Speciale Girls ... Sweet Boy. So much solutions

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Two people who love
sees nothing other
than their love, their desire.
How can blame them?

John s’ennuyais ferme depuis quelque temps, il était entrer dans une espèce de routine et il n’aimait pas çà du tout. Cela le mettait de très mauvaise humeur, un peu comme un lion en cage. Et tout le monde sait qu’un lion qui tourne en cage n’est jamais une bonne chose. Pour personne. Sa chambre, sa cage à lui, il ne pouvait plus la voir en peinture. Il enrageait littéralement tout seul dans sa petit chambre. Il devait prendre l’air. Tout de suite. Il enfila sa veste de jogging et sortit en quatrième vitesse de sa chambre. Dans les étages tout était calme hormis les bruit familier des radio allumé ou des gars rigolant ensemble après ou avant un entraînement. John n’avait jamais regretté d’avoir intégrée cette fraternité. Les Deltas étaient tous des gars qui, comme lui, étaient passionné par le sport de haut niveau. C’était tout des fou de sport. Ils se ressemblent tous au font. Ils sont ses frères. John salua les gars qu’il rencontrait. Il parcouru les couloirs du bâtiments de sa fraternité, ou ils régnait un ambiance de compétition, de fureur de gagner, de tout donner sur n’importe quel terrain. John se vidait la tête, tentait de ne plus penser à rien sauf à des choses positives. Oubliait Amy et tout ce qu’il allait avec, il avait trop souffert pour rien à cause d’elle et puis il en avait marre de gâchait sa vie comme çà. Il devait passer à autre chose. Une fois les escaliers descendu, John poussa les porte et la lumière réchauffa sa peau. John sourit, il était heureux, pour la première fois depuis longtemps. La lumière du soleil ne le gênait pas, au contraire. Sentir les rayons du soleil sur sa peur le rendait heureux et il redevenait de bonne humeur. Il respira un grand coup d’air pur et marcha dans la cour de la fac. Il s’assit sur un banc, et sortit son mp3 de la poche de son pantalon. Il mit les oreillettes dans ses oreilles et alluma le lecteur et la musique se mis en marche. Il voyait les gens marchait, courir, parler assis dans l’herbe, ils étaient juste heureux de profitait du moment avec les personnes qu’ils aiment. Lui, il était seule, les enviaient mais il se disait qu’eux au moins avait de la chance et qu’il n’en profitait sûrement pas assez. Puis, là, sur un des chemin balisait par des gravier, un rayons de soleil encore plus puissant apparut. Une belle métis au courbes folle apparut accompagner de deux de ses amies. John sourit. Eliana ... John éteignit son mp3, se leva rapidement de son banc et de dirigea droit vers les jeunes femmes, le sourire aux lèvres.

- Bonjour rayon de soleil. Dit-il avec un sourire en coin. Tu est partie bien vite hier soir très chère …

John était d’humeur joueuse. La jeune femme semblait choquée mais il savait qu’elle ne lui en voudrait longtemps. Il la connaissait trop bien. Les deux amies de la jeunes femme le regardait, un sourire entendu sur les lèvres. John était arrivait a son but. La jeune femme les regardais, de son regard noisette qu’il aimait temps. Dans son regard, John vit de la malice, de la curiosité et une certaine fierté.

Spoiler:

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Je sortie de mon lit difficilement avant de m'étirer et de filer dans la salle de bain. Je laissa tomber ma nuisette et rentra dans ma douche. J'y sortie une trentaine de minutes plus tard. Je me fis mon brushing et me maquilla. Je mis mon parfum et enfila un top en col V très décolleté, un jean très moulant et des talons. Je pris ma veste en cuir et mon sac de cours longchamp et je descendis les marches. Je rejoignis ma salle de cours et assista à deux heures de SVT. Je prenais note concentrée. Lorsque je sortie deux filles de ma classe vinrent me coller pour me raconter que tout le monde m'avait vu avec Jonathan hier, qu'on avait la cote comme couple et je me mis dans une sorte de bulle, je ne les entendais plus parlé. J'avançais sans regardé où j'allais puis une voix familière me sortie de mes pensées.

- Bonjour rayon de soleil. Tu est partie bien vite hier soir très chère …
- J'avais d'autre chose à faire qu'attendre que tu finisse de draguer la gamine de la cafet'

Je souris et leva un sourcil d'un air défieur. Et oui j'avais de la répartie. J'étais heureuse de voir John, nous étions tellement fusionnel tellement proche que s'en était étrange. Les filles partie en ricanant je leva les yeux au ciel.

- On dirait que cette rumeur t'amuse.. je m'approcha de son oreille et chuchota doucement, c'est parce que tu voudrais que cela soit vrai ?

Je mordis son oreille et ria. Je savais qu'il détestais ça. Je me mis à courir comme je pouvais même si je savais que je n'avais aucune chance contre un grand sportif si grand, musclé et sexy.. Hum je divague. Je me mis dans un coin sombre un cul de sac que peu de personnes connaissait dans la fac. J'adorais cet endroit c'était en quelque sorte mon refuge, ici personne ne m'atteignait. Je repris mon souffle doucement et posa mon sac ç terre. Lorsque je releva la tête j'eus un petit cris étouffée par la main de John. Il m'avait surpris. Je me demandais bien ced qu'il allait me faire. La situation m'amusait fortement et m'excitait aussi.. Oui après tout comment réster indifférente devant John et dans cette situation ? Si vous savez comment alors donnez moi l'astuce car je faisais tout en ce moment pour qu'il ne découvre pas l'effet qu'il me faisait. Il finit par retiré sa main et je me mordis la lèvre inférieur, geste qui trahit mon désir. Je souris et croisa les bras je chuchota doucement.

- Cet endroit est à moi. Tu devrais pas aller taper dans un ballon a cette heure si ?

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Il n’y avait vraiment qu’avec elle que John jouait les machos et se comportait à l’opposé de ce qu’il faisait habituellement. C’était leur petit jeux dangereux à eux deux. C’était comme une bouffé d’air pur pour John, lui si pointilleux, si a cheval sur ses propre règles de vie. Il ne se souciait de rien, ni même de la rumeur qui courait sur le campus sur lui et Eliana. Mais il s’en fichait, il était seul, elle aussi qu’elle mal y avait t-il dans ce qu’il faisait. Des tas de gens avait jouaient à se jeux là avant eux deux et personne n’était mort. Et puis, il fallait avouer qu’il avait plutôt la classe ensemble. Eliana n’était pas du genre à laisser un garçon indifférents. Elle était belle, magnifique même, ses courbes avaient de quoi rendre fou le plus coincé des garçons de cette académie. Devant la jeune femme, John paraissait entre plus imposant qu’il ne l’était déjà de part sa taille et sa carrure de sportif. Mais au fond, malgré sa carrure de colosse, John était un garçon gentils, doux et sensible mais çà bien sur, il ne le montrer que très rarement et a certaines personne seulement.

