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« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT|

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MessageSujet: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyLun 10 Oct - 1:27

Ian & Amy
« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! »

« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul_Wesley_2_29 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 1314896774Amber%20Heard « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-Wesley-paul-wesley-21721446-100-100« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 2pq8kuc « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-paul-wesley-24122282-100-100 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Amber_Heard_Icon_3_by_ProjectRevolution

Got 2 luv U – Sean Paul ft. Alexis Jordan




    Cette journée s’était déroulée… Comme les autres. Je ne saurais trop vous dire en fait si elle s’était bien ou mal passée. Je m’étais réveillée de bonne heure, et j’avais profité d’une bonne et longue douche chaude, qui m’avait fait un bien fou. J’avais enfilé des vêtements, m’était installée à ma coiffeuse pour apposer une touche de mascara sur mes cils, et une touche de rouge à lèvre bois de rose sur ma bouche. Jusqu’à lors, rien de particulièrement extraordinaire… Les cours s’étaient succédés, j’avais déjeuné à midi avec des amis, et puis les cours avaient repris pour l’après-midi. Il faisait beau. En gros : une journée des plus banale. Presque ennuyeuse… Tout aussi ennuyeuse que le cours de droit que je suivais actuellement. Installée sur un côté dans l’amphithéâtre, je ne prenais même pas (je l’avoue ! Honte à moi !) la peine de prendre des notes. De toute façon, le professeur se répétait ! Il nous avait déjà dit tout ça la semaine précédente… Et je dois bien avouer qu’envoyer des sms était une activité qui, à l’heure actuelle, était mille fois plus attrayante. Surtout avec Skye. La pauvre devait être submergée de travail au café de son père, et pourtant, elle trouvait quand même le moyen de répondre à mon harcèlement… Quelle force de la nature cette jeune femme !
    Les minutes défilaient, beaucoup trop lentement à mon goût, et je me surpris plusieurs fois à…bailler. Oh pitié, que ce cours finisse, je n’en pouvais plus… A un moment mon portable vibra, et je baissais les yeux.

    Citation :

    « Dis, Am’, y a moyen que tu me rendes service ? Je dois faire la fermeture ce soir mais… j’ai un rendez-vous chez le médecin… Y a moyen que tu viennes me filer un coup de main ? »

    J’eus un petit sourire. J’avais bossé quelques temps dans le café du père de Skye (c’était d’ailleurs comme ça que nous nous étions connue Skye et moi), alors les fermetures, ça me connaissais…

    Citation :

    « Mais bien sûr ma belle ! T’as un rendez-vous galant, j’vais venir te remplacer ! Faut bien que tu t’amuses ma puuuuuuuce ! »

    Je m’amusais à voir Skye tenter de me convaincre qu’elle n’avait pas de « rendez-vous » mais bien un rendez-vous médical et, lorsque le cours fut terminé (enfin ! Mon dieu, merci pour cette délivrance !), je passais en quatrième vitesse chez moi déposer mes affaires, et enfiler une tenue autre que le jean et le sweat-shirt que je portais, et qui commençait à me donner chaud, malgré la saison. Un short en jean et un chemisier plus tard, je prenais la direction du café du père de Skye, mon Ipod en marche, battant la mesure de mes doigts fins contre ma cuisse à demi-nue. Lorsque j’arrivais, le café était déjà vide, et la jeune brune me lança un regard reconnaissant. Je lui adressais un sourire et un clin d’œil, et elle me jeta un chiffon à la figure, que j’attrapais d’un mouvement agile, avant de tendre la joue droite, sur laquelle elle déposa un baiser. Elle partit aussi vite que j’étais arrivée, me criant quelque chose que je n’entendis pas, car le volume de mon Ipod était au maximum. Je m’attachais les cheveux en une queue de cheval haute, d’où s’échappaient quelques mèches rebelles, à l’aide d’un élastique que j’avais au poignet, et attrapais le chiffon dans ma main droite, le produit nettoyant dans la gauche, après avoir callé parfaitement mes écouteurs dans mes oreilles. Ce qu’il me restait à faire était loin d’être compliqué : passer un coup de chiffon sur les tables, remettre les chaises en place, etc, passer un coup de balais… N’importe quel chimpanzé aurait été capable d’accomplir cette tâche. Et en musique, ça passe toujours mieux… Tandis que mes morceaux favoris du moment passaient (Dont’ wanna go home, Smile, Little Bad Girl…), je chantonnais les paroles en dansant en même temps que j’effectuais le travail de Skye. J’étais seule dans la boutique, je pouvais me laisser aller tout de même ! Pas de risque d’être surprise. Car, après tout, Skye avait bien pensé à tourner le panneau sur la porte qui indiquait que la boutique était fermée… n’est-ce pas ?
    Les premières notes de Got 2 luv U résonnèrent dans mes oreilles, tandis que je remettais en place une chaise, et je me mis à sourire. D’instinct, mon bassin se mit à bouger en rythme avec le tempo de la chanson… Ambiance nightclub dans un café en fin de journée… Que voulez-vous. J’aime danser et chanter, et toutes les occasions sont bonnes pour se lâcher un coup, et laisser sortir la « Wild Girl » qui est en vous ! Sur la piste, quand je me déhanche sous les regards admiratifs et lubriques des hommes, dans ma chambre, quand mon seul admirateur est mon miroir (voire mon voisin d’en face parfois !), ou bien dans ce café, où aucun regard n’est là pour se poser sur moi…
    Mais est-ce aussi sûr que ça ? Chantonnant, le dos tourné à la porte d’entrée, j’aurais sans doute entendu celle-ci s’ouvrir si j’avais baissé le volume… Ou bien j’aurais pu voir le jeune homme entrer… Mais non, il avait fallu que je sois en train de chanter, de danser, et de nettoyer une table par la même occasion, le tout, sans m’apercevoir de la présence d’une autre personne…
    Alors que mon bassin effectue une série de mouvements rotatifs et horizontaux, je fais une sorte de petit tour du moi-même et…

