| Sujet: {terminé!} Mark Kennedy. Dim 6 Fév - 2:23 | |
| Mark Kennedy
© Obsession27.
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- NOM : Jefferson Kennedy.
- PRÉNOM(S) : Mark
- SURNOM(S) : JFK.
- ÂGE : 19 ans.
- DATE ET LIEU DE NAISSANCE :. 14 novembre, dans l'état du Vermont.
- NATIONALITÉ : Américaine.
- UFR : 8 (économie & gestion).
- DEPARTEMENT DE L'UFR : Gestion & management.
- GROUPE :Oméga.
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Qui se cache dans ta petite tête ?
CARACTÈRE : Non, s'il fait partie de la fraternité Oméga, ce n'est pas pour sa modestie légendaire. Au contraire, Mark est un jeune homme qui aime les miroirs pour la seule et unique raison qu'ils lui permettent de s'admirer en tout temps. Mais non, il ne passe pas la majeure de partie au fond du gym, et prône plutôt les stéroïdes et autres substances qui permettent d'améliorer sa forme physique. Oui, il est tout à fait conscient du fait que prendre toutes ces drogues n'est pas excellent pour son organisme, mais il s'en contrefiche... Le fait de prendre des hormones de temps en autres lui permet de diminuer son temps d'entraînement, parce que dieu sait qu'il déteste avoir à faire des efforts et à suer comme un porc...
Mais malgré tout, JFK n'est pas pour autant un être décervelé et stupide. Si ses travaux sont souvent bassement notés, c'est qu'il ne met pas tous les efforts. Les fiestas et l'alcool sont souvent au rendez-vous, et ne manque pas une occasion d'avoir du plaisir. Sa merveilleuse maman le menace de lui retirer son argent de poche et sa carte de crédit, mais il sait qu'elle est beaucoup trop gentille et inautoritaire pour faire ce geste ignoble... Pour contrer les quelques mauvaises notes qu'il obtient, il essaie néanmoins d'être le plus gentil possible auprès de ses parents.
Mark est presque misandre, c'est-à-dire qu'il éprouve un certain mépris envers les hommes en général. Même si quelques rares amis masculins sont présents sur son profil Facebook, il préfère largement le bon temps auprès e la gente féminine. Certes, il s'est lié d'amitié avec quelques autres mecs, mais c'est tout. Il essaye de se tenir loin des hommes, de façon à éviter les problèmes qu'engendre un surplus de virilité et de testostérone...
Au delà de tout, JFK est un jeune étudiant qui se pose constamment des questions sur son présent; son avenir et même son passé. Peut-être joue-t-il le rôle d'un mâle semi-alpha qui vénère sa propre personne pour avoir une certaine réputation dans l'académie? Peut-être que toute cette façade n'est qu'une vulgaire mascarade? Qui sait... Mais ultimement, peu importe si Mark est prétentieux ou non, misandre ou misogyne, il sera toujours prêt à aider ses proches, mais il le fera toujours de façon à conserver sa notoriété, et à éviter les représailles...
PHYSIQUE : Mark Kennedy est un étudiant aux cheveux courts et blonds; cheveux qui sont souvent recouverts d'une casquette quelconque. Ses yeux sont banalement bleus, mais son regard est parfois aussi perçant que mille poignards. Il conserve toujours une certaine pilosité faciale. Sa musculature, bien que développée, n'a rien d'impressionnante face à tous les autres mâles que l'on peut retrouver un peu partout dans la Great Academy. Preuve que les stéroïdes sont moins efficaces que les efforts...
Côté vestimentaire, JFK est un véritable métrosexuel. Il porte toujours des vêtements griffés, et ne peut sortir de son appartement sans que son accoutrement concorde avec son humeur journalière. Il porte souvent des lunettes fumées, question de lui donner une mine mystérieuse, mais ô combien prétentieuse. Finalement, il prône les vêtements neutres.
Et si tu me parlais un peu de toi ?
Parce que le passé n'est qu'une suite d'erreurs et de souvenirs qui font souffrir la plupart des gens, il n'est pas nécessaire de faire un retour dans cette période souvent si ardue. Tout ce que je daignerais vous dire à propos de son enfance, c'est qu'il a vécu longuement dans la pauvreté, jusqu'à ce que son père remporte le jackpot à la loterie nationale. 37 millions de dollars, ce n'est pas rien! Dès qu'il eût atteint l'âge fatidique de 16 ans, sa vie monotone et difficile se transforma rapidement en une suite de cadeaux et d'anecdotes rocambolesques.
