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HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara »

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MessageSujet: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyDim 8 Mai - 23:25

    Après une journée forte éreintante, je n'avais plus qu'une envie : allez prendre ma douche. Mais malheureusement, j'avais encore des choses à faire. Je devais faire des tonnes de correction sur des textes que les élèves avaient fait en classe. C'étaient des textes qui révisaient les langues en général puisque l'examen final arrivait tout de même à grand pas. Je m'installai avec Thor qui dormait la tête couché sur mes jambes et commençait à lire les 4-5 premiers textes. Je corrigeai les erreurs tout en souriant. J'adorais voir à quel point mes élèves étaient les meilleurs élèves de tout Great-Academy. C'était peu probable qu'un autre professeur ait des étudiants aussi performants que les miens. Les avaient-je bien formés ? S'en était certain.

    Au bout d'une heure de correction, je commençai à entendre le bruit de mon estomac qui dénonçait l'injustice que je créais depuis quelques jours : c'était la correction au détriment de mon estomac. Je me levai pour me préparer des nouilles avec un peu de sauce et d'aneth puis me dirigeai vers la salle où j'entreposait l'équipement de compétition pour Ulysse, Sif et Thor. Thor qui n'avait toujours pas bougé, d'ailleurs. Je déposai mon assiette sur la table lorsque j'entendis un des chiens arrivé à la course. Comme s'il savait d'instinct lorsque j'entrais. Sif me lécha les doigts et je l'embrassai entre les deux yeux. Pauvre chienne ; elle était la seule femelle dans une maison avec 3 mâles. Une chance que je n'étais pas zoophile. Je commençai à observer l'équipement pour m'assurer que tout était prêt pour la compétition du surlendemain, puis je retournai dans le salon, Sif dans les jambes.

    En déposant mon assiette presque terminée sur la table basse du salon, je détachai ma chemise et l'enlevai, la laissant trainer sur le divan, près de moi. J'enlevai également mes chaussettes, que je laissai également près de ma chemise. Je terminai mon assiette en quelques minutes en lisant une quatrième de couverture de livre, puis j'allai porter mon assiette à la cuisine. Je me dirigeai vers ma douche où je laissai l'eau chaude, presque brulante, délier mes muscles. Mais je n'eus pas le temps de me laver que quelqu'un commença à faire du bruit dehors. Voulant m'assurer que ce n'était que des jeunes qui s'amusaient, je sortis de la douche dans l'idée d'y retourner. Je mis seulement une serviette sur le sol pour éviter de mouiller tout le plancher, puis me dirigeai vers la porte d'entrée, nu comme un ver. Je l'ouvris à la volée, puis lâcha involontairement un cri de surprise. Tamara était sur le seuil de la porte. Je restai quelques secondes tétanisé de surprise, puis tournai les talons et m'enfermai dans ma chambre pour m'habiller.

      «Entre Tamara !lui dis-je à travers ma chambre.»


    J'attrapai des boxers et un pantalons que j'enfilai, puis ressortis de ma chambre. J'allai jusqu'au salon, puis découvris que je n'avais toujours pas de chandail. J'attrapai ma chemise sale de la journée puis l'enfilai, sans nécessairement l'attachée.

      « C'est pas très élégant, mais bon... Tu m'as pris un peu au dépourvu, dis-je en me grattant le dessus de la tête. »


    Mais qu'est-ce qu'elle faisait ici à une heure pareille ? Il était presque onze heure, ce n'était pas une heure pour allez voir les gens ? Je n'avais aucun problème à accueillir cette demoiselle chez moi, surtout elle, mais je trouvais ça assez bizarre. Surtout que la nuit commençait assez étrangement. Un prof qui vient ouvrir à la porte nu comme un ver...


Dernière édition par Yohann Schuster le Lun 6 Juin - 2:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyLun 9 Mai - 10:33

Même si l'heure devait être à la révision je n'avais pas trop envie de rester des heures devant les bouquins à faire en sorte que je retienne un peu plus que la moitié des cours.D'habitude j'arrive à retenir beaucoup de chose durant les cours de musique mais depuis quelques temps j'ai la tête ailleurs.Je n'arrête pas de penser à ce qu'il s'était passer sur le toit avec monsieur Shuster et surtout le fait qu'il m'est embrassé sur la joue juste avant de partir.Je n'aurais vraiment pas du m'énerver ainsi mais bon je suis comme ça après tout j'ai toujours été impulsive.

En essayant de trouver un stylo dans les affaires de Louann je vis un bout de papier ou il y avait marqué Shuster et une adresse.Je décidai alors d'aller le voir pour lui présenter de vrais excuses.En voyant l'heure je me disais que ce n'était pas vraiment l'heure d'aller voir les gens qui ne font pas la fête toute la nuit.Le problème c'est que depuis je n'arrive plus à dormir alors fallait bien que je m'occupe comme je pouvais.Et puis qui sait peut être qu'il était encore éveillé ou bien même en charmante compagnie.Avant d'y aller fallait vraiment que je prenne une douche,j'avais passé toute mon après midi à faire du sport.Une fois ma douche terminée je me préparais en me demandant ce que je pourrais bien lui dire.Ce dont j'avais le plus peur c'est qu'il me prenne pour une folle qui le suit jusque chez lui.

