Help... I need somebody...Help

Sujet: Help... I need somebody...Help Jeu 7 Juil - 19:59

Rêve... rêve...
J'avançais tranquillement sans même savoir où j'allais. Je me rappelle avoir pris mon cellulaire, avoir appelé... quelqu'un. Mais qui est-ce que j'avais appelé? J'avais beau tenter de me rappeler, rien ne me revenait. Je me souvenais par contre d'avoir été invité par le gars qui me fournissait ma drogue. C'était une fête je crois... Il n'y avait pas d'alcool, mais il y avait toute sorte de drogue. De la Marijuana, du GHB, de l'ecstasy, de la cocaïne, du mush, tout y était. Toute la soirée, je m'étais amusé, jusqu'à se que Éric, le gars qui me fournissait ma drogue, décide que s'en était assez.

Il en avait rat le bol de me voir prendre autant de drogues, rat le bol de me voir toujours ainsi. Alors il m'avait pris par le bras, avait prit mon téléphone. Alors c'était lui qui avait appelé quelqu'un... Mais qui avait-il appelé? Éric était tellement adorable qu'il ai venu me porté dans ces ruelles sombres et sales. Il est ensuite disparue. Juste un peu avant qu'il parte, je l'avais entendue dire ''dans les ruelles'' et ''elle est très mal en point''. Mais je n'entendis pas le reste de sa conversation. Il m'avait redonné le cellulaire et était partit.

Jamais auparavant, je m'étais sentit aussi seule, aussi désemparé. Puis, en flash, je me vis mangé durant cette soirée. BEURK!! ah non, je n'ai pas fait ça... Alors vomis Stelly, vomis. J'enfonça mon doigt profondément dans ma gorge et lentement je sentis pour la millième fois la merveilleuse sensation de dégueulis monté dans ma gorge. La magnifique sensation du brûlement au contact de l'acide et de la parois de ma gorge. Puis tranquillement, je m'étendis sur le sol gelé et remplis de vomi.

Je tenta de fermé les yeux, mais je ne pouvais pas. Je savais très bien que quelqu'un allait venir me cherché. J'espérais seulement que ce n'allait pas être Noah ou pire encore Jonathan. Noah ne ferait que s'inquiéter... Enfin je crois. Tandis que Jonathan m'engueulerais. Et c'était la chose que je désirais le moins en ce moment fatidique.

Puis, j'entendis un bruit, j'entrevis un sans-abris. Il s'approchait de moi. Je sentis que mes vêtements étaient retiré. Je n'avais plus la force de combattre.

J’étais profondément endormis et ce depuis un moment déjà. La journée n’avait pas été très longues, ni mouvementé mais j’avais du sommeil en retard et j’avais besoin d’être a cent pour cent pour tenir le choc durant les journées à venir. La vie d’étudiant n’était pas si facile que l’ont pourrai le croire. Il fallait apprendre à nous gérer seuls, a jongler entre les cours, les activités extra-scolaire, les amis et les petite-amies. C’était vraiment pas de tout repos mais il me semblais qu’en trouvant le bon équilibre, j’y arriverais sans problème. J’en était certain. Je dormais a point fermé quand la sonnerie de mon portable retentit dans toute la chambre, calme, sans bruit. Je crus que ce bruit allait me rendre dingue. J’attrapais mon téléphone, regardais quelque instant qui était mon interlocuteur et lorsque je vis de qui il s’agissait, je fut étonnamment bien réveillé et décrochait rapidement, anxieux. Mais au lieu de la voix fluette et dans les vapes que je m’attendais a entendre a l’autre bout du téléphone, ce fut une voix peur sur d’elle d’homme, probablement stone ou en passe de l’être.

« Allo ? » Dis-je la voix roque. « Qui êtes vous ? Ou est Stelly ? »
« Je …. Je m’appelle Eric … Je suis un ami de Stelly. » Répond t-il comme après un gros effort.

Je n’avais qu’une seule envie, qu’il me dise tout ce qu’il avait a me dire pour que je sache pour c’était lui qui appelé du portable de Stelly et pourquoi il semblait être très inquiet et vraiment pas bien. Je soupirai avant de continuer, lasse de ce genre d’appelle.