Pourquoi a-t-il décidé d'étudier dans l'économie et la gestion? Tout simplement parce que son plus grand rêve est de diriger sa propre entreprise. De plus, avec l'argent de ses parents, il lui serait plus facile de débuter sa compagnie, et ainsi éviter les commencements souvent rudes et complexes des nouvelles entreprises. Mais par-dessus tout, JFK adore diriger et avoir le dernier mot, ce qui l'a encouragé à étudier dans cette unité de formation. Seul l'avenir nous dictera son succès ou son échec...
Entre les études et les devoirs, Mark profite souvent de ses temps libres pour sortir et s'amuser entre amis. Il fricote souvent avec Sherryl, une amie de longue-date. Cette amitié améliorée, si je puis utiliser l'expression, est en fait une sorte de bouée de sauvetage lorsque l'un ou l'autre est en manque d'affection ou de chaleur humaine. Également, JFK, même s'il n'apprécie pas réellement les sports, est un adepte de l'eau : c'est d'ailleurs dans ces circonstances qu'il a fait la rencontre de Sherryl.
Un peu plus sur toi
© Obsession27.
| - COULEUR PREFEREE : Bleu & noir.
- FRUIT PREFERE : Euh...
- STYLE DE MUSIQUE : Ce qui est populaire.
- VOS PEURS : Perdre ce qu'il a, et ce qu'il est.
- VOS SECRETS : Hum... pour cela, il faudra le connaître!
- VOTRE PLUS GRAND RÊVE : Ouvrir son entreprise.
- CE QUE TU AIMES : Diriger, s'amuser, le sexe en général, l'eau, la chaleur.
- CE QUE TU DETESTES : Avoir tort, les hypocrites, même si lui-même en est un.
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Il y a quelqu'un derrière l'écran ?
© Obsession27.
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- PRENOM / PSEUDO : Secret!
- AGE: 16 ans.
- SEXE : Mâle.
- FRÉQUENCE DE CONNEXION [/7] : 6/7.
- COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Sherryl Adam
- QUE PENSES-TU DU FORUM ? : Mon premier avec avatars réels!
- MULTICOMPTE : Non.
- PERSONNALITÉ DE VOTRE AVATAR : Wentworth Miller.
- CODE DU REGLEMENT :
- Spoiler:
OK BY SKYE
- EXEMPLE DE RP :
- Spoiler:
À quel instant peut-on déterminer qu'on ressent quelque chose envers un autre individu? Comment peut-on savoir si cet intérêt est plus puissant, plus passionné qu'une simple relation? Ézéchiel se posait intérieurement toutes ses questions, et ses interrogations étaient incessantes depuis le début de la rencontre avec la scintillante. Il songeait, réfléchissait, cogitait de toutes ses forces, mais n'arrivait guère à comprendre. Et si l'Historien éprouvait... beaucoup d'affection envers Mérope, qu'adviendrait-il? Dans la même ordre d'idée, si cette dernière était bien loin d'être intéressée par lui, désirant abandonner Ézéchiel depuis le tout commencement? Tant de faux espoirs pour des tentatives réduites à néant... Mais l'Historien continuait, perpétuait de lui envoyer des signes discrets, des messages presque subliminaux afin qu'elle comprenne qu'il ressentait quelque chose envers elle. Du point de vue d'Ézéchiel, la jeune femme ne paraissait pas répondre à tous ces développements, à la plus grande prostration du consul, qui continuait néanmoins d'espérer. Rien n'est mort avant d'avoir tout tenté, et un feu ne peut pas survivre si on ne lui accorde pas tout l'oxygène qu'il a besoin... Mais parmi tous ces questionnements, Ézéchiel était certain d'une seule chose : Mérope, il ne la considérait point comme une inconnue, et encore moins comme une amie. Il y avait plus, bien plus qu'une simple amitié, bien plus qu'une relation normale...