- J'avais d'autre chose à faire qu'attendre que tu finisse de draguer la gamine de la cafet'. Dit t-elle avec la plus craquante de ironie dans la voix.

John sourit. C’était prévisible. Il la connaissait plutôt bien apparemment La jeune femme sourit aussi de se si jolie sourire qui illuminait entièrement son visage aux couleurs chocolat. Une de ses sourcils se leva et son visage prit un air de défis. Elle voulait jouer ? John était tous disposé a la suivre sur ce chemin là. John et Eliana ne se connaissait pas longtemps mais dès le début une complicité plus qu’évitent c’était installé entre eux. Au fil des jours ils étaient devenue de plus en plus proche et de plus en plus fusionnel. C’était comme si il se connaissait depuis bien plus longtemps.

- Waw ! Du calme ma belle ! En plus tu te trompe, je ne la draguais pas, comme tu la dit c’était une gamine. Se défendit le jeune homme avec toujours un sourire aux lèvres.

Les deux filles qui l’accompagnait partirent en ricanant bêtement. Elles étaient vraiment niaises et avaient l’air de vrai gamines. Enfin bref, John revient à la jeune femme en face de lui qui l’intéressait beaucoup plus. Elle leva les yeux aux ciel lorsque les deux fille avec elle partirent cancanaient ailleurs. John se détendit enfin, une fois les deux filles loin.
John préférait largement être seule avec Eliana, tout semblait plus vrai lorsqu’ils étaient seuls. Mais il ne lui avouerait jamais cela distinctement. Il ne le pouvait pas, ce serai se rabaissais dans sa fierté que de faire une tel chose.

- On dirait que cette rumeur t'amuse… Susurra t-elle en s’approchant de son oreille. C'est parce que tu voudrais que cela soit vrai ?

Tous ses muscles se contractèrent d’un seul coup, incontrôlable réaction. Ils n’étaient qu’a quelque centimètre l’un de l’autre et déjà, le désir s’immisçaient en lui. Il ne contrôlait plus ses réaction fasse a elle et il ne désirait pas les contrôlait. Il sentit qu’Eliana lui mordait l’oreille. Elle savait pourtant qu’il détestait çà a une point fou. Son corps se raidit, il détestait vraiment qu’elle lui morde l’oreille. La rire cristallin de la jeune femme retentit et avant qu’il n’est pu dire quelque chose, elle s’enfuyait en courant. Après une seconde d’hésitation, John revint sur terre et s’élança derrière la jeune femme, déjà devant lui. John vit Eliana s’enfonçait dans un cul de sac. John sourit en la rejoignant sans faire de bruit. Une fois qu’il eu rejoins la jolie brune, il se contenta de l’observer un moment, sans bouger. Elle déposa son sac par terre et John en profita pour s’approcher d’elle. Lorsqu’elle releva la tête, il vit la surprise dans ses yeux et déposa sa main sur sa bouche pour ne pas qu’elle crit. Ils étaient presque collés l’un a l’autre. Une fois sur qu’elle ne crierait pas, le jeune sportif enleva sa main et la regarda dans les yeux. La jeune femme se mordit la lèvres, se ce qui pour conséquence de montrer a John qu’elle n’ont plus n’était pas indifférentes. Elle lui sourit et croisa les bras sur sa poitrine avant de chuchoter.

- Cet endroit est à moi. Tu devrais pas aller taper dans un ballon a cette heure si ?
John sourit a sa remarque. Elle le connaissait aussi très bien on dirait. Il ne bougea pas, leurs deux corps se touchant presque. Il avait le regard rivait sur la jeune femme et ne bougeai pas d’un pouce. Il n’en éprouver pas le besoin.

- D’une que cette rumeur se propage, je n’en est rien à faire et oui, peu être que j’aimerai qu’elle soit vrai … Dit t-il à voix basse, presque en susurrent a son oreille. Et puis j’ai bien mieux à faire pour le moment que de m’entraîner.

John posa les mains sur le mur de chaque coté de la jeune femme et continua de la regarder. Il se rendit vite compte qu’il s’était tromper sur les sentiments qu’il avait pour elle, c’était bien plus que de l’amitié. Il y a avait cette attirance, la plus forte de toute les attractions qui soit au monde.

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Lorsqu'il posa ses mains sur le mur, de chaque coté de ma tête mon souffle s'accéléra. Il avait son air dominant et ça me faisait craquer. Je plongea mon regard noisette dans ses yeux d'un air toujours aussi défieur. Ce qui tenait nos corps éloignés ? Mes bras croisés sur ma poitrine que je ne tarda pas à décroiser et poser sur le torse de John.
Je sentais son coeur battre, cela trahissait son envie de moi. Je passa mes mains dans mes cheveux et les fit basculer que d'un coté laissant mon cou fatalement libre.

- Et qu'est ce que vous aller me faire maintenant monsieur Weathy ? Me Kidnappé ? je m'approcha de son oreille, me violer ? M'emmener loin de cet établissement ? M'embrasser ? Il y a du choix je crois.

Je l'avais déconcentré et je souris j'inversai la tendance et le colla au mur mes mains sur ses épaules et moi sur la pointe des pieds malgré mes talons. J'effleurais ses lèvres des miennes sans fermé les yeux plongeant mon regard très profondément dans le sien. Je ferma les yeux et dans un moment d'inattention je me retrouvais dans la même situation qu'il y a à peine deux minutes. Je souris et l'embrassa dans le cou et laissa ma marque, un suçon très voyant.. Oui j'attisais la rumeur, et j'adorais cela car oui je voulais que cette rumeur soit vrai..
La sonnerie retentit. Je m'en fichais je n'avais pas d'heure de cours, j'avais finis ma journée, une simple matinée avait du être faite. Je souris à mon sportif et essaya de le repousser mais il avait trop de force. A vrai dire j'aimais jouer les petites rebelles et que le garçon dedvienne très dominant mais tout ça c'est une autre histoire..

- Aller va taper dans ton ballon ton équipe t'attends.

Alors que je lui parlais nos lèvres se frôlaient se touchaient presque. Je n'avais qu'une envie craquer et l'embrasser mais non, je voulais résister pour savoir si ce n'était que du sexe ou plus..