En chemin je me suis arrêté devant une librairie encore ouverte.Il adore les bouquins non?Sinon il ne serait certainement pas professeur de littérature.Quand je suis entrée j'étais perdue autour d'autant de livre.J'aime pas vraiment lire je n'éprouve pas grand intérêt à ça donc je laisse cette passion aux autres.En regardant les livres j'en vis un qui m'était famillier "La rose noire".C'est une des seules choses que l'on avait retrouvé dans l'appartement brûlé de celle que je considérait comme ma mère.J'adorais le lire encore et encore pour me rappeler des souvenirs bien lointain.Je le pris et continuai ma route

Enfin arrivé à l'adresse du bout de papier je vis une maison plutôt jolie.C'était à mon avis le genre de maison d'un jeune mariée avec un enfant enfin la petite famille parfaite quoi.Je pris une grande bouffée d'air avant de sonner à la porte.J'entendis la voix de monsieur Schuster me disant d'entrer.Je fis quelques pas timides avant de le voir.Il était torse nu et avait l'air beaucoup moins à l'aise que la dernière fois.Pour un vieux il était bien conservé je trouve.

-Je suis venu ici pour m'excuser de la dernière fois,je lui tendis le livre.Comme vous aimez les bouquins je me suis dis que vous aimez encore plus celui ci.En tout cas moi c'est le seul livre que j'aime lire

Je lui fis un grand sourire me disant que j'étais peut être en train de le déranger vu sa tenue.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyLun 9 Mai - 23:03

    Normalement, lorsque je savais que j'avais de la visite qui venais me voir, je mettais mes chiens à l'extérieur avec leur nourriture et leur eau. Cependant, Tamara arrivait un peu à l'improviste, donc je n'avais pas eu le temps. J'entendais seulement le bruit des pattes de mes chiens avec leurs respirations. Ils étaient probablement aux côtés de Tamara, la sentant. Ils n'étaient pas méchants, seulement un peu énervés lorsque quelqu'un entrait dans la maison, puisque c'était quelque chose d'assez inhabituel, mis à part pour les cours privés que je donnais à Louann. Je ressortis de ma chambre en pantalon, torse nu, puis l'invitai à me rejoindre dans le salon.

    Elle vint me rejoindre dans le salon, puis me tendit un livre. "La rose noire" était un livre que j'avais déjà du lire pour mon cours lorsque j'étudiais, mais que je n'avais jamais lu parce que à l'époque, l'école passait -après- la fête et l'alcool. Eh oui, même un professeur pouvait être jeune, à une époque dans sa vie. Je pris le livre qu'elle m'offrait, puis allai le déposer dans ma bibliothèque. Je retournai me mettre près de Tamara, toujours debout. Je m'accotai sur le dos du divan en plongeant mon regard dans le sien, passant ma main dans ma chevelure désordonnée.

      « Tu sais Tamara, ce n'était pas nécessaire. C'est un livre merveilleux, mais tu n'avais pas besoin de m'acheter pour t'excuser. J'avais déjà tout oublier ! En passant... Veux-tu rester ? Vu l'heure avancée, tu serais aussi bien de restée ici pour la nuit. Je n'ai pas de lit de prêt réellement, mais si ça ne te dérange pas, tu coucheras dans mon lit et je coucherai dans mon lit. Tu devras alors te contenter de mes couvertes sales. Désires-tu quelque chose à boire ? J'ai de l'alcool... ou du jus. »


    Je rangeai rapidement les textes des élèves qui trainaient toujours sur la table basse du salon et les mit dans mon classeur que je rangeai près du divan. J'invitai Tamara à s'asseoir sur le divan, où mes bras trainaient toujours. Je les enlevai, un peu mal-à-l'aise.

      « Je t'avoue que tu me prends un peu au dépourvu. Il est très tard, je ne m'attendais pas à recevoir de l'aussi belle visite cette nuit, donc disons que le ménage, il n'a pas vraiment été fait. Mais vraiment, j'apprécie beaucoup ta visite. Ça fait toujours plaisir de recevoir quelqu'un chez soi. »


    Je me dirigeai vers la cuisine en ramenant ma boite de joint et en tendis un à Tamara et en prit un, que j'allumai avec une allumette. J'allumai également le sien avec la même allumette, puis aspirai une longue bouffée, laissant les biens faits se répandre dans tous mon corps et leur laissé le temps d'agir considérablement. Je lui avais également ramené à boire. La télévision était fermée, j'étais distrait par sa présence et je peinais à penser par moi-même. Le collier d'Alexandra se balançait doucement dans mon cou et je n'arrêtais pas de bouger. J'avais une seule envie : Embrasser Tamara. Elle venait d'entrer chez moi, n'avait pas dit 15 mots que déjà, je sentais son effet sur moi. J'étais amoureux.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyMar 10 Mai - 18:38

A peine je fis quelques pas pour entrer que des chiens acourèrent vers moi.Comme j'adore les chiens et qu'ils étaient vraiment mignon je ne pus m'empêcher de les caresser.Je regardais autour de moi et vis que finalement ce n'était pas une maison où habite une famille parfaite,bien au contraire,ça avait l'air d'être la maison d'un vieux célibataire habitué à la solitude.

Lorsqu'il descendit torse nu,je ne pus m'empêcher d'admirer ses muscles,c'est rare de pouvoir voir ceux de son professeur.J'espérais que ça lui faisait vraiment plaisir que je lui offre un bouquin moi qui n'ai lu dans ma vie que deux ou trois bouquins en prenant de l'intérêt.En tout cas il avait l'air content de me voir.Le voir comme ça assit sur son divan remuant ses cheveux déjà en bataille me donnait envie de l'embrasser et même un peu plus.Quand je le regarde dans les yeux j'oublie un peu que c'est un de mes professeur.

-Ben si vous avez de l'alcool fort je veux bien.


Je voyais bien que le ménage n'était pas vraiment fait mais comparé à ma chambre ça va encore.Il me proposa de rester dormir chez lui,ça ne me dérange pas vraiment mais si les gens apprenaient ça je crois qu'on aurait tous les deux de gros problèmes.Je regardais le classeur ou il avait rangé toutes ses copies.