« Ou est Stelly ? Qu’est ce qui c’est passer ? » Demandais-je, plus rudement que je ne le voulais au départ.
« On est dans les ruelles … Elle est vraiment pas bien , elle a trop abusé ce soir … Il faut que vous veniez, je peux pas rester » Balbutia la voix à l’autre bout de mon portable.

Je me redressais prestement dans mon lit, inquiet comme jamais. Je repoussais les draps, le téléphone toujours à l’oreille et commença a chercher des vêtements pour m’habiller pour aller la chercher. Encore une fois je devrais la sauvé, m’occuper d’elle. Je m’assis sur le bord de mon lit, essayant de retrouvé mon calme.

« Ok, j’arrive le plus vite possible » Lançais-je.
« Dépêchez-vous elle est très mal en point » dit mon interlocuteur avant de raccrochais.

Je posais mon portable sur le lit, et m’habillais le plus rapidement possible. J’espérais que Stelly allait s’en sortir, qu’il n’était pas trop tard pour elle. J’enfilais mon tee-shirt et attrapais rapidement mon portable sur le lit et les clef de ma voiture sur la comMode et quitter ma chambre en catastrophe après avoir maladroitement attrapé une couverture. Stelly en aura besoin sûrement. Je dévalais les escaliers comme un fou et courais jusqu'à ma voiture, je n’avais pas une minutes a perdre. Je lançais la couverture derrière et enclenchais le contact. Je roulais vite, au maximum de la vitesse autorisé. Plus le temps passer et plus Stelly était en danger, toute seule, dans les ruelles, la nuit. J’étais tellement focalisé sur elle, que je ne vis pas la distance passer. Je garais rapidement ma voiture, attrapais mon portable et la couverture et courais dans les ruelles sombre.

- Stelly ??? M’écriais-je dans la nuit noir. STELLY !!!

Je courais comme un fou, forçant sur mes yeux pour qu’ils s’habituent plus vite a l’obscurité de la nuit. Je courais vérifié dans toutes les ruelles, les unes après les autres. J’allais perdre espoir quand dans l’une d’elle, je vis un homme, sans abris au vue de l’allure qu’il avait se penchais sur le corps vivant d’une jeune fille a la chevelure familière. Je courais dans leur direction, d’un pas rapide, serrant mes poings près a engager la bagarre si le type s’approchait trop de Stelly-Ann. Attrapant le gars et le frappant si violemment qu’il tomba a terre, sonné, je vis qu’en faite il avait déshabillé Stelly, heureusement, il n’avait pas eu le temps de tous enlevé avant que je n’arrive. Je me laissais tomber près de Stelly, et la prenais dans mes bras.

- Stelly … Tu m’entend ? Demandais-je en baissant les yeux sur elle, si frêle et terrorisé. Je déposais la couverture sur elle pour qu’elle est plus chaud. Je suis là maintenant, ne t’en fait pas, tu n’est plus toute seule.

Elle semblait vraiment très faible et a peine consciente de ce qu’il se passait. Il fallait que j’appelle quelqu’un en renfort, pour que l’ont m’aide, je ne pourrais pas la surveillé 24h/24 et j’avais besoin d’aide. Puis je repensé au garçon d’on Stelly m’avait parler il y a quelques jours … Noah. Elle semblait l’apprécié et il m’avait eu l’air digne de confiance. Je cherchais le téléphone de Stelly des yeux et le trouvait finalement, par terre, près de ses fringues. Je le saisis et rechercha ce Noah dans son répertoire. Je le trouvais et l’appelais.

« Allo Noah ? Je m’appelle Jonathan, je suis désolé de te réveillé mais Stelly a besoin de toi. Je suis avec elle et elle va pas bien, rejoins moi dans la ruelle le plus vite possible ! » Lançais, en serrant Stelly contre moi.

Il me répondit d’un voix endormis qu’il arrivait dès que possible.