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Elle était l’un des seule a le faire craqué comme cela. Il ne lui résistait pas, c’était plus fort que lui, plus fort que sa volonté. Elle l’attiré inévitablement mais il y avait bien plus que cela entre eux, il en était certain. Ce qu’il ressentait était tout bonnement inexplicable, inattendu. Une mélange de désir, d’amour, et de besoin. Il avait besoin de la voir, de passer du temps avec elle même ne serais-ce que quelques minutes. Jamais il n’avait ressenti cela, ni avec Amy, ni avec les autres filles qui avait partagé sa vie. C’était nouveau pour lui et il aimait çà. Sentir qu’il devait lutter pour que Eliana soit à lui, véritablement. Il savait qu’il y avait une sorte de jeu entre eux et que du résultat de ce jeu, dépendait leur avenir ensemble… Ou pas.
John au fond de lui, ne voyait pas comment il ne pouvait pas finir ensemble. Mais Eliana était une joueuse, il l’avait toujours su. Lorsque le jeune homme posa ses mains de part et d’autres du corps de la jeune femme, collait contre le mur de l’impasse ou ils se trouvaient, il sentit le souffle de la jeune femme s’accélérait. La jeune sportif la regarder avec son air de mauvais garçons qui la faisait craquée il le savait très bien. La jolie brune plongea son regard noisette dans les yeux de beau blond avec un air de défi qui ne la quittait jamais quand il s’agissait de lui. Plus rien, hormis les bras croisées de la jeunes femme, ne les tenaient éloignés l’un de l’autre. Mais la belle ne tarda pas a décroisés les bras et vint posé ses mains sur la torse musclé du jeune homme. Le cœur de John s’emballa et ses battement devinrent irréguliers sous le désirs qu’il éprouvait en la voyant si près de lui. La jeune femme passa sa main dans ses cheveux et dénuda son cou, si attirant pour un jeune homme déjà durement éprouvé.

- Et qu'est ce que vous aller me faire maintenant monsieur Weathy ? Me Kidnappé ? Me violer ? M'emmener loin de cet établissement ? M'embrasser ? Il y a du choix je crois. Lança t-elle par pur provocation.

John la regarda, presque choqué de la manière d’ont elle se jouait de lui, de ses faiblesses, si humaines. Tout en elle n’était que provocation en cet instant et lui ne pouvait que résister en silence. Et le pire était qu’elle savait exactement quel effet elle avait sur lui. John ne cessait de la regarder. Puis, un sourire s’afficha sur ses lèvres alors qu’elle inversait la tendance et qu’il se retrouvait collé contre le mur, à la merci de la jeune femme.

- Ce que je vais te faire ? Laisse moi réfléchir … Susurra t-il a son oreille. Plusieurs options s’offre a moi. Mais j’en élimine déjà deux … Te kidnappé et te violer. Je ne pourrai jamais te faire çà. Il me reste t’embrasser et t’emmener loin d’ici …

Eliana effleura les lèvres du jeune homme qui n’attendaient que cela depuis qu’il l’avait aperçut au loin. Elle n’avait pas fermé les yeux, gardant son regard dans le siens, le rendant encore plus accro. Puis elle ferma les yeux … Grosse erreur. John réinversa la tendance et elle se retrouva de nouveau contre le mur, bloqué par ses bras à lui. Elle sourit et déposa ses lèvres sur le cou du beau sportif musclée et y laissa une belle marque qui ne faisait aucun doute quand a la provenance. Un suçon, et très voyant en plus. La rumeur s’estomperait pas avec une tel preuve. Au loin, la sonnerie retentit, fort, familière, dérangeante aux oreilles de John. Eliana, sa diablesse personnel, lui sourit et tenta de se libérer mais bien sur, il était le plus fort

- Aller va taper dans ton ballon ton équipe t'attends. Lui ordonna t-elle d’une douce voix.

John la regardait avec insistance. Etait t-elle vraiment sérieuse ? Il ne voulait pas partir, pas maintenant. Leur lèvres se frôlaient, a la limite de se toucher. John aurait temps voulu arrêter se petit jeu et être avec elle, tout simplement mais était prêt à franchir se cap ? Voulait t-il vraiment que leur « relation » soit officiel ? Ce n’était pas le seul à décidé sinon il aurait déjà fait son choix. L’endroit ou elle l’avait marquée, irradié de chaleur. John remit une de ses mèches en place avant de caresser sa joue doucement, toujours a quelque millimètres d’elle, de son corps …

- Si on arrêtez de jouer… Je ne veux pas partir, pas maintenant et ose me dire que tu veux que je m’en aille ! Je veux rester avec toi et tu sais très bien que je ne pourrai pas t’enlever de mes pensées …

John enleva la main de sa joue et se recula doucement, la libérant de ses bras. Tout avait était dit de son coté, à elle de mettre carte sur table maintenant. Ebouriffant ses cheveux d’un geste maladroit et en cachant son suçon avec un sourire sur les lèvres, John laissa Eliana libre de l’obliger a partir ou de lui dire de rester avec elle.

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- Si on arrêtait de jouer… Je ne veux pas partir, pas maintenant et ose me dire que tu veux que je m’en aille ! Je veux rester avec toi et tu sais très bien que je ne pourrai pas t’enlever de mes pensées …