-Je reste ici à condition que vous me montrez comment un prof corrige les devoirs je sais pas pourquoi mais ça m'a toujours fascinée.


Il me servit à boire et me donna un joint que je me pressai de consumer.Je lui souriais,au final,peut être qu'il n'est pas si ennuyeux que pendant ses cours.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyMer 11 Mai - 19:30

    Les trois chiens étaient couchés aux pieds de Tamara. Elle les avaient domptés ? Ils semblaient présentement si calmes, si gentils, c'était vraiment mignon. Couchés un à côté de l'autre, les trois chiens semblaient déjà apprécier Tammy " Tout comme moi, d'ailleurs".

    Je lui tendis son verre d'alcool. Alcool et drogue, il ne manquait que le sexe pour faire un trio parfait. Mais malgré cette pensée, je ne parvins pas à sourire ; ce n'était pas du sexe que je voulais avec Tamara, je la voulais elle. Son corps en entier m'appelait, j'avais envie d'elle, j'avais envie qu'elle soit mienne. J'avais envie de sentir son coeur contre le mien, de sentir sa respiration synchronysée à la mienne, de voir qu'elle m'aimait autant que je l'aimais en ce moment. Faisait-elle le même effet à tous les hommes ? Étais-je le seul qui était hanté par son visage la nuit ?

    Me rendant compte que je fixai son visage depuis quelques secondes, je détournai le visage, gêné. Je ressorti mon classeur en sortant une copie. C'était une élève qui avait assez de facilité, mais qui avait tout de même encore des choses à apprendre. Au niveau de ses notes, elle était quand même dans la moyenne. Tamara voulant que je lui montre comment un professeur corrigeai une élève, j'allais me faire un plaisir de lui montrer.

      « C'est évident que chaque matière, chaque travail et chaque professeur travaille différemment. On corrige différemment selon l'objectif recherché et selon la matière. Mais par exemple, pour ce texte, c'était une révision des langues que nous avions vu en classe. J'avais donné un thème et elle devait l'écrire en 4 langues. Tu peux le voir, il y a du latin, du grec ancien, du celte et du gaulois. Comme je visais surtout la révision, je vais me concentrer sur les accords, les fautes d'orthographes, la syntaxe, etc. Tu comprends ? Je me concentre, lors de ma correction, sur la technique. Pas sur le contenu du texte. »


    Je tournai la tête vers elle en souriant. Réellement, cette jeune femme était merveilleuse.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyMer 11 Mai - 20:18

Les chiens s'étaient soudainement calmés après que je les ai caressé chacun leur tour à croire que j'avais un don.Ils s'étaient mis sur mes pieds et respiraient beaucoup moins vite que quand ils étaient entrés.A croire que j'avais un don.Malheureusement pour moi ce n'est pas des chiens que je veux me faire aimer mais plutôt de leur maître.

Je pris le verre qu'il me tendit et lui souri.Je pris une grande bouffée et m'affalai sur le divan.Je me sentais de plus en plus flotter sur un nuage.Je n'ai pas trop l'habitude des drogues que l'on fume mais je ne disait pas non.J'étais de plus en plus détendu mais cela n'empêchait pas que je sois un peu intimidée par mon professeur qui m'invite à dormir chez lui alors que je n'ai jamais rien fais dans son cour à part dormir et envoyer des messages.J'essayais de freiner mon envie de l'embrasser de peur qu'il ait peur et qu'il me repousse par ce que si il me fait ça je crois que je ne pourrais plus jamais le regarder dans les yeux je crois même que je ne pourrais même plus m'endormir tranquillement pendant ses cours.

Il me fixait ce qui me gênait encore plus mais lorsqu'il tourna la tête je me suis mis à sourire.Il est mignon lorsqu'il est tout gênait.Il me montrait une feuille et m'expliqua comment il faisait pour noter,ça n'avait pas l'air si facile mais comme on dit plus facile à dire qu'à faire.Je pris la feuille et regardai ce qu'elle avait écris.Personnellement,je n'aurais jamais pus faire quelque chose comme ça et encore moins en quatre langues mortes.

-Si tout vos élèves sont comme ça et bien je suis vraiment la dernière de ma classe.

Je le regardais,je voulais tellement l'embrasser que je pour me freiner encore je regardais les chiens.

-Je peux vous poser une question? Est ce que ça vous énerve quand je dors pendant vos cours?
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyJeu 12 Mai - 1:13

    La question que Tamara me posa me surprit énormément. Pourquoi le fait qu'elle dormait pendant mes cours devait me déranger ? Certes, je croyais fermement que c'était du gaspillage de talent, mais quels pouvoirs avais-je là-dessus ? La sortir de la classe ne la forcerait pas à travailler et la réveiller la rendrait de mauvaise humeur.

      « Tu sais, je n'ai pas de pouvoirs sur ça. Je préfère que tu dormes et que tu sois moins désagréable avec les autres professeurs dans la journée plutôt que tu m'écoutes, mais que tu insultes tous les autres. De plus, si tu as choisis cette option, c'était ton choix. Moi, je suis payé pour vous enseigner la matière. Ceux qui désirent réussir n'ont qu'à venir me voir et il me fait un réel plaisir de répondre à leurs questions ou de les aider plus profondément. C'est comme ça que ça marche, Tammy. Et ne t'inquiètes pas... Tu n'es pas la dernière de la classe... Juste l'avant dernière...»


