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Une, deux, une deux ! [ft. Samuel

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MessageSujet: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyLun 19 Sep - 1:40

Samuel & Amy
« Une, deux, une deux… »

Une, deux, une deux ! [ft. Samuel GRIM.417282.5.0 Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Amber-Heard-amber-heard-6857087-100-100 Une, deux, une deux ! [ft. Samuel 2hf6fkiUne, deux, une deux ! [ft. Samuel Amber_heard35 Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Rick_malambri_2 Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Amber_12

Smile - Avril Lavigne




    Lorsque je poussai la porte d’entrée de la salle de musculation, toutes les têtes se tournèrent dans un mouvement parfaitement synchronisé, alors qu’il était totalement imprévu. Il faut dire qu’il était plutôt rare de voir une jeune et jolie blonde, vêtue d’une jupe, d’un chemisier légèrement entrouvert, d’une veste en cuir et d’escarpins, pousser la porte d’une salle de musculation, lieu « ALPHA » (comme aimaient à le croire les hommes) par excellence, qui puait la sueur et le machisme à dix lieues à la ronde. J’entendis quelques sifflements. Il faut dire que je faisais quasiment (pour ne simplement dire toujours) toujours cette impression aux hommes. Je n’y prêtai pas attention, et traversa la salle, passant entre les machines et les hommes sans me soucier de l’un ou de l’autre une seule seconde. Je n’étais pas ici pour des prunes, je ne vois pas pourquoi j’aurais dû flâner entre les engins de tortures musculaires et les abrutit sans cervelles qui ne faisaient que soulever des poids à longueur de journée, pour gonfler les quelques muscles qu’ils avaient par-ci par-là. Du regard, je cherchai celui que j’étais venue trouver ici. Drôle d’endroit je le conçois pour un rendez-vous. Mais il faut dire que ce rendez-vous avait lieu avec une drôle de personne. Samuel Whissel. Ce type avait le don de me surprendre… J’en avais entendu tellement de mal qu’il m’avait intrigué… J’avais décidé d’aller vérifier par moi-même, et j’avais été plutôt surprise de ne pas me retrouver face au (pardonnez-moi l’expression !) connard que mes amis m’avaient toujours décrits. Lorsqu’ils avaient appris que je l’avais rencontré, ils avaient exprimés à grands cris leur mécontentement et, afin de ne froisser personne, j’avais cessé de voir ce jeune homme… officiellement ! Il nous arrivait de nous croiser par le plus grand des hasards (ou presque !), et à chaque fois, intriguée, je venais à lui… Je me suis rapidement rendue compte qu’il n’était pas celui qu’on me décrivait… Il nous arrive de nous retrouver en soirée, ou pour boire un café, ou des trucs comme ça, à l’abri du regard des autres bien souvent. Pourquoi ? Je dois bien avouer que parfois, je me pose moi-même la question… Je n’avais sans aucun doute pas envie de me fâcher avec mes amis, pour un type qui m’intriguait et qui SEMBLAIT différent de ce qu’on m’en avait raconté…
    Ce jour-là, je m’étais réveillée avec la soudaine envie de le voir. Oui, parfois, ça me prenait au saut du lit, j’avais envie de voir X ou Y personne. Quand mon esprit n’était pas focalisé sur Jonathan, il m’arrivait de ressentir le besoin de voir tel ou tel de mes amis. Aujourd’hui, c’était tombé sur Samuel. Je lui avais envoyé un sms, craignant cependant de le réveiller (on ne sait jamais !), lui demandant ce qu’il avait prévu de faire de sa journée… Quelques minutes plus tard, j’avais eu une réponse me disant qu’il avait l’intention de se rendre à la salle de musculation. Afin de parfaire ses abdominaux d’enfers ? Sans nul doute. Je n’avais rien répondu, décidée à lui faire la surprise. Sortant de la douche, j’avais ouvert mon armoire, à la recherche d’un truc à me mettre sur le dos… J’avais fini par opter pour une jupe rouge pâle, qui m’arrivait au-dessus des genoux, un chemisier blanc Zadig et Voltaire que j’adorais par-dessus tout, car il était légèrement transparent, et on pouvait presque deviner la couleur des sous-vêtements qui se trouvaient en dessous. (je crois d'ailleurs que j'avais ouvert un bouton de trop, mais qu'à ce la ne tienne, je serais plus sexy que d'habitude !) J’assortis le tout d’une paire d’escarpins de la même couleur que le chemisier (je n’étais pas une géante, et j’aimais gagner quelques centimètres quand je le pouvais), enfila ma veste en cuir, pris mon sac à main, flanqua mes clefs dedans, et sortit de l’appartement. Je hélais un taxi, donnant l’adresse de la salle de musculation, et passa le trajet à regarder par la vitre la ville qui défilait sous mes yeux…
    Je slalomais jusqu’au bout de la salle, où j’avais aperçu le jeune homme que j’étais venue retrouver ici. Il était de dos, sur une machine, occupé à faire je ne saurais vous dire quoi, mais qui en tout cas le faisait transpirer et travailler. Après tout, c’est bien pour ça que les hommes viennent souffrir ici n’est-ce pas ?

    « Une, deux ! Une, deux ! » m’exclamai-je pour me moquer de lui, les poings sur les hanches, d’une voix digne d’un commandant de l’armée.

    Le jeune homme cessa ce qu’il était en train de faire, et tourna la tête, visiblement surpris. Je lui adressais un sourire resplendissant et m’avança vers lui, dépassant sa machine afin de me trouver face à lui et non plus derrière.

    « Surpriiiiiiise ! »

    Bon point : j’étais d’excellente humeur ! Je voyais bien sur le visage de Samuel que le jeune homme ne s’attendait absolument pas à me voir ici et, quelque part, c’était tout à fait légitime : ce n’était pas, comme je l’ai déjà dit, le genre d’endroit que les jeunes filles en fleur comme moi aiment à fréquenter ! Mais qu’à cela ne tienne ! J’étais venue ici pour voir un ami, non pas pour me mettre à la muscu et finir comme ces bonnes femmes bodybuildée, couvertes de tatouages et fan de catch… Eurk ! Les muscles, c’était beau sur un mec, les tatouages, je préférais en avoir un discret et coquin, et quant au catch… Eh bien, je crois qu’un regard de dégoût résume assez bien ma pensée quant à ce « sport ».



Dernière édition par Amy E. Porter le Mar 20 Sep - 2:44, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyLun 19 Sep - 5:16

J'avais les nerfs à vifs depuis la fête... Louann venait de me faire revivre se que j'évitais depuis tant d'année, la souffrance. J'évitais maintenant toute forme d'émotion, je soufrais tant... je n'avais envie de voir personne, de toute manière, personne ne se souciait de moi. J'avais alors décider d'aller me défouler à la salle de musculation tôt ce matin, ce qui était rare dans mon cas. J'avais donc enfilé ma camisole blanche et une paire de jeans quelconque. J'avais ensuite appelé un ami qui m'avais apporté à la salle de musculation au Staten Island.

Lorsque je suis entré dans la salle, j'ai pris la première machine qui était libre et qui travaillait les pectoraux, je mis la masse la plus lourde possible et je m'exerça. Bien assez rapidement, mon entraîneur est venu me voir, m'ordonnant de baissé la masse, de relaxé, que si je voulais m'étiré un muscle ou me mettre en danger de santé, ce n'était pas avec lui que j'allais le faire. Étrangement, je fis se qu'elle me demandait, décidément, ma journée n'était pas du commun... Pour confirmé se que je pensais, Amy venait de me demander par texto se que j'avais l'intention de faire aujourd'hui. Amy... si cette fille n'avait pas un gros béguin sur un con comme Jonathan Weathy, si cela lui dérangerais moins qu'on nous voit ensemble, je pourrais peut-être considéré d'avoir un petit quelque chose pour elle... Malheureusement, elle était Amy Porter, elle aimait profondément Jonathan Weathy, comme la plus part des filles de ce foutus campus, et elle détestait qu'on la voit avec moi... Je lui répondit que j'avais l'intention d'être à la salle de musculation pas mal toute la journée et elle ne me répondit pas par la suite... encore plus étrange, car Amy avait l'habitude de me répondre.

J'oubliais déjà ce petit texto pour m'en remettre à ma frustration envers la vie, Louann et tout les gens en particulier. J'emmerdais Louann qui ne voulait pas avouer ses sentiments pour moi, Jonathan qui se croyait le roi du monde, Chad qui se tenais un peu trop près de Louann, Amy qui se tenais jamais avec moi seulement pour le jugement des gens.. et tout le reste!

Quelques minutes plus tard, j'entendis les sifflements des cons derrières moi, ils ne comprenaient vraiment rien aux femmes... Puis, ''Une, deux! Une, deux!'' Je reconnaissais cette voix... Mais c'était presque impossible qu'elle soit ici, dans un lieu public, à m'adresser la parole. Je tournais alors ma tête pour me convaincre que j'avais tord, que ce n'était pas elle. Mais elle était bien là, les poings sur les hanches, gros sourire au lèvres. Elle contourna ma machine, qui avait cessé de m'être utile pour l'instant, tellement j'étais surpris de la voir ici, et s'exclama, ''Surpriiise!''

Ouais! Tu parle d'une surprise! Mais qu'est-ce qu'elle foutait ici!? Je me levais alors pour prendre ma serviette, épongé un peu la sueur qui perlais ici et là puis, la regarda d'un drôle d'air.


-Mais que fou-tu ici bordel? T'es au courant que tout le monde peut te voir? À me parler? T'es dingue ou tu veux un autre différent avec tes fabuleuses amies qui ne se plaigne pas quand je les sautent mais que par la suite, ne se gêne pas pour me descendre auprès de ceux à qui je tiens? Respire Sam, Respire...

J'étais à bout de nerf... j'étais content de la voir ici, certe... mais tellement en furie contre tout que j'avais oublié à quel point je tenais à elle... à quel point elle était belle... Minute là, t'es pas en train de... non non! Fausse alerte!


