Rien de mieux qu'un peu de sport pour ce vider l'esprit

Parfois dans la vie, vous vous dites, il y a des choses qui pour nous, dans notre esprit ne changeront jamais, que c'est impossible que cela soit modifié. Pour moi par exemple, le vieux Coach entrainerait toujours, bien après que j'eus quitter GA. Dans ma tête, je ne voyais pas ce vieux briguant s'arrêtait un jour de transmettre son amour du jeu aux jeunes. Pourtant il s'était arrêter, et comme dire, cela m'avait fait quelque chose. Surtout que l'on ne savait pas sur qui nous allions tomber et pour remplacer notre bon vieux coach;, il allait falloir en vouloir et ne pas se laisser faire. Alors vous n'imaginez pas ma surprise quand j'avais vu débarquer Alex, 26 ans. Bien sur au début c'était pas facile, ni pour lui, ni pour nous, les gars de l'équipe mais en tant que capitaine, j'avais essayer de faire en sorte que tout se passer bien entre lui et nous. Au fur et à mesure j'avais appris à le connaître, et à l'apprécier. C'&tait un bon coach, même si je n'avais jamais douter de ses capacités, après tout, si il avait été prit pour le poste, il y avait forcement une raison, et une bonne. Alex et moi ont était devenu amis et même plus. Je le considérais comme mon grand frère, comme celui qui pourrait me conseiller sans que je me sente juger. J'étais père, amoureux, et je vivais avec la femme que j'aimais, la femme de ma vie certainement. Pas vraiment un étudiant ordinaire, et je crois que seule quelqu'un de plus vieux, pouvait vraiment me comprendre. Et moi j'avais Alex, même si bon, c'était pas mon genre d'aller le voir pour lui parler, mais je savais que je pouvais compter sur lui en cas de problème. J'ouvrais les yeux lentement, m'étirais doucement et posais, comme tout les jours en me réveillant, mon regard sur la jolie blonde dans mon lit. Elle gigote, je souris tendrement, tout en effleurant son visage. Je vais pour sortir du lit, mais j'entends un grognement distinctif. Je souris encore plus et me retourne, pour voir Leya qui me regarde, pas contente comme à chaque fois que je m'éloigne d'elle d'ailleurs.

Rendors-toi chérie, il est très tôt … Lui soufflais-je en venant posais mes lèvres sur son front. Je vais aller m'entrainer au gymnase un peu okey ? Il faut que je reste en forme, même si souvent tu te charge de ça … Dis-je en la regardant d'un air lubrique, sachant très bien qu'elle savait ou je voulais en venir. Je serais de retour en fin de matinée. J'irais chercher à manger ! Je l'embrassais et quittais le lit, et la regardant avant de sortir de la chambre.

Je refermais la porte de la chambre et allais au devant d'un autre porte qui renfermais quelque chose d'aussi important que la porte que je venais de fermer. La porte de mon fils, Noah. Presque un moi qu'il était né. Je n'en revenais toujours pas vraiment. Je m'avançais légèrement dans la chambre et m'approchais du lit et le regardais, fière de moi, fière de Leya, de nous et de ce que nous avions fait, même si cela n'avait pas été facile et que jamais cela ne le serait. Je quittais la chambre de mon fils et allais me faire mon petit déj' rapidement. Croissant et café. Il fallait que je prenne des forces vu que je comptais m'entrainer ce matin. Une fois mon déjeuner avalait, je filais enfiler une short et un tee-shirt de sport. Je quittais l'appartement et allais prendre ma voiture. Direction le gymnase. J'avais besoin de me dépenser en faisant de l'exercice. Je roulais jusqu'au gymnase. Je me gare sur le parking désert. Je sors de la voiture, la referme et me dirige vers l'entrer. Je remarque qu'il est ouvert et allumer déjà. Je fronce les sourcils, me demandant qui était là à cette heure. J'entre et recherche la personne. « When the night has come, And the land is dark, And the moon is the only light we'll see, No I won't be afraid, no I won't be afraid, Just as long as you stand, stand by me... » Je souris et me retiens de rire. Cette voix. Alex. Qui d'autre en même temps ? Aucun autre n'était aussi dingue de sport que moi. Je suis la voix et le regarde, sur son velo d'entrainement, un sourire sur mes lèvres. « Jo! Tu es matinal! » Je lui souris, content de le voir.

Tout comme toi on dirait ! Dis-je en souriant. Oui, disons que j'ai sentis le besoin de venir m'entrainer, pour garder la forme tu vois et puis je suis du genre matinal ! Et toi alors ? Qu'est ce qui vous amène toi et ta jolie voix ici si tôt ? Rigolais-je, taquin, n'ayant pas résister à cette petite pique plus que facile.

J'étais vraiment content d'être tomber sur lui. Il était mon coach, mais aussi plus que cela, il était mon ami, mon frère. Il n'était pas depuis longtemps mais il était vraiment comme mon grand frère. Il était là quand j'avais besoin de lui et c'était pareil pour ma part. Je serais toujours là pour l'aider du mieux que je pouvais.