    Je lui souris doucement. Pourquoi fallait-il que cette jeune femme me fasse autant d'effet ? Si jamais quelqu'un dans l'école apprenait que j'éprouvais des sentiments aussi fort envers elle, je n'étais pas mieux que mort. J'allais tout simplement me faire virer de GA, bannir de tous les états-Unis et la seule chose qu'il me resterait à faire, ce serait d'enseigner au Canada. Loin d'elle. Mais j'avais tellement envie d'elle que mes mains tremblaient. Je commençai à jouer un peu avec, pour les occuper, mais finalement, je fis semblant de m'étirer pour faire atterrir mes mains dans mes cheveux, jouant un peu avec eux. Mais si seulement j'étais certain de ce qu'elle ressentait envers moi... J'étais terriblement gêné d'avoir des pensées comme celles-ci, mais pourtant, j'étais incapable de les retenir. Encore une chance que nos corps ne se touchaient pas.

      « Si jamais tu as envie de quelque chose, tu n'as qu'à le dire, ne te gênes pas. Alcool, couvertures, si tu veux prendre une douche, vraiment... La seule chose que tu ne trouveras pas ici, ce sont des vêtements de femme, autre que les tiens. »


    Je ris un peu. Comment pouvait-il y avoir des vêtements de femme si je vivais seul ? J'étais carrément con en sa présence ou quoi ? Je me levai sans regarder Tamara et me dirigeai vers la cuisine sans un mot. J'ouvris l'eau froide et m'aspergeai le visage afin de réussir à penser clairement. Mais qu'est-ce que j'étais en train de faire ?
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyJeu 12 Mai - 19:56

Pour être honnête,je n'ai jamais sus pourquoi je ne pouvais pas m'endormir pendant ses cours.J'ai choisis sa matière par curiosité en me disant que ça allait peut être m'aider à mieux écrire mes chansons.Quand j'entends sa voix en cours ça m'apaisait,je me sentais bien malgré le fait que je ne dormais pas beaucoup à cause des soirées que je faisais la veille.Mais si ça ne le dérange pas tant mieux par ce que ça me gênerait de l'embêter en plein cour.J'ai essayé plusieurs fois de ne pas m'endormir mais dés que je m'assied à ma place habituelle c'est automatique,je ne pouvais vraiment pas m'empêcher de fermer les yeux.

-Je trouve ça bien que vous soyez aussi franc que ça certain prof m'aurait dit le contraire.

Le voir sourire ainsi me faisait plaisir.Je sais pas pourquoi mais j'aimais bien le voir sourire,j'adorai sa bouche et j'adorai plus l'embrasser.Il me demanda poliment si je n'avais pas envie de quelque chose d'autre.Malheureusement je ne pouvais pas lui dire que je n'avais envie que de lui.Il était beaucoup plus âgé que moi,si je suis bonne en maths je crois qu'avec deux ou trois ans de moi j'aurais pus être sa fille.Mais bon,ça fait longtemps que j'ai arrêté les maths.

Je voyais ses mains trembler et me demander pourquoi elles tremblait comme ça.Je n'avais jamais vu un mec qui tremblaient des mains juste par ce que j'étais à côté d'eux.D'habitude ils étaient plutôt confiants et ne faisaient que de raconter des bobards pour coucher avec moi ensuite.J'avais tellement l'habitude que ça ne me faisait pas grand chose quand un mec me ment en me draguant.Je pris une grande inspiration avant de me rapprocher de lui.

-Ce que je veux?C'est ça.

Je me rapprochai encore plus pour l'embrasser.J'en avais tellement envie depuis le début et me sentis soulagé en l'embrassant.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyJeu 12 Mai - 20:51

    Lorsque Tamara approchai son visage du mien, j'eu l'impression que mon coeur allait exploser et qu'il allait sortir de ma poitrine. Ses lèvres sur les miennes m'emplir de joie et je perdis carrément la tête. Mes mains se promenèrent sur son corps, allant de son cou jusqu'au bas de son dos. Elle était presque à quatre pattes par-dessus moi, ce qui m'excitais encore plus. Mon cerveau était déconnecté de la réalité et seule Tamara comptais à ce moment précis.

    Je la repoussai tranquillement, toujours en l'embrassant, puis l'attirai dans mes bras en la soulevant du divan, mes lèvres dans son cou, et l'emmenai dans ma chambre. Je la déposai dans mon lit délicatement, afin d'éviter de la blesser. J'enlevai ma chemise et me mis à genoux par-dessus elle. Je ne disais aucun mot, je ne parlais pas, mais mon coeur battait la chamade dans ma poitrine. Je regardai Tamara et attrapai sa main et la plaçai sur mon coeur.

      « Tu sens mon coeur ? Il bat pour toi ma belle... »


    Je lui retirai son chandail pour le laisser tomber de l'autre côté du lit et je recommençai à l'embrasser de plus belle. Puis brusquement, je me relevai. Debout, torse nu sur le côté de mon lit, je fixai Tamara qui était toujours couchée sur mon lit. J'étais carrément troublé et en plus, j'avais de la difficulté à respirer à cause de toutes ces émotions.

      « J'suis en train de couché avec une de mes élèves... et j'adore ça...»


    Je retournai m'asseoir sur le lit en jouant dans les cheveux de Tammy. J'avais chaud, mais j'avais encore tellement envie d'elle. J'étais excité dans tout mon corps, ma respiration était déjà plus rapide. Je l'embrassai sur le front en fermant les yeux, puis continuai d'observer son corps de déesse.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyJeu 12 Mai - 21:14

Moi qui pensais que j'allais me prendre un râteau,je me suis bien trompé.Bien que mon coeur avait l'air de battre à plus de cent kilomètre heures je me sentais tellement bien.J'avais enfin réussi à me décoincer et à l'embrasser.Il n'avait pas l'air d'être gêné par notre différence d'âge.Pour moi c'était une première de coucher avec un de mes professeur.Il me prit délicatement pour me déposer sur son lit,comme les prince charmant de Disney.