Spoiler:
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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyLun 19 Sep - 19:52

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Smile - Avril Lavigne




    Lorsque je pénétrais dans la salle de musculation, j’avais le sourire aux lèvres, étrangement heureuse… J’allais revoir Samuel. Bon, oui, je l’avoue, il ne tenait qu’à moi pour que nous puissions nous voir plus souvent. Si je n’étais pas si préoccupée par l’avis de mes amis, nous n’aurions sans aucun doute pas à agir de la sorte (enfin, surtout moi, parce que je voyais bien que ça l’enquiquinait plus qu’autre chose que j’agisse de la sorte… J’avais bien tenté de lui faire avaler que les rendez-vous secrets étaient excitants, il l’avait mal pris…). Mais… C’était plus fort que moi. Je traînai avec des gens qui ne l’appréciaient pas, et je ne voulais pas risquer de m’engueuler avec eux. J’étais faible et trop gentille sans doute. Pourtant, je me traitais souvent d’égoïste. C’était à n’y plus rien comprendre !
    J’avais attiré les regards masculins à l’instant même où j’avais posé la pointe de mes escarpins sur le plancher de la salle de musculation. As Always me direz-vous. J’avais rapidement repéré le jeune homme pour qui j’étais venue (désolée messieurs, mais ce n’est pas pour vous), occupé à se dépenser sur une machine au fond de la salle. Je ne m’attendais pas à ce qu’il saute de joie, fasse la danse de la victoire, ou me serre dans ses bras à m’étouffer (bonjour l’odeur, et son corps collant plein de sueur contre ma peau fraîchement lavée et parfumée !), mais je dois bien avouer que sa réaction me fit tout de même quelque chose… Un petit pincement au cœur… « Mais que fous-tu ici bordel ? T’es pas au courant que tout le monde peut te voir ? A me parler ? T’es dingue ou tu veux un autre différent avec tes fabuleuses amies qui ne se plaignent pas quand je les saute mais que par la suite, ne se gêne pas pour me descendre auprès de ceux à qui je tiens ? » Je baissai la tête. J’avais les joues en feu, et je jouais nerveusement avec la lanière de mon sac à main… Mon cœur battait dans ma poitrine, et j’avais envie de m’enfouir six pieds sous terre, de faire l’autruche, de disparaître…

    « Visiblement, ça ne te fais absolument pas plaisir de me voir, au contraire, ça te fais même royalement chier, alors je vais m’en aller. »

    Je tournai les talons, le cœur gros, me mordant la lèvre avec force. Je lui en voulais de réagir de la sorte. D’accord, je dois bien reconnaître que la façon que j’avais d’agir était loin d’être cool, mais tout de même ! Il n’avait pas à me parler sur ce ton ! J’étais le genre de personne à rapidement culpabiliser, principalement lorsque des personnes que j’appréciais me disaient… des choses comme il venait de me dire… Je fis deux pas en direction de la sortie, lorsque sa voix me parvint. Je fermai les yeux, et me retourna vivement. J’étais partagée entre la colère et la culpabilité. Pourquoi fallait-il que nous nous enguelions à ce sujet chaque fois que nous nous voyions ? Ces moments étaient rares (par ma faute, je le sais, je méritais donc amplements ces remarques assassines), nous devrions en profiter non ? … Quand je vous disais que je n’étais qu’une égoïste.

    « C’est bon, ne gâche pas ta salive Samuel. Ce que tu penses de moi est parfaitement clair, je l’ai très bien compris. Je ne suis qu’une sale idiote, une égoïste, et bla, et bla, et bla ! »

    Ma voix tremblais légèrement, et je serrais le poing, afin de contrôler le dit tremblement. J’étais venue ici… Dans une salle de musculation… Un lieu fréquenté par tout le monde, SAUF la gente féminine, dans le seul but de le voir, et de pouvoir passer un moment tranquille avec lui… Bon, d’accord, je l’avoue, j’avais profité qu’il soit dans un endroit qui n’était que peu fréquenté par mes amies… Ce n’était pas non plus totalement innocent mais…. Bon sang, avait-il VRAIMENT besoin de me faire une leçon de morale maintenant ?
    J’avisais une bouteille d’eau, sans nul doute la sienne, posée à côté de la machine, et me pencha en avant, veillant cependant à conserver une main à la hauteur de ma jupe afin que celle-ci ne se relève pas et ne dévoile mon tanga à toute l’assistance, composée uniquement de mâles « alpha » pleins de sueurs et de muscles. Je la ramassai d’un geste de la main, et la lui lança. Ses reflexes n’étaient pas mauvais, il l’attrapa sans la faire tomber.

    « Et tu ferais mieux de boire, t’as l’air complètement déshydraté ! A croire que ça fait une heure que tu te ruines la santé sur cette machine. Comme si tu en avais besoin, franchement ! »

    Oui, c’était bien un compliment que vous veniez d’entendre ! Il faut dire ce qu’il est : Samuel était beau gosse, parfaitement musclé, et n’avait pas besoin de séances de gonflette afin de faire craquer les filles. Sur ce point là au moins, il avait raison… « elles ne se plaignaient pas lorsqu’il les sautaient ». Cependant, la fin de sa phrase me revint en mémoire, et je rougis légèrement, avant d’hausser un sourcil interrogateur, une expression mutine accrochée à mes lèvres...

    « Elles te descendent auprès de ceux à qui tu tiens ? Ça veut dire que tu tiens à moi ? »

    Je me mordillais la lèvre inférieur pour ne pas me mettre à sourire bêtement, touchée par ce qu’il venait de dire… Mais, après tout, peut-être avais-je mal compris !

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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyMer 21 Sep - 3:26

Je savais très bien qu'elle allait réagir ainsi, mais j'étais à bout de nerfs... Son visage vira au rouge et quasi au même moment, je regrettais se que je venais de dire. Elle baissa la tête, comme si j'étais son père et que je venais de la grondé, comme si elle avait fait quelque chose de mal. Elle était si belle... Je ne m'en rendis pas compte, mais je rougis moi aussi.

« Visiblement, ça ne te fais absolument pas plaisir de me voir, au contraire, ça te fais même royalement chier, alors je vais m’en aller. »

Dit pas ça voyons... Si tu savais à quel point ça me fait plaisir que tu vienne me voir... Mais j'eût même pas le courage de lui dire, de lui dire à quel point ça me faisait plaisir qu'elle vienne me voir dans un lieu public... Elle tourna les talons et, encore une fois, je n'eût pas le courage de la retenir... Elle fit environ deux pas et se retourna. Je souris malgré moi car elle, ne voulant peut-être pas l'avoué, mais elle n'est pas capable de m'en vouloir, j'en suis certain. Je voyais bien qu'elle était en colère, qu'elle m'en voulait.

À chaque fois, c'était la même chose... mais cette fois, je ressentais quelque chose d'étrange... comme si... j'en sais rien! Elle n'était pas comme d'habitude, elle dégageais quelque chose de plus qu'à l'habitude. C'était peut-être tout simplement sa bonne humeur après tout. J'ouvris la bouche pour lui dire de ne pas le prendre comme elle le prenait, qu'elle devait se calmer. Mais elle ne me laissa même pas le temps.


« C’est bon, ne gâche pas ta salive Samuel. Ce que tu penses de moi est parfaitement clair, je l’ai très bien compris. Je ne suis qu’une sale idiote, une égoïste, et bla, et bla, et bla ! »

J'avais le goût de la prendre dans mes bras, de la serré fort contre moi, la consoler. J'avais beau aimer être le salaud de première, aimer brisé le coeur des filles qui m'entouraient, mais tout ça... c'était tout simplement pour évité de m'attacher à l'une d'entre elle parce que les voir tristes, ça me démolissait. Malgré tout ce que je tentais, je réussissais à m'attaché à quelques-unes d'entre elle. Amy en est une, j'y tenais comme à la prunelle de mes yeux. Sa voix tremblait, je ne sais pas si c'était de colère ou de tristesse mais elle tremblait.

Je la vis viser ma bouteille d'eau et, pendant un millième de seconde, eût l'impression qu'elle voulait me lancer l'eau qui restait à l'intérieur. Le temps qu'elle prit pour prendre la bouteille d'eau me fis comprendre qu'elle voulait seulement que je boive un peu d'eau. Lorsqu'elle me lança la bouteille d'eau, je l'attrapa d'une main malgré le fait que je sois épuisé.


« Et tu ferais mieux de boire, t’as l’air complètement déshydraté ! A croire que ça fait une heure que tu te ruines la santé sur cette machine. Comme si tu en avais besoin, franchement ! »

Euh... je suis pas certain d'avoir bien entendu... Elle a bien ''sous-entendu'' que j'avais un beau corps? Wow... Amy, en pleine crise que colère, m'a fait un compliment. Elle était vraiment dans tout ces états. Je remarqua alors qu'elle rougit encore une fois. Bon qu'est-ce qu'elle avait en tête encore?

« Elles te descendent auprès de ceux à qui tu tiens ? Ça veut dire que tu tiens à moi ? »

Et maintenant, je ne pouvais plus m'empêcher de sourire, démasqué haha. J'eut même un petit rire. Puis, un envie vraiment étrange me passa par la tête. J'avais envie de l'embrassé. Pas parce que je l'aimais ou quelque chose dans le genre... Non seulement parce que dans les moments comme ça, c'est toujours la chose que j'ai envie de faire, embrassé la fille. Et c'est se que je fis. Je posa la bouteille sur la machine alla la rejoindre, deux pas plus loin, l'entoura de mes bras plein de sueur, une main sur sa hanche et l'autre dans son dos et posa mes lèvres contre les siennes.

Je ne pensais même pas à sa réaction, quand j'ai envie de quelque chose, je le fais.
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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyMer 21 Sep - 4:02


Samuel & Amy
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    Je dois bien reconnaître que l’attitude du jeune homme m’avait… fait quelque chose. D’accord, je l’avoue, la façon que j’avais de le traiter était loin d’être sympathique… Pourtant, habituellement, je n’étais pas vraiment le genre à agir de la sorte, ou à ne pas apprécier quelqu’un parce que des amis ne l’appréciaient pas… Au fond, j’étais une fille d’une grande gentillesse, et d’une grande douceur… Et je n’aimais pas me prendre la tête avec ceux à qui je tenais… Voilà pourquoi lorsque bon nombre de mes amies m’avaient entendu parler d’un certain « Samuel », et m’avaient dit de ne pas l’approcher, car il n’était qu’un salaud dont le but ultime était de coucher avec toutes les filles canons du campus, j’avais… décidé de ne pas chercher à me prendre la tête avec elle, et leur avait dit que de toute façon, je ne l’avais rencontré qu’une fois, et que ce n’était pas comme si nous étions de grands amis… Pourtant, quelque chose m’avait attiré chez lui. Je ne saurais vous dire quoi. Mais quand je le voyais dans les couloirs de l’université, je le suivais du regard. Ce n’était pas comme une attirance physique (bien qu’il me fallait reconnaître qu’il était beau gosse !), non… Mais il m’intriguait… J’avais étrangement envie d’en savoir plus sur ce briseur de cœur en série…
    Etais-ce… de la colère que je ressentais ? Ou une profonde tristesse ? Etonnement, je répondrais : un peu des deux… Après avoir déclaré théâtralement que puisqu’il ne voulait pas me voir, il ne me restait qu’à partir, je fis deux pas dans la direction de la sortie, avant de cependant me retourner. Non. Je ne voulais pas en rester là. Ce serait trop bête ! Et puis, mince, pourquoi agissais-il comme un gamin ? J’avais fait l’effort de venir, ici, dans un « lieu public » composé uniquement de mâle dont l’envie actuelle était sans doute d’aller me faire visiter les vestiaires (façon plus élégante de dire : de me sauter, hein parce que vous l’avouerez, c’est plus sympa !)… Et lui, il agissait comme un idiot. Idiot ! Idiot, IDIOT !
    Un sourire amusé vint prendre place sur ses lèvres, et j’avais la ferme impression qu’il se moquait de moi. Bah quoi ? Oui, je venais de lui faire un compliment, et de me rendre compte qu’il venait d’avouer tenir à moi, et étais-ce une raison pour sourire ? Je fronçai les sourcils… Non mais je n’aimais pas qu’on se moque de moi. Je pouvais être gentille comme pas deux, il ne fallait pas pousser le bouchon non plus ! (n’est-ce pas Maurice ?) Après qu’il eut émis un petit rire, qui me renfrogna plus encore, me renforçant par-dessus tout dans l’idée qu’il se fichait de moi (fichues amies et fichues mises en gardes ! Je ne savais plus où j’en étais moi avec tout ça !), je le vis poser sa bouteille sur la machine, et le suivit des yeux tandis qu’il se levait. Il franchit d’un seul pas (quand moi j’en avais mis deux) la distance qui nous séparai, posa une main sur mes hanches, la seconde au niveau de mon dos, et se pencha en avant, venant poser ses lèvres contre les miennes. Mes yeux s’écarquillèrent de surprise, et mon cœur bondit dans ma poitrine. Non mais… mais… mais… IL ETAIT PAS BIEN ? Qu’est-ce qui lui prenait de m’embrasser comme ça ? Il… Il avait un problème ou quoi ?
    Le temps que je réagisse, je sentais déjà la main posée sur mes hanches glisser vers mes fesses. Je sentais le tissu de ma jupe se froisser légèrement lorsqu’il y passait sa main, et j’eus un déclic. Je posai mes deux mains sur son torse, et le poussa vivement en arrière.

