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| | La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. | |
| Auteur | Message |
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Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Gamma Etudes: UFR 9 Mannequinat Relations:
| Messages | : 27 | Points | : 15 | Date d'inscription | : 19/10/2012 | Localisation | : Quelque part en France? | Célébrité sur l'avatar | : Jesse McCartney
| Sujet: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Ven 19 Oct - 18:39 | |
| ❝ AYLING Gabriel Damien ❞
ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE ■ 18 ans; né le 21 décembre à Southampton. CELIBATAIRE ? ■ Célibataire. NATIONALITÉ ■ Anglaise. MÉTIER/ÉTUDES (UFR) ■ UFR 9 → Mannequinat. ORIENTATION SEXUELLE ■ Hétérosexuel. GROUPE ■ Hum... N'arrivant pas à me décider entre Alpha et Bêta... Gamma? AVATAR ■ Jesse McCartney. CREDITS ■ Bannière → Screen fait par moi sur la chanson "She's no you".
Miroir mon beau miroir ..
PHYSIQUEMENT ■ Gabriel a un nom qui lui va à ravir; c'est une vraie bouille d'ange. Un visage charmant, des cheveux blonds, mi-longs, des yeux couleur azur, un sourire irrésistible, voilà ce que l'on remarque tout d'abord chez ce garçon de taille normale, si je puis me permettre l'expression. Ce n'est que bien après qu'on pense à s'intéresser au reste de sa personne. Ce grand svelte est musclé juste ce qu'il faut où il faut et le tout lui donne beaucoup d'élégance. Le jeune blond, avec son sourire juste bon à faire craquer toutes les filles, est un véritable modèle de « perfection », à mon sens du terme tout du moins.
MENTALEMENT ■ Peut-on vraiment décrire quelqu'un par les mots? Non, mais nous le devons. Je vais donc tâcher au mieux d'explorer le caractère du jeune Gabriel. Tiens, commençons par ce point. Gab' est jeune et il adore profiter de sa jeunesse. Fêtard, il a vite appris à tenir l'alcool. Pas farouche ou distant pour deux sous, ce garçon est plutôt sociable, même s'il a ses têtes. Il est agréable avec les personnes qu'il aime bien et infecte avec celles qu'il ne peut pas encadrer. Outre cela, il est plutôt fier par nature, ce gamin. Un peu play boy, il joue de son charme pour draguer et n'est pas du genre histoire d'un soir, sans lendemain. Même si généralement les relations ne sont jamais longues avec lui, ce jaloux n'est tout de même pas du genre à changer de fille chaque nuit. D'un naturel plutôt moqueur, Gaby manie le langage comme une arme lorsqu'il se sent agressé. Et méfiez-vous, il peut devenir très dur dans ses propos. Ironie, sarcasmes, mensonges... Il est plus dangereux par la langue qui par la force. D'ailleurs, vous ne le verrez pas souvent se battre, il a horreur de cela et aurait peur de se blesser. Rappelons qu'il se joue de son image pour arriver à ses fins et que c'est d'ailleurs son image qui sert se mannequin en devenir. Déterminé, patient, prêt à tout, têtu... Voilà ce que l'on peut ajouter sur lui. Et brillant, intelligent, capable de réflexion... Je pense vous avoir donné assez de qualités pour éclipser ses principaux défauts; un complexe d'infériorité bien marqué, un côté fouineur avec un penchant pour les ragots, un caractère au final bien trempé... Pour le reste, vous le découvrirez bien assez tôt!
C'est l'histoire de la vie ..
Gabriel est l'aîné de la famille Ayling. Né il y a désormais dix-huit ans de cela, il a fait le bonheur de ses parents, un jeune couple fraîchement marié. Sa mère était nourrice de profession et il ne la quitta donc pas durant les premières années de sa vie. Il ne vit cependant que peu son père, riche homme d'affaires constamment en voyage à l'autre bout du monde. Il fut scolarisé très jeune dans l'école de son quartier de Southampton. A quatre ans, il vit une petite sœur, Annabel, entrer dans sa vie. Il fut plutôt jaloux de voir débarquer le bébé dans sa vie puisqu'il perdit son statut de fils unique, mais cela ne dura pas puisqu'il n'y eut pas de différences entre sa cadette et lui.
On remarqua aisément que c'était un petit garçon très gentil, intelligent et impliqué dans ce qu'il entreprenait, du moins autant que pouvait l'être un enfant de son âge. Il était aussi calme et patient, attentif, que ce soit aux cours ou aux autres. Une véritable crème. Et ces traits de caractère ne firent que s'accentuer au fil des années. C'était un enfant très proche de sa famille qui adorait sa mère mais plus que tout son père et qui s'entendait très bien avec sa jeune sœur. Il avait sept ans lorsque son petit frère, Alexis, le dernier de la fratrie, vit le jour à son tour. Tout allait pour le mieux, d'ailleurs Gab' trouva plutôt vite son équilibre dans ces conditions-là. Il s'avérait être la fierté de ses parents avec ses bonnes notes et son comportement exemplaire.