C'était la première fois que l'on me faisait une chose aussi galante que ça et je ne crois pas que je m'en lasserai.Il prit ma main et la mis sur sa poitrine.Son coeur avait l'air de battre aussi fort que le mien même un peu plus fort.

-Oh c'est mignon.

Il me retira doucement mon chandail ce qui fit que je me retrouvai en sous vêtement.Heureusement que j'avais mis des sous vêtement mignons au cas ou.J'avais un peu froid mais ça allait.Je le regardais qui me fixait avec un grand sourire.Il était tellement mignon que de le voir me fixer comme ça me faisait rougir.J'avais beau faire semblant de ne pas aimer les cours,il ne me laissait pas indifférente.

-Et c'est que le début.

Il se mit à jouer avec mes cheveux.Bien qu'on avait toute la nuit devant nous j'étais pressé de passer à l'acte.Je lui retirai son pantalon doucement tout en l'embrassant.

-Alors monsieur Schuster vous voulez continuer?

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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyJeu 12 Mai - 21:30

    Son corps m'appelait. Je me retrouvais en boxer devant elle qui était en sous-vêtement. J'étais atrocement gêné ; il fallait vraiment garder le tout secret, sinon, je n'étais pas mieux que mort. Je me remis par-dessus elle, puis l'embrassai passionnément. Doucement, je glissai mes mains sous son dos pour aller détacher son soutient-gorge. Je le retirai et le laissai tomber au côté du lit, près de son chandail. Puis, tranquillement, mes baisers descendirent le long de son corps pour aller jusqu'à son bas-ventre et je lui enlevai sa petite culotte. Durant de très longues minutes, je jouai avec son corps, attentif. Je ne voulais pas que ce soit désagréable pour elle. J'étais essouflé, mais je ne voulais pas aller plus vite qu'elle pour éviter d'aller contre son rythme.

    Je retournai coller mes lèvres contre les siennes, assoifé du sentiment de bien-être que j'avais. J'étais collé contre elle, je sentais son coeur battre contre le mien et je peinais à me contrôler. J'enlevai mes sous-vêtements puis, le visage dans le cou de Tamara, je la pénétrai. J'y allai lentement au départ, pour m'assurer que tout était correct, puis j'attendis qu'elle me donne son accord pour qu'elle soit mienne jusqu'au bout.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyVen 13 Mai - 19:27

Si on m'avait dit il y a deux semaines que j'allais coucher avec mon professeur de littérature je n'y aurais jamais cru.Le problème c'est que je crois que je l'aime.A chaque fois que je le regarde droit dans les yeux je ressens un truc bizarre que je n'avais plus ressentie depuis bien longtemps.Si quelqu'un apprenait ça je serais viré de l'université et je devrait travailler encore plus pour espérer entrer dans une autre université.J'adorai sentir ses mains se balader un peu partout sur moi ça me faisait des frissons mais ce n'était pas si désagréable.Il avait l'air attentionné et attentif.Chacun de ses baisers me donnait de plus en plus envie de rester avec lui.

Il était plutôt pas mal pour un prof de littérature et surtout pour un trentenaire.Ce qui me paraissait bizarre c'est qu'il avait oublié de mettre une capotte surtout pour un prof.D'habitude c'est eux qui nous retienne une heure pour faire de la prévention sur les dangers et les maladies.C'est pas très grave puisque je prends la pilule et puis peut être qu'il était pressé.Je me sentais bien à ses côtés et c'était ça qui comptait le plus.Je ne sentais rien d'autre que du plaisir lorsqu'il commençai et donc je lui donnai mon accord pour comment dire?Aller au niveau supérieur.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyDim 15 Mai - 15:19

    Mes mains se baladaient sur son corps chaud. Sentir les formes de son corps sous mes mains m'excitais terriblement. Je l'embrassai à de nombreux endroits, l'appréciant de plus en plus. Je la pénétrai lentement au début, puis augmentant la cadence. Je contrôlais à peine mes mouvements, je vivais simplement... un instant magique. J'étais avec celle que j'aime et c'était merveilleux. J'aurais souhaité que jamais ça se finisse, mais malheureusement, j'étais conscient que j'avais presque le double de son âge et qu'elle préférerait probablement aller voir ailleurs. Un homme de 30 ans, c'est super amusant pendant une semaine. Ensuite, on le jette au poubelle et un retourne voir ailleurs.

    Mais je chassai ces pensées pour me concentrer sur la belle Tamara. Une fine couche de sueur recouvrait déjà mon corps, mais je faisais tout pour retarder le moment où cet instant serait terminé et nous retournerions à nos vies normales. Je l'embrassai partout : sur le cou, la poitrine, les épaules; la seule chose que je voulais, c'était de la rendre heureuse. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. Je m'accotai sur le corps de ma douce : comme j'avais redouté, l'instant magique était terminé. Je l'embrassai longuement, puis me retirai et me couchai à ses côtés, en la regardant, jouant dans ses cheveux. Je n'osais pas parler, mais malgré tout, trois mots franchirent mes lèvres.

      « Je t'aime. »
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyDim 15 Mai - 15:38

Il avait pourtant presque deux fois mon âge mais je ressentais quelque chose de plus que de l'amitié envers lui et ça me faisait vraiment très bizarre.Je me sentais bien sous ses caresses et ses nombreux baisers mais je savais bien que si quelqu'un le savait on allait vraiment avoir de très gros ennuis,lui comme moi.Même si je ne crois pas être égoîste je voulais encore l'avoir avec moi des tas de nuits pour qu'on les passe ensemble mais je suis sûre qu'avec moi il ne cherchait qu'une aventure qui ne dure qu'une nuit,il est comme tout les mecs que j'ai rencontré en fait.Je chassai toutes mes idées noirs pour vivre ce moment comme il le fallait.Je savais bien que ça allait certainement être la première et la dernière soirée à deux.