    « NON MAIS CA VA PAS BIEN DANS TA TÊTE ! ON N’EMBRASSE PAS LES GENS COMME CA ! »

    Mes yeux étaient toujours écarquillés de surprise, et j’avais le souffle court, tandis que mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine. Je le fixai un moment, un long moment, et soudain, ma main droite partit toute seule. Elle rebondit contre sa joue dans un grand bruit, et soudain, on aurait pu jurer entendre une mouche voler dans la salle… Quelques rires retentirent derrière moi, et je me retournai, fusillant du regard les coupables. Lorsque je revins sur Samuel, il était toujours dans la même position, la tête tournée, la joue tendue vers moi, et je pu voir que la marque de ma main commençait à ressortir, rouge sur le blanc de sa peau… Mon cœur se serra subitement, et je fis un pas vers lui.

    « Je suis désolée ! »

    Désolée ? De l’avoir frappé, oh, oui, sans aucun doute ! Mais il m’avait prise par surprise ! Et puis mince, qu’est-ce qu’ils avaient tous à m’embrasser par surprise ! A croire que toute la gente masculine était en chaleur et avide des lèvres de jolies blondes absolument pas au courant qu’elles étaient à deux doigts de se faire embrasser ! En plus, il était dégoulinant de sueur ! Encore heureux que ce n’était pas de l’eau, mon chemisier était assez transparent et dévoilait assez ma poitrine comme ça (la faute au bouton qui ne voulait pas se fermer, et dévoilai un peu trop mes seins !), sans qu’il ait besoin de virer transparent.

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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyMer 21 Sep - 4:24

Je ne voulais pas... Mais mes pulsions étaient plus fortes que mon cerveau, mes mains glissèrent tranquillement sur ces fesses. Non, non, non! Elle va te... Eh merde trop tard, mon ego venait d'en prendre un coup et une claque, une! Et en plus, elle c'est remise à crié après moi. F-a-n-t-a-s-t-i-q-u-e. En fait, les mecs qu'on trouvait ici, savait très bien que la plus part des filles étaient à mes pieds, alors de me voir me faire repousser par une nana aussi canon qu'Amy, ça devait les amusé.

Je l'entrevis jeté un regard remplis de foudre vers les gars qui riaient et je ne pus m'empêché de sourire, encore une fois. Ma joue commençait à chauffé que déjà elle était désoler. Et là, je ne pus m'empêché de rire, de rire si fort que je me demandais si c'était un rire d'ego ou un vrai rire amusé. Je ne perdis pas de temps sur ce fait que déjà je tournais les talons en murmurant à Amy de m'attendre là un moment.

Je me dirigea vers les vestiaires dans l'intention d'aller me doucher qu'on puisse sortir moi et Amy par la suite. J'entrais dans les vestiaires et me rendit compte qu'un petit comique m'avais caché mes vêtements. J'haussais les épaules bon, tant pis! J'allais alors me douché et, ensuite, enfila une serviette au niveau de mes hanches et sortit du vestiaire vêtu d'une simple serviette.


-Quel con m'a enlevé mes vêtements?

Bon, évidemment, personne ne me répondit, je regarda donc Amy avec un sourire aux lèvres et lui fit un clin d'oeil. Je savais très bien qui c'était car, lors de notre première rencontre, je lui avais enlevé ces vêtements. Je retira donc ma serviette et la posa sur une machine, j'étais nu devant toute cette bande et je trouvais ça très drôle. Malgré moi, le fait d'être nu au coté d'Amy provoqua une légère érection et, cela me fit rire encore plus. Je me dirigea alors vers le coupable et le regarda dans les yeux, où il me regardait pas bien sure.

-Aller mon pote, je sais que c'est toi. Et si tu me les remet pas, je vais sauté la fille que tu voix là-bas, je vais prendre des photos et te les envoyé.

Je savais très bien qu'Amy allait savoir que je blaguais mais je savais pas si elle allait jouer le jeu... Quoi qu'il en soit, le mec devant moi était tétanisé et moi je riais et regardais Amy avec un gros sourire aux lèvres.


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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyMer 21 Sep - 5:14


Samuel & Amy
« Une, deux, une deux… »

Une, deux, une deux ! [ft. Samuel GRIM.417282.5.0 Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Amber-Heard-amber-heard-6857087-100-100 Une, deux, une deux ! [ft. Samuel 2hf6fkiUne, deux, une deux ! [ft. Samuel Amber_heard35 Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Rick_malambri_2 Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Amber_12

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    Dire que son baiser m’avait surpris était à mille lieues de la réalité. Je ne m’y attendais mais alors pour vous dire PAS DU TOUT ! Absolument pas ! Jamais je n’aurais imaginé qu’il puisse m’embrasser. Pourtant, j’aurais dû me douter que c’était possible, vu la réputation de chaud lapin qu’il avait, mais aussi étrange que ça puisse paraître, ça ne m’avait jamais ne serais-ce qu’effleurer l’esprit ! Et pourtant nous en étions là, lui qui me plaquait littéralement contre l’une des machines et m’embrassait, moi qui ne réagissait pas, pétrifiée par la surprise… La claque partit toute seule, déclenchant des rires… Si un regard pouvait tuer, je pense que bon nombre de personnes dans cette salle auraient passés la porte d’entrée les pieds devant ! Me sentant coupable de l’avoir giflé, je me tournais vers le jeune homme en m’excusant… Et je fus très surprise (une fois encore, à croire qu’il avait décidé de passer la journée à agir de la sorte avec moi) de l’entendre… rire ! Est-ce qu’il se moquait de moi, encore une fois ? Je rougis, et baissais à nouveau les yeux, fixant le bout de mes escarpins avec insistance. Un peu plus et je les transperçais du regard ! Me murmurant de m’attendre ici, Samuel tourna les talons. Je fis un pas en avant, le regard perdue, tendant la main pour tenter de le rattraper, mais il avait déjà filé. Je me retrouvais comme une idiote la main en suspension dans le vide… Je me mordillais avec nervosité la lèvre inférieure, et me mis à faire les cents pas entre deux des machines (vu l’espace qui les séparaient, c’était plutôt les dix pas…), avant de me dire que le bruit de mes talons devaient agacer les messieurs venus ici pour soulever des poids (bien que je surprenais pas mal de regard porté dans ma direction, des regards amusés qui plus est, ce qui avait le don de me mettre en rogne et de m’inquiéter plus encore). Je finis par me laisser tomber sur une machine, en poussant un sourcil. Si j’avais ce maudit toc de me ronger les ongles, nul doute que je l’aurais fait. Bien heureusement, je n’en étais pas encore là, et tant mieux pour mes cuticules !
    Je n’eus pas à attendre bien longtemps, que je revis le jeune homme sortir, ruisselant de l’eau d’une douche qu’il venait sans nul doute de prendre, une serviette enroulé autour de la taille. J’ouvris de grands yeux surpris. Euh… Euh… Euh… Il avait perdu ses vêtements ou bien il lançait la mode de la serviette ? Je ne pus cependant m’empêcher de constater qu’il était réellement bien bâti, et de trouver ses abdominaux et ses pectoraux des plus impressionnants… Un peu plus et je pourrais presque dire que je le trouvais canon ! « Quel con m’a enlevé mes vêtements ? » Je secouai la tête, l’air de dire « NON MAIS FRANCHEMENT ! »… Non mais franchement, ils avaient quel âge pour piquer les vêtements des autres dans les vestiaires ? J’allais faire une remarque lorsque Samuel tourna la tête vers moi, me lançant un sourire qui m’intrigua, le tout accompagné d’un clin d’œil… et ôta sa serviette !
    Je tiens présentement à m’excuser pour ce qui va suivre mais… Je suis un être humain et, quoiqu’on en dise, un être humain réagira toujours de la même façon dans une situation telle que celle-ci… Mon regard glissa le long de ses abdominaux jusqu’à une zone censée restée cacher, et je pus constater que Samuel avait visiblement décidé de lancer la mode du « non-prêt à porter ». Si les hommes présents dans la salle ne réagirent pas, je virai au rouge tomate, et détourna la tête d’un mouvement si rapide que j’en frôlai le torticolis, venant ma placer ma main en œillère près de mon œil gauche, le seul qui pourrait être tenté d’aller jeter un œil du côté des fessiers (ou autre, tout dépendait de la position dans laquelle il se trouvait) du jeune homme… Mes yeux étaient écarquillés, et j’avais la gorge nouée sous le coup de la surprise… Non mais… Non mais… Ça n’allait vraiment pas bien dans sa tête à celui-là ? Après le baiser surprise, le strip-tease intégral ? Ce n’était pas UN PEU précipité ? « Respire Amy, respire… » ne cessai-je de me répéter.
    « Aller mon pote, je sais que c’est toi. Et si tu ne me les remets pas, je vais sauter la fille que tu vois là-bas, je vais prendre des photos et te les envoyer. »

    « Quoooooooooooooooooooooooooooooi ? »

    Le cri du cœur… Oui, pardon, c’était plus fort que moi, mais là, j’étais particulièrement chamboulée par tout ce qu’il venait de se produire et tout ce que je venais de voir, et je n’avais pas vraiment la tête à comprendre qu’il blaguait… Car il blaguait, n’est-ce pas ? Ma réaction déclencha pas mal de réactions dans la salle de musculation… « *rire* Eh gamin, elle a l’air toute chose la demoiselle ! Tu dois lui faire de l’effet ! » Des rires gras résonnèrent un peu partout, ce qui eu pour effet d’accentuer mon trouble. Non mais… Non mais ne vous moquez pas quoi ! Mes joues rosirent un peu plus (si, si, c’était possible !), et je tentai de dire quelque chose, mais rien ne sortit de mes lèvres qui pourtant s’ouvraient et se refermaient, à l’instar des poissons… « Eh Sam, si tu t’en occupes pas rapidement, j’veux bien l’faire à ta place ! » D’autres rires résonnèrent, et je me demandais si Samuel riait aussi… De la où j’étais (et surtout parce que je cachai la scène à l’aide de mes mains), je n’en avais pas la moindre idée… Les joues en feu, j’hésitai entre rougir plus encore, gênée et nerveuse comme jamais, ou piquer une colère et les traiter de (pardonnez-moi l’expression !) gros porcs pervers et immondes !