    « AAAAAAAAAAAAAAAAH ! »

    Mon cœur fait un bond dans ma poitrine lorsque mon regard se pose sur le jeune homme, tranquillement accoudé contre un dossier de chaise, occupé à me fixer, un petit sourire aux lèvres. Le fait est tellement inattendu que j’ai un mouvement de recul, et me prends les pieds dans un pied de chaise qui se trouvait sur mon chemin. Je mouline un instant des bras, tentant de retrouver un semblant d’équilibre (peine perdue !), avant de me sentir tomber en arrière. Mon cri reste bloqué dans ma poitrine, et mon dos entre violement en contact avec le sol, alors que je sens que j’entraîne une chaise ou deux dans ma chute, qui profitent bien entendu de l’occasion pour me tomber dessus… Forcément, il fallait s’y attendre ! Je pousse un gémissement de douleur, et soudain, une ombre passe sur mon visage.



Dernière édition par Amy E. Porter le Dim 18 Déc - 21:56, édité 1 fois
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Ian Blackwood

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyLun 10 Oct - 2:13

La fin de journée approchait aussi rapidement que le début de soirée s'annonçait. Ayant eu l'après midi de libre, Ian était aller se promener en ville, revoir des amis d'enfances dans la ville, et donc, l'après midi était passée on ne peut plus rapidement. Un sms l'avait averti qu'une soirée aurait probablement lieu ce soir, chose qui le fit soupirer. Il avait passé la journée a crapahuté dans les rues New-Yorkaise, il n'avait qu'une envie, rentrer dans sa chambre à la fac. Sauf qu'une soirée a laquelle il refusait d'aller était comme... comme.. il n'y avait pas de comparaison. Il était toujours partant pour une soirée, point finale. Et puis, être fatigué pour aller en cours ne lui avait jamais posé de problème. S'il n'arrivait pas a se lever le matin, tant pis. Il n'allait pas se faire du mouron pour si peu tout de même? Et quand bien même ferait-il l'effort de faire acte de présence, être assis sur une chaise ou un banc d'amphi n'a jamais tué personne, ça n'était pas non plus la tâche la plus exténuante qu'il soit...