Franchement,je crois que mon meilleur coup d'une nuit ça restera mon prof de littérature c'est bizarre à dire mais c'est vrai.Les mecs plus jeunes que je rencontre son souvent très pressés et veulent ressentir le plaisir le plus vite possible.Alors que lui,c'était tout le contraire,il prenait tout son temps et le faisait merveilleusement bien.Lorsqu'on eut fini,je l'embrassai passionné et me couchai sur son torse.Je m'amusais avec une mèche de mes cheveux en me reposant.Je ne pensai plus à rien lorsque j'entendis ce qu'il venait de dire.

Au début je crus à une blague et ne répondis pas sauf que quelques minutes après je me me relevai pour m'assoir sur le lit et le regardais droit dans les yeux.

-Je crois que moi aussi je vous aime.J'ai jamais ressentie un truc pareil mais quand je vous voit c'est comme si mon coeur allait sortir de ma poitrine.Je sais que c'est bête mais bon.


    Edit Lou': Pensez à modifier le titre de votre sujet pour mettre "HOT" la prochaine fois! Au passage, très beau RP ^^
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyDim 15 Mai - 16:09

    Ça avait été le deuxième plus beau moment de ma vie. Tamara était vraiment une jeune fille exceptionnelle. Je voulais la garder pour moi seul, jusqu'à la fin de ma vie, mais je savais que malheureusement, je n'étais pas le seul qui la voudrais. J'allais avoir de la concurrence et c'était évident que j'avais peur de la perdre. Même si nous avions juste couché ensemble, je l'aimais du plus profond de mon cœur et jamais je ne voulais la perdre.

    Elle se coucha sur mon torse et je commençai à jouer dans ses cheveux durant quelques minutes. Je l'écoutai me répondre, sans rien dire lorsqu'elle dit que c'était bête, mais je souriais. Elle était assise sur le lit et me regardait droit dans les yeux.

      « En quoi c'est bête ? Tu crois que c'est bête de ressentir quelque chose pour un homme de trente ans ? Si tu savais à quel point j'ai peur de te perdre Tam... On vient de coucher ensemble, mais je me sens mal. C'est comme si on avait couché ensemble juste pour une nuit, et qu'il n'y aurait pas de lendemain. Je veux pas me réveiller demain pour découvrir que la réalité, c'est que tu sois repartie avec un gars de 20 ans. J'suis vieux, certes, mais si tu savais juste à quel point tu comptes pour moi... »


    Je baissai la tête. Je venais de m'ouvrir à Tamara et elle pouvait en faire ce qu'elle voulait. Prendre ces paroles et les cacher dans son coeur ou tout simplement les jeter par la fenêtre, elle était libre.

      « Mon coeur t'appartiens, tu en fais ce que tu en veux. Si tu préfères qu'on se voit simplement pour coucher ensemble, ça me dérange pas. Mais sache que peu importe ce que tu vas décider, il faut que ça reste secret. Un prof qui couche avec son élève, les deux vont avoir de sérieuse conséquences si ça devient publique. »


    Avant qu'elle ne réussisse à répondre, j'attrapai sa mâchoire de mes deux mains et l'embrassai amoureusement, pour lui prouver ce que je venais de dire. Le baiser dura de longues minutes et mes mains recommencèrent à se faire baladeuses, mais je mis fin au baiser avant que ça dégénère.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyDim 15 Mai - 16:54

Je me sentais comme apaisée après lui avoir tout avouée.Voir qu'il ressentait les mêmes choses pour moi me rendait heureuse et me redonnait le sourire aux lèvres.Je me sentais un peu coupable d'avoir dis que je trouvais ça bête ce que je pouvais ressentir pour lui.Je pensais pas que c'était bête mais je n'avais jamais vécue ce genre d'expérience.Je lui pris une de ses mains qui jouait avec mes cheveux et la serrai.

-Je trouve pas ça bête mais c'est tout nouveau pour moi d'aimer une personne qui a plus de dix ans de plus que moi et en plus qui est l'un de mes professeur.De tout de façon même avec les mecs jeunes qui ont mon âge j'ai jamais ressentie ce que je suis en train de ressentir maintenant.En étant avec eux je n'ai jamais eu le coeur qui voulait s'enfuir de la poitrine et surtout personne ne me donnait autant de frisson juste en me touchant.


C'était la première fois qu'un mec se confie comme ça devant moi et c'était vraiment trop mignon de le voir comme ça.Il avait l'air si sensible pour un prof qui avait la réputation d'être un grand macho.Je me mis à sourire et même à rire sauf que ce n'était pas pour me moquer mais juste par ce que j'étais heureuse.Je me rapprochai encore plus de lui et le laissai jouer avec mes cheveux avec le temps on fini par prendre l'habitude de voir des tas de gens jouer avec vos cheveux bien que c'est très dur le matin de les coiffer.

-Je vais pas être originale mais moi aussi c'est ce que je pense sauf que t'avoir juste dans mon lit ne me suffira pas même si vous êtes le meilleur amant du monde,j'ai envie de bien plus que de coucher avec vous.

C'était bizarre de le vouvoyer encore après avoir couché avec Yohann mais je ne voulais pas le tutoyer avant qu'il ne me le permette et puis surtout je crois que ça serait bizarre de ne plus l'appeler monsieur bien que ce soit nécessaire de tutoyer quelqu'un lorsqu'on sort avec lui et encore plus lorsqu'on l'aime.