Véritable premier de la classe jusqu'à l'âge de ses douze ans, sa vie bascula un jour d'été où il jouait dans le jardin avec son père. L'adolescent en devenir était très content de voir son père qui était une semaine à la maison et il profitait pleinement de chaque moment avec lui. Le jardin donnait sur la rue dans laquelle ils vivaient encore depuis la naissance du garçon, à Southampton, et c'est pourquoi Gabriel vit une impressionnante voiture américaine, noire aux vitres fumées, s'arrêter, une vitre descendre, un homme passer la tête et le bras dehors. Il se souvient de tout, même s'il soutient ne pas avoir vu l'homme, trop inquiété par les trois détonations sourdes qui lui avaient crevé les tympans. Il n'est sûr que d'une chose: il se souvient de son père, étendu sur le sol, mort dans une marre de sang.
Un évènement de cette envergure peut-il laisser qui que ce soit de marbre? Non, assurément pas, et on ne peut que se désoler que le doux et adorable Gabriel y ait assisté. Il changea du tout au tout. Il se renferma sur lui-même, il devint bagarreur, il s'éloigna de sa famille, de ses amis. Il devint instable, il lui fallut peut de choses pour ne pas tomber dans la délinquance totale. Il était toujours froid, comme incapable de ressentir quoi que ce soit. Cet enfer pour sa famille dura quatre ans, jusqu'à ce qu'une des amis de l'adolescent le fasse réagir. On ne sait guère le comment du pourquoi - elle lui a sûrement dit ses quatre vérités afin de le faire réagir - mais Gab' changea de nouveau. Oh, finie la douceur, finie la naïveté, mais l'adolescent se forgea un caractère plus tempéré, son caractère actuel. A dix-sept ans, il avait repris sa vie en main. Il se rapprocha de nouveau de sa famille, plus fort que jamais et renoua franchement avec ses amis.
Il n'avait jamais laissé tomber les études, ce qui lui permit d'obtenir un diplôme. Il postula alors dans diverses écoles pour continuer les études; il espérait devenir mannequin. Un métier certes exigeant mais qui lui plaisait et dans lequel il pourrait assurément percer s'il sortait avec un diplôme solide en poche. Il fut donc accepté à Great Academy, à New-York. Il quitta donc ses amis, sa famille et, sans plus de regrets que cela, rejoignis la Grosse Pomme pour continuer ses études.
Je veux savoir ..
COULEUR PREFEREE ■ Le bleu. ANIMAL PREFERE ■ Les chiens. TA PLUS GRANDE PEUR ■ Être rejeté. TON PLUS GRAND SECRET ■ Sait qui est l'assassin de son père. TON PLUS GRAND REVE ■ Réussir dans la vie. DESSERT PREFERE ■ Une gaufre au nutella. FRUIT PREFERE ■ La fraise. Toc toc toc, qui est là ? PRENOM/PSEUDO ■ Bloody. AGE ■ 16 ans. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ■ Par une adorable petite belge (a). TA PREMIERE IMPRESSION ■ J'aime beaucoup ^^ . MULTICOMPTE ■ Nope. CODE REGLEMENT ■ - Spoiler:
OK BY KIM EXEMPLE DE RP ■ - Spoiler:
RP 1, que je voulais absolument mettre...Tu me manques. Et voilà que le temps, à tes côtés, me paraît si lointain, si court, dépassé. M'as-tu oublié? Moi je n'ai pas pu, malgré mes efforts. Je ne peux plus me voiler la face. Le temps loin de toi, de nous, de vous peut-être, de chez moi, de chez nous... Enfin, prend cela comme tu veux, mais l'éloignement me rend fou, fou de tristesse, cette tristesse qui a fait de moi le simple objet de l'être humain. Je ne m'appartiens plus, je leur appartiens. Même mon coeur ne m'appartient plus, c'est toi qui l'a gardé, alors que l'éloignement nous menaçait. As-tu vu les miettes tomber? Les as-tu ramassées? Et les ramasseras-tu encore? Je t'aime. A jamais et pour toujours. Ton Danger. ♥
Il faisait nuit. Le hululement d'une chouette en chasse répondit au hurlement d'un coyote solitaire. Le vent frais de l'Est refroidissait la plaine rase et sans abri qui avait brûlé, toute la journée. Peu de choses l'arrêtait, ce vent puissant de nuit, qui infligeait aux Êtres Vivants sa dictature implacable. Seuls les bâtiments bas et trapus, accolés à la montagne du Nord, brisaient les rafales. Seuls, perdus, quelques poteaux solitaires, reliés par des fils détendus, ployaient sous la force. Le paysage sombre, lorsque le vent s'arrêta, se figea dans un calme lourd. Plus un bruit, plus un souffle ne se faisait entendre, à des kilomètres à la ronde. Et là, la Lune, astre rond et énorme, se découvrit. Les nuages, comme par enchantement, disparurent. On ne voyait plus que la Sphère des Nuits et son cortège de diamants étincelants. Le relief accidenté, comme créé par les caprices d'un Géant, était baigné d'argent. Et, perdu au centre de ce tableau irréel se tenait, dressé sur ses quatre aplombs, fier et majesté, un étalon, les yeux fixés sur la Mère des Rêves.
