Parce que GA, c'est tout ce qu'on aime.

Devenir parents était je crois, la plus belle chose au monde et moi qui avait toujours eu envie d'être père même si j' »tais un mec et que c'était bizarre. Mais je n'y pouvais rien si j'aimais les enfants et si devenir père ne me faisait pas peur. Et maintenant que j'étais papa, j''étais vraiment le plus heureux des hommes et tout ça grâce à Leya. Elle m'avait tellement rendu heureux depuis le tout premier jours ou elle a passait la porte de ma chambre. Bien sur, rien n'avait été facile mais on avait réussis Leya et moi à faire notre petite chemin, à surmonter les obstacles et les difficultés avec brios et j'étais plutôt fière de nous je dois dire sur ce coup là. Au début, je me rappelle que je me demandais si vraiment on était elle et moi capable d'être parents, d'être nous-même assez responsable pour ça et savoir si notre couple tiendrait la distance et le choc. Rien n'était jamais simple, mais maintenant, tout était juste génial entre nous deux et mon fils était une vrai petite merveille qui nous rendait d'autant plus fière par ce qu'il faisait craquer tout le monde même ceux qui n'était pas trop d'accord avec notre décision de le garder. J'avais tout ce que j'avais toujours rêver. « Mon cœur tu crois qu’on va être de bon parents .. ? Fin je veux dire t’es sur que Noah sera heureux hein . Imagine je deviens une de ces moments trop chiante et collante ? » Dit une petite voix étoufffé par le fais qu'on m'embrasse dans le cou, me tirant de mes pensées. Je tournais la tête et posais mes yeux sur la femme de ma vie, une moue perdue sur le visage. Je savais qu'elle avait vraiment peur de l'avenir, de savoir si on s'en sortirait ou pas et quand Leya a peur, la rassurée est vraiment très dur, mais j'essayais toujours et continuais jusqu'à ce qu'elle aille mieux. Je la regardais, gardant le silence et m'extasiais devant son corps de déesse qui n'avait en aucun cas était profaner par la naissance de Noah. Je l'aimais, la désirais encore et toujours. Je faisais glisser distraitement ma main sur son dos. Je voulais vraiment qu'elle n'est plus à avoir peur de rien mais c'était impossible, malgré tout mes efforts, que je ne comptais pas pour l'aider.

Chérie, je sais pas si on sera de bon parents mais en tous cas, ce que je sais, c'est qu'on fera tout ce qui est en notre pouvoir pour qu'on soit les meilleurs parents possible pour notre bibou et je suis sur qu'on réussira. Je la regardais et déposais un tendre baiser dans son cou, la faisant frissonner, et moi sourire. Bien sur que Noah sera heureux ! Il le sera tant que nous on est heureux et qu'il le ressent. Lui dis-je en essayant de la rassurée au mieux sur l'avenir et le bien être de notre fils. Jamais tu ne deviendra comme ça ! Et si c'est le cas, ce n'est pas grave cela prouve juste que tu tiens à nous ! Et c'est pas une mauvaise chose pas vrai ? Je ris doucement et lui faisais un clin d'œil.

Leya était vraiment la femme de ma vie, et dire que j'aurais pu passer à coté. Bon dieu comme je la bénissais de s'être ramener dans ma chambre d'étudiant, avec son petit minois et son « Action ou vérité ». Tout 'c'était enchainé très vite, mais je n'avais jamais regretter mon choix d'être avec elle, pour la vie et tellement plus encore. Notre fils était notre fierté, le plus beau et le plus parfait de tous et tant que lui et Leya allaient bien, j'allais bien. Et c'était eux qui comptait le plus, moi je passais après et j'en étais heureux. J'avais tout ce que j'avais toujours rêver d'avoir et personnellement, je n'avais rien à demander de plus, j'avais déjà tout. Même les difficultés, les crises, les disputes et tout le reste c'était envolait..