Il était déjà vingt heure, Noah se dépêchait de se préparé malgré la fatigue que lui avait causé sa journée. Il avait du rattraper le retard qu'il avait pris avec cette journée de cours qu'il avait raté quelque jour auparavant. En plus de quoi son père lui avait fait une surprise en venant lui rendre une petite visite. Tout aller à merveille chez les Sky, monsieur avait encore reçu une promotion, madame avait été envoyer enseigner dans une autre université qui lui offrait un salaire deux fois plus élevé. Si seulement ces deux là pouvaient ouvrir les yeux et voir au delà de leurs rêves et de leurs espoirs. Mais en attendant Noah les observaient vivre, heureux et pleins de vie, cela lui faisait plaisir de les voir ainsi. Pourtant il ne pouvait s'empêcher de se sentir exclus de tout ce bonheur. Depuis quelque temps il avait tendance à trouver son existence fort ennuyeuse. Chaque jour était si banal et chaque rencontre tellement étrange et surprenante. En réalité il remerciait chaque personne qu'il avait rencontré pour lui avoir offert un moment même infime de ce qu'est la véritable vie.

Son père était donc passé le voir, toujours vêtu de son inimitable costume noir, le noir était une couleur qui lui allait à merveille. Il faisait tout juste trente ans alors qu'il en avait bien presque cinquante. Il était terriblement énergique et Noah se demandait parfois s'il n'était pas un peu hyperactif. Mais pour le moment le plus important était qu'il était là pour lui et pas pour voir si ses études se passait bien ou encore s'il avait réussi tel ou tel concours. La journée avait donc commmencé avec des rires, Noah n'avait jamais autant rit de toute sa vie. Un tour dans l'un des meilleur restant de NewYork puis une promenade à CentralPark et enfin un détour par la demeure fammiliale. Tout avait été parfait, parfait usqu'au moment où son père ouvrit les lèvres et prononça ces quelque mot : "Ce soir nos actionnaires ont organisés une grande soirée pour fêter la réussite d'un projet sur lequel je travaillais. J'aimerais que tu y vienne, je suis sûr que ce sera le moment idéal pour te présenter." Et il avait laissé Noah seul après avoir reçu un appel. Celui-ci s'installa sur un fauteuil et ouvrit l'une des bouteille de vin de son père.

Il ne se souvenait pas de ce qu'il avait fait par la suite, personne ne pouvait lui dire qu'il avait bu et bu jusqu'à vider la bouteille. Une fois la bouteille vide il s'était endormie complètement saoule, ce fut la sonnerie de son téléphone qui le réveilla. Il poussa un grognement et sans regarder où il posait ses mains il essaya d'attraper son téléphone. Une fois qu'il l'eut entre les mains il remarqua le nom qui s'affichait "Stelly". Il passa une main sur son visage et se leva tout en décrochant.

"-Allô ?" Il ne pu s'empêcher de bailler discrètement.

«Allo Noah ? Je m’appelle Jonathan, je suis désolé de te réveillé mais Stelly a besoin de toi. Je suis avec elle et elle va pas bien, rejoins moi dans la ruelle le plus vite possible ! »

Tout d'abord la surprise d'entendre une voix masculine mais lorsqu'il entendit que Stelly n'allait pas bien cela fut comme une bonne douche froide et il fut comme réveiller. Il répondit alors en fonçant dans la salle de bain pour passer sa tête sous l'eau.

"-J'arrive tout de suite !"

Il sortie promptement de la salle de bain une fois complètement réveiller, il portait une veste noir, chemise blanche et un pantalon aussi noir que sa veste. Il descendit les quelque marche qui le séparait de la cour et aperçut alors sa moto. C'était plutôt risquer vu l'alcool qu'il venait de boire mais c'était sans doute le moyen le plus rapide qu'il avait de rejoindre ce "Jonathan" et Stelly. Heureusement la clef était toujours dessus, il n'eut qu'à la tourner et il fut en route. Cela ne lui rpit que peu de temps avant d'arriver. Par contre "une ruelle".... ce fut assez difficile de le trouver, mais bien vte après dix minutes de recherche il aperçut une gigantesque masse dans une des nombreuses ruelle. Il s'arrêta et descendit, remarquant alors avec stupéfaction qu'il avait oublié de mettre son casque tant il était inquiet. Il s'avança alors vers cette gigantesque masse de muscles qui plus il s'approchait plus elle ressemblait à un étudiant. Une fois à cinq mètres il remarqua alors Stelly et accèléra le pas.

"-Est-ce qu'elle va bien... qu... qu'est-ce qui s'est passé ?"

Il s'accroupit une expression inquiète sur le visage, juste à côté de Jonathan qui tenait Stelly entre ses bras. Il remarqua l'état des vêtements de son amie et retira alors sa veste pour la lui mettresur les épaules. Il observa Jonathan attendant de lui des réponses ou au moins un résumé de cette situation s'il en avait un. Mais son regard se reporta immédiatement sur la jeune femme qui se trouvait dans un état plus que lamentable.