La Lune se reflétait doucement sur son ossature généreuse. Petit, avec son mètre cinquante sept au garrot, il n'avait pourtant rien à envier aux plus grands modèles de sa race. Il était très typée, légèrement affiné d'un apport pourtant lointain de sang chaud, qui lui avait donné un port divin. Monté sur des membres proportionnels, forts sans être épais, n'étaient pas pourvus des articulations parfois grossières et trop proéminentes que l'on rencontrait par-là. D'ailleurs, c'était pour cela qu'il paraissait harmonieux, lorsqu'on montait le regard. Son corps, élancé, aux côtes devinables malgré le bon poids, était court, avec un dos large et puissant, droit, travaillé pour qu'il ne s'affaisse pas naturellement. Son épaule puissante donnait naissance à une encolure massive, toute de muscle faite, habillée d'une longue crinière fine et soyeuse. Il avait une belle tête expressive, rectiligne, comme le standard de la race l'exigeait. Ses grands yeux rendaient bien les émotions. L'argent y brillait. Ses petites oreilles mobiles pivotèrent rapidement. Il tourna la tête vers les bâtiments, derrière lui. Il avait aussi une croupe puissante d'étalon, ramassée, basse et aux muscles nerveux. Habillé d'une robe pie palomino, c'était un splendide spécimen de Paint Horse.
Une ombre glissa hors des bâtiments. Elle avançait droit vers l'étalon qui, gracieux, venait de tourner la tête en sa direction, car il la savait là. Il huma l'air calme de la nuit, avant de reporter son regard vers la Sphère des Nuits. C'était elle que reflétaient ses yeux dépareillés. L'une bleue ne semblant plus voir et l'autre noisette, les pupilles de l'étalon étaient braquées en direction de la source de lumière. Il n'avait que faire de la présence désormais matérialisée, à ses côtés. Il ne frémit pas même lorsque de fins doigts coururent le long de son encolure puissante. Il souffla plus fort, pour que la fillette sache qu'il la savait là, et qu'il l'acceptait sans l'ombre d'un doute. Elle était devenue sa complice, depuis des mois. Alors, lorsqu'elle lui passa un lien de cuir, autour de l'encolure et qu'elle l'enfourcha, à cru, il ne bougea pas. Il tourna de nouveau sa grande tête expressive vers elle, comme pour s'assurer qu'elle était bien là, callée sur son dos large. Alors, alors que rien n'avait changé, il prit le galop. C'était de leur commun accord. Elle se laissait bercer par son galop et lui, il se contentait de filer à travers la plaine, faisant frémir l'herbe encore haute. D'un galop régulier, ils fuyaient à leur refuge, celui que seuls eux deux allaient trouver quand la vie leur paraissait injuste. Une fois seulement, le mâle s'arrêta, le temps que sa jeune cavalière puisse ouvrir une barrière et leur permettre de sortir des terres du Ranch.
Désormais, le petit cheval connaissait par coeur son itinéraire. Il galopait avec constance, régulier. Il avait réapprit ce que cela voulait dire, d'être cheval de western. D'un lope académique, il allait vers leur destination finale. Il n'était ni hâtif ni rétif à y aller. Simplement, il avait apprit à ne plus se précipiter vers l'avant. Le lien de cuir lui servait de frein psychologique, enserrant son encolure, car la fillette l'avait resserré de façon à ce que le Paint le sente bien, attaché et posé sur son garrot. Il ne craignait rien. Pas même l'ombre qui courut devant lui, détalant pour éviter le martèlement doux de ses sabots contre la terre dure et sèche. Enfin, le couple quitta la piste pour s'enfoncer au trot au creux des montagnes. Même là, l'étalon ne fut pas impressionné. Il allait, égal, dans la fissure. L'encolure dressée, les oreilles pointées, il n'avait que faire des cailloux qui dévalaient derrière lui. Et comme par enchantement, il arriva a une clairière arborée, où une source qui semblait d'argent coulait dans un bassin naturel. Il s'arrêta, et la petite fille mit pieds à terre.