Mais la brillante avec commis l'irréparable, l'impardonnable, l'irréfutable. Alors qu'elle s'était positionnée à quelques centimètres d'Ézéchiel, elle avait osé prendre délicatement l'une de ses mains, la serrant avec passion mais douceur. À ce moment-là, un frisson d'une intensité inégalable avait parcouru tout le corps de l'Historien en moins de quelques secondes, et le consul dut retenir la vigueur qui gonflait en lui... Oui, il avait envie de la toucher, de palper sa peau, son visage, ses mains jusqu'à l'éternité. Mais si le moment où elle avait touché sa main était involontaire, et si elle regrettait à présent son geste? C'est qui poussa Ézéchiel à se calmer, à éviter de brusquer Mérope. Cette dernière s'était d'ailleurs enfuie légèrement, délestant par le fait-même les mains de l'Historien, qui put de nouveau respirer. Cette jeune femme avait la singulière faculté de faire perdre tous les moyens du blond que par la force de la pensée, des paroles et des gestes... Et évidemment, la perte de contrôle était imminente lors d'un rapprochement semblable. Par la barbe de Merlin, il avait espéré que se moment s'éterneriserait... Il l'avait espéré, et n'avait pas honte de le dire...
Puis après avoir commis l'irréparable, elle affirma l'impardonnable. Elle avait affirmé d'un ton qui avait fait frémir Ézéchiel qu'elle voulait rester auprès de lui. Il s'était senti aussitôt bercé par le bonheur, la satisfaction, le regard passionné de Mérope. « Pourvu que je puisse être avec toi. » Dans sa tête, cette phrase s'était répétée incessamment, et elle se dirigea droit vers son cœur. Parce que les souvenirs se trouvent dans la tête, et que les souvenirs inoubliables sont mémorisés dans le cœur. L'Historien acquiesça à cet énoncé par les yeux, et la jeune femme sembla comprendre. Toutefois, il paraissait que la timidité s'était emparé d'elle, et qu'elle avait changé aussi brusquement de sujet, comme Ézéchiel l'avait fait à plusieurs reprises auparavant... Où aller? Où se diriger? Le consul n'en avait aucune idée... Et dieu du ciel, il se foutait royalement de l'endroit où il serait, qu'il pleuve, qu'il neige, que le ciel s'abatte sur eux... Il s'en foutait. Qu'il y ait des sans-cœurs, des créatures sanguinaires, des meurtriers... Il s'en foutait. Que sa vie soit mise en danger, que sa mère sorte ds prisons... Il s'en foutait. Puisqu'au fond de lui, il savait très bien que peu importe ce qui pourrait survenir, il pouvait traverser toutes les épreuves à ses côtés, comme si la simple présence de Mérope lui donnait toute la force et toute la volonté du monde... Comme si c'était la source inépuisable d'un désir de vivre perdu...
Mais il devait faire son choix bien vite, car il ne voulait plus faire attendre la lumineuse. Ézéchiel se mit donc à fouiner dans les entrailles de ses songes, dans les profondeurs de ses pensées, à la recherche d'un lieu de prédilection. Il fallait que cet endroit représente son passé, sans trop le rendre nostalgique. Il fallait que cet endroit soit merveilleux à regarder, idéal pour une veillée, sans que cette magnificence captive tout l'attention de Mérope. Quelques secondes plus tard, il avait déjà fait son choix, et avait déterminé le lieu utopique. Il la partagea avec elle, d'un ton brisé par la joie, mais également amplifié par ce qui semblait être de l'affection :
- J'ai une idée. Nous irons ce soir dormir à la belle étoile. Non pas dans à l'extérieur, car nous pourrions mourir de froid. Nous irons plutôt dans une vieille auberge, mais une auberge bien particulière... Il marqua une pause, regarda Mérope et s'approcha légèrement. Et de toute façon, si j'ai envie de dormir à la belle étoile, je n'aurai qu'à plonger mon regard dans le tien pour admirer toute la lumière du ciel...