-Ne vous en faites pas je sais garder un secret surtout quand il y a ma scolarité qui est en jeu.Et puis même pour vous j'ai pas envie d'avoir votre renvoi dans la conscience.

Je lui rendis son long baiser en lui caressant le torse qui était vraiment musclé.Je me mis sur lui et continuai de l'embrasser un peu partout sur son joli corps.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyDim 15 Mai - 19:52

    Je ne répondis pas à ce qu'elle venait de me répondre. Je me contentai simplement de la serrer dans mes bras. Je sentais encore son coeur battre dans sa poitrine, sa respiration contre mon torse. Elle était chaude, la sensation ne pouvait être plus agréable. Nous nous embrassâmes durant plusieurs instants. Ses baisers étaient délicieux, j'en voulais toujours plus. Ses mains se firent baladeuses et elle commença à m'embrasser un peu partout, sur la mâchoire, le cou, le torse. Je riais, autant de bonheur que parce qu'elle me chatouillait, puis mes mains se mirent de la partie et commencèrent simplement à lui flatter le dos, comme pour lui faire un massage.

      « Simplement une chose ; Arrête de me vouvoyer... J'suis pas ton professeur, pour le moment, je suis ton amant »


    Je lui fis un clin d'oeil, puis sans que je m'en rende compte, je sentis une grosse boule de poil me frôler les côtes. Je me doutais bien que c'était un de mes chiens, et le destin me donna raison. C'était Sif, la seule chienne de toute la maison, qui était venue se coucher à côté de nous et qui nous regardait. Je commençai à rire de plus belle.

      « On dirait bien que tu fais des jalouses ! »


    Je caressai la tête de Sif, puis la chassai du lit. Elle soupira à la manière d'un chien, puis alla se coucher au pied du lit. Je serrai encore plus ma douce contre moi, comme si j'avais encore peur de la perdre malgré les choses qu'elle m'avait dit, tout en l'embrassant sur le front. Tamara était ma princesse, celle que j'avais envie de chérir pour le reste de ma vie, celle que j'aimais. Pourquoi fallait-il que nous restions cachés ? Outre le fait que je perdrais mon travail et qu'elle serait virée de l'université, qu'elles seraient les autres conséquences ? Et pourquoi est-ce qu'on devraient subir ces conséquences ? Après tout, je suis capable de faire la différence entre ma vie personnelle et professionnelle... J'avais juste envie d'aller sur le toit de l'université pour crier à tout le monde que cette demoiselle, je l'aimais.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyDim 15 Mai - 20:15

Je me sentais en sécurité dans ses bras,comme si rien ni personne ne pouvait m'atteindre.Ses caresses me donnait des frissons et me donnait encore plus envie que lui.J'ai envie qu'il soit à moi juste à moi,je veux pouvoir l'embrasser et lui faire des calins à chaque fois que j'en aurais envie.Malheureusement je sais que pendant les cours ou quand je serais dans l'établissement je ne pourrais rien faire.Même pendant ses cours,je devrais rester le plus normal possible,dormir comme d'habitude car si je me mets à écouter attentivement le professeur c'est sûre que tout le monde aura des soupçons.Il voulait que j'arrête de le vouvoyer sauf que je suis sûre que je n'y arriverais pas avant quelques temps mais je vais faire des efforts,il faudra beaucoup d'effort mais ce n'est pas grave puisque je suis avec le mec que j'aime et avec qui j'ai envie de passer de très bons moments.

-Vous...euh tu sais ça va être dure mais t'en fais pas je vais faire des efforts.

Il était trop mignon avec son clin d'oeil.Yohann me faisait penser à un de ces acteurs d' Hollywood sauf qu'il est prof.Lorsque je voulus l'embrasser une énième fois,je sentis une présence juste à côté de moi,quand je retournai la tête;je vis sa chienne.Tout d'un coup je sursautai tellement j'étais surprise.Je mis un drap sur moi et me reculai du chien.Je suis vraiment pas capricieuse ni pudique mais je ne voulais pas qu'un chien me matte en train de coucher avec Yohann.Je savais qu'il adorait ses chiens moi aussi je les aime bien mais pas à ce point quand même.

-Peut être qu'elle est jalouse mais moi je ne veux pas être matée par ta chienne.

Comme elle s'était installée au pied du lit c'était impossible de coucher avec lui.

-Tu veux pas qu'on regarde un film?
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyJeu 19 Mai - 18:41

    Lorsque Sif arriva sur mon lit, Tamara eut si peur qu'elle alla se cacher sous les couvertures. Je me mis à rire, puis poussai ma chienne afin qu'elle débarque du lit. Je comprenais la réticence de Tammy de ne pas vouloir se faire mater par Sif, Au départ, j'étais également réfractaire, mais avec le temps, je m'étais fait à l'idée. Avec trois chiens dans une maison, on finit par s'habituer. La chienne me regarda un moment, puis se mit à courir en direction de l'extérieur de ma chambre.

    Je tournai la tête vers Tamara, qui semblait s'être détendue légèrement. Un sourire étira mes lèvres. Je m'avançai tranquillement, embrassant son corps de déesse au passage. Sa peau était parfaite, j'avais de nouveau envie d'elle comme au début. Je l'imaginais être mienne comme je l'imaginais lorsqu'elle était arrivée chez moi, quelque heure plus tôt. Je n'avais même pas encore pris la peine de réponde à sa question tellement l'envie de lui faire l'amour était présent en ce moment. Mais je me sentais mal, comme si j'abusais de mon pouvoir. J'avais peur qu'elle croit que je sois un obsédé sexuel. Je m'emparai de ses lèvres à nouveau puis me retirai rapidement.

      « Si tu trouve que j'en fais trop, n'hésite pas à me le dire. J'me sens un peu mal, mais si tu savais à quel point j'ai envie de toi... » lui chuchotais-je à l'oreille.


