| Sujet: ARTHUR Ϟ « vicious tradition » 100% Mar 31 Mai - 15:30 | |
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Arthur Stephen Hendrix « feat. Joseph Gordon-Levitt »
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PHYSIQUE & MENTALITE ? il ne faut jamais se fier aux apparences, et Arthur en est la preuve vivante. Tout d'abord, il est d'une sociabilité sans failles, capable d'entretenir une conversation et d'aborder les gens sans honte, quitte à se rendre ridicule. Il se fiche de ce que pensent les autres, de ce qu'on peut dire sur lui, de toutes les rumeurs qui pourront circuler. Quitte à jouer la sourde oreille, il en est bien capable, même s'il a ses limites. Il ne supportera pas qu'on essaye d'atteindre à sa vie, en essayant à tout prix de lui pourrir l'existence. De ce fait, Arthur n'hésitera pas à riposter, et avec deux fois plus d'intensité. Bien qu'il soit capable de se défendre avec des mots, l'étudiant se sent plus à son aise lorsqu'il s'agit d'utiliser ses poings. On ne le provoquera pas deux fois, car s'il faut démarrer une bagarre, il le fera. Violent, brutal et sans pitié, il ne s'arrêtera pas tant qu'il n'aura pas satisfaction. Ce qui amène à dire que Arthur est un homme obstiné, ambitieux et têtu. Lorsqu'il est sûr de lui, il est difficile de lui retirer une idée de la tête, ou encore de lui faire changer d'avis. Il veut quelque chose, alors il l'aura quoi qu'il en coûte. L'étudiant se montrera égoïste pour les choses qui lui tiennent à cœur certes, mais si cela doit engendrer des problèmes auprès de ses proches, il abandonnera. Arthur s'attache vite aux gens, et aime se faire des amis si bien qu'il se ravi d'élargir son cercle social constamment. Il ne supporte pas de perdre des amis, des membres de sa famille, alors il fait toujours attention à ses faits et gestes, bien qu'il reste lui-même. Sensible, Arthur peut facilement pleurer – mettez le devant le film Moulin Rouge, vous en aurez la preuve -, il peut rapidement sombrer dans la déprime, lunatique, il passe d'une humeur à une autre en l'espace de quelques minutes. Arthur est un grand romantique, il aime la tendresse, l'affection, et la présence de la personne qu'il aime. Il fera toujours tout pour la rendre heureuse et ne jamais la décevoir, ce qui engage une extrême fidèle et sincérité. L'étudiant déteste le mensonge, il n'a jamais eu l'intention de duper ses proches, et ce n'est pas demain la veille.
Bon alors... Arthur, qu'en est-il de son physique ? Je vais faire très court. 1M82 pour commencer. Et oui il est grand ! 70 kilos... disons qu'il est dans la moyenne. Il entretient régulièrement son corps avec quelques exercices, afin de faire évoluer les muscles de ses bras, et ses abdos, mais avec modération. Arthur a les cheveux brun d'origine, et les yeux bruns, qui s'éclaircissent étonnamment à la lumière du soleil. Selon son humeur, il sera mal rasé, il aime ce petit côté négligé. Niveau pilosité, je vous rassure -ou du moins, je me rassure-, Arthur reste dans la ''norme''. Rien sur le torse, rien sur les épaules, rien dans le dos ! Le Ciel soit loué ! Il a un tatouage dans le dos, fait il y a trois ans : des ailes. Peu original certes, mais il trouve le dessin beau, et ce signifie rien de particulier, donc rien ne pouvant choquer quiconque. Il n'a aucun piercing, peut-être un jour qui sait... Niveau vestimentaire, Arthur opte pour le style ''soyons fous on tire les fringues au sort les yeux fermés !''. Il ne fait pas vraiment attention à son allure, si ce n'est qu'il restera inconsciamment dans son petit monde ''rock''. Des chemises à carreaux, pantalons troués, vestes abîmées, baskets bon marchés... à quoi bon s'en préoccuper, les vêtements ne font pas tout.
HISTOIRE ? Arthur est né le 5 juillet de l'année 1988. De James et Lenore Hendrix, le petit vit le jour dans la capitale coréenne, Seoul. En effet, James, directeur et propriétaire d'une grande société internationale, les voyages se faisaient fréquents, voilà pourquoi ils se trouvaient en Corée du Sud depuis plus d'un an. Déjà parents d'un fils, Jonah, leur famille était au comble de la satisfaction avec l'arrivée de Arthur. Ils vécurent deux ans en Corée, années durant lesquelles Lenore laissa tomber son travail de journaliste pour s'occuper de ses enfants. Ils durent apprendre l'anglais et le coréen, histoire de se fondre dans la masse et s'adapter à la vie asiatique. Les débuts furent presque faciles, après tout, ils n'avaient jamais connu autre chose, mais ils neaprès ça, la petite famille quitta Seoul pour habiter à Londres. Ce fut un véritable changement dans leurs vies. Lenore reprit son travail, alors que ses enfants s'épanouissaient petit à petit.