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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyJeu 22 Sep - 2:51

J'avais bien remarqué que, juste avant sa grosse réaction, qu'elle me regardait, mais je fis semblant que je n'avais rien vu. Je l’aperçu virer au rouge encore une fois de plus. Elle détourna la tête et se cacha le visage avec la main, avant que je me dirige vers le gars qui avait caché mes vêtements. Par la suite, je m'étais dirigé vers le gars et lui dit que j'allais sauté la blonde qu'étais mon amie.

Assez rapidement, la réaction d'Amy se fit entendre, elle s'écria et moi, je m'éclata. Je tourna la tête et l'observa, assez rapidement, sa gêne se fit voir. La bonne humeur d'Amy avait été contagieuse mais pas assez longtemps. Un des mecs s'exclama:


« *rire* Eh gamin, elle a l’air toute chose la demoiselle ! Tu dois lui faire de l’effet ! »

Mon sourire disparu aussi rapidement qu'il était apparu. On ne me traite pas de gamin pendant que je ne suis pas de bonne humeur, encore moins devant une fille. Pour couronner mon retour à ma mauvaise humeur, celui qui m'avait caché mes vêtements ajouta :

« Eh Sam, si tu t’en occupes pas rapidement, j’veux bien l’faire à ta place ! »

Mes poings se serra, tranquillement, la colère monta en moi. Je respira tranquillement, j'étais encore nu alors se battre nu, ce n'était pas la meilleure des idées... Je me dirigea alors dans les vestiaires et ressortit quelques secondes après avec les jeans du mec qui m'avait piqué mes vêtements. Je bouillonnais de colère et, depuis un moment, j'avais envie de foutre une raclée aux cons qui étaient pire que moi. Alors j'en avais l'occasion. En passant près d'Amy j'eu soudain une idée pour paraître un peu moins con auprès de mon amie.

-Pardonne-moi.

J'avança alors tranquillement vers les cons qui avait rit d'Amy. Je choisis rapidement ma première victime, celui qui avait dit qu'il allait se taper Amy à ma place. J'avançais de plus en plus rapidement et d'un seul coup, j'attrapa le cou du con et le leva dans les airs.

-Qu'on s'entende, tu touche à ma copine, je te tranche les couilles et je te les fait avalé. Je me fais bien comprendre? Oh et en passant, si je me la tape pas, c'est parce que...

Je lâcha immédiatement le mec qui retomba sur ses genoux, se prenant la gorge. Je venais de me rendre compte que si je continuais, Amy allais tout simplement cessé de m'adressé la parole. J'en avais pas envie... Je pris la bouteille d'eau qui était à coté de la machine et lui lança. Je murmura un petit ''désoler mec'' et me tourna vers Amy qui semblait déjà sur le point d'explosé. Je ne peux jamais m'empêché de lui faire du mal... En fait, je ne peux jamais m'empêché de faire du mal à qui que se soit.

Je regarda vers la fenêtre de la sale eh merde, il pleuvait. Bon, même sans chandail je crois que je pourrais y survivre. Je lui lança un regard qui voulait clairement dire que j'étais désoler puis me dirigea vers la porte de sortie. Je regardais une dernière fois les gars qui avaient osé se moqué d'Amy et sortit à l'extérieur.

La pluie était congelé, c'était peine à dire que c'était des grêlons sur ma peau. Mais elles firent l'effet désiré, mes muscles se détendirent tous d'un seul coup, tentant tant bien que mal de combattre le froid que je ne sentais déjà plus. Je ne sais pas par où j'allais, mais je me mis à marcher, sans principale raison.

Se que je savais, c'est que depuis ma fausse-vraie rupture avec Louann, je n'avais plus envie de faire souffrir celles à qui je tenais au moins un peu...


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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyJeu 22 Sep - 3:36


Samuel & Amy
« Une, deux, une deux… »

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Smile - Avril Lavigne




    Entre un Samuel m’embrassant et un Samuel nu comme un ver, je dois bien avouer que je pensais avoir tout vu (et, quelque part, j’avais en effet tout vu du jeune homme, puisqu’il avait eu la bonne idée de retirer sa serviette avant de se tourner vers moi –je pense que j’aurais survécut sans problèmes à la vision de ses fesses, mais il ne s’était pas contenté d’exhiber cette partie de son corps devant moi, et mon mouvement de tête n’avait pas été assez rapide pour préserver mon regard innocent [HUM HUM !]-). Rougissante et à deux doigts de mettre de côté ma gentillesse et ma bonté naturelle afin d’insulter copieusement ces abrutits qui peuplaient la salle de musculation, je me sentis à la fois totalement prise au dépourvu par la remarque de Samuel, et plus encore par ce que les autres types ajoutèrent. Non mais… Non mais ça va pas bien dans leur tête ! A croire que les muscles qu’ils passaient leurs journées à faire gonfler les rendaient tous idiots ! Ou alors c’était l’inverse : c’était parce qu’à la base ils n’étaient que des idiots qu’ils venaient ici ! Mais le résultat était le même ! Je m’apprêtai à me lever pour partir en claquant la porte, afin d’éviter un meurtre (ou tout du moins une claque dans la tronche du type qui avait dit qu’il voulait bien s’occuper de moi si Samuel ne le faisait pas –déjà, parler de moi comme si je n’étais pas là était dégradant, mais parler de moi comme d’un objet sexuel, comme… comme ça ! c’était pire encore !-), mais ce fut Samuel qui quitta la pièce le premier, retournant dans les vestiaires (intérieurement je priais pour qu’il ailles se vêtir, parce que se promener à poil devant une jeune fille, ce n’est pas correct !). J’ouvris cependant de grands yeux, comme pour dire : NON MAIS RESTE-LA ! Je n’avais aucune envie de me retrouver seule dans une pièce avec tous ces hommes dont les regards ne quittaient pas mes longues jambes minces qui dépassaient de ma jupe, que je regrettai soudain d’avoir mise, tout comme ce chemisier, qui dévoilait trop ma poitrine… J’aurais dû mettre un jean et un pull à col roulé, comme ça, je n’aurais pas attiré leurs regards (pauvre et naïve Amy qui resterait sexy en diable même vêtue d’un sac poubelle !). Quelques instants plus tard, qui me semblèrent une éternité, et durant lesquels je me demandais au moins quinze fois si je ne ferai pas mieux de quitter la salle de musculation (je commençai même à me dire que c’était une très, très mauvaise idée que je sois venue jusque-là !), Samuel ressortit des vestiaires, et je poussai un soupir de soulagement intérieur : DIEU MERCI il portait un jean ! « Pardonne-moi. » Je fronçai les sourcils. Pourquoi me demandait-il de lui pardonner ? Pour m’avoir embrassé de la sorte ? De s’être baladé les attributs à l’air devant moi, me faisant virer rouge tomate, plus rouge encore que la jupe que je portais ? Ouais bah ouais, il pouvait me demander pardon !
    Je m’apprêtais à répondre, lorsque Samuel me dépassa, s’avançant vers ses « collègues de musculation » et, soudain, attrapa l’un d’eux par le coup, et le souleva littéralement de terre. Mes yeux s’écarquillèrent de surprise, et je me levai d’un bond (car entre temps je m’étais à nouveau laissé tomber sur l’une des machines). Le cri resta bloqué dans ma gorge, et je restai figé sur place, le regard fixé sur le jeune homme. « Qu’on s’entende, tu touches à ma copine, je te tranche les couilles et je te les fait avaler. Je me fais bien comprendre ? Oh et en passant, si je me la tape pas, c’est parce que… » Mais soudain, le calme sembla reprendre le dessus sur la fureur qui l’avait animé l’espace d’un instant. Il laissa tomber l’homme, qui s’écroula à genoux à terre, se tenant le cou, poussant de petits râles d’animal blessé… Mon cœur battait dans ma poitrine. J’étais en colère contre ce type certes pour avoir émis de tels propos sur ma personne alors que j’étais dans la même pièce, mais il n’empêchait que je m’inquiétais pour lui, et que j’avais même eu peur pour lui ! Ma gentillesse finira par me perdre, je ne le sais que trop bien… Et j’étais en colère contre Samuel pour avoir agit comme un parfait crétin. Je commençai presque à me dire que mes amies avaient raisons ! Il n’était qu’un idiot. IDIOT !
    Samuel me lança un regard de chien battu, mais la colère vibrait dans mon regard ! Etais-ce seulement de la colère ? Ô que non ! On y lisait aussi l’inquiétude ! Et si ce type avait répliqué ? S’il avait frappé ? S’il avait blessé Samuel ? Il y avait pensé à ça ? Non ! Ce n’était qu’un… qu’un Idiot ! Il aurait pu être blessé, il aurait pu se faire mal, il aurait pu… Idiot ! Je le suivis du regard quand il quitta la salle, et soudain, constata à mon tour qu’il pleuvait dehors. Lorsque la lourde porte se referma, il y eu comme un déclic dans ma tête, et je me mis à courir en direction de la porte de sortie. « Va calmer ton mec ma chérie, sinon, la prochaine fois, c’est moi qui vais l’calmer ! » Je me stoppai net, et regarda le type à genoux, une expression de dédain dans le regard. Envolé la compassion que j’avais pu éprouver à son regard.