Il s'éloigna de moi et cacha le suçon ce qui me déchira le coeur ? Une sorte de honte ? Cela trahissait ses pensées. fus surprise je tomba de haut. Lui aussi me plaisait. Il me plaisait comme jamais quelqu'un ne m'avait plus. De l'amour ? Je n'en sais rien je n'ai jamais été amoureuse mais tout ce que je savais c'est que j'avais les cartes dans les mains..
J'avais cette envie d'exclusivité sur John, n'être qu'à lui, ne l'avoir que pour moi, être la seule à profiter de lui mais c'était un grand séducteur ne me mentait-il pas ? J'avais peur. C'était pire qu'un saut en parachute ou à l'élastique. Ça me tournait dans le ventre. J'avais chaud, mon ventre était pire qu'un grand huit. Mes yeux tournèrent au doré ce qui me rendit purement magnifique. Une bouffée de chaleur, un cocktail de sentiment improbables, un grand huit suivi d'un saut à l'élastique pour une douche froide et c'était repartie pour un tour.. J'étais déconcentrée, c'était comme si on levait le rideau d'un bal que vous n'avez jamais voulu voir.. Je ne savais pas ce qu'étais l'amour d'un père, d'une mère, d'une soeur ou même d'un homme. Je m'étais toujours protégée de ça mais avec Jonathan je me sentais en sécurité, comme un cocon de douceur qu'il avait créé pour moi, entouré de mur en béton armé.
Il ne connaissait vraiment rien de mon histoire, j'étais le grand mystère de la fac, la fille au passé trouble et faux croire que ça excite les hommes vu les dragueurs lourd que je rencontre.
Je retira ma main et caressa doucement son cou après mettre approchée de lui, si petite et fine vis à vis de sa carrure. je me colla à lui le plus possible et glissa ma tête dans son cou laissant glisser mes lèvres humides et mon souffle chaud sur sa peau. Ce soir je ne pensais pas à tout mes problèmes, mes mains sur lui, son souffle faisant voler mes cheveux glissant doucement sur ma peau, enlevait tout poids qui trônaient quotidiennement sur mes épaules. Je ferma mes yeux lorsque je senti l'amour se manifester. Vous connaissez l'ascenseur de Disney land ? Et bien c'est pire que descendre vingt étage ou je ne sais combien d'un coup. Je ressentais pour la première fois de l'amour pur et sincère. Je l'avais connu jusqu'à mes 5ans mais j'étais trop petite pour m'en souvenir pourtant je me souvenais de chaque détails de l'assassinat.. Mes yeux se remplirent de larmes, réactions que je ne contrôlais pas. Je tourna mon regard vers une fenêtre. Un arc en ciel se forma et des éclairs le traversèrent faisant courir tout les étudiants et pourtant je me sentais au dessus de tout ça, dans ma bulle de nuages..
Ce temps faisait comme si maman était toute proche de moi, j'entendais encore ses éclats de rires, ses tentatives de déstabilisation pour que je reste sage qui finissait en un câlin qui faisait du bien. 5ans. 5ans qu'elle m'avait offert avant qu'elle ne meurt de ce qu'on appel " un coup du lapin ". Je me revoyais tenant le corps froid d'Adrianna en lui demandant de se réveillé.. Une larme perla sur ma joue.
n éclair et un large grondement retentit faisant vibrer plus d'une personne comme si cela allait tous nous électrocuter, je sursauta tandis que je me souvenais du cri de douleur qui m'avait animé quand j'avais compris que ma petite soeur ne reviendrait jamais.. Je fis un sursaut, serrant mes mains sur lance de mon sac. Le serrant de toutes mes forces mes larmes commencèrent doucement à devenir plus présentes. C'était de la douleur et de la joie mélangé. Si seulement maman était là pour voir ça, lui annoncer mon couple à elle comme à ma petite soeur. Je le serrais contre moi, m'accrochant à lui pour qu'il ne voit pas mon visage emplie de larmes et mes yeux d'un doré extrême. Je détestais pleurer devant quelqu'un mais c'en était trop. Oui j'étais magnifiquement heureuse de ressentir ça pour lui il n'y avait nul doute mais je ne serais jamais une bonne copine, femme ou fiancée, j'ai fais mes armes seule et je n'ai pas de famille ou la seule famille qui me reste je la hais. Comment lui dire que mon père est incarcéré pour avoir tuer d'une balle dans la tête sa femme, et d'une balle dans le corps la petite dernière. Et si moi aussi j'avais la même folie que lui ? Si j'étais aussi misérable que lui ?
Je pleurais encore et encore et lui résistais alors qu'il désirait me voir. Il devait surement se demander ce qui se passait. Je connaissais son histoire mais il connaissait rien de la mienne et je ne voulais pas le voir avec de la pitié dans les yeux, de la compassion.. Mais il avait été honnête avec moi alors à moi de l'être. Je commença d'une voix tremblante par le début de ma vie. Peut être qu'il n'y comprenait rien mais il était loin d'être bête.

- C'était en fin d'après midi le 15Octobre 1996. Une grise journée avec de l'orage et pourtant il faisait lourd. Maman faisait son gâteau que toute le pays lui enviait. On venait de déménager en Andalousie en Espagne. J'étais heureuse, papa allait revenir. Mes parents se disputaient beaucoup depuis plusieurs semaine et j'avais entendu dire que papa s'occupait d'arme. Je n'en prenais pas compte, il ne s'en servait pas et j'étais trop petite pour voir le danger de son trafic. Tu vois c'est bizarre c'était il y a tellement longtemps, j'avais 5ans et pourtant j'ai l'impression que c'était hier.
Alors que je prenais le doudou fétiche d'Adrianna, elle avait deux ans elle était belle la peau matte, des yeux vert magnifique on ne pouvait lui résister. Et justement, son doudou fétiche était mon doudou de bébé, un éléphant énorme avec des oreilles aussi grande que sa tête. Enfin bon. Je me souviens que maman nous a dit qu'elle était ancienne cuisinière mais qu'elle avait arrêter quand j'étais venu au monde pour s"occuper de son petit ange gardien. Elle m'a dit " Je te donnerais la recette ma chérie, quand tu seras en age de cuisiner " j'avais souris et j'avais pris Nana dans les bras pour l'emmener sur mes genoux sur le canapé. Puis mon...père, j'eus du mal a sortir le mot, rentra. Il ne ferma pas la porte derrière lui. C'était étonnant d'ailleurs car il était toujours un représentant dingue de la sécurité. il marchait vite et d'un pas décidé. Quand maman le vit elle se figea et moi encore entourée dans un cocon d'innocence je ris et dit à Nana " t'as vu comme elle est belle maman c'est la plus belle statue d'Espagne et toi t'es aussi belle " ! Puis j'ai regardé papa il avait quelque chose dans la main j'ai fais " Papà questo che cosa è come regalo? " soit " Papa c'est quoi comme cadeau " il me regarda me sourit et un coup, puis deux, puis le silence total..

Des larmes coulèrent sur mes joues. Mes mains tremblaient et je baissai la tête la voix tremblante je reprenais alors que j'avais beaucoup de mal à parler et respirer.