Arthur entra à l'école, se mêla aux enfants de son âge, et passer de la Corée à l'Angleterre fut difficile, si bien que le petit était assez distant avec ses camarades. En primaire, il ne pouvait pas se vanter d'avoir beaucoup d'amis, et, du fait d'être aussi renfermé, s'était trouvé des intérêts pour passer le temps. A commencer par la musique, qui le fascinait plus qu'autre chose, il se mit à apprendre le piano et la guitare à domicile à partir de ses neuf ans. Puis la lecture. Arthur se sentait à l'aise dans ces différents récits imaginaires. Les années passèrent, jusqu'à ses onze ans, où sa famille due à nouveau déménager. Cette fois, ils quittèrent Londres pour Tokyo, la capitale du Japon.
Le changement était beaucoup trop brutal, surtout pour Arthur qui entrait dans l'adolescence, et ne pouvait plus supporter ces déménagements à répétition. Alors, il se mit à apprendre le japonais, afin de s'adapter. Etant donné la situation financière de la famille, James engagea un professeur particulier pour que ses enfants apprennent rapidement. Tous ces cours, que ce soit à l'école ou à domicile, commençaient à écraser Arthur, d'autant plus que ce qui lui arrivait au collège : en effet, étant donné que le jeune homme était européen, il était différent, et il fut bien vite victime d'agressions, de harcèlements moraux et physiques de la part de ses camarades. Phénomène courant au Japon appelé Ijime, Arthur n'était qu'un bouc émissaire pour tout le monde, si bien qu'il tomba dans une profonde dépression. Il ne pouvait plus continuer, et refusa de se rendre en cours à partir de ses 14 ans. Lenore entra alors dans une période de conflit avec son mari : ils devaient quitter le pays. Et trois mois plus tard, ils se rendirent à New York, qui fut leur dernière destination.
Arthur se sentit libéré, à l'aise alors qu'il n'avait jamais connu les Etats-Unis jusqu'alors. Il s'adapta bien vite au rythme de vie, et obtint son diplôme de lycée avec une grande facilité. En parallèle, il continuait de prendre des cours de piano, et s'était mit au chant, ce qui portait ses fruits. Cependant, le jeune homme savait qu'il voulait faire de la peinture et du dessin son métier, son avenir. L'université s'ouvrait alors à lui, il entama des études d'arts plastique. Sa vie amoureuse, à l'époque, était bien remplie. Il avait une petite amie, qu'il connaissait depuis l'âge de 16 ans, du nom de Callypso. Il n'aurait jamais pensé que cette dernière tomberait enceinte, alors que tout deux avaient à peine dix neuf ans... Mais ils acceptèrent d'avoir cet enfant, Arthur était prêt à devenir père, mais un mois après son accouchement, Callypso périt dans un accident de voiture, laissant derrière elle un un homme seul. Arthur se jura alors d'élever sa petite fille et de la rendre heureuse, tout en continuant d'étudier en parallèle. Il se sent bien assez autonome pour ça. Voilà maintenant quatre ans que Arthur est étudiant, et que sa vie prend un tournant enfin joyeux, voire même divin à ses yeux. Il ne regrette absolument pas son arrivée à New York.
ENCORE UN PEU ? Arthur est un fan de musique, il ne peut se passer de son MP3 ou des CD qui s'entassent dans son appartement. En parallèle, le cinéma le passionne autant, étant un grand fan de Tarantino et Jackson. Lecture, dessins, peinture, la vie d'Arthur est très "artistique", ce qui le conduit à vivre dans un univers bien à lui. Concernant ce qu'il déteste, il n'y a rien de plus simple que : les chats. Allez savoir pourquoi, traumatisme d'enfance, il a une peur bleue de ces animaux... non sans dire que l'étudiant préfère de loin le chien qu'il a comme animal de compagnie depuis deux ans.
Et maintenant, QUI ETES-VOUS ?