Marchant dans la rue, son téléphone accroché a l'oreille, en pleine discussion sur des sujets absolument pas intéressant, voir macho, avec son colocataire, en train de lui raconté son dernier coup de façon très peu élogieuse pour la demoiselle prise pour une conne, Ian participait a la conversation par de simple approbation tel-que "mhh mhh" , " ok" , "je vois" , "oui", "t'as raison mec"... etc. Cherchant des yeux un taxi dans la rue, tentant d'en attraper un en le hélant d'un geste de la main, il regretta ne pas être une fille dotée d'une poitrine proéminente, afin d'obtenir tout ce qu'il voulait. Un bâillement a s'en décrocher la machoire lui fit prendre conscience qu'il était tant pour lui de mettre un terme a sa conversation qui devenait ennuyeuse, et de se trouver un starbuck dans le coin, ou un café, s'il voulait tenir toute la soirée. A son grand regret, il était dans des rues principalement commerçantes, et il dut marché encore un peu, afin de trouver ce qu'il recherchait. Le starbucks étant plein a craqué, et Ian n'ayant pas une patience des plus impressionnante, il decida de continuer sa route un peu plus. Il préférait largement s'occuper en marchant, qu'attendre comme un idiot dans une file interminable, avec une serveuse débutante qui n'arrivait pas a prendre une commande correctement. Profitant de ce temps là, il alluma une cigarette qu'il termina juste a temps, devant un café qui, semblait-il, était vide – a en juger par le regard qu'il jeta par la vitrine, entre les lettres qui formait le nom de cet établissement. Une jeune femme nettoyait les tables. Il fronça les sourcils en lançant son mégot par delà la chaussé, et chercha une pancarte des yeux, des horaires... C'était fermé ou c'était juste un café très peu fréquenté?

Posant son regard sur la porte, il esquissa un rapide sourire en remarquant une petite pancarte suspendu sur celle ci, annonçant qu'ils étaient ouvert. Bingo. Pas d'attente, pile ce dont il avait besoin. Il poussa la porte de verre qui émit un petit tintement léger et le brun entra, laissant celle-ci se refermer sur son passage, tintant a nouveau. " Bonsoir?" fit-il a l'intention de la jeune femme. Aucune réponse. Bon, au moins il comprenait a quoi était dut ce manque de clientèle... Ca devait être proportionnel au manque de politesse ? Peut-être n'avait-il pas parler assez fort? Il s'éclaircit alors la voix, et réitéra son acte de politesse, en vain. Bon. Et puis en faisant un peu plus attention, il entendit un son de musique étouffé. L'employé du café avait l'air de danser. Un lien logique se fit alors dans l'esprit du jeune homme. Elle ne l'entendait pas car elle écoutait de la musique – trop fort – et en prime de ça, elle ne l'avait même pas remarqué. A moins qu'il soit entré dans un bar dancing et qu'elle dansait pour un client invisible? Il se retourna machinalement pour vérifié sachant d'ores et déjà que ça n'était pas la raison, et reporta alors son attention sur elle. Combien de temps pouvait-il rester la sans qu'elle ne le remarque, lui offrant alors un spectacle pour le moins..peu ordinaire? Croisant les bras, il l'observa, amusé. Un coup d'oeil a sa montre pour définir l'heure, et c'est parti, que le spectacle commence... trente secondes... une minute.. deux. Trois ? Il se pencha un peu en avant et s'accouda sur l'un des dossier de chaise, continuant a observer la scène, sourire aux lèvres. " mademoiselle?" tenta-t-il a nouveau, d'un voix pas si déterminée que ça a être entendu. Aucune réponse. " joli mouvement", commenta-t-il, trouvant ça drole qu'elle n'entende absolument rien.. " très joli même" rit-il en observant les déhanchement. Bon si au bout de 5 minutes elle ne réagissait pas, il irait a sa rencontre en douceur, sait-on jamais qu'elle ait des problèmes cardiaques.. Et puis, ce ne fut pas la peine, elle se retourna de son plein gré, il lui adressa alors un sourire. Tout du moins, il conserva celui qu'il avait eu jusqu'ici. Seulement, la réaction de la jeune femme fut presque.. démesuré. Elle poussa un cri de surprise, et recula instinctivement. Il se redressa en voyant le drame se profiler doucement devant lui. Elle, des chaises sur les tables... " Attenti-" articula sans avoir le temps de terminer sa mise en garde, un raffut terrible l'interrompant. Il vit l'employé tomber dos au sol, et grimaça au bruit sourds des chaises claquant sur le sol. La scène aurait put être amusante encore, s'il n'avait pas entendu un gémissement de douleur. Il s'avança alors rapidement de la jeune femme et s'accroupissant coté d'elle, retirant la chaise qui lui était tombée dessus. Un instant il hésita a poser cette question idiote : ca va? ... Il jeta alors un coup d'oeil a la serveuse étalé sur le sol. Mhh, ça n'avait pas l'air d'être une mauvaise chute, mise a part la réception de la chaise sur elle... Dans une expression de visage mi inquiète, mi intriguée, il lui demanda : " heum.. Rien de cassée? " ajouter : encore capable de me servir un café? Aurait probablement été de trop. Il passa sa main dans son dos pour l'aider a se relever en douceur, lui laissant alors le temps de se rendre compte si tout son corps était fonctionnel ou non, et il s'excusa, un peu gêné : " Désolé de t'avoir effrayé. J'pensais pas pouvoir troubler a ce point les gens" fit-il dans un léger sourire, histoire de détendre l'atmosphère.
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyLun 10 Oct - 19:41