« Danger, tu sais que je t'aime plus que tout. Je sais aussi que tu m'aimes beaucoup. Mais maman et moi, nous sentons que tu n'es pas bien, ici. Tu es constamment occupé à regarder la lune et les étoiles, car tu refuses catégoriquement de rentrer dans les écuries. Tu es traumatisé, je le sais. Pourtant, en France, tu étais bien. Tu étais dans ton élément. Et même si, physiquement et psychologiquement tu as changé, je sais que tu seras toujours mieux à galoper là-bas qu'ici. Tu t'acclimates mal. Nous l'avons compris. Alors c'était notre dernière sortie nocturne. Demain, maman t'emmènera en van jusqu'à un convoyeur de chevaux, pour que tu retournes dans ton académie. Tu as assez de descendance ici, désormais. Et même si tu resteras pour toujours gravé dans mon coeur, je sais que tu y seras plus heureux. Je ne veux que cela, pour toi, adorable petit cheval. Tu es vraiment le meilleur de tous, mon coeur. Et c'est pour cela que je prendrais de tes nouvelles, tout le temps. Tu y seras sage, tu y reprendras le travail... Oui, le vrai, celui que tu connais par coeur: la bonne vieille monte classique des pieds tendres, qui te convient aussi bien que la monte western. Allez, mon ange, rentrons. »
Les paroles tournaient en boucle dans sa tête. Il était à l'étroit depuis trop longtemps, le noir environnant l'oppressait. Ses membres tremblaient, il avait du mal à rester debout, fatigué comme il l'était. Dans un regain d'énergie, il frappa les parois du van en hennissant, faisant tanguer tout l'assemblage de tôles. Il n'en pouvait plus, de ce voyage, qui avait commencé voilà quelques jours. Bien sûr, même s'il avait été bien soigné, il commençait à en avoir marre. Il suait, son poil trempé le frigorifiait désormais, tandis que le véhicule crapahutait sur l'un des routes de campagne, voisinant Etretat. L'odeur des lieux lui disait quelque chose, mais Danger était trop exténué pour y songer. Il préféra fermer les yeux, laissant son poids porter sur l'un des deux côtés du van. Tout de suite, l'attelage se pencha. Une masse de cinq cent cinquante kilos de viande vive, c'était plus qu'assez pour faire quitter la route à l'engin! Mais Dan' n'était pas vraiment appuyé de tout son poids. C'était juste un soutien, cette paroi de métal déjà pliée et martelée par les assauts de l'entier pie. Après un soubresaut, tout s'immobilisa, autour de lui. L'air était calme, on entendait à peine quelques hennissements.
La porte, devant lui, s'ouvrit à la volée. Il leva la tête en clignant des yeux, éblouis et étonné. Il hennit, déchirant le silence matinal. Après ce cri mâle, déchirant et vibrant de haine, l'entier racla le sol de l'antérieur droit, nerveux. Quitte à ce qu'on l'embête, qu'on le sorte de cette cage de métal! Le moindre de ses muscles était engourdi, il se sentait lourd et rouillé, presque déjà vieux. Pourtant, il était encore jeune, de ces neuf ans de force. Il encensa violemment et tira, tandis que l'homme, visiblement incapable, bidouillait dans sa longe. Le noeud, desserré, courut et se détacha, tandis que l'étalon reculait dans le van. Il supportait mal le voyage, dans le sens de la route. Un van oblique était, pour lui, la meilleure des solutions envisageable. A avoir voyagé ainsi, son caractère de brave s'était mué en une envie d'attaque, née dans les méandres de ses pensées devenues plus folles avec les longs mois passés aux Etats-Unis, pour se reproduire. Il serait bientôt père d'une trentaine de poulains. Une dizaine devait naître dans son haras natal et le reste à travers le Colorado, le Montana et le Texas, où il avait été demandé pour suiter quelques poulinières de valeur. Il avait frappé par ses qualités. Oui, c'était un cheval en bien des points qualitateux! Il se valait à la morphologie et à la répartition des tâches, tout comme au caractère et au travail. Une perle, partie trop longtemps de ses sources, mais qui, une fois de plus, repartait. Il avait hâte de descendre, encensant et frappant contre les taules.
Le pont descendit brusquement, derrière sa croupe puissante. Trop brusquement d'ailleurs, ce qui valut un coup de postérieurs, lancé à l'aveuglette, pour éviter un quelconque possible prédateur. Danger n'était pas peureux, mais à rester, durant son séjour en Amérique, toutes les nuits dehors, il était devenu plus méfiant de nature. Quelques claquements de langues lui firent comprendre qu'il s'agissait d'hommes et, piaffant, il attendit que l'on enlève la barre de recule. Il secoua la tête, nerveux, humant à grand bruit l'air extérieur. Quelque chose qu'il connaissait bien lui chatouillait les naseaux, le rendant frémissant. Il n'y songea plus lorsqu'un palefrenier lui poussa le poitrail. Alors, comme un furieux, il s'engagea sur la rampe et débarqua en marche arrière. Il avait prit l'habitude du transport, mais plus encore de descendre du van, ce véhicule qui apportait la frayeur et le malaise de la route. Car oui, c'était d'un inconfort! L'entier fut trop heureux lorsque ses quatre pieds touchèrent le sol. Il leva la tête, hennissant une fois de plus, déchirant. Quelques étalons lui répondirent, ce qui le fit gronder et ronfler des naseaux d'un air assez peu engageant. Il n'avait plus l'habitude de la proximité de ses congénères du même sexe, étant resté le seul mâle durant des mois. Maintenant qu'il était de retour, il devrait se réhabituer, petit à petit.