Je n'étais pas inconsciente, j'avais l'impression de plané sur des nuages, j'étais maintenant presque nue. Je sentais le vent frôlé ma peau chaude comme un volcan en éruption. Puis, j'entendis mon nom, je ne voulais pas reconnaître sa voix. Même à moitié consciente, j'avais appris à reconnaître sa voix parmi tant d'autre. Sa voix si chaude, douce et toujours inquiète. Il avait toujours ce besoin d'être protecteur envers moi, comme si j'étais sa... petite soeur ou je sais pas quoi. Il a toujours senti le besoin de me protégé et de m'empêché d'être moi. Jonathan Weathy. Je ne voulais pas le voir, et Éric savait très bien se qu'il représentait pour moi. C'est certainement pour cette raison qu'il l'avait appelé lui et pas un autre de mes contacts sur mon portable. Il savait que Jonathan allait arrivé rapidement, qu'il s'occuperait bien de moi. Mais il savait aussi que j'allais avoir droit a un autre de ses sermons interminables sur les dangers des drogues et tout le tralala qui venait avec.

Il fallait voir le bon coté des choses, Noah n'était pas venu. Au moins, il allait pouvoir dormir en paix. Il y avait au moins une personne de mon entourage qui n'allait pas être inquiet pour moi. Je sentis la chaleur d'une couverture sur mon corps obèse et certainement en très mauvaise état. Puis, je l'entendis me demander si je l'entendais, il me dis par la suite qu'il était là et que je n'étais plus seule. Je souris de cette ironie. Il y a à peine quinze minutes, je me sentais seule, désemparé, terrorisé. Et comme s'il avait lu dans mes pensées, il m'avait dit que je n'étais plus seule. Il y avait un peu d'ironie dans la situation... non?

Plus le temps avançait, plus j'avais l'impression de partir de ce monde. J'étais peut-être enfin sur le point de faire un overdose. J'avais lu sur internet que si on survivait d'un overdose, qu'on allait maigrir hyper rapidement. Ça allait être super! Puis, j'entrevis Jonathan chercher mon portable des yeux et le trouvé. Oh non... il allait appelé quelqu'un d'autre... Peut-être les ambulanciers? J'entendis des brins de conversation. ''Stelly a besoin de toi...'' '' Elle va pas bien'' . Ce n'était pas les ambulanciers qu'il avait appelé mais bien quelqu'un que je connaissais.

Je sentais les bras musclés de Jonathan me serré fort contre lui. Je n'étais plus seule. J'étais heureuse mais prévenante de la situation. Quelques minutes passèrent avant que quelqu'un d'autre arrive. Et j'espérais encore une fois ne pas reconnaître la silhouette de la personne qui avançais a toute vitesse. C'est encore une fois, la voix qui me fit comprendre que j'allais passé un double mauvais quart d'heure. C'était celle de Noah. On c'était rapproché lui et moi. Peut-être pas au point de dire que nous étions proche, mais au point de dire que je tenais beaucoup à lui et commençait a lui faire confiance. Je le vis s'accroupir et là, je sourie, un vrai sourire, d'une femme heureuse. Les deux personnes à qui je tenais le plus étais penché sur moi, en piteuse état. Puis, en plus de la couverture, Noah ajouta sa veste sur mes épaules. Pensaient-ils tout les deux que lorsque nous étions sur le point de mourir, nous avons froid?

-Les gars... murmurais-je. C'était toute une soirée, riais-je. Et avec le peu d'énergie qui me restait, je me débarrassa des bras de Jonathan et tenta de me lever en y arrivant plus ou moins. Qui est-ce qui me ramène chez moi?

Je les regardais, tenant à peine sur mes jambes. J'avais la veste de Noah comme haut et je m'étais arrangé pour que la couverture de Jonathan me soit utile comme bas. Je tenta de faire un pas, mais sans trop de succès car je m'effondra dans... Eh ouais, dans une poubelle. C'était bien ma chance! La poubelle se renversa et je m'effondra, une fois de plus, sur le sol.