- Je secouai Nana. En lui demandant pourquoi elle s'était endormie si soudainement. Elle ne réagissait pas, son sang coulait de sa cache thoracique mais les évènement me dépassait, je me mis à pleurer car je ne comprenais pas ce qui se passait, j'appelai maman mais aucune réponse. Alors je porta ma soeur qui avait toujours le doudou avec elle et m'allongea la tête sur le ventre de maman. JE serrais tellement fort ma petite soeur dans mes bras et la main de maman. Les larmes coulèrent je me sentais seule et le tireur ne disait rien. Mon doudou se remplit de sang de ma soeur et ma maman tandis que ces dernières s'en vidait.. Je chantais la berceuse doucement..
La police arriva très vite alors que mon père s'avançait vers moi pour me prendre il fut arrêter. Johnny mon oncle paternel que je voyais très souvent depuis que papa était partie en voyage d'affaire vint me chercher et il mit du temps avant de me décrocher des deux corps inertes que je tenais de ma petite force. Je pris le doudou par l'oreille, j'étais couverte de sang. Alors qu'il me tenais la main et que nous sortions je lui demanda :
" - Di' zio Johnny, li rivedrei quando Adrianna e Mamma?
- Mai. Sono diventate degli angeli partita al paradiso tuo padre li ha portati per sempre là bassi. " Soit : " - Dis oncle Johnny, Je les reverrais quand Adrianna et Maman ?
- Jamais. Elles sont devenus des anges partie au paradis ton père les a emmené là bas à tout jamais. "
J'étais petite mais je compris. Elles étaient morte. J'échappai à la prise de Johnny et courra vers les ambulances en hurlant de toute ma douleur, toute la douleur qui pouvait sortir d'un enfant de 5ans qui venait de perdre les personnes qui faisaient son monde. Un ambulancier me récupéra et me mit dans la main la gourmette et le pendentif de maman remplie de sang. Johnny me récupéra et je pleura en silence pendant des nuits et des nuits. Mon père les avaient tué. Une balle dans la tête pour maman et une dans le petit coeur de ma soeur. Ce salaud les a tué sous mes yeux..

J'essuyai mes larmes et remis le pendentif ainsi que la gourmette en argent. Puis je fixa la fenêtre. Je sortis de mon sac une peluche, c'était le doudou pas si gros que ça, vert manquant de mousse et avec du sang qui n'était jamais partie.

- Je te présente Angel. Ce qui reste de maman et de ma petite soeur.. Mon père à été condamné à perpétuité et il à fait appel à noël pour un nouveau procès il va surement être libéré pour bonne conduite. Je sais pas comment t'expliquer son regard de tueur et son sourire en coin et il n'a versé aucune larmes, jamais. Je serais jamais à la hauteur, Johnny m'a pas élevé même si pour moi c'est mon seul père, il bossait tout le temps et j'ai fais mes armes toute seule je pourrais jamais être une la femme rêvée tu vois John ?.. Je vois dans ce que nous somme ce que l'amour de ma famille aurait pu être. J'aurais jamais la chance d'aller voir maman et de lui dire " regarde c'est lui cet homme dont je t'ai parlé et tu sais quoi ? Je l'aime ", ni d'aller voir ma la femme pour toi. Tu peux trouvé mieux, bien plus belle, bien plus forte, bien plus populaire et intéressante.

Je remis la peluche dans mon sac et essuya mes larmes. Je souris faiblement, mes yeux était magnifiquement indescriptible.

- Toi aussi tu te demande pourquoi j'ai été la seule épargnée ? Il me prend pour sa propriété privée. Il dit que je suis son ange, que je suis là juste pour lui et que personne ne peut m'avoir. Je ne veux pas qu'il sorte.. J'ai peur. Tu sais si il sort il me retrouvera. Cela mettra peut être des mois ou des années mais il me retrouvera. Envers et contre tout il remuera tout sur son passage et il me prendra. Je ne veux pas qu'il sorte, sa place est la bas et nul part ailleurs je veux plus jamais le revoir je veux qu'il décède seul dans sa cage.. Je suis morte de peur. Je te fais mon discours sur la tragédie de l'enfance qui est la mienne mais au fond y a juste un truc que j'arrive pas à sortir car je l'ai juste entendu de la bouche d'un assassin sans véritable sentiments.. Le problème, c’est que même si tu me disais « t'es la seule que je veux » je te croirais pas j'ai zéro confiance en moi ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. Je suis perdue... Attends deux secondes, j’ai pas fini... Dis-moi que tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te le dire la première, j’aurais trop peur que tu crois que c’est la suite du jeu...

Voilà. Le rideau était tombé. Je mettais mise à nue. Je tremblais et baissais le regard comme une gamine. J'avais peur. Peur que tout a ne soit qu'un jeu, que je ne sois qu'un trophée parmis tant d'autre alors que de mon côté je venais de découvrir que tout ce que j'avais toujours refusé était là et bien là..

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than their love, their desire.
How can blame them?