    Je la serrai de nouveau dans mes bras. Elle ressemblait tellement à Alexandra que ça en faisait presque peur. Des pensées étranges envahirent mon esprits. Ma fille lui ressemblait. C'était mignon. Si seulement elle était encore ici aujourd'hui...

    • « J'aimerais que tu sois mienne pour toujours... Mais j'ai peur de demain. Tu es comme un rêve, tu es irréaliste. Je ne veux pas dormir cette nuit, j'ai peur de me réveiller et de réaliser que tout ça n'était qu'un rêve. Mais ça aura été le plus beau rêve de toute ma vie. »


    Je fixai son regard un moment, puis attrapai son menton et embrassai ses lèvres. Je me levai, la laissant seule un moment, puis revint avec la boite où je cachais la drogue que nous avions fumé un peu plus tôt dans la soirée. Je lui tendis un joint, j'allumai le mien et inspirai, savourant les bienfaits de ce petit rouleau de plaisir.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyVen 20 Mai - 12:53

J'adorais les chiens surtout quand ils avaient une bouille aussi mignonne que celle de ses chiens mais parmi les trois chiens c'était la seule qui avait un air bizarre.En me regardant elle avait l'air de vouloir me dire un truc du genre "si tu touches à un seul cheveux de mon mettre je vais te bouffer".En tout cas c'est l'impression qu'elle me donnait.Par contre Yohann avait l'air aussi naturel et détendu comme tout à l'heure.C'est sûre qu'en vivant avec trois chiens on prend l'habitude de les voir tout partout dans la maison.Je me demande même si il avait déjà couché avec une femme quand il y avait un chien sur son lit,rien qu'en imaginant ça me fait rire.

Lorsque la chienne finit par partir en courant,je me relaxai et me remis à côté de mon nouvel amant.J'étais déjà accro à ses baisers,j'en voulais encore et toujours plus.Je trouvais qu'il avait un corps parfait,ses beaux muscles me donnait envie de coucher avec lui.Je l'embrassai à mon tour mais sentie qu'il était gêné,ce que je n'arrivai pas à comprendre puisque sa chienne était partie.Il se sentait mal d'avoir envie de moi.C'était la première fois que j'entendais ça et ça me faisait bien rire.Je mis mes bras autour de son cou tout en le regardant.

-Tu sais moi aussi j'ai envie de toi,t'en fais pas trop et puis t'es tellement mignon qu'on pourrait tout te pardonner.


Il me serra dans ses bras mais bizarrement je sentais qu'il était ailleurs.Je l'embrassai sur le cou.Dés que j'entendis qu'il me voulait moi je m'écartai un peu l'air gêné.Je ne crois pas que je sois vraiment le genre de fille qu'un mec voudrait toute sa vie.Je suis resté six mois avec un mec et c'est mon record même si c'était quand j'étais en primaire et qu'on se disputait depuis quelques semaines.Au delà de six mois je n'ai jamais vécu avec un mec et puis je ne l'ai jamais voulu avant Yohann.Je n'ai jamais trouvé le bon mec mais quand je le trouve il faut que je me cache.

-Moi aussi j'ai peur de demain,je n'ai pas envie de me coucher mais faut bien qu'on voit la réalité en face:pour l'instant on ne pourra pas se montrer en public mais je te promets que si on reste ensemble jusqu'à l'obtention de mon diplôme on rattrapera le temps qu'on a perdu à se cacher.
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MessageSujet: Re: HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » HOT La littérature est l'orchestration des platitudes. « Tamara » EmptyLun 6 Juin - 2:18

    Le temps perdu à se cacher... Il était vrai qu'on perdait tellement de temps à ce cacher pour des raisons si stupides qu'elles pénalisaient un amour qui ne demandait qu'à s'épanouir. Allions-nous être encore ensemble dans 10 ans ? Et alors, elle ne serait probablement plus à great-academy (du moins, lui souhaitais-je) et alors là, nous allions pouvoir nous afficher en public. Mais qu'allait penser les gens ? Un homme mature avec une jeune femme, n'ayant même pas encore 20 ans. "Encore un autre salaud qui profite de sa jeunesse et qui, le temps venu, profitera également de son argent". Probablement que ces pensées surgiront dans leurs esprits. Mais j'étais persuadé que Tamara savait que ce n'était pas pour ça que j'étais avec elle, en ce moment, et pourquoi je désirais rester avec elle.

    La nuit était tombé depuis longtemps, plongeant ma chambre dans une pénombre discrète. Seule une petite lumière diffusait un éclairage subtil. En terme graphique, nous aurions pu appeler la luminosité de cette scène "lumière tamisée". Mais la scène en elle même était digne d'une scène de cinéma, digne d'un film romantique. Avec l'éclairage réduit, nos deux corps entrelacés un dans l'autre, nous étions réellement beaux à voir. J'étais à moitié assis sur le lit, le dos accoté sur le mur, et la belle Tamara, la tête et la poitrine sur mon torse, presque endormie. Je sentais son souffle sur mon épaule. C'était un moment magique. C'était MON moment magique. J'ignorais si elle dormait ou si elle n'était que très calme, mais malgré tout, je la serrai très fort dans mes bras et embrassai sa nuque.

    Doucement, toujours en gardant cette belle demoiselle en dérive dans les bras de Morphée contre moi, je me laissai glisser entre mes couvertures, réchauffées grâce à la température de nos corps amoureux. J'eus l'impression que Tamara dormait déjà, car elle ne bougeai pas. Je l'embrassai de nouveau, mais sur le front cette fois, puis fermai les yeux et m'endormis à mon tour.


Vouala, RP terminé !
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