Spoiler:

Je savais que c'était inévitable mais ma pire crainte venait de se réaliser. Stelly allait mal vraiment très mal puisque c'était un de ses amis qui m'avait prévenu de son état. Je voulais tellement qu'elle comprenne que cela pouvait vraiment mettre çà vie en danger. Je n'en pouvais d'avoir a chaque fois qu'elle ne se relève pas. Elle n'en faisait qu'a sa tête sans pensé à moi et aux personne qui tienne à elle. Lorsque j'étais arrivé à l'endroit ou on m'avair dit que Stelly sezrait, un homme était sur elle. Mon sang n'avait fait qu'un tour dans mes veine, j'étais mord de trouilel qu'il lui est fait du mal, que je sois arrivé trop tard cette fois. Après avoir fait fuir l'homme, je m'occupais de Stelly et la serrais fort dans mes bras ou elle serait en sécurité. Je ne la quittais pas yeux, tellement effrayé a l'idée qu'elle ne se relève pas. Elle était vraiment mal en point, je craignais qu'elle fasse une overdose. Je savais que je n'y arriverais pas tout seul, qu'il faillait quelqu'un qui m'aide, Je décidais d'appeler Noah, le mec de quo Stelly était le plus proche après moi. Je savais qu'il tenait à elle et qu'il ne la laisserais pas tombé. Une fois le Noah en question prévenu, je me concentré sur Stelly en attendant qu'il arrive. Une trentaine de minutes de plus tard, du bruit se fit entendre la ruelle. Sur le qui vive, j'observais l'inconnu approchait et me détendit quand j'aperçus l'homme que j'attendais, grâce a la description que m'en avait faite Stelly l'une des rare fois ou nous avons pu parler sans nous disputer.
Je le regardais. Je ne le connaissais pas assez pour lui faire totalement confiance même si il avait l'air d'un gars bien.

- Est-ce qu'elle va bien... qu... qu'est-ce qui s'est passé ?

Je le regarde et voit son visage tirait par le chagrin, pas l'inquiétude. Il ne pouvait pas stimuler ces émotions présentes sur son visage qui en bien plus que des paroles. Surement, ces même émotions étaient présentes sur les trait de mon visage tant j'étais très inquiet pour elle. Je portais mon regard sur le garçon puis sur Stelly a tour de rôle. Enlevant des cheveux de devant les yeux de Stelly, je pris une inspiration pour tout dire à Noah, comme je le devais. Lui, il s'accroupis devant nous, une mine vraiment triste.

- Elle ne va pas bien, Noah c'est çà ? Lui demandais-je en levant les yeux vers lui. Je crains qu'elle ne fasse une overdose. Ce n'est pas la première fois que je le retrouve dans cette état tu sais ? Elle se drogue sans modération et elle n'écoute rien de ce que je lui dit pour tenter de l'aider a décrocher mais rien a faire, elle ne m'écoute jamais ! Déplorais-je en soupirant.

Je ne comprenais vraiment pas Stelly. Elle se détruisait de plus en plus et le pire dans tout çà, c'est que c'était ma faute, ma putain de faute car je ne l'aimais pas assez selon elle. Mais j'aimais Stelly, croyait t-elle que n'importe qui resterais veiller sur elle toute la nuit car elle a abusait de la drogue ? Que toute le monde se mettrait en quatre pour qu'elle s'en sorte ? Je ne crois pas non. Pourtant j'étais la moi, bien plus que n'importe qui d'autre pour elle, elle n'avait que moi et elle trouvait le moyens de me faire culpabiliser, et cela marcher comme sur des roulettes. Tout d'un coup, je sentis Stelly bougeait dans mes bras.

- Les gars... murmura t-elle en nous regardant. C'était toute une soirée … Rigola t-elle comme si tout cela n'était qu'une blague. Elle se tortilla dans mes bras et s'échappa avant de se remettre tant bien que mal debout, pas stable du tout sur ses jambes. Qui est-ce qui me ramène chez moi ?

Je la regardais dépité et vraiment très inquiet pour elle. Je devais vraiment l'emmener a l'hôpital, peu être cela la ferais prendre conscience qu'elle peut mourir si elle ne fait pas plus attention a elle, à sa vie. Je me levais a mon tour et Stelly fit quelque pas avant de finir dans une poubelle qui tomba et elle se retrouva par terre, tel une épave. J'allais vers elle et appeler Noah pour qu'il m'aide a la relever.