Prénom/pseudo : CRANE ASYLUM Age : 19 ans Présence sur le forum : 5/7 Comment avez-vous découvert le forum ? : Partenariat je crois Votre avis dessus : Quelle question... x) Code de présentation : - Spoiler:
OK BY LOU' Exemple de RP : - Spoiler:
C'était bien la dernière chose que Luke avait souhaité après son retour à l'université : devoir se retrouver face à Everleigh. Il savait que ce ne serait pas évident de soutenir son regard, de lui sourire ou même de faire comme si tout allait à merveille. En très mauvais menteur qu'il était, il savait pertinemment qu'il ne pourrait pas duper la jeune femme et qu'elle avait du entendre ses activités passées au détour d'un couloir. Il suffit d'une séance de commérage pour que tout le monde soit au courant de ce qu'il avait tenté de faire. Voilà qu'il passait pour un dingue, ou un raté. Se louper dans une tentative de suicide, c'est de loin la chose la plus stupide qui puisse arriver. La majorité s'imaginait alors qu'il n'avait fait ça que dans le simple but de se faire remarquer, qu'on lui prête une attention toute particulière. Alors que non, ce n'était qu'un coup de malchance, pour lui en tout cas. L'agonie avait été longue, et sans réelle fin, du moins pas celle qu'il attendait. Aujourd'hui, il respirait, était apte à vivre comme avant, en excluant le fait qu'il broyait constamment du noir. Il s'en serait bien passé, mais il ne pouvait pas sortir de cette dépression en un claquement de doigts. Et ça prendrait bien plus de temps qu'on ne peut le penser, il ne pouvait pas redevenir optimiste comme si de rien n'était, parce qu'il y avait toutes ces petites choses derrière lui. Maintenant, affronter les regards et les jugement se révélait être beaucoup plus difficile qu'il ne l'aurait songé. Il en avait assez de devoir esquiver ces messes basses constantes, savoir qu'on pouvait parler dans son dos sans jamais trouver le cran de lui dire les choses en face. Pourquoi ne pouvaient-ils pas tout simplement s'occuper de leurs propres affaires ? La situation lui paraissait aussi totalement ridicule...
Là, il devait affronter la présence d'Everleigh. Ne vous méprenez pas, la voir était une bénédiction, un soulagement immense. Parce qu'à première vue, elle avait l'air d'être en pleine forme, ce qui était le plus important aux yeux de Luke. Il voulait la savoir en bonne santé, même heureuse, ce serait l'idéal. C'est ce qu'il voulait, son bonheur, alors si actuellement, tout allait bien pour elle, il aurait la conscience tranquille. Seulement, elle n'avait pas échappé aux bruits dans les couloirs et venait en parler. Le musicien, gêné, aurait préféré ne pas s'attarder sur le sujet, les raisons de ce changement dans sa vie étaient sombres, et beaucoup trop délicates pour être abordées comme ça. Voilà pourquoi il avait pensé sage d'esquiver le sujet en lui demandant de ses nouvelles. Mais la brune était loin d'être dupe, à en juger par ses paroles suivantes :
« Non Luke ! Arrête de dévier le sujet ! Arrête de faire comme si tout était normal ! Tu as fais quelque chose... Tu as... Tenté de te suicider ! »
Le brun détourna les yeux, il ne pouvait pas la regarder en face, il avait tellement honte. Il avait agit comme un misérable lâche en essayant de se donner la mort et n'avait pas pensé une seule seconde à sa famille et ses amis, ceux qu'il laisserait derrière lui sans leur avoir donné une seule explication. Bien sûr, Tyler avait vécu cette dépression au quotidien, et savait parfaitement quels en étaient les facteurs, mais il aurait sûrement beaucoup de mal à tout expliquer à leur entourage s'il ne parvenait pas lui-même à comprendre ce départ malgré tout. Mais c'était du passé, il n'avait plus l'intention d'en venir jusqu'à un point si funèbre, du moins... il se voyait mal réessayer, parce qu'il avait envie de retrouver la joie de vivre, ce qu'il avait tant apprécié dans le passé. Il lui fallait juste un peu de temps, tout n'était qu'une question de jours, voire de semaines... il avait de l'espoir, et tant que tout ne serait pas totalement perdu, il continuerait à y croire parce qu'il ne pouvait se raccrocher qu'à ça.