Il approcha son visage du sien et les lèvres d'Ézéchiel frôlèrent la joue de Mérope, sans plus. Il ricana nerveusement, et emmena la scintillante vers ladite auberge. Cette fois-ci, il ne l'avait pas pris par le bras, ni même par le poignet. Non, cette fois-ci, il tenait fermement la main de la jeune femme. Et tous deux se dirigèrent vers la fameuse destination. Le trajet avait été laconique, mais ô combien plaisant. Le Domaine Enchanté était si merveilleux pendant le règne des étoiles, et la lueur qui entourait Mérope - lueur qui intriguait Ézéchiel d'ailleurs -, ne faisait que décupler la beauté des panoramas. Plus ils s'enfonçaient dans les bois, plus l'Historien se sentait bien et à l'aise, plus Mérope semblait vivre les mêmes émotions. Quelques minutes plus tard à peine, le consul et la lumineuse parvinrent débouchèrent ultimement sur une vaste clairière, une rivière mystique en son centre. L'ambiance était parfaite, idéale, utopique : il n'y avait pas le moindre son, mis à part le bruit agréable du courant de l'eau, et les cris des quelques animaux toujours éveillés. Ézéchiel prit quelques secondes pour observer les paysages, et se dirigea aussitôt vers ledit gîte, qui se trouvait à à peine une dizaine de mètres de leur position.
Mais de fait, que signifiait cette auberge pour le consul? C'était à cet endroit qu'il était né, dans l'édifice-même. C'était bien avant que sa mère ne tombe dans l'enfer de l'alcool, bien avant que son père ne meurt dans d'étranges circonstances. C'était lorsque la famille semblait heureuse, comblée... Même s'il venait de voir le jour, Ézéchiel semblait avoir des souvenirs curieusement clairs de cette fameuse journée. Il pouvait facilement voir le visage de son père, le sourire radieux de sa génitrice, les rires et les joies engendrées par la naissance d'Ézéchiel. Cette auberge avait donc beaucoup de valeur sentimentale pour le blond, et même si l'édifice était fermé et désert depuis déjà plusieurs années, Ézéchiel tenait néanmoins à faire part de cette partie de son existence à Mérope, qui contemplait également les panoramas fabuleux avec ardeur.
Et l'Historien mena la jeune femme tout près de la rivière, et alluma un feu en deux temps et trois mouvements. Il lui proposa de se seoir, mais annula l'offre aussitôt et accourut à l'intérieur de l'auberge. Il en ressortit quelques secondes plus tard avec une dizaine de couvertures à la main, prêt à réchauffer Mérope qui semblait déjà affectée par le froid extrême des lieux. Il installa donc un interminable drap sur le sol, tout près du feu qui se consumait tranquillement, et s'assit confortablement. À peine assis, la scintillante l'imita et pour s'assurer qu'elle n'ait pas froid, Ézéchiel déposa une autre couverture sur ses épaules et sur les siennes, englobant leurs deux corps, comme un cocon géant, comme deux âmes qui ne font qu'une. Après un long moment de silence, de regards un peu timides, d'attouchements innocents et de rires clairement satisfaits, l'Historien finit par dire :
- C'est ici que je naquis, et c'est la dernière fois que j'ai « vu » mon père. C'est pour cette raison que je t'ai amenée ici. Je voulais que tu sois la première à connaître mon repère; l'antre d'Ézéchiel d'Andromède...
Le consul prit la main de la jeune femme, et cette fois-ci, il n'eut aucun malaise. Il commença à flatter la paume dans tous les sens, sentant les frissons parcourir le bras de Mérope. Ézéchiel voulut rajouter quelque chose, mais ne voulait pas gâcher le moment majestueux et la sorte de passion qui régnait entre les deux corps. Ils se regardèrent pendant de longues minutes, l'Historien admirant chacune des qualités physiques de la scintillante, tout en faisant un résumé rapide de tout ce qu'il avait vécu depuis le matin-même. De l'autre main restante, il déposa le bras autour des épaules de Mérope et s'approcha légèrement, sentant pour la première fois autant de chaleur féminine. Il frémit viscéralement et divulgua finalement :
- C'est magnifique, n'est-ce pas? Mais je trouve que c'est un peu injuste pour toi... Parce que moi, en plus de pouvoir contempler les panoramas incroyables qui se dressent devant mes yeux, je peux également admirer la jeune femme la plus radieuse de toutes. Toi, tu ne vois qu'un frêle inconnu, un petit gars bien normal...
Il ne put empêcher un rire satisfait, et attendait une réponse, physique ou verbale, de Mérope.
- AUTRE(S) : Je suis beau.
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Dernière édition par Mark Kennedy le Jeu 10 Fév - 5:19, édité 24 fois |
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