    « Je ne suis pas votre « chérie », ce n’est pas mon « mec », et vu qu’à l’heure actuelle, c’est vous qui êtes à terre et non pas lui, j’ai du mal à croire que vous soyez capable de lui faire quoique ce soit. Le seul moyen que vous auriez de le battre, ce serait pendant son sommeil. Vous n’êtes qu’une créature répugnante qui ne mérite même pas le nom d’humain ! »

    Pour la forme, je lui écrasais (doucement cependant !) la main du bout de mes escarpins (je ne poussai cependant pas le sadisme jusqu’à lui écraser la main avec le talon, mais bien avec l’avant de la chaussure !), et sortit à mon tour de la salle de musculation. La pluie me surprit rapidement. Elle était froide, et mouillait rapidement, si bien que mes cheveux s’imbibèrent rapidement d’eau, à l’instar de mon chemisier, qui vira transparent sans que je ne m’en rende compte, venant se coller à ma peau, et dévoilant mon soutien-gorge noir Victoria’s Secret en dessous.

    « SAMUEL ! »

    J’avais crié son nom pour qu’il se retourne, ce qu’il fit… Je m’avançai vers lui, tremblante sur mes longues jambes fuselées et parfaites…

    « Tu vas attraper la mort ! Retourne à l’intérieur ! »

    Il allait se rendre malade à rester torse nu sous la pluie !

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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyLun 10 Oct - 4:39

Je marchais sans aucune raison principale tout en pensant à Louann. Est-ce qu'elle pensait à moi en ce moment? Et Amy? Qu'est-ce qu'elle faisait en ce moment? Peut-être était-elle partit? Je n'avais pourtant pas entendue les portes s'ouvrir et se refermé...Peut-être étais-je trop loin pour les entendre...

C'est alors que j'entendis sa douce voix crier mon nom. Quelle fille intelligente, elle ne voyait pas qu'il pleuvait des cornes? Elle allait prendre froid! Contre moi, je me tournais et je la vis s'avancer vers moi, tremblante sur ses longues jambes fuselées et parfaites. Pendant qu'elle s'avançais vers moi, je remarquais sa chemise devenu transparente ainsi que son soutient-gorge noir. Et merde...


« Tu vas attraper la mort ! Retourne à l’intérieur ! »


Comme si elle avait a parler! Mais d'un autre coté, connaissant Amy, elle n'allait pas retourner à l'intérieur tant et aussi longtemps que j'allais être à l'extérieur. Il fallait que je trouve un moyen qu'elle reparte... Mais si j'étais intelligent, j'aurais compris que c'était le meilleur temps pour discuté... Mais de quoi? Je n'avais rien à lui dire! Elle me plaisait la belle blonde, mais pas de là a vouloir discuté de nimporte quoi! Enfin, je la regardais de la tête au pied, c'était plus fort que moi, elle était presque nue avec son linge si léger... Mais qu'est-ce que je fous là? Amy est sur le point d'attrapé un je ne sais quoi et toi tu la reluque? Non mais! J'aperçu alors un abris possible où tout les deux on serait satisfait. Je la pris par le bras et l'amena sous l'abris qui ressemblait un peu a un arrêt d'autobus.

-C'est franchement ridicule.

J'avais dit ça a voix haute moi? Et pourquoi j'avais dit ça hein? Mon subconscient dit pas mal trop de chose... Mais qu'est-ce que je trouvais ridicule? Le fait d'être pris sous un abris dans un déluge, sans voiture? Peut-être... Ou peut-être aussi trouvais-je franchement ridicule de ne pas être capable de séduire la seule fille qui me tient vraiment à coeur. Franchement ridicule de ne pas être capable d'oublier Louann.. Amy était importante pour moi, j'avais beau dire le contraire la plus part du temps, mais j'y tenais. Je ne pouvais pas imaginer ma vie sans elle, c'était inimaginable, elle mettait du piquant dans ma vie, de la joie même parfois. Je n'y tenais pas au point de dire que j'avais des sentiments pour elle, mais peut-être au point de dire qu'elle pourrait réussir a me faire oublier Louann. Oublier ma souffrance, mon coeur pour la deuxième fois de ma vie, brisé. J'eus alors envie de prendre Amy dans mes bras et de la serrer fort contre moi. Peut-être allait-elle prendre ça pour un moyen de la réchauffé mais moi, c'était mon moyen de lui dire que je tenais à elle. Alors j'avança vers elle et la pris dans mes bras.
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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyLun 10 Oct - 19:38


Samuel & Amy
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    Lorsque je passais la porte, afin de courir après Samuel, je constatais (trop tard) qu’il pleuvait. Surprise par cette douche glaciale, je retins un petit cri de surprise, et rechercha du regard le jeune homme. Peu importe la pluie. Il fallait que je le retrouve. Ou plutôt, non, à CAUSE de la pluie, il fallait que je le retrouve. La rue était déserte, et mon regard fut rapidement attiré par lui : il faut dire qu’il n’y avait pas grand monde qui se baladait torse nu sous la pluie à l’instant précis. Je l’appelais, et il se retourna. Mes cheveux étaient déjà trempés, et étaient venus se plaquer contre les bords de mon visage, et contre ma peau, couverte par mon chemisier, qui ne cachait d’ailleurs plus grand-chose au moment où nous parlons. Vous avez déjà essayé le soutien-gorge noir avec le chemisier blanc par temps de pluie ? Tremblante sur mes escarpins (quelle idée me direz-vous), je tirai nerveusement sur le bas de ma jupe, en m’approchant de lui… « Retourne à l’intérieur ! »… Dans mon regard brillait une lueur paniquée. Est-ce que je m’inquiétais pour lui ? … Visiblement, je me souciais bien assez de sa santé pour lui courir après sous la pluie… Alors, oui, je pense qu’on peut affirmer sans doute que j’étais… inquiète, pour lui…
    Je sentis son regard glisser de mes yeux à mes pieds, et suivit le mouvement, constatant en rougissant que mon chemisier était légèrement (et c’était un euphémisme !) devenu transparent… Je croisais les bras sur ma poitrine, ce qui entre nous n’arrangea pas grand-chose, et me racla doucement la gorge, soutenant son regard. Il fallait qu’il rentre. Sinon, il risquait de tomber malade ! Et… Je ne voulais pas qu’il tombe malade… Sa main s’empara de mon poignet, et il m’entraîna à sa suite vers une sorte de petit abribus, juste assez grand pour nous protéger à condition que nous nous serrions l’un contre l’autre… « C’est franchement ridicule. » Je baissai les yeux. Pourquoi disait-il cela ? Parce que nous étions serrés l’un contre l’autre à tenter de nous protéger de la pluie ? Ce contact était-il si déplaisant que ça ?
    Je me serai mise des claques. Il fallait dire que son… baiser… avait eu de quoi me perturber (ainsi que tout ce qui avait suivi, et j’entends par là son strip-tease intégral), et que j’étais… toujours… embarrassée ? Je n’savais pas comment le prendre. J’avais sans doute réagit excessivement (et plus que sans doute !) en le giflant mais… Bon sang, on n’embrasse pas les gens comme ça ! Je fixai mes chaussures, tentant de faire abstraction du corps à demi nu de Samuel à quelques centimètres du mien… Chose difficile, il faut bien l’accorder… Alors que je trouvais enfin la force de relever la tête, mon regard croisa le sien, et au même instant, il s’avança légèrement, franchissant les quelques centimètres qui séparaient nos deux corps l’un de l’autre, et vint enrouler ses bras autour de moi. Une fois encore, mes yeux s’écarquillèrent de surprise, et je restai là, les bras ballants, le long du corps, sentant son étreinte, sans pour autant y répondre. Etais-ce un moyen de tenter de me réchauffer ? Logiquement, c’est ce que j’aurais dû penser. Mais cependant… je sentais qu’il y avait quelque chose de … de plus. Quelque chose derrière cette étreinte. Lorsque je sentis sa main se poser au niveau du bas de mon dos, mon cœur s’emballa… Un mince sourire vint flotter sur mes lèvres, et je me surpris à trouver ce contact agréable… Agréable au point de venir me calmer un peu plus contre lui. Je vins cacher mon visage rougissant contre son torse (ce qui eut en fait l’effet opposé que j’avais espéré : j’en rougis plus encore ! Mais au moins, il ne me voyait pas dans cet état). Je sentis l’une de ses mains remonter jusqu’à ma nuque, et me mordis doucement la lèvre inférieur… Je relevais le visage vers le jeune homme. Tant pis pour les joues rouges. De toute façon, je ne pense pas que je pourrais cacher ce trouble bien longtemps… Peut-être même s’en était-il déjà rendu compte…
    Mes yeux bleus clairs étaient plongés dans les siens, et un sourire s’installa sur ses lèvres. Mon regard glissa jusqu’à ces dernières, et je déglutis, avant de revenir aux yeux de Samuel, toujours fixés sur mon visage.

    « Tu… Tu devrais pas rester comme ça sous… sous la pluie… enfin, je veux dire… torse nu… Tu vas tomber malade… »

    Et je n’ai pas envie que tu sois malade… Mais il me semble que je l’avais déjà dit non ? Mes mains étaient posées sur son corps, l’une sur le haut de son torse, l’autre sur son bras. Tandis que les siennes… Eh bien, l’une était toujours au niveau du bas de mon dos, mais l’autre était remonté jusqu’à ma nuque.

    « Tu… »

    Mais plus je parlais, plus j’avais l’impression de m’enfoncer. Alors, je décidai de me taire. Ça valait mieux, sans doute, non ? Mon regard glissa une fois de plus jusqu’à ses lèvres et soudainement, sans savoir pourquoi ni comment, sans réfléchir, je me mis sur la pointe des pieds, et vint plaquer avec douceur mes lèvres contre les siennes, fermant les yeux alors que nos nez venaient à se frôler. Etais-ce à côté de son attitude « chevaleresque » quelques instants plus tôt que cette soudaine envie m’était passée par la tête ? Je ne pourrais pas jurer qu’il n’y avait que ça…
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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyMar 11 Oct - 2:19

J'avais froid, elle avait froid, et même en ayant froid, mon corps restait chaud, j'avais donc l'idée de la prendre et la serrer contre moi. Mais cette idée n'était pas seulement pour la réchauffé, c'était aussi pour lui montrer que je tenais à elle, pour lui montrer qu'elle était importante pour moi. Du coup, je faisais d'une pierre deux coups, je lui prouvais que je tenais à elle et je la réchauffais pour pas qu'elle attrape froid. Tranquillement, elle se laissa faire-car c'est sans dire qu'elle allait me repousser d'une minute a l'autre et refuser cette marque d'affection-et je pu glisser ma main tranquillement vers le bas de son dos et l'autre encore plus tranquillement vers sa nuque.

Je voulais simplement la réchauffer... Bon d'accord il y avait un arrière mais je refusais encore de l'admettre car tout cela voulait évidemment dire que je devais souffrir alors j'aimais mieux me mentir a moi même, évité d'avoir le coeur brisé une troisième fois dans ma vie. Mais je ne refusais pas de l'avoir dans ma vie, je refusais de l'avoir plus importante à mes yeux, plus vraie, avec une plus grosse place dans mon coeur que celle qu'elle a en ce moment.