Les palefreniers s'affairaient sans méfiance autour de lui. Les Français avaient pris la relève des Américains. Ils connaissaient bien le cheval, qui avait déjà longuement séjourné chez eux. D'ailleurs, il sembla les reconnaître, car ses oreilles se pointèrent en avant et qu'il soupira de contentement en baissant l'encolure. Tous semblaient contents de revoir le petit cheval, qui avait toujours été doux et attentif lorsqu'il était auprès d'eux. Il regarda calmement autour de lui et émit un hennissement bas. C'était comme une évidence. Il était de retour chez lui. Il huma alors l'air, plein d'un espoir retrouvé qui le rendait joyeux. Pourtant, au fur et à mesure qu'il humait l'air frais, son regard impair se voilait de tristesse. L'odeur sucrée et prononcée qu'il cherchait n'était nulle part. Et il eut beau hennir, son hennissement doux et mélodieux ne lui répondait pas. Ainsi, on ne lui avait pas permis de l'attendre. Ils ne se reverraient jamais, alors qu'ils s'étaient quittés contre leur gré, alors qu'ils étaient amoureux. Un cri de révolte monta en lui tandis qu'il se cabrait, battant l'air des antérieurs, hennissant avec fougue et haine, rage et douleur. Les yeux fous, les dents dénudées, il montrait sa nature profonde d'étalon plein de feu, plein de haine. Les palefreniers devaient s'écarter pour éviter les coups de sabots assassins. Lorsqu'il reposa les pieds au sol, nerveux, il commença à trotter, jetant les dents à quiconque tentait de le ralentir ou l'arrêter. Il ne pouvait pas l'accepter. Jamais.
L'homme qui le tenait, d'une cinquantaine d'année et étalonnier de sa formation, ne se laissait pas intimider pour la réaction violente de l'étalon à on ne savait quel mouvement ou bruit. Il avançait résolument, droit vers le manège, sans regarder l'étalon qui, ardent comme un combattant, à ses côtés, lançait les dents, claquait des mâchoires même tout en trottant avec le panache d'un étalon d'une autre classe encore. Et Danger était trop fou, fou de tristesse, cette même tristesse qui le rendait hargneux et vicieux, pour comprendre où il allait. S'il avait comprit, il se serait arrêté, pour éviter ce coup de poignard en plein coeur qu'il reçut en entrant sous la voûte. Rien n'avait changé. C'était toujours le même sol doux et clair, toujours les même gradins montant autour de l'édifice, les même pare bottes, les même paniers de horse-ball. Rien n'avait changé. Il huma alors l'air, plein d'espoir. Peut-être y était-elle, comme à leur première rencontre. Mais, là encore, elle était absente. De rage, il hennit et se cabra, rétif à l'idée d'entrer. A force d'expérience, l'homme sut comment réagir et fit entrer le Paint. Une fois qu'ils furent tous deux enfermés dans l'enceinte sablée, Dan' s'arrêta en frémissant, l'oeil mauvais. Il n'attendit que le "clic" de sa longe avant de bondir.
Sans se faire prier, le petit entier bondit et partit comme une flèche jusqu'au fond du manège. Ses jarrets craquaient sous l'effort extrême qu'il leur demandait à peine débarqué du van. Mais il s'en fichait. Il n'avait pas prévu de s'arrêter, au fond. Sans elle, la vie ne valait pas la peine d'être vécue. Pourtant, il pila et fit demi-tour sur les jarrets. Baste, il fallait qu'il en finisse autrement, comme un étalon. Il savait qu'il trouverait plus fort que lui et qu'il lui suffirait de se laisser faire pour qu'un autre le tue. Les hommes, comprenant sans doute son manège, levèrent les bras fort haut, gesticulant et criant, l'empêchèrent de sauter. Il pila de nouveau, leur faisant face. Il ne bougea plus quelques instants, le regard brillant de haine et de rancoeur. Il arqua l'encolure en grattant le sol d'un antérieur, ses crins désormais longs cachant son regard flamboyant dans un halo de brins de soie crémeuse. Enfin, il releva la tête et tourna son profil droit au front large. Des pas venaient dans sa direction. Humains et équins mêlés, le mâle ne savaient les distinguer. Il secoua la tête et, dans une levade magistrale et dangereuse, hennit, dissuadant quiconque d'approcher du manège. Sinon, RP en humain, quand même ^^Voyez plutôt ma tête. J'étais au summum de l'énervement pour le coup. Cinq heures du matin le téléphone qui sonne, mon adorable mère qui voulait prendre des nouvelles. Tu parles que j'étais enchanté! Puis du coup, plus le temps de me recoucher, douche, petit déjeuner... Et à sept heures trente, dans les écuries, une fourche à la main, en train d'étaler de la paille dans les boxes. Pourquoi j'étais le seul stagiaire de cette académie moi? Franchement quoi... Parce que bien sûr, le paillage a été fini dans les environs de neuf heures. Après il avait fallu que je nourrisse tout le monde et donne le foin... Onze heures quoi, et encore, j'avais encore mon piquet à travailler et ma nouvelle jument à accueillir. D'ailleurs, ce serait bientôt son heure. Le temps d’aller faire une pause après presque quatre bonnes heures de travail de force sans pause. C'est alors que je venais de me vautrer dans l'un des canapés du club-house - désert d'ailleurs, que du plaisir! - qu'un van flambant neuf entra dans la