John en avait simplement marre de jouer. Il ne savait même ce qui était vrai entre eux deux, si chaque mots chaque gestes n’était une sortes de provocations afin d’enclencher un autre de leurs jeux causant plus de dégâts qu’ils ne voulaient le voir. Ils étaient là, tout les deux, si proche l’un de l’autre mais il planait au dessus d’eux cette menaces, impressions que tout cela n’est qu’une comédie, qu’une farce, qu’un jeu … John n’en pouvait plus, c’était trop dur, cela ne l’amusait vraiment plus tout çà. Lorsqu’il avoua ses craintes, avant de s’éloignais de quelque pas et cacher son suçon. Il vit dans son regard de Eliana qu’il l’avait blesser, qu’elle prenait çà comme un rejet de sa part, ce qui n’était en aucun cas le cas. Il voulait juste … Reprendre contenance, redevenir celui qu’il est avec elle, le joueur. John la voyait se battre contre des sentiments qu’elle seule pouvait gérer. Il la sentait fébrile, à la limite de flancher. Elle semblait vraiment mal et c’était un spectacle qu’il se promis de ne plus jamais voir de sa vie. Eliana, les pas peu assurés se dirigea vers lui, fébrile, hésitantes mais avec une once de détermination. La jeune femme vint caressé la peau de son cou, échauffée par le suçon qu’elle lui avait fait, comme pour dire au monde qu’il était prit et que personne ne devait l’approcher. John en fut flatter mais il devrait de débrouiller pour le cacher sinon il devrait répondre aux questions et il ne comprenait pas lui même ce qu’il se passait entre eux deux bien qu’il fusse certain qu’il y avait quelque chose. Puis, les distance furent réduites, plus rien ne les séparés plus l’un de l’autre. Elle vint se collé contre lui avec une douceur infini, et son corps d’homme, musclé et imposant semblait être fait pour qu’elle vienne s’y logé, en douceur. John sentait déjà son parfum, délicieux, sucrée, entêtant. Elle se colla contre lui, toujours silencieuse. Elle glissa sa tête d’ange dans le cou de jeune homme et il sentit ses lèvres humides, douces, tièdes sur la peau, fine, de son cou. Tout ce qu’il passait être de certitude venait de voler en éclat par ce geste. Il ne la lâcherai plus, bien trop de chose en dépensait, ils étaient des aimants et les aimants s’attirent puis s’assembles et les éloignaient relève du défis. Eliana était son aimant à lui, il fallait qu’il agisse en fonction d’elle lorsqu’elle était là, avec lui. Il n’avait pas cherché a changer pour elle, mais c’était comme cela et cela ne le dérangeait plus, plus maintenant. Elle gardait ses mains sur lui, collé contre son torse. Son souffle faisait volait ses cheveux. John referma ses bras sur le corps frêle de la brunette. Il la serra dans ses bras comme jamais il ne l’avait fait auparavant, il enfouit sa tête dans ses cheveux, doux, parfumée. Il ne savait pas ce qu’il n’allait pas pour elle, mais en tous cas, quelque chose la faisait souffrir et pas qu’un peu. Elle était dans un état de nervosité tel qu’il avait vraiment très peur pour elle. A quelque mètre d’eux, les rires, les croit les pas des étudiants passaient sans jamais les voir de là ou ils étaient, tout deux enlacés si étroitement qu’ils semblaient inextricable l’un de l’autre. Elle avait besoin de lui, il serait là, toujours, a chaque heures si il le fallait. Soudain des éclaires traversèrent le ciel, bruyant, a vous donner la chair de poules. John frémissait a chaque fois que le souffle, chaud de la jeune femme venait touchait la peau sensible de son cou ou elle était toujours enfouit, lui cachant son visage, mais il ne bougerai pas, pas tant qu’elle n’en exprimerait pas le besoin ou l’envie. Un autres éclaires et un énorme grondement la firent sursauté dans ses bras. Il vit les jointure de ses mains blanchirent sous la force qu’elle mettait a tenir son sac a main. Puis se fut a lui qu’elle s’accrocha, le serrant de tout ses forces, de toute son envie sûrement. John ne voyait pas son visage, il voulait le voir … Il aimait tellement son visage. Il voulait qu’elle lui parle, lui dire ce qu’il la rendait si fébrile, si mal. Doucement John posa ses mains sur les épaules d’Eliana, la gardant toujours contre lui. Puis il essaya de la repoussé gentiment pour qu’il la voie, qu’elle puisse lui parler, vraiment. Elle lutta, il s’en était douté. Elle ne voulait pas qu’il voie son visage triste et ses yeux rougit. Il devait respectait çà mais cela ne lui annoncée rien de bon. Comment les choses avaient pu tourner aussi vite. Il y a encore quelque minutes ils étaient là, jouant a se charmer l’un l’autre et là, elle semblait si mal … Elle releva la tête et il vit son visage, déformé par la peine, le chagrin et les pleurs.

- C'était en fin d'après midi le 15Octobre 1996. Une grise journée avec de l'orage et pourtant il faisait lourd. Maman faisait son gâteau que toute le pays lui enviait. On venait de déménager en Andalousie en Espagne. J'étais heureuse, papa allait revenir. Mes parents se disputaient beaucoup depuis plusieurs semaine et j'avais entendu dire que papa s'occupait d'arme. Je n'en prenais pas compte, il ne s'en servait pas et j'étais trop petite pour voir le danger de son trafic. Tu vois c'est bizarre c'était il y a tellement longtemps, j'avais 5ans et pourtant j'ai l'impression que c'était hier. Alors que je prenais le doudou fétiche d'Adrianna, elle avait deux ans elle était belle la peau matte, des yeux vert magnifique on ne pouvait lui résister. Et justement, son doudou fétiche était mon doudou de bébé, un éléphant énorme avec des oreilles aussi grande que sa tête. Enfin bon. Je me souviens que maman nous a dit qu'elle était ancienne cuisinière mais qu'elle avait arrêter quand j'étais venu au monde pour s"occuper de son petit ange gardien. Elle m'a dit " Je te donnerais la recette ma chérie, quand tu seras en age de cuisiner " j'avais souris et j'avais pris Nana dans les bras pour l'emmener sur mes genoux sur le canapé. Puis mon...père, j'eus du mal a sortir le mot, rentra. Il ne ferma pas la porte derrière lui. C'était étonnant d'ailleurs car il était toujours un représentant dingue de la sécurité. il marchait vite et d'un pas décidé. Quand maman le vit elle se figea et moi encore entourée dans un cocon d'innocence je ris et dit à Nana " t'as vu comme elle est belle maman c'est la plus belle statue d'Espagne et toi t'es aussi belle " ! Puis j'ai regardé papa il avait quelque chose dans la main j'ai fais " Papà questo che cosa è come regalo? " soit " Papa c'est quoi comme cadeau " il me regarda, me sourit et un coup, puis deux, puis le silence total..

John n’en croyait pas ses oreilles. Des sentiments étranges s’immisçait en lui. Tout d’abord la colère, la colère contre celui qui avait détruite la femme qu’il aime, le père de cette dernière. Comment peut t-ont faire autant de mal à sa propre famille ? Eliana baissa la tête, tremblante. Des larmes inondait ses joues, un spectacle qu’il ne supportait pas de voir. Elle respirait difficilement, secouait par les sanglots.

- Je secouai Nana. En lui demandant pourquoi elle s'était endormie si soudainement. Elle ne réagissait pas, son sang coulait de sa cache thoracique mais les évènement me dépassait, je me mis à pleurer car je ne comprenais pas ce qui se passait, j'appelai maman mais aucune réponse. Alors je porta ma soeur qui avait toujours le doudou avec elle et m'allongea la tête sur le ventre de maman. JE serrais tellement fort ma petite sœur dans mes bras et la main de maman. Les larmes coulèrent je me sentais seule et le tireur ne disait rien. Mon doudou se remplit de sang de ma sœur et ma maman tandis que ces dernières s'en vidait.. Je chantais la berceuse doucement..
La police arriva très vite alors que mon père s'avançait vers moi pour me prendre il fut arrêter. Johnny mon oncle paternel que je voyais très souvent depuis que papa était partie en voyage d'affaire vint me chercher et il mit du temps avant de me décrocher des deux corps inertes que je tenais de ma petite force. Je pris le doudou par l'oreille, j'étais couverte de sang. Alors qu'il me tenais la main et que nous sortions je lui demanda :
" - Di' zio Johnny, li rivedrei quando Adrianna e Mamma?
- Mai. Sono diventate degli angeli partita al paradiso tuo padre li ha portati per sempre là bassi. " Soit : " - Dis oncle Johnny, Je les reverrais quand Adrianna et Maman ?
- Jamais. Elles sont devenus des anges partie au paradis ton père les a emmené là bas à tout jamais. " J'étais petite mais je compris. Elles étaient morte. J'échappai à la prise de Johnny et courra vers les ambulances en hurlant de toute ma douleur, toute la douleur qui pouvait sortir d'un enfant de 5ans qui venait de perdre les personnes qui faisaient son monde. Un ambulancier me récupéra et me mit dans la main la gourmette et le pendentif de maman remplie de sang. Johnny me récupéra et je pleura en silence pendant des nuits et des nuits. Mon père les avaient tué. Une balle dans la tête pour maman et une dans le petit cœur de ma sœur. Ce salaud les a tué sous mes yeux...