« Je veux des explications. Je pense que... je dois savoir ce qui s'est réellement passé. »
Et voilà que le sujet fâcheux était abordé. Luke baissa les yeux, tandis qu'Everleigh venait s'asseoir à côté de lui. Tout raconter, dans les moindres détails ? Il n'avait sûrement pas le choix... Et puis, peut-être qu'en parler avec la brune lui ferait le plus grand bien, savoir qu'elle serait au courant de ces raisons, probablement réussirait-elle à le comprendre dans sa décision, même si c'était dur à avaler, quelles que soient les circonstances. Un léger silence s'installa entre les deux étudiants, alors que le musicien ne cessait de fixer ses genoux, l'air honteux, gêné. Il se pinça distraitement la lèvre inférieure, avant de se décider à parler :
« Il y a quelques mois, j'ai remarqué que le moral de mon père se dégradait. Il paraissait triste, désemparé et ne nous parlait plus, à moi et ma mère. Il se plongeait dans son travail à longueur de temps, ne passait plus un seul moment avec nous, il nous esquivait constamment. Alors j'ai cru bon de fouiller dans ses affaires, dans l'espoir de comprendre ce qui n'allait pas. Je pensais que sa société allait mal, qu'on allait être fauché ou je ne sais quoi d'autres, mais j'ai trouvé une lettre dans l'un de ses tiroirs. Une lettre qui lui était adressée, de la part d'une femme qu'il avait apparemment fréquenté avant de connaître ma mère. Dans cette lettre, elle parlait d'un enfant, d'un fils qu'elle lui avait caché... C'est là que j'ai compris que mon père s'est senti trahi de ne pas avoir connu cet enfant, qui est... mon frère, entre autre. Je ne lui ai rien dis, je ne lui ai pas fais remarqué que j'étais au courant, et je me suis mis dans l'idée de chercher cet enfant, qui n'en est plus un aujourd'hui. J'ai engagé des recherches auprès de la police, mais les trouvailles étaient toujours minces, inutiles même... mon père était de plus en plus distant, ma mère pleurait constamment, elle croyait qu'il avait une liaison, qu'il ne l'aimait plus... et je n'ai jamais pu trouver cet enfant, je pensais qu'il serait plus judicieux d'abandonner, que je me tuais à la tâche pour rien. » il marqua une pause, afin de s'humecter les lèvres, « En parallèle, mon groupe va très mal. On se fait marcher sur les pieds, les payes se font de plus en plus minces, et pour les autres c'est une catastrophe. Ils ont du mal à finir le mois, et ne supportent plus de se produire pour rien. Ça a créé des tensions entre nous, à leurs yeux, je suis 'le fils à papa' qui peut se servir de son compte en banque plein à craquer pour se sortir d'affaires. Tyler n'a jamais rien dis à ce propos, mais il ne doit pas en penser moins, je le sais... Et comme si ça ne suffisait pas, j'ai appris que j'avais des problèmes de santé. Un médecin m'a conseillé de ne plus fumer, au risque de... enfin, de me retrouver avec une tumeur ou quelque chose du genre. En parallèle au stress, à la déception et à la perte de confiance en moi, je me suis senti... désarçonné. » Il tourna lentement la tête vers Everleigh et la regarda un moment sans prononcer un mot, avant de baisser les yeux, « Et puis il y a eu nous. Plus le temps passait plus je me rendais compte que reste dans le silence était inutile. Voilà pourquoi j'ai décidé de te faire part de mes sentiments en ton égard, parce que je voulais que tu sois consciente de la place que tu prenais dans ma vie, trop importante pour être négligée. » un sourire nostalgique se dessina sur ses lèvres, « Lorsque tu m'as embrassé après ça, je me suis senti... bien. Comme si tous mes problèmes n'avaient plus aucune importance, ils était futiles, et je ne pensais qu'à ton bonheur, à ce qu'on pourrait vivre tous les deux... » il passa une main dans ses cheveux, le timbre de sa voix devint plus triste, faible, « Quand tout a basculé, j'ai cru que je ne pourrais jamais m'en remettre. Et... c'était le cas. C'est vrai, mon avenir était construit autour de toi... je me voyais déjà... » il ricana nerveusement en regardant droit devant lui, « … vivre avec toi, je nous imaginais mariés, avec des enfants... et en m'emportant, je suis tombé de haut. Je ne voyais alors plus l'intérêt de... continuer. Ma vie sans la bonne humeur de mon père, sans mon groupe... » il tourna la tête vers Evy, « … et ma vie sans toi, c'était inconcevable. »
Il prit une profonde inspiration, avant de lever les yeux vers la brune, en essayant de contrôler sa respiration difficile, tremblante. Il détourna alors le regard, et murmura :
« Voilà, tu sais tout. » Autres ? : Nope
Dernière édition par Arthur S. Hendrix le Mar 31 Mai - 16:14, édité 1 fois |
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