cour. Il semblait chargé. Alors, comme on n'attendait que ma nouvelle jument - appartenant certes à l'académie, mais mienne quand même - je sortis dans la cour. Je n'étais en rien excité, ni quoi que ce soit. J'étais calme, voire blasé. J'en avais connu, des chevaux, dans ma carrière encore courte, et si j'aimais les équidés, de manière générale, jamais je n'avais eu le moindre coup de cœur. Jamais! J'avais des affinités, certes, mais jamais un cheval ne m'avait fait dire "ce sera celui-là et aucun autre.". Je n'étais pas de ce genre-là. En sortant pour récupérer le nouveau cheval, je me remémorais tout ce que je savais de la dénommée Arsenic Slaughter. Jument de concours, née à Pompadour, de deux cracks. Elle avait un avenir promis bien trop florissant pour atterrir à Horse Beautiful, surtout au prix qu'on avait entendu à son propos. Quelque chose d'extrêmement dérisoire, ne serait-ce qu'aux vues de l'arbre généalogique de la femelle, plus long qu'un bras! C'était du gâchis... Et trouver une jument de cette lignée sur un banal site de petites annonces sur internet... Cela cachait quelque chose, à n'en pas douter. Jument naviculaire, boiteuse à l'effort, aveugle, mauvaise dans les allures, contre-performeuse, mal conformée? J'aurai pensé à tout sauf à ce qui m'attendait: une diablesse, une jument folle, prête à tuer, particulièrement vicieuse, sans la moindre raison. Enfin, je n'avais plus le temps d'y songer, la princesse était là. L’homme avait à peine descendu la rampe du van et approché pour enlever la barre de recule que la jument envoya un postérieur droit dans sa jambe. Ça commençait. Je le voyais gros comme une maison, celle-là, c’était une vicieuse et j’allais en voir de toutes les couleurs. Super ! Déjà que j’avais le Piazor à travailler à l’obstacle ! Non mais sérieusement ? Ils voulaient ma mort par ici ou quoi ? Vous voyez un peu le topo ? Un étalon complètement taré dès qu’il voit une barre surélevée, une jument qui latte à l’approche… Mais ça va plus par ici, sérieux ! Enfin voilà, j’allais devoir faire avec. Je ne dis rien. J’attendis juste que l’homme débarque la femelle. En fait, la jument baie profita du fait qu’elle ait envoyé bouler l’homme et qu’elle ait réussi à se libérer de sa longe pour fuir. Mais c’était quoi ce cirque ? Cette jument était infernale, sérieusement ! Tentative de coups de dents et bonjour les dégâts avec cette saleté-là ! Je commençais à me dire que j’aurai mieux fait de rester couché ce matin moi ! Et surtout que je n’aurai jamais la moindre chance face à la jument. Déjà que l’homme faisait concours de force avec elle… Parfois, je me disais que mon physique n’était pas un cadeau du tout. Du style pas très grand et super mince, y’a moi. Je ne ferais pas le poids face à la baie. Même si j’étais plein de bonne volonté et surtout que je ne me décourageais pas, elle allait me réduire en miettes ! Je vis le conducteur du van lui mettre une autre longe. En fait, tenue, elle n’avait pas l’air si effrayant la miss. Enfin, mieux valait éviter de se laisser avoir par une bonne bouille de jument brave. C’était juste bon à mourir. A cet instant précis, je me mis en tête de ne jamais – au grand jamais ! – tourner le dos à Arsenic. Elle aurait été capable de me tuer, je le savais, et je n’avais pas vraiment envie de mourir sur place. J’avais encore du temps devant moi, logiquement. Alors l’idée d’être tué par un cheval… Ce n’était pas mon envie du moment ! L’homme vint jusqu’à moi avec son dangereux colis. Il me tendit d’abord ses papiers, puis sa longe. Sans perdre de temps, je pris la longe à deux mains et me mis sur le côté gauche de la bête, pour éviter un coup, ou du moins pour être moins vulnérable. J’avais un peu compris de quoi elle était faite. Même si je ne la connaissais pas, je savais que je ne pouvais pas me fier à elle. D’ailleurs les mots de l’homme me confirmèrent ce que je pensais : la jument était une véritable diablesse. Je regardais de mon regard froid l’homme, avant de lui répondre avec mon habituel air de me foutre de tout et de n’avoir qu’une envie, détruire ce qui m’entourait. C’était ma façon d’être. « J’ai bien compris. Merci du cadeau ! »L’homme tournait déjà les talons et repartait, tandis que je restais avec la jument au milieu de la cour. Mes yeux restaient braqués sur ses muscles, surtout à l’encolure et à l’épaule. Si une attaque venait de là, le mouvement me permettrait d’esquiver… Avec un peu de chance. Je tendis la longe, avant de claquer de la langue. Il fallait bien que j’en fasse quelque chose. Alors autant commencer par voir si elle avait un soupçon de respect et qu’elle était capable ne serait-ce que de marcher en main. Mais ça, ce n’était pas sûr du tout. Direction un anneau serti dans le mur. Et oui, mine de rien, j'avais observé. La jument portait un attirail complet de protections. Mais qui avait eu le courage de l'équiper de la sorte? Parce que oui, elle était vicieuse, cela se sentait, s'était remarqué. Et l'homme m'avait mis en garde. Enfin, à sa façon quoi. Je le sentais mal ce coup-là. Enfin, si on avait le même fond... Quoi