John garda le silence, pensant qu’elle n’aimerait pas être interrompu. Il la laissa continuer, en la serrant dans ses bras, pour lui montrer qu’il était là pour elle et qu’il la protègerait quoi qu’il arrive. Elle s’essuya les yeux ardemment et remis le pendentif et la gourmette en argent qu’elle avait. Puis elle se mit a fixer la fenêtre ou nous voyions les élèves de l’université courir dans tout les sens. Quelque minutes plus tard, elle sortit de son sac une peluche, vieille et pas en très bonne état, avec des taches sombre dessus.

- Je te présente Angel. Ce qui reste de maman et de ma petite sœur… Mon père à été condamné à perpétuité et il à fait appel à noël pour un nouveau procès il va sûrement être libéré pour bonne conduite. Je sais pas comment t'expliquer son regard de tueur et son sourire en coin et il n'a versé aucune larmes, jamais. Je serais jamais à la hauteur, Johnny m'a pas élevé même si pour moi c'est mon seul père, il bossait tout le temps et j'ai fais mes armes toute seule je pourrais jamais être une la femme rêvée tu vois John ?.. Je vois dans ce que nous somme ce que l'amour de ma famille aurait pu être. J'aurais jamais la chance d'aller voir maman et de lui dire " regarde c'est lui cet homme dont je t'ai parlé et tu sais quoi ? Je l'aime ", ni d'aller voir ma la femme pour toi. Tu peux trouvé mieux, bien plus belle, bien plus forte, bien plus populaire et intéressante.

John n’arrivait pas a croire qu’elle gardait çà pour elle depuis si longtemps. Il le savait forte mais il ne se doutait absolument pas a quel point elle l’était. Beaucoup de gens serait brisé après ce qu’elle à vécu mais elle non, elle trouvait encore la force de se levait le matin, de sourire, de rire, de jouer a un jeu de séduction avec lui. John secoua furieusement la tête. Comment çà il pouvait trouver bien plus belle, bien plus forte , plus populaire plus intéressante qu’elle ? Mais n’avait t-elle pas compris qu’il ne voulait pas d’autre fille. Que c’était elle qu’il voulait.

- Je ne veux personne d’autre … Je croyait que tu avait compris Eli. Pourquoi tu m’a raconter tout çà ? Je suis heureux que tu l’ai fait mais te voir comme çà, cela me fait du mal a moi aussi. Jamais ton père ne t’approchera. Il y a des mesures contre çà. Dit t-il les yeux rivait dans les siens.

John la garda dans ses bras, et ne compter pas la lâchait de sitôt. Elle avait besoin de lui et il ne la décevrai pas, jamais. Elle avait déjà trop souffert, et elle ne devait pas souffrir, c’est un personne tellement génial. Belle, intelligente, drôle, attentive … Elle ne méritait pas de souffrir autant. Elle remit la peluche dans son sac et essuya une nouvelle fois ses larmes. Un pâle sourire s’afficha sur ses lèvres, ses yeux quant a eux étaient d’un tel beautés qu’il n’arrivait pas a sans détacher.

- Toi aussi tu te demande pourquoi j'ai été la seule épargnée ? Il me prend pour sa propriété privée. Il dit que je suis son ange, que je suis là juste pour lui et que personne ne peut m'avoir. Je ne veux pas qu'il sorte.. J'ai peur. Tu sais si il sort il me retrouvera. Cela mettra peut être des mois ou des années mais il me retrouvera. Envers et contre tout il remuera tout sur son passage et il me prendra. Je ne veux pas qu'il sorte, sa place est la bas et nul part ailleurs je veux plus jamais le revoir je veux qu'il décède seul dans sa cage.. Je suis morte de peur. Je te fais mon discours sur la tragédie de l'enfance qui est la mienne mais au fond y a juste un truc que j'arrive pas à sortir car je l'ai juste entendu de la bouche d'un assassin sans véritable sentiments.. Le problème, c’est que même si tu me disais « t'es la seule que je veux » je te croirais pas j'ai zéro confiance en moi ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. Je suis perdue... Attends deux secondes, j’ai pas fini... Dis-moi que tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te le dire la première, j’aurais trop peur que tu crois que c’est la suite du jeu...

John la regarda intensément. C’était normal qu’elle soit morte de peur … Il aurait tellement voulu pourvoir faire quelque chose pour l’aider, lui faire oubliée son père, pouvoir le tuer et ramener sa mère et sa sœur qu’elle retrouve le sourire pour toujours mais il était impuissant face aux démons de la jeune fille et il n’appréciait pas çà. John caressa sa joue et enleva les dernière larmes qui perlaient sur ses magnifiques yeux.

- Je t’aime. Je suis sur que je t’aime. Plus de jeu, plus de tentation. Rien que la vérité, rien que moi. Dit t-il tout bas. Je ne te laisserai pas tombé, je ne veux que ton bonheur. Je te promet, plus de jeu, plus rien de tout çà. Ce sera juste toi et moi sans artifice. Nous avons laisser nos jeux duré trop longtemps …

Il lui releva la tête et l'embrassa comme jamais il ne l'avait fait. Tout était différents maintenant, Tout était plus beau, mieux ...

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Très chamboulée par mes avoeux que je n'avais jamais fais, oui j'ai toujours garder ccette histoire pour moi ces mots me rassurèrent me firent l'effet de dix calments nerveux que j'avais l'habitude de prendre. Tendrement il pris mes lèvres dans les siennes et tout changea.
Son touché tendre et ses lèvres humides me faisaient frissonner. Un vent s'engouffra dans l'endroit où nous étions et je frissonna. Il fallait que je me réchauffe alors très tendrement je glissa mes mains sous le tee shirt de mon compagnon et toucha sa peau toute chaude. Je redescendis sur terre et me laissa poussé doucement contre le mur, ne lâchant plus ses lèvres si délicieuses. Je remonta ma main vers son coeur, son torse était si musclé que j'en frissonnais encore. Son coeur battait la chamade. Doucement j'écartais mes lèvres des siennes et tendis mon cou sous ses lèvres. J'adorais ça. 9a et qu'on me touche le ventre enfin.. Je fermais les yeux et soupira de bonheur. Je ne restais pas indifférente sous ses baisers humides et chauds et a vrai dire cela faisait un bon bout de temps que je n'avais pas pratiquer le " sport de chambre " donc il m'en fallait peu pour m'exciter. Mes muscles se raidit lorsque je le sentis me mordre doucement. M'avait-il étudié ?
Je posa un doigt sous son menton et l'embrassa avec une envie débordante. Sans éloignés mes lèvres trop loin je chuchota sensuellement en relevant mon regard magnifique vers lui.