Je la sentis se coller un peu plus a moi, cachant son visage contre mon torse probablement bouillonnant mais ne le laissa pas très longtemps car elle leva son magnifique visage et me regarda droit dans les yeux. Je remarquais à peine son visage rougit par la gêne car j'étais obnubilé par ses yeux envoûtants, ses magnifiques yeux bleus... Ils étaient si profonds si...

Non! Tu ne plonge pas là-dedans Sam, tu peux pas te le permettre, ta réputation en prendrais un coup, ton coeur en prendrais un autre coup et d'ailleurs, tu ne peux pas, tu n'as pas encore oublié Louann.

Mais bien sûre que j'avais déjà oublier Louann même si je gardais des sentiments pour elle, Amy était belle, avait un caractère de chien mais je l'adorais telle qu'elle était... Je pouvais me le permettre, peut-être que justement, Amy allait me faire oublier Louann... Peut-être que c'était une bonne idée?

Mais non imbécile, elle t'a giflé, ça te prends quoi de plus pour comprendre que t'as pas ta chance? Oublie bordel!

Je souris, malgré moi car ce combat qui se déroulait dans ma tête était totalement ridicule, je ne pouvais m'empêché de m'attaché à Amy... D'ailleurs, j'entrevis ses yeux glisser vers mes lèvres et cela me fis un peu plus sourire.


« Tu… Tu devrais pas rester comme ça sous… sous la pluie… enfin, je veux dire… torse nu… Tu vas tomber malade… »

J'espère qu'Amy ne sentit pas mes jambes trembler à ces dires... car cette phrase venait de prouver, du moins un peu, qu'elle tenait à moi. Et c'était déjà un début pour moi.

C'est à ce moment que je me rendis compte qu'elle avait une main sur mon torse et l'autre sur mon bras... Elle tenta de dire quelque chose mais sa voix sembla bloqué là... J'espérais à ce moment même qu'elle n'ai pas attrapé quelque chose. Mais je n'eus pas vraiment le temps d'y pensé que son regard retourna à mes lèvres. Quoi, qu'est-ce qu'elles ont mes lèvres? J'ai un truc? Mais je compris assez rapidement car elle se mit sur la pointe des pieds et m'embrassa.

Elle posa ses lèvres si douce et rosés sur les miennes, nos nez se frôlèrent, j'étais tellement surpris que durant un laps de temps, je ne réagis pas. Puis, je pencha la tête un peu vers le bas pour qu'elle puisse se remettre à pied plat.

Tout en lui rendant son baiser, je pensais à Louann, que j'aimais encore, au fait que je ne pouvais pas me permettre d'aimer une autre fille pour plusieurs raisons dont le fait que je n'avais pas envie d'avoir, une fois de plus, le coeur brisé.

Mais d'un autre coté, j'avais envie d'avoir Amy à mes cotés, envie de l'aimer, envie de... mais attends un peu! Amy m'avait peut-être embrassé seulement parce qu'elle en avait envie, peut-être qu'elle ne m'aimait pas, et cela réglerais le problème.

Mais c'était plus fort que moi... doucement, ma main qui était sur sa nuque monta un peu plus vers le début des ses cheveux- je sentais que je perdais le contrôle- mes lèvres laissèrent les siennes et -je repris le contrôle d'un seul coup- je recula la tête la fixant dans les yeux...

Ses yeux si magnifique, si profond... Je voyais mon reflets dans ses yeux d'un bleus ciel. J'entrevis alors un passant qui avait un gros manteau et un parapluie.

Je fouillais dans les poches de jeans du mec et trouvais deux vingt dollars. Je sortis et me dirigea vers le monsieur qui semblait ne même pas avoir un semblant de froid.


-Excusez-moi monsieur, je sentais la pluie trop froide sur mon torse trop chaud, j'aimerais vous acheter votre manteau, je sais que c'est pas beaucoup mais ma copine qui est là-bas à très froid et nous n'avons pas de transport pour l'instant.

Je lui pointais alors Amy qui semblait ne pas savoir quoi faire. Miraculeusement, le monsieur ne demanda même pas d'argent et me donna son manteau. Je le remercia mille et une fois puis retourna sous l'abris. Je savais très bien quel allait être la réaction d'Amy mais je voulais absolument pas qu'elle attrape froid par ma faute. Alors je lui enfila le manteau et attendis qu'elle se fâche, une fois de plus, après moi.

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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyMar 11 Oct - 17:49

Samuel & Amy
« Une, deux, une deux… »

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    Son étreinte était chaude, et j’avoue (peut-être avec un brin d’embarras) que ce contact était loin d’être désagréable. Serrée contre son torse, ses bras m’entourant, je retins de justesse un soupir d’aise. Tout ceci était… étrange, je l’avoue, et je ne savais pas moi-même quoi penser de tout ça… Nos regards se croisèrent. Avais-je jamais remarqué que ses yeux étaient si beaux et envoutant ? « Tu devrais pas rester comme ça… » Plus je parlais, plus je me demandais ce que j’étais en train de faire. Amy, What the hell ! Je tentais une nouvelle phrase, espérant par la même occasion clarifier les choses, ou peut-importe, mais ma phrase mourut avant même que j’ai eu le temps de la formuler correctement… Mon regard fut happé par ses lèvres et, comme d’un automatisme, je me redressais, venant me placer sur la pointe de mes escarpins, et déposa avec douceur mes lèvres sur les siennes. Je ne m’attendais certes pas à ce que Samuel réagisse de suite. Après tout, mon comportement était des plus illogiques. Je venais de le gifler car il m’avait embrassé, et maintenant, c’était moi qui l’embrassais ? Quelle allait être la prochaine étape ? Crier au viol quand ses mains frôleraient mes fesses, avant de le laisser me plaquer contre un mur et de me faire l’amour sauvagement ? Amy, Amy, ça ne va pas bien dans ta tête ma petite… Plus illogique, tu meurs. Mais Samuel, passé la première étape de la surprise, me rendit mon baiser, et je sentis mon cœur s’emballer dans ma poitrine… Mes mains remontèrent jusqu’à son cou, ses joues, et je saisis son visage entre mes mains, l’attirant à moi, tandis que nos lèvres ne cessaient de se chercher, encore et encore.
    Sa main, celle posée sur le bas de mon dos, resta sage cette fois-ci (pas comme la première fois, où elle avait glissé jusqu’à mes fesses, venant froisser sensuellement ma jupe), mais la seconde, posée sur ma nuque, remonta doucement, jusqu’à venir se perdre dans mes cheveux. Ce contact m’électrisa plus que je n’aurais pu le penser, et lorsque nos lèvres se décolèrent enfin, j’aurais presque voulu que ce contact s’éternise un peu plus… Nos regards se croisèrent. Et soudain, je me sentis stupide… Et plus encore lorsqu’il partit sans dire un mot. Je poussai un gémissement plaintif, et me donna un coup du plat de la main sur le front. BON SANG ! Mais qu’est-ce que je venais de faire ? Le pire fut lorsque mon regard se porta sur mon poignet, et le bracelet que j’y portais. Le visage de Jonathan m’apparut soudainement, me frappant avec la vivacité et la force d’une balle de volley-ball en pleine face. Je m’appuyais contre le mur derrière moi, les mains tremblantes. Peut-être aurait-il fallu que je m’en aille. Que je m’enfuis. Que je le plante là. Que je ne vienne pas. Que je n’ai pas eu envie de le voir en me réveillant ce matin. Les choses auraient été plus simples. Beaucoup, beaucoup plus simples.
    Avant que je n’aie eu le temps de formuler une pensée cohérente, il était revenu vers moi, tenant un manteau à la main. Je le regardais avec de grands yeux étonnés : comment il avait eu ça lui ?! Enfin, c’était une bonne idée, ainsi, il ne mourrait pas de froid. Mais visiblement, le jeune homme avait d’autres plans en tête, puisqu’à peine arrivé devant moi, il le déposa sur mes épaules. Je le retirais aussitôt, fronçant les sourcils.

    -Prends-le Sam’…

    Je lui tendis, il le prit, et le reposa sur mes épaules. Non mais il rêvait là ou quoi ? S’il pensait que j’allais le laisser rester torse nu, il se fourrait le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Je le retirai une fois encore de mes épaules, et le lui tendis.

    -J’ai un truc sur les épaules moi au moins ! Mets le !

    Comme il refusait de le prendre, je poussai un soupir. Quel enfant ! Il était vraiment têtu comme une mule ! Un vrai bébé !

    -Prends le Samuel, ou je vais te le faire regretter…

    Et j’étais sérieuse ! Il ferait mieux de se méfier, il ne savait pas de quoi j’étais capable. S’il continuait à se montrer aussi… peu soucieux de sa santé, j’allais finir par me fâcher. Bien sûr, je n’allais pas le taper jusqu’à ce qu’il enfile ce satané manteau, mais les femmes sont machiavéliques. Et j’étais une femme parfaitement accomplie. Et Samuel lui, était visiblement un idiot qui me sous-estimait. Haussant un sourcil, je déposais le manteau à côté de moi.

    -Tu l’auras cherché.

    Il ne pouvait que s’en prendre à lui-même pour ce qui allait suivre. Plongeant mon regard bleu dans ses yeux que je trouvais si envoutants quelques instants plus tôt (et toujours maintenant…), je portais les mains au niveau de mon chemisier et, en quelques secondes, en défit chaque bouton, l’un après l’autre, avant de faire glisser le morceau de tissu le long de mes bras, jusqu’à ce qu’il se retrouve au niveau de mes hanches (il ne tombait pas à terre uniquement parce que le tissu était retenu par mes poignets), me retrouvant donc dans le même état vestimentaire (ou presque, je conservais toujours mon soutien-gorge noir, bordé de dentelle, un de mes préférés au passage –normal, il provenait de chez Victoria’s Secret !) que lui. Je le regardai, haussant un sourcil, l’air de dire : et maintenant hein ?! Tu fais quoi ?!

    -Je m’appelle Samuel Whissel, et je suis un idiot qui aime risquer sa santé en me baladant torse nu sous la pluie ! m’exclamais-je.

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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyJeu 13 Oct - 3:40

J'avais un certain et étrange besoin de la protégé, je ne pouvais m'en empêché. Et c'est pour cette raison que j'étais aller chercher le manteau... Parce que je voulais la protégé, je ne voulais pas qu'elle attrape froid. Moi, j'étais un mec, personne ne se souciait de moi sauf peut-être Angie... Mais si je ne me réchauffais pas, je n'allais pas mourir... Lorsque je lui mis le manteau sur le dos, elle fronça les sourcils, le retira et me le redonna en me demandant de le prendre.

