je lui parle. J’étais toujours la quand elle avait besoin de moi, pour la garder en vie, pour la protéger. Je n’étais pas certain de pouvoir assumer ce rôle, j’avais beaucoup trop de chose à géré moi-même pour cela. Mais je faisais de mon mieux pour la surveillé, quitte a ne pas dormir de la nuit pour être sur qu’elle se réveille le lendemain, quitte a aller la chercher après une fête. Je veillais sur elle, plus que sur ma propre sœur. C’était vraiment incroyable. Mais le pire c’est qu’elle m’en voulait, elle me reprochais de ne pas être plus présent, plus attentionné, de ne pas l’aimer comme elle elle m’aime. Je n’y suis pour rien. Je tiens a elle, sûrement plus que je ne l’admettre comme une sœur mais j’aime Delilah, et je ne gâcherai pas notre relation. J’avais tellement peur pour Stelly, je me faisais toujours un sang d’encre pour elle lorsque je ne savais pas ou elle était le soir. Je baissais mon regard sur Stelly, enroulait dans une serviette, blottis contre moi. Je tentais de la réchauffer. Je déposais tendrement mes lèvres sur ses cheveux, tout en la gardant près de moi. Je n’arrivais pas à la comprendre. Elle ne devrait pas se mettre dans des état pareils, pas a cause de moi, car je savais bien que tout était de ma faute mais je n’arrangeais rien, ce n’était pas faute d’essayer mais je ne faisais en définitive qu’envenimer les choses. Mais je ne la laisserais pas toute seule, qu’elle le veuille ou non. Je la regardais longuement, elle semblait si faible dans mes bras. Elle trouva je ne sais ou la force de ma sourire.

- Je suis désolé... Désolé de te causé tant de trouble... désolé d'insister à chaque fois malgré le fais que tu sois en couple ... M’avoua t-elle faiblement.

Je la regardais, le visage insondable. J’étais tellement mal quand je la voyais dans cette état là , si fragile, si vulnérable, si frêle. Elle ne me semblait ne pas avoir les épaules pour se relever seule, je me devais d’être la pour elle. Elle avait besoin de moi et je ne serais qu’un lâche si je ne l’aider pas du mieux que je pouvais. Je la serrais plus fort contre moi, je n’aimais pas la voir mal et ce soir, elle était vraiment mal, plus que les autres fois ou je m’étais occupé d’elle. Je voulais juste qu’elle aille bien, qu’elle puisse se passer de moi de temps en temps, qu’elle comprenne que cela ne rimer a rien ce qu’elle faisait à part mettre sa vie en danger pour rien. J’aimerais tant qu’elle comprenne que cela ne la mènera à rien de bon. Je la serre contre moi dans la serviette et me levais avec elle dans mes bras. J’étais épuisé, la peu de force qui me rester me servait a la soutenir. Je respirais un bon cou et allais la déposais dans mon lit pour qu’elle puisse se reposer. Je la déposais délicatement sur mon lit, avant d’aller lui chercher un de mes tee-shirt pour qu’elle ne prenne pas froid avec des vêtement trempés. J’ouvrais mon placards et respirais un bon coup.

- Stelly … Je ne t’en veux pas ! C’est a moi que j’en veux, je t’ai peu être laisser croire qu’il pouvait se passer quelque chose entre nous en étant si souvent auprès de toi. Je sais que tu m’aime et que c’est de ma faute tout çà … J’aimerai tellement t’aider, que tu aille mieux, mais je crois que je ne fais qu’envenimais les choses.

Je secouais la tête avant d’attraper un tee-shirt. Je fermais doucement les deux porte de mon armoire avant de me retournais vers Stelly qui me regardais, les yeux vitreux, lointains. Je m’approchais de mon lit et déposais le tee-shirt près d’elle avant de m’assoire sur le bord du lit. J’aillais une fois de plus ne pas dormir de la nuit pour la surveiller. Je ne pourrai de toute façon pas dormir en sachant qu’elle n’allait pas bien. Je m’en fichais, je voulais juste m’assuré qu’elle aille bien, pour cette nuit du moins.

- Tu devrais enlever tes fringues et mettre le tee-shirt sec, sinon tu va être malade. Et ne t’inquiète pas, je reste là, avec toi ok ? Tu ne sera pas seule Stelly, prend conscience de çà tu veux bien ? Je ne te laisserais jamais seule !

Je me retournais pour lui laisser le temps de se changer et décidais de me changer moi aussi. J’allais prend un short et un tee-shirt dans mon armoire et m’engouffrais dans la salle de bain. Je me passais de l’eau sur le visage. J’avais les trait tirés comme si je n’avais pas dormir depuis je ne sais combien de temps. Je soupirais et me changeai avant de retourner auprès de Stelly.

Je l'adorais notre RP mon beau Jonathan ;)

RP terminé !

Sujet: Re: Écoute-moi un peu! [PV Jonathan]

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Écoute-moi un peu! [PV Jonathan]

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