que, j'en doutais. Ma carapace était celle d'un jeune adulte pas encore tout à fait sorti de l'adolescence, au regard souvent brûlant de haine, qui aurait voulu détruire ce qui l'entourait en incendiant tout de son regard. Non, je n’exagérais pas. Mon regard flambait les alentours sans retenue. Toujours. Et j'avais, de prime abord, un caractère bien trempé, arrogant, détestable. Si pour Arsenic ce n'était que l'extérieur, ce serait presque sympa. Mais quelque chose de méfiant, au fond de moi, me disait que ce ne serait peut-être pas aussi simple. D'ailleurs, avec les chevaux, rien n'était JAMAIS aussi simple qu'il pourrait y paraître. Alors, tant bien que mal et avec prudence - oui, je sais, c'est moins drôle quand on se méfie d'avance sans qu'on ne nous en donne de vraies raisons, mais prudence est mère de sûreté - j'emmenais la jument jusqu'à un anneau avant de faire un semblant de nœud. En effet, deux tours morts dans l'anneau étaient suffisant. Il suffisait qu'elle tire au renard..! Suite à cela, j'entrepris de retirer les protections. Hors de questions de m'accroupir ou de me baisser en lui tournant le dos, à cette miss. Mais, dans cette situation, quoi que je fasse, je prenais pas mal de risques. Allez Jesse, courage, il faut que tu enlèves les quatre protections de transport. Quand il faut y aller... Enfin, vous l'aurez compris, en essayant de ne pas me faire réduire en pièces - on sait jamais... - je commençais à enlever les protections de la jument, bien décidé à rester entier, tandis que l'engin qui avait amené la jument était reparti avec le moins de bruit possible. SUGGESTIONS POUR AMELIORER LE FORUM ■ Pas pour le moment. AUTRES ■ Pour le RP, si je sors quelque chose de déjà existant et de totalement hors contexte, ça vous va quand même?
Dernière édition par Gabriel D. Ayling le Sam 20 Oct - 14:37, édité 3 fois |
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| Messages | : 117 | Points | : 132 | Date d'inscription | : 11/02/2012 | Célébrité sur l'avatar | : Emma Watson
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Ven 19 Oct - 19:14 | |
| Ma Blooodyyyyyyyyyyyyy "Par une adorable petite Belge", rhooo, t'es mignonne En tout cas, bienvenue et bonne chance pour ta fiche ! |
| | | • MODERATRICE •| Messages | : 19 | Points | : 8 | Date d'inscription | : 14/10/2012 | Célébrité sur l'avatar | : La magnifique Kristen Bell
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Ven 19 Oct - 20:09 | |
| Bienvenue à toi et bonne chance pour ta fiche petit pingouin des îles |
| | | | Messages | : 53 | Points | : 10 | Date d'inscription | : 25/08/2012 | Age | : 32 | Localisation | : / | Célébrité sur l'avatar | : Olivia Wilde
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Ven 19 Oct - 20:36 | |
| HEY Hey !! Bienvenue a toi sur GA ! :D Bon courage pour ta fiche et oui, pour ton exemple de rp, tu peux prendre un truc que tu as déjà fais, pas besoin d'en faire un spéciale si t'a pas envie ! C'est juste pour voir un peu ton niveau ! ;) a très vite ! :D |
| | | Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Gamma Etudes: Psychologie Relations:
| Messages | : 117 | Points | : 132 | Date d'inscription | : 11/02/2012 | Célébrité sur l'avatar | : Emma Watson
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Ven 19 Oct - 21:30 | |
| Son niveau il est bon, ça c'est sûr |
| | | • ADMINISTRATRICE • Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Beta Etudes: Arts - Cinéma Relations:
| Messages | : 3759 | Points | : 3699 | Date d'inscription | : 06/11/2009 | Age | : 32 | Célébrité sur l'avatar | : Ashley Greene
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Ven 19 Oct - 21:54 | |
| Bienvenue à toi et bonne chance pour la suite de ta fiche (Jesse J'en étais folle amoureuse quand j'étais petite ) |
| | | | Messages | : 56 | Points | : 54 | Date d'inscription | : 27/08/2012 | Célébrité sur l'avatar | : Selena Gomez
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Ven 19 Oct - 23:13 | |
| Heyyy ! Bienvenue à toi parmi nous Gabriel Tu t'y plairas surement tu verras ;) |
| | | | Messages | : 42 | Points | : 60 | Date d'inscription | : 28/09/2012 | Age | : 32 | Célébrité sur l'avatar | : Kaley Cuoco
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Ven 19 Oct - 23:36 | |
| BONDOUR ET BIENDENUE IDI ! BON COURADE POUR DA FICHE ! * arrete de manger sushis * Quel accueil féminin ! x) |
| | | Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Gamma Etudes: UFR 9 Mannequinat Relations:
| Messages | : 27 | Points | : 15 | Date d'inscription | : 19/10/2012 | Localisation | : Quelque part en France? | Célébrité sur l'avatar | : Jesse McCartney
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Ven 19 Oct - 23:59 | |
| Haaaa merci tout le monde ♥ Me reste caractère & histoire mais ça va être assez rapide normalement... Juste pour vous prévenir qu'il y a le code, l'exemple de RP (et même deux, d'ailleurs), que j'ai installé un kit, bref, que je suis motivée !! Et quoi de plus motivant qu'une si bel accueil féminin et surtout chaleureux? Merci merci, je me dépêche de finir pour jouer avec vous ♥ |