Je crois qu'elle ne comprenait pas super bien le principe de si on met un manteau, on a chaud... Je soupirais, repris le manteau, fit mine de le mettre mais lui remit sur les épaules. Elle le repris et tenta de me le redonner. Non là... Sa en devenait ridicule. Puis, elle me sortit l'excuse que, elle, elle avait quelque chose sur les épaules... Non mais c'est une blague? Elle n'a presque rien sur les épaules! On ne peux même pas appeler ça quelque chose!

Puis, elle me menaça que j'allais le regretté si je ne le prenais pas... Je ne pu m'empêché un sourire, comment voulait-elle que je le regrette? Je savais très bien qu'elle était sérieuse mais je ne savais pas comment elle voulait me le faire payé. Elle déposa le manteau à ces cotés et me dit que je l'avais chercher. J'ouvris mes yeux et tenta de savoir se qu'elle s’apprêtait à faire. Mes yeux s'ouvrir de plus en plus gros pour découvrir qu'elle retirait son chemisier. Oh non tu commenceras pas ce jeux là, surtout pas avec moi. Je sourie, alors tu veux jouer à ça hein? Avant même que je réagisse:


-Je m’appelle Samuel Whissel, et je suis un idiot qui aime risquer sa santé en me baladant torse nu sous la pluie !

Oh que tu viens d'empirer ton cas ma belle. D'un seul coup, je baissa mes pantalons, sans boxer pour cacher mon sexe et la regarda avec un air de défi. Je recula d'un pas vers l'entré, juste assez pour que mon corps commence à recevoir les gouttes extrêmement froide. Je lui lança un regard.

-Chaque seconde qui passe sera un pas de plus vers la pluie tant que tu ne mettra pas ce foutu manteau Amy.

Je savais très bien que si je m'exposais nu sous la pluie, ma santé se finissait là jusqu'à un bon et très long moment. Alors que je commençais à compté, je reculas d'un pas et d'un seul coup, toute la pluie s’abattit sur mon corps nue. Je serrais les dents pour m'empêché de grelotté, la pluie était gelé et mon corps le recevais tel des gros morceaux de glace.
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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptyJeu 13 Oct - 13:00

Samuel & Amy
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    Les hommes sont, vous le conviendrez, de vrais têtes de mules. Pourquoi donc Samuel ne voulait-il pas prendre ce fichu manteau ? Il était torse nu, il pleuvait, il allait attraper la mort. Point à la ligne. C’est pas croyable hein ? Comme cet IDIOT ! ne voulait toujours pas reprendre le manteau, je lui dis que s’il ne s’exécutait pas, il allait le regretter. Aucune réaction. Eh bien, écoutez, on ne pourra pas dire que je ne l’avais pas prévenu. Déposant le manteau sur le côté, je le regardais droit dans les yeux et, dans un même mouvement, je me mis à défaire mon chemisier. Ses yeux s’ouvrirent de surprise et lorsque je fis glisser le morceau de tissu jusqu’à mes hanches, dévoilant par la même occasion mon soutien-gorge, et rien d’autre, je sentis son regard glisser le long de mon buste, avant de remonter jusqu’à mes yeux, avec un petit sourire. « Je m’appelle Samuel Whissel et je suis un idiot qui aime risquer sa santé en me baladant torse nu sous la pluie ! » Bien malheureusement pour moi, ce qui suivit ne fut pas exactement ce que j’avais espéré… Dans ma tête, je m’étais dit : j’enlève mon chemisier, il met le manteau pour que je remette mon chemisier et que je n’ai pas à me balader à moitié à poil dans les rues de New-York. Tout était bien qui finissait bien. Mais visiblement, le jeune homme avait d’autres plans. Avec une lueur de défi dans le regard, il se pencha soudain en avant, et j’entendis avant de voir véritablement ce qui suivit : le cliquetis de son jean me renseigna sur ce qu’il venait de faire et irrésistiblement, je baissais les yeux, reportant mon attention avec la rapidité d’un guépard sur le visage de Samuel, les joues rouges d’embarras.

    « Mais… Mais… Mais… »

    Non mais non mais il était pas bien hein !! Il venait de se mettre nu, dans la rue, par temps de pluie… Et DEVANT MOI que diable ! Les joues en feu, je le regardais, les yeux grands ouverts, les pupilles dilatées sous le coup de la surprise. Mais ça tournait pas rond ou quoi dans sa tête ? Il recula d’un pas. « Chaque seconde qui passe sera un pas de plus vers la pluie tant que tu ne mettras pas ce foutu manteau Amy. » Joignant le geste à la parole, il fit un pas de plus en arrière, se retrouvant cette fois totalement exposé… Ce ne fut que lorsqu’il commença à compter que je me réveillais soudainement.

    « OKA Y OKAY OKAY ! »

    Je me penchai en avant, et attrapa le manteau, venant le deposer sur mes épaules.

    « C’est bon, c’est fait, reviens ici tout de suite ! »

    Et remonte ton pantalon, que diable, on ne se met pas nu devant une jeune femme, sauf si on a l’intention de coucher avec ! Je saisis la main de Samuel, et l’attira à moi avec toute la force dont je disposais (pas beaucoup vous vous en doutez cependant…) Il était hors de question que je le laisse rester sous la pluie une seconde de plus. Je n’attendis même pas qu’il ai fini de remonter son jean. Mes yeux lançaient des éclairs et, si un regard pouvait tuer, il serait sans doute mort sur place. Du plat de la main, je vins donner un coup contre son torse.

    « Mais t’es pas bien dans ta tête ou quoi ? D’où t’as vu qu’on se foutait à poil sous la pluie ! Tu pourrais attraper une pneumonie ou je sais pas quoi ! Ca tourne pas rond dans ta tête hein ! »

    Et outre le fait qu’il s’était mis, pour la deuxième fois, nu devant moi, il faut dire que oui, j’étais en pétard, parce qu’il venait de mettre sa santé en danger ! J’en avais les mains qui tremblais. Je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose… Qu’il tombe malade… Par ma faute qui plus est ! Parce que reconnaissons-le, c’était bien à cause de moi qu’il était là à l’heure actuelle… Si je n’étais pas venue le voir, si je n’avais pas ressentit ce besoin d’aller parler avec lui, de le voir, de rire à ses côtés, il ne se serait pas énervé, les types n’auraient rien dit qui l’aurait mis en colère, et il ne serait pas sortit sous la pluie torse nu. Alors, je lui en voulais, mais quelque part, je m’en voulais aussi !
    Ma lèvre inférieur se mit à trembler, tandis que mon regard bleu s’humidifiait légèrement…

    « Et j’fais quoi hein, moi, s’il t’arrive quelque chose ?! Si tu tombes malade, si tu te soignes pas, ou mal, et puis si ça empire ?! »

    Certes, je partais légèrement dans les extrèmes, mais que voulez-vous : j’avais peur pour sa santé : je m’inquiétais pour lui…
    Samuel avait remonté son pantalon sur ses hanches, et je baissais les yeux, venant placer mes mains au niveau de la fermeture éclair, la zippant jusqu’en haut, avant de refermer le bouton.

    « Y a vraiment un truc qui marche pas là haut… » marmonais-je, le regard toujours fixé sur mes mains, accrochées a la fermeture de Samuel…

    Je sentis sa main venir se poser au niveau de mon menton, et Samuel me fit relever légèrement la tête. J’aurais sans doute préféré qu’il ne fasse rien, et qu’ainsi, il ne voit pas le trouble dans mon regard et sur mes joues… Lorsque nos regards se croisèrent, je sentis un « BOUM » dans ma poitrine, et ressera très légèrement mon étreinte sur le morceau de métal qui servait à fermer la fermeture (oui, il n’y a pas d’autres mots…) du jean du jeune homme face à moi…

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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptySam 15 Oct - 4:15

La pluie semblait de plus en plus froide et pourtant, je savais très bien que la pluie ne changeais pas de température. Mais bien sûre, Amy n'attendis pas que j'attrape la grippe car elle s'écria que c'était d'accord et enfila le manteau. Je ne pu m'empêché de sourire malgré le froid qui m'envahissait peu à peu. Amy devenait de plus en plus importante, prenait petit à petit de la place dans mon coeur et réussissait un peu à me faire oublier Louann qui malgré tout restait dans mes pensés et continuait a me martyriser le plus souvent possible...

Étant partie dans mes pensées, je n'entendis même pas Amy me demander de revenir sous l'abris. Le froid n'était plus maintenant, je ne le sentais plus. Perdu dans mes souvenirs avec Louann, je sentit à peine la main d'Amy empoigner la mienne et m'attirer sous l'abris. C'est en sentant le peu de chaleur que dégageait Amy que je revins. Lentement, je remontais mes jeans et entre-aperçu le regard remplit de haine d'Amy. Et encore, je souris. Elle ne pouvais s'empêcher d'être en colère contre moi, c'était plus fort qu'elle. Et c'est se qui faisait son charme... Elle avait beau tenter de le renier, mais je voyais au fond de ses yeux que je ne la rendais pas indifférente, que je lui faisais de l'effet.

Puis, elle me frappa sur le torse du plat de sa main.


« Mais t’es pas bien dans ta tête ou quoi ? D’où t’as vu qu’on se foutait à poil sous la pluie ! Tu pourrais attraper une pneumonie ou je sais pas quoi ! Ca tourne pas rond dans ta tête hein ! »

Elle tremblait, de colère, de tristesse, d'inquiétude, ou même de froid, je n'en savais rien, mais elle tremblait. Et ça me mit un peu sur mes gardes. C'est lorsque je plongeais mon regard dans le siens que je m'aperçu qu'elle avait les yeux plein d'eau. Ah non... non... tu ne peux pas te mettre à...

« Et j’fais quoi hein, moi, s’il t’arrive quelque chose ?! Si tu tombes malade, si tu te soignes pas, ou mal, et puis si ça empire ?! »

Et ouais... il fallait qu'elle s'inquiète pour moi en plus. Je suis pas malade là, relaxe Amy... elle avait le dont de mettre les deux extrêmes et d'en faire toute une histoire...

Pendant un court moment, son regard glissa vers mon pantalon et... oh non... elle vint placer ses mains au niveau de ma fermeture éclair en le refermant. Elle me dit quelque chose que je ne compris pas, trop concentrer à ne pas m'excité car, il fallait le dire, Amy avait ses mains un peu trop près de mon sexe à mon gout... Je tentais de regarder ailleurs que sur elle mais mes yeux m'obligèrent à la fixer dans les yeux. Puis, ma main se leva malgré moi vers son menton et je le releva légèrement. Je plongeais alors dans ses magnifiques yeux bleus... Si profond si... je sentis ses mains se crisper et là, maintenant, j'avais le goût de la serrer fort contre moi, de l'embrasser, de sentir son corps chaud contre le mien...

Je n'avais pas envie de l'aimer... pas envie d'avoir le coeur brisé à nouveau... Mais mon coeur en décidait autrement, à chaque fois que je refusais, il acceptait...