- Je ne doute pas que tu sois bien amusée Stelly ! Lançais sarcastique a souhait, lassée de me sentir coupable de son état. Chez toi ? Oh que non, tu ne restera pas seule dans cet état Stel' ! C'est beaucoup trop dangereux pour toi. On va rester avec toi, ou peu être que je te laisserais au bon soins de Noah !

- Elle ne va pas bien, Noah c'est çà ?

Bien sûr qu'elle ne va pas bien, il suffit de l'observer pour le comprendre, mais Noah avait besoin de l'entendre. Son sang froid était une qualité dans cette situation, même s'il resentait comme un vide en lui. De l'inquiètude, une énorme inquiètude à l'égard de l'état de santé de cette personne. Il avait eu tout juste le temps de la connaitre que déjà il s'inquiètait pour elle autant qu'il se serait inquiété pour une personne cher à son coeur.

"- Je vois, oui c'est bien moi. Jonathan je suppose, enchanté même si ce n'est pas vraiment les conditions idéal pour une première rencontre."

Toujours un genoux à terre face à Jonathan et Stelly il observait dans le vague, répondant d'une voix qui ne degageait rien. L'hôpital semblait être la meilleure solution au vu de son état. Il ne pouvait pas utiliser sa moo, donc il fallait espérait que l'ami de Stelly disposait d'une voiture. Mais était-ce une bonne idée de la déplacer jusqu'à sa voiture.

- Je crains qu'elle ne fasse une overdose. Ce n'est pas la première fois que je le retrouve dans cette état tu sais ? Elle se drogue sans modération et elle n'écoute rien de ce que je lui dit pour tenter de l'aider a décrocher mais rien a faire, elle ne m'écoute jamais !

Mer**, il ne manquait plus que ça, l'hôpital devenait une très mauvaise idée tout à coup. S'il l'emmenait là bas certes elle serait secouri mais elle risquait d'avoir des problèmes. Il serra le poing tout en essayant de réfléchir, une horrible migraine commençait doucement à le faire souffrir. Il fallait dire que deux bouteilles de vin ne faisait pas bon ménage même s'il avait pris une bonne douche froide. Il sursauta soudainement puis fixa le corps qui semblait pourtant inconscient peu de temps auparavant.

-Les gars... C'était toute une soirée.

Noah ne pu s'empêcher d'esquisser un sourire de soulagement, elle lui avait fait une peur bleu. Elle semblait avoir assez d'énergie pour se releever, il l'observa d'un air perplexe comme s'il s'attendait que quelque chose de déplaisant arrive sous peu.

-Qui est-ce qui me ramène chez moi?

Ah ! Trop tard elle venait de terminer dans une poubelle, une poubelle, Noah était un peu trop surpris pour réagir sur le coup. Ce n'est que lorsque Jonathan l'appela pour lui donner un coup de main qu'il sembla se réveiller, et se dirigea vers ces deux personnes qu'ils ne connaissaient pas vraiment à y réfléchir. Cette année était définitivement surprenante et chaque étudiant l'était aussi à sa façon.

- Je ne doute pas que tu sois bien amusée Stelly !

Une note sarcastique, Noah leva un sourcil mais ne dit rien même s'il n'appréciait pas vraiment cette façon de s'adresser à une personne qui se trouvait dans un tel étt. Mais au fond il ne connaissait pas leur relation donc il fallait mieux qu'il garde le silence autant qu'il, le pouvait.

- Chez toi ? Oh que non, tu ne restera pas seule dans cet état Stel' ! C'est beaucoup trop dangereux pour toi. On va rester avec toi, ou peu être que je te laisserais au bon soins de Noah !

Noah souffla à Jonathan une simple question alors que cet échange commençait quelque peu à l'agacer.

"- Vous êtes venu en voiture ?"

Une fois qu'il eut la réponse il ajouta simplement :

"- Je vais garder un oeil sur elle, vous devriez aller chercher votre voiture et vous rapprochez un maximum. Je pense qu'il vaut mieux éviter tout geste brusque..."

Il attrapa la main de Stelly et esquissa un sourire en la regardant.

"- La vie semble être un grand jeu n'est-ce pas...."

Il poussa un soupir.

"- Un jeu où seul s'amuser compte, où la vie n'a aucune importance, aucune valeur..."