| | | • ADMINISTRATRICE • Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Beta Etudes: Arts - Cinéma Relations:
| Messages | : 3759 | Points | : 3699 | Date d'inscription | : 06/11/2009 | Age | : 32 | Célébrité sur l'avatar | : Ashley Greene
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Sam 20 Oct - 14:36 | |
| Je viens de valider ton code mister ^^ Fais nous signe quand tu penses avoir terminé |
| | | Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Gamma Etudes: UFR 9 Mannequinat Relations:
| Messages | : 27 | Points | : 15 | Date d'inscription | : 19/10/2012 | Localisation | : Quelque part en France? | Célébrité sur l'avatar | : Jesse McCartney
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Sam 20 Oct - 14:38 | |
| Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiii ♥ Et bien je viens justement de poster l'histoire, donc je pense que tout est bon ^^ En tout cas de mon point de vue c'est une fiche finie. |
| | | • ADMINISTRATRICE • Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Beta Etudes: Arts - Cinéma Relations:
| Messages | : 3759 | Points | : 3699 | Date d'inscription | : 06/11/2009 | Age | : 32 | Célébrité sur l'avatar | : Ashley Greene
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Sam 20 Oct - 14:41 | |
| ❝ WELCOME WELCOME ❞
Merci pour ton inscription! Pour bien commencer.. Te voila officiellement validé! Mais tes efforts doivent se poursuivre. Maintenant, tu dois aller recenser ton avatar, qui se trouve ICI. Suis bien les consignes qui sont demandés pour le faire correctement. Dans ton profil, il y a « Et si tu nous disais plus sur toi », tu dois générer ta feuille de style et la remplir au plus vite.
Ensuite, rendez-vous dans le forum « DEMANDES ». C’est par ICI que tu te feras des liens avec les autres membres, donc ouvrir un nouveau sujet avec une fiche de lien est conseillé. Puis, tu peux également te créer une demande de sujet pour que les autres viennent te demander un RP. C’est le but de ce forum, donc c’est par LA! Tout ce qui est utile Ton personnage a des besoins, comme nous tous en dehors du monde virtuel. Premièrement, MSN. C’est le moyen facile pour communiquer rapidement avec les autres personnages. Ensuite, il aura certainement besoin d’un TELEPHONE PORTABLE, pour passer coups de téléphone, recevoir des messages écrit ou sur son répondeur. Si tu es un étudiant, tu veux certainement une CHAMBRE, dans ce cas fait une demande et tu peux même avoir un COLOCATAIRE si tu le souhaites. Si tu es un citadin, tu peux toujours demander à avoir un logement, même endroit que pour les étudiants. J’espère que tu as bien lu le REGLEMENT, car c’est bien indiqué que les étudiants n’ont pas d’appartement en dehors de l’Université avant certaines recommandations de notre part. Petit plus ? Un BLOG si tu le souhaites… Et tu peux également créer un JOURNAL INTIME si tu le souhaite, pour permettre aux autres membres de voir l’évolution de ton personnage, sans avoir à lire tous tes RP (pour les feignants^^) En plus Pour que le forum accueille d’autres membres comme toi, merci de voter dès que tu peux sur les petites pommes et de le mettre ICI, ça te donnera des points. Et ces points ? Va lire le règlement pour savoir à quoi ils servent ;)
Tu veux t’intégrer rapidement ? Viens-donc nous rejoindre sur la ChatBox, le petit onglet sur le côté gauche du forum où il y a écrit « Ouvrir ». L’ambiance est bonne et tu pourras discuter avec les membres et te faire des liens ensuite par écrit. The end Et voilà, notre guide s’arrête ici. J’espère que tu ne te perdras pas trop dans THE BIG APPLE avec nous. Quoi qu’il en soit, le STAFF se fera un plaisir de t’aider, te guider si jamais tu n’arrives pas à t’y retrouver. Nos boîtes MP sont ouvertes et on ne mord pas (VRAIMENT PAS)!!
Tout le STAFF te souhaite donc un bon jeu sur GA avec nous, en espérant te voir au détour d’un RP !
See ya ! |
| | | Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: Gamma Etudes: UFR 9 Mannequinat Relations:
| Messages | : 27 | Points | : 15 | Date d'inscription | : 19/10/2012 | Localisation | : Quelque part en France? | Célébrité sur l'avatar | : Jesse McCartney
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Sam 20 Oct - 15:18 | |
| Merci beaucoup! J'ai hâte de commencer à RPer! |
| | | • ETUDIANTE • Et si tu nous disais tout de toi ? Groupe: ALPHA Etudes: Littérature Relations:
| Messages | : 99 | Points | : 117 | Date d'inscription | : 22/02/2012 | Age | : 31 | Localisation | : New-York | Célébrité sur l'avatar | : Béatrice Martin
| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. Dim 21 Oct - 11:56 | |
| Bienvenue parmi nous, Gabriel. Savais-tu que j'ai deux poissons rouges et l'un des deux est Gabriel ? Ca nous fait déjà quelque chose en commun. |
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| Sujet: Re: La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. | |
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| | | | La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre ═ Gabriel Damien Ayling. | |
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