-Je...

Je n'étais même pas capable d'articuler un mot devant l'autre... bordel que ça m'épuisait... j'avais maintenant envie de l'embrasser puis, je n'avais plus le contrôle... Plus le contrôle sur rien, sur mon corps, ma tête, mon coeur... plus rien. J'avais maintenant chaud et j'avais aussi l'impression que mon corps devenait de plus en plus chaud...

-Amy... je...

Bordel! Pourquoi j'étais pas capable de dire un seul mot? J'avais la bouche complètement déshydraté, j'étais un peu étourdit... Mes jambes devenaient lentement des spaghettis. Bordel, qu'est-ce qui m'arrivait?

Je la regardait dans les yeux et me mis à voir flou.
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MessageSujet: Re: Une, deux, une deux ! [ft. Samuel Une, deux, une deux ! [ft. Samuel EmptySam 15 Oct - 12:24

Samuel & Amy
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    Mais quel idiot ! Idiot, idiot, idiot, IDIOT !!! Il n’avait pas conscience qu’il risquait d’attraper la mort, à se balader torse nu, à se balader à poil sous la pluie ?! Il n’avait pas conscience qu’il risquait de tomber malade ?! Il était vraiment pas bien dans sa tête ! Mes yeux lançaient des éclairs, et je le frappais du plat de la main sur le torse, furieuse ! Non mais vraiment ! Il n’avait rien dans le cerveau ou quoi ?! Mes sourcils étaient froncés, ma lèvre inférieure tremblotait légèrement… Mais il n’y avait pas que de la colère dans mon regard, dans mon attitude… Si c’était la première impression que je donnais (être en colère), derrière, j’étais morte d’inquiétude… A tel point que rapidement, mes yeux s’humidifièrent, et que je dû battre des paupières avec rage pour chasser les larmes qui menaçaient de couler. Bon… Je l’avoue, peut-être que je dramatisais un peu la situation… Il faut aussi dire qu’il n’y a pas de demi-mesures avec moi. C’est soit tout, soit rien. Au choix… Alors, forcément, je m’étais mise à imaginer les pires scénarios possibles… Samuel, qui tombait malade, qui était cloué au lit, Samuel qui… OKAY ! On va arrêter là ! Ça en devient presque flippant là.
    Pour tenter de me concentrer sur autre chose que sur l’hypothèse d’un Samuel allongé sur un plateau et qu’il fallait identifier, avant qu’il ne se fasse remettre dans un tiroir réfrigéré de la morgue, je vins placer mes mains au niveau de sa fermeture éclair, la remontant lentement, avant de fermer le bouton de son jean. Mon regard était porté sur les gestes que j’accomplissais avec une langueur extrême, sans cependant me rendre compte que ça risquait d’exciter le jeune homme en face de moi d’une quelconque manière que ce soit, et sans prendre garde au fait qu’il devait se contrôler pour ne pas laisser « éclater sa joie ». Mais, rapidement, la main de Samuel vint s’emparer, une fois encore, de mon menton, m’obligeant à relever la tête… Nos regards se croisèrent, et ma gorge s’assécha bien trop rapidement. « Je… » Mon cœur cessa de battre, et mes lèvres s’entrouvrirent doucement. Je sentais la température corporelle de Samuel augmenter à vue d’œil mais, plongée dans son regard noisette, mon esprit ne prit même pas la peine de me signaler cette information… « Amy… je… » Mais la lueur qui brillait au fond de mon regard disparut aussitôt que je vis ses yeux devenir vitreux… Mes sourcils se haussèrent d’un mouvement et, soudain, les genoux de Sam’ flanchèrent.

    « SAM ! » m’exclamais-je, alors que je tentais de le retenir du mieux que je pouvais, afin qu’il ne s’écroule pas au sol…

    Mais Samuel était bien plus grand, plus musclé, et plus lourd que moi. Il tomba à genoux sur le sol et, bien malgré moi, je suivis le mouvement, me penchant en avant, courbée, pour tenter de soutenir Samuel du mieux que je le pouvais, mon bras passé autour du sien.

    « SAM !!! »

    Mais le jeune homme était trop lourd pour que je parvienne à le soutenir bien plus longtemps, et il finit par s’écrouler dos au sol. Paniquée, je m’agenouillais à ses côtés, passant une main au-dessus de ses yeux fermés, tremblante…

    « SAM !!! SAM !!! Réveille-toi, réponds-moi, s’il te plaît, Saaaaam !! »

    Mes yeux étaient écarquillés d’horreur, mon cœur battait à cent à l’heure, et mes mains étaient aussi tremblantes que des feuiles… Je me penchais en avant, afin d’essayer de voir s’il respirait toujours… Dieu merci, c’était le cas… Mais il ne se réveillait pas ! Je me mis alors à le secouer, de toutes mes forces. Sa tête dodelinait sur le sol, de gauche à droite, et de droite à gauche, mais rien n’y faisait. Il n’ouvrait pas les yeux…
    Les larmes coulaient toutes seules le long de mes joues, et je me mis à sangloter…

    « Sa *sanglot* aaaaaaaaam !! Réveille toi ! J’ten supplie !! »

    Mais Samuel ne semblait pas décidé à écouter mes supplications… Et soudain, un éclair de génie me frappa. J’ôtais le manteau de mes épaules, et vint le déposer sur son torse, glissant mes mains en dessous pour frictionner sa peau à la fois glacée et brûlante… Mes mains parcouraient son torse, ses bras, dans l’espoir de le réveiller en le réchauffant… Mais ça ne servait à rien. Ça ne marchait pas. Il n’ouvrait pas les yeux…

    « SAM !!! »

    Ma main décolla toute seule, venant s’abattre sur sa joue. Réveille-toi, merde ! …
    Mais rien… Rien ne se produisait… J’étais là, à genoux à côté du corps inerte du jeune homme, mon chemisier toujours ouvert, grelottante de froid, à tenter de faire ouvrir les yeux à cet idiot, cet idiot qui me faisait paniquer comme une folle… Qu’est-ce que je pouvais faire, qu’est-ce que je pouvais faire, qu’est-ce que je… Mes yeux s’écarquillèrent et, si nous avions été dans un cartoon, nul doute que nous aurions vu s’allumer au-dessus de ma tête une ampoule… Je me relevais d’un bond, manquant de me casser la figure, et me mis à courir vers la salle de musculation dont nous étions sortis quelques instants plutôt. Le sol était glissant, et je manquais de me casser la figure plus d’une fois, surtout que j’avais des talons hauts, mais je m’en moquais… Lorsque j’arrivais devant, je poussais les portes avec toute la force dont je disposais, rendant par la même occasion, involontairement cependant, mon entrée particulièrement théâtrale… Il est déjà rare de voir entrer une jolie blonde vêtue d’une jupe, de talons hauts et d’un chemisier légèrement décolleté dans une salle de musculation, exclusivement masculine, mais voir cette même blonde, trempée de la tête aux pieds, son chemisier totalement ouverts, laissant donc par la même occasion une vue imprenable sur sa poitrine et ses sous-vêtements, les cheveux dégoulinants d’eau, et qui commençaient doucement à boucler... c’était tout bonnement une grosse surprise… Tous les regards se tournèrent vers moi. Regards étonnés, regards lubriques, et j’en passe et des meilleurs.

    « S’il vous plaît, venez m’aider, c’est Sam il… »

    Je vins plaquer ma main devant ma bouche, étouffant un sanglot, tandis que d’autres larmes venaient se mêler aux gouttes de pluie sur mes joues… Il n’en fallut pas plus à ces gros bêtas, visiblement touchés par la détresse d’une jeune femme (étais-ce parce que j’étais à demi-nue en plus ?) : plusieurs d’entre eux se levèrent, et me suivirent dehors, jusqu’au corps toujours inerte de Samuel.

    « Je… il était là… et il est… il est tombé… Il a commencé à voir flou et… »

    Je détournais le regard, venant enfoncer mon poing dans ma bouche, pour m’empêcher de me mettre à sangloter une fois encore… Mais le mouvement saccadé de mes épaules ne trompait personne…
    J’entendis l’un des hommes derrière moi tirer son téléphone de sa poche et sa voix s’éleva rapidement… « Oui, bonjour, il nous faudrait une ambulance au… » Je me serais giflée. Une ambulance ! Mais bien sûr ! Pourquoi j’y avais pas pensé avant ?! Mon regard était toujours fixé sur Samuel, inconscient sur le sol, et je sentis une expression plutôt étrange me tirailler le ventre, et le cœur… Ce n’était plus simplement de l’inquiétude… C’était… de la peur… Et… Encore autre chose… Sur laquelle je n’arrivais pas à mettre un nom… « Oui, la demoiselle dit qu’il est tombé soudainement… Sous la pluie oui… Oui il respire toujours… Très bien, on vous attends ! » Les bras croisés sur ma poitrine (je n’avais même pas eu l’idée de refermer mon chemisier, bien trop focalisée et paniquée pour Samuel), je lançai un type un regard plein de gratitude, alors que toutes mes pensées étaient tournées vers Samuel… Samuel, Samuel, Samuel, et rien d’autre…
    Les minutes semblaient interminables... Pourquoi il ne se réveillait pas ?! Pourquoi l'ambulance n'arrivait pas ?! Pourquoi, pourquoi, pourquoi !
    Lorsque les lumières des girophares de l'ambulance apparurent au loin, ce fut comme une délivrance. Enfin ! Ils étaient là ! L'ambulance pila juste devant nous, et deux infimiers en descendirent, sortant le brancard du véhicule. Ils se précipitèrent vers Sam, ne nous adressant même pas un regard... Je les entendais discuter entre eux... J'étais en train de paniquer... Morte d'inquiétude pour Samuel... Oh, pitié, faîtes que ce ne soit pas grave !!
    Lorsqu'ils le placèrent sur le brancard, mon coeur se souleva... Ils le transportèrent jusqu'à l'intérieur du véhicule et, alors que le premier remontait déjà dedans, je me précipitais vers eux.

    "Je vous en prie, laissez-moi venir avec lui..."

    L'infirmier me jaugea des pieds à la tête et, sans un mot, me tendis une couverture de survie, et me fit signe de monter à l'arrière. "Vous inquiétez pas jeune fille... Il a rien de bien grave... Un bon café, et une nuit de sommeil, et il sera comme neuf votre Dom Juan... Juste qu'il évite de se balader sous la pluie torse nu..." Le soulagement fut tel que je sautais au coup de l'homme, venant appliquer lmes lèvres contre sa joue avec force, avant de courir monter aux côtés de Samuel. La porte se referma, l'ambulance démarra... Mais tout allait bien se terminer. Ce n'était pas grave... Et vous n'imaginez pas à quel point j'étais soulagée.

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Une, deux, une deux ! [ft. Samuel

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