Il serra sa main avec force, mais pas de façon à lui faire mal, simplement pour qu'elle sache qu'il était là juste à côté.

"- A moins que ce jeu ne sert qu'à fuir, s'éloigner d'une réalité à laquelle on ne peut faire face."

Il se mit à rire doucement, une larme coula sur sa joue.

"- Je dis n'importe quoi... mais si tout ça a un sens, demain tu te réveillera à nouveau et le jeu reprendra...."

Noah parlait aussi bien pour lui que pour Stelly, même s'il ne la comprenait pas encore, même s'il ne la connaissait pas assez. De supposition à supposition on finissait par comprendre un peu l'état d'esprit des étudiants dans le cas de Stelly. Fêtes, alcool, drogue, sexe... et j'en passe et des meilleurs, essayer d'échapper à la réaliter, d'échapper à une souffrance qui nous dépasse.

"- Quand le jeu reprendra on devrait passer plus de temps ensemble..."

Il hochait la tête tout en parlant, forçant son visage à garder le sourire alors que franchement cette situation était vraiment étrange.

Je me décourageais moi même, j'étais tellement étourdis que même avec des béquilles ou une chaise roulante, je réussirais à me planter. J'avais tellement l'impression d'être dépendante des deux hommes qui étaient à mes cotés que je me sentais encore plus pathétique...

Je ne comprenais plus le but de tout se qu'il m'arrivait, pourquoi je tentais de suivre si je ne voulais pas être dépendantes d'eux? Et c'est dans ces moments que je me rends compte que j'ai trop poussé... que je suis allez trop loin... Que parfois, il y a des limites a ne pas franchir et que si je voulais avoir une place dans le coeur de Jonathan, je ne pouvais me permettre de continuer ainsi.

Mais d'un autre coté, je savais très bien que le jour où j'aurais la place que je désire dans son coeur n'existait pas. Que c'était pour cette raison que je me noyais, que je retrouvais dans ces situations qui déplaisait tant à Jonathan.

J'entrevis mon amour depuis toujours s'avancer vers moi après ma chute et appeler Noah. Puis, Jonathan me dit quelque chose en étant sarcastique, je sais pas trop quoi par exemple... Mais je sais qu'il ne voulait pas me rapporter chez moi et qu'il voulait rester à mes cotés.

Oh... c'est à ce moment que je me rappelais pourquoi je faisais tout ces choses, pourquoi je me retrouvais dans ces situations. Les yeux inquiets de Jon... Sa voix si chaude à mes cotés, ses bras se refermant autour de moi. Sa présence était pour moi une chose si importante que je multipliais les occasions pour qu'il me sert fort contre lui, qu'il me console ou même dans certain cas, qu'il prenne une bonne douche avec moi. Que des souvenirs qui me hanterais toute ma vie parce que pour le moment et pour le restant de sa vie, son coeur sera occupé... Mais dans les courts moments où il est en ma présence, où il s'inquiète pour moi, où il me laisse me coucher à ses cotés et où on passe la nuit dans les bras l'un de l'autre, j'ai l'impression d'avoir la place dans son coeur que je n'aurais jamais...

J'entrevis par la suite le mécontentement de Noah face au ton de Jonathan. Puis, je les vis discuté de je ne sais quoi. Noah ne le savait peut-être pas, mais je n'avais aucune envie que Jonathan parte. Que se soit pour aller chercher la voiture ou même pour retourné chez lui... J'avais envie de rester avec les deux hommes qui était a mes cotés en ce moment.

-Ne t'en vas pas... je t'en supplie... réussis-je a murmurer.

Je ne voulais pas faire de peine à Noah qui m'attrapa la main tranquillement, mais Jonathan était beaucoup plus important à mes yeux. Noah n'était qu'un... qu'un substitut pour oublier Jonathan, pour moins souffrir. Si je réussissais à oublié Jonathan dans les prochains mois, peut-être qu'il allait être plus.... Mais pour l'instant, il n'était rien d'autre qu'un simple jouet....