- Et si on allait autre part qu'ici ? Quelque chose de plus intime et de moins glacial..

Je le lui laissa pas le temps de répondre. Peur de la réponse , Non je la connaissais mais je ne voulais pas que ce moment s'arrête j'avais besoin qu'il continu jusqu'à la fin des temps. J'étais comme dans un rêve merveilleux entre réalités et chimères je me perdais m'accrochant a la fiction pour ne pas tomber de haut comme dans u trou noir, le même ou Alice se perd, mais moi ce ne serait pas pour aller dans un pays imaginaire mais pour retourner dans le monde réel.
Je retira mes mains de dessous son tee shirt et le pris contre moi le serrant contre mon corps qui étais devenue glacé. Qu'elle idée de sortir en petit trop, petite veste en cuir pantalon moulant taille basse et escarpins ouvert de ce temps là aussi. Je passa mes mains autour de sa taille et posa ma tête sur son épaule, sur la pointe des pieds malgré mes haut talons. J'avais froid par ce temps humide et glaciale et seul son corps me réchauffait. Son souffle glissait dans mon cou pour parcourir mon dos et s'en aller par mes reins découverts. J'étais remplie de frisson et je ne le lâchais pas attendant sa réponse pour qu'il m'emmène vite dans un endroit où je puisse me réchauffer.

HS : Désolée, pas long, pas terrible mais pas le moral je ferais mieux la prochaine fois.

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John était loin d’imaginer combien elle avait pu souffrir. Elle était si joyeuse, si marrante, pleine de vie a longueur de temps. Pourquoi avait-elle garder tout çà pour elle si longtemps. Elle savait qu’elle pouvait lui faire confiance, que jamais, jamais il ne la blesserai, elle était trop importante pour lui. Elle était tout pour lui. Il lui en avait fallu du temps pour s’en rendre compte mais maintenant il en était certain, il ne la quitterai plus. Il avait trop besoin d’elle même si sa fierté d’homme calmé ses ardeurs. John se contentai de la rassurée, de l’apaisée avec des mots doux, gentils, rassurants. Et elle semblait se calmer peu à peu. Il n’aimait vraiment pas la voir comme çà, triste, désemparée, malheureuse. Si seulement il pouvait faire quelque chose contre ce monstre qui lui servait de père … Il voudrait tellement la voir sourire, rire, le taquiner même. Plus tendre que jamais avec elle il l’embrassa comme pour absorber la peine qui la ronger tout entière pour que une fois le baiser fini elle soit de nouveau celle qu’il à connu, pleine de vie. Il la sentit frissonnée sous son baiser. Intérieurement il en fut ravi. Soudain, un vent glacial s’engouffra dans le cu de sac ou ils se trouvaient. Il faisait vraiment froid maintenant. Il n’allait pas rester très longtemps mais en même temps John n’avait aucune envie de rentrer pour qu’ont lui pose des tonnes de questions auxquelles il ne répondrait de tout façon pas. Eliana devait sûrement être congeler. Pour confirmer ses pensées, la jeune femme glissa ses mains sous son tee-shirt, le faisait lui aussi frissonnée mais cela ne le dérangeai pas plus que cela en fin de compte. Lentement, il sentit les mains, froide, de la brunette se baladaient sur son torse. Le cœur de John battait de plus en plus vite a cause de l’attraction, de l’envie se trouvant dans l’air. Il sentit les doigts de la jeune femme montait jusqu’a son cœur. La jeune femme posa sa main sur son cœur, ressentant tout ces battements.
Doucement, presque au ralentie, il vit les lèvres de la jeune femmes, charnue, chaudes, délicieuses s’éloignaient des siennes pour laissait libre accès a son cou …John sourit, heureux que ses larmes soi oubliées. Il déposa ses lèvres sur son cou, et y déposa des baisers, tous plus tendre les uns que les autres. Puis , joueur, il mordilla gentiment le cou dévoilé de la jeune fille. Elle lui releva la tête du bout d’un doigts et l’embrassa comme jamais. Elle le désirai, il le savait. Il n’était pas en reste non plus …
Laissant ses lèvres frôlaient sa peau, elle releva la tête vers lui avant de lui chuchoter.

- Et si on allait autre part qu'ici ? Quelque chose de plus intime et de moins glacial.
John sourit et la contempla quelques instant. Elle était magnifique, vraiment magnifique. Il n’y avait pas d’autre mots pour la décrire que celui-là et il lui correspondait a merveille d’ailleurs. John avait l’impression que le temps c’était arrêter au dessus d’eux, qu’ils était seuls au monde, ailleurs, juste eux deux, ensemble. La jeune latina retira les mains de sous son tee-shirt et le serra contre son corps, gelé par le froid qu’il faisait dehors. Elle noua ses mains autour de sa taille et posa sa tête sur son épaule en se mettant sur le pointes de ses pieds. Elle restait agripper à lui comme a une bouée de sauvetage . Il la serra contre lui, pour la réchauffer et embrassa son et ses cheveux, la gardant près de lui.

- Oui tu as raison … On va se congelés si on reste ici. Tu est déjà glacée. Lui dit-il en la prenant par la main

Il serra sa main comme si elle allait s’envolait et qu’il se réveillerai seul, et sans elle a ses cotés. Il se dirigea vers l’entrée de l’université. Il n’y avait plus personne dehors, il était tous occupée a faire quelque chose et puis il n’y aurait personne chez les Deltas comme c’était l’heure des entraînements. Personne ne les dérangerai avant un moment.

- Viens, allons dans la chambre. Tu pourra prendre une douche bien chaude . Lui dit t-i l en souriant au creux de l’oreille.

Mais dans la mains il marchèrent côte à côte jusqu’au bâtiment de ses graines de champion qu’étaient les Deltas, fraternité masculine de sportifs tout plus doués les uns que les autre. John était appaisé, heureux. Jamais il ne c’était sentit aussi bien depuis son arrivé ici. Et il bénissait la fille a ses cotés de lui faire ressentir tout cela.

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