Noah me dit que la vie semblait être un grand jeu. Je croyais plus en fait que la vie était un simple court laps de temps où les gens s'amusait à ne rien ressentir quand ce n'est pas le cas, à faire semblant. Comme le temps passe si vite, la vie est seulement une naissance, un adolescence, le temps d'être adulte puis vieux et là, c'est la mort qui se présente à ta porte tout dépendant la vie que tu as passé. Plusieurs disent que la drogue écourte la vie de ceux qui en prennent... Alors ma vie risque de se terminé assez rapidement...

Puis, Noah poussa un soupir et se mit a parler que le but du jeux était de s'amuser, que la vie n'avait aucune importance, aucune valeur. Mais si la vie n'avait aucune valeur, alors pourquoi les gens vivaient? Pourquoi ne pas en finir immédiatement avec se qu'on appelle la vie? Tout ceci n'avait aucun bon sens... Par contre, le fait de dire que seul s'amuser comptait dans le jeu qu'était la vie, j'étais d'accord. Noah me plaisait de plus en plus et ce seulement en quelque phrase...

Et dire que j'avais rencontré Noah après le différent que j'avais eût avec Jonathan... Ce dernier me disait qu'il avait peut-être un petit quelque chose pour moi... Pas dans ces mots si précis, mais c'était clair qu'il avait des sentiments mais évidemment, il aimait plus sa bien aimer... Et c'est quand j'en avais assez de tout ce charabia que j'avais reculer avec l'intention de m'en aller. Puis Noah est arrivé dans ma vie, je crois qu'il a eut le coup de foudre pour moi parce qu'il avait des étoiles dans les yeux au moment où il m'a vu... Ou j'avais peut-être trop consommé... Enfin, il était clair que je n'étais pas n'importe qui pour Noah et je l'assumais totalement. D'ailleurs, j'en profitais un peu aussi.

Il serra ma main encore plus fort, croyait-il que j'étais inconsciente? C'était le cas mais pas tout à fait. J'étais assez consciente pour voir et entendre, mais je n'avais plus de force pour réagir ou dire quoi que se soit...

Noah pris encore une fois la parole. Mais cette phrase avait du sens... Le jeu de la vie me servait en effet a fuir, à m'éloigner de la réalité à laquelle je ne pouvait faire face. Je fuyais mes parents, mon enfance difficile, ma relation inexistante avec Jonathan, ma pitoyable vie qui n'existait pas... Ce jeu qu'on jouait tous, était le jeu de la vie. mais pour moi, ce jeu n'était qu'une suite d'évènements qui servent tous à pourrir l'existence... Une réalité? Non... la réalité n'étais qu'un mythe, un autre monde que le mien. Dans mon monde à moi, il n'y a que du plaisir et de la fête par dessus une couche d'alcool... Peut-être que si je continuais de me le répété, j'allais finir par me convaincre que la vie était que tout ceci... Malheureusement, je savais très bien que la réalité était mon monde... Était le monde de tout les gens sur la Terre...

Je sais pas pourquoi mais il se mit à rire doucement, il me dit pas la suite qu'il disait n'importe quoi. Mais non dit pas ça! Puis, il me dit que demain lorsque je vais me réveiller, le jeu reprendra de nouveau. Il me connaissait mieux que je le croyais! Et oui Noah, pour moi, le jeu, comme tu appelle si bien la vie, ne cessera jamais, parce que le jour où je cesserais de prendre la drogue, de faire la fête et de m'amuser, c'est parce que je serais morte et enterré. Pourquoi? Parce que la drogue et les fêtes sont mes seuls moyens de défense, c'est lorsque je suis défoncé que j'ai l'attention des gens que j'aime et lorsque je suis défoncé que je ne souffre pas.

Puis, Noah me proposa de mieux se connaître. Je réussis à sourire avec le peu de force qu'il me restait. Je savais bien qu'il avait un peu de sentiment pour moi... Il allait m'être utile pour oublier celui que j'aimais le plus au monde.

Après tout, s'il s'attachait trop, je n'avais qu'à le jeté et en trouver un autre... non?

RP toujours d'actualité?

oO ! j'avais même pas vue la réponse ! :o
AUTANT POUR MOI !
je répond au plus vite, sachant que j'en est d'autre avant :S

bref, je vous tiens au courant Smile

Sujet: Re: Help... I need somebody...Help Mer 2 Nov - 14:05

Que se passe t-il pour ce RP? Archives?

Archivés car Noah supprimé et aucune réponse pour ce RP!

Sujet: Re: Help... I need somebody...Help