Ian & Amy
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Got 2 luv U – Sean Paul ft. Alexis Jordan




    Skye partie, je restais seule dans le café, mon Ipod poussé à fond dans les oreilles. Quitte à bosser pour rendre service à la jeune femme, autant le faire dans la bonne humeur et en musique non ? Perdue dans mes pensées et mes mouvements qui semblaient indiquer que j’étais en manque de boîte de nuit (et pourtant ce n’était pas comme si je ne sortais pas assez souvent !), je n’entendis ni la porte s’ouvrir, ni le « bonsoir » du jeune homme. Peut-être n’aurais-je pas dû mettre la musique aussi fort. Sans doute même, car ça m’aurait évité ce qui suivit : me retournant rapidement, pour effectuer un petit tour sur moi-même, je pris soudain conscience que je n’étais pas seule dans la salle. Le petit cri de surprise s’échappa de lui-même d’entre mes lèvres, et je m’emmêlais les pieds dans les chaises que j’étais censée ranger tombant à la renverse. Mes écouteurs sautèrent de mes oreilles. « Attenti… » J’atterris le dos sur le sol, et me mordis la lèvre en poussant un gémissement de douleur. L’ombre du jeune homme se détacha au dessus de moi avec la lueur des spots aux plafonds, et je sentis qu’il enlevait la chaise qui m’était tombée dessus. « Heum… Rien de cassée ? » Je fermai les yeux, et réfléchit intérieurement. Bras ? Ok. Jambes ? Ok. Bassin ? Ok. Mains ? Ok. Cerveau ? Présent. Je rouvris les yeux. Non, j’étais encore entière. Je fis doucement non de la tête. Nuque ? Ok ! Je sentis sa main venir se poser au niveau de mon dos, m’aidant par la même occasion à me redresser. Je m’appuyais sur son bras pour me relever, pliant les jambes, tirant sur ma tenue lorsque je fus debout. [b] « Désolé de t’avoir effrayé. J’pensais pas pouvoir troubler à ce point les gens. »[/ b] Je ne savais quel était l’effet qu’il avait compté obtenir en disant cela, mais si c’était de me faire devenir écarlate, sachez monsieur, que c’est gagné ! Mes joues se colorèrent de rose, et je me raclai la gorge, faisant prudemment un pas en arrière. Non mais ça allait les chevilles oui ? Il ne m’avait pas troublé, il m’avait…surprise ! C’était totalement différent.

    « Je euh… »

    Bien joué Amy, continue à bégayer, tu t’enfonces… Je me mordis la lèvre, passant ma main droite dans mes cheveux, afin de remettre plus ou moins en place mes cheveux.

    « Euh… Comment vous êtes entrés ? »

    Oui, parce que j’étais tellement persuadée que Skye avait tourné la pancarte « OPEN » pour « Sorry we’re close ! », que je ne comprenais même pas ce qu’il faisait là. Etait-il un fou échappé de l’asile, ou bien un dangereux criminel en fuite, qui n’avait pas trouvé mieux que de se réfugier dans un café fermé et désert pour échapper à la police ? Minute… Non, ce n’était tout simplement pas possible. Il fallait vraiment que je me calme, moi et mon imagination...débordante !

    « Eeeuh… On est fermés. Enfin, pas nous, mais le café quoi ! »

    Amy, Amy, Amy… Si j’avais été capable de me dédoubler (ou si j’avais été skizophrène), je me serai certainement mise une claque, ou tout du moins je me serai secouée un bon coup, histoire de me reprendre. « Plus tu parles, plus tu t’enfonces ma pauvre fille ! », voilà ce que je me serai sans doute dit. Je me mordis les lèvres, afin de m’empêcher de dire un mot de plus… Surtout que j’avais la (très !) désagréable impression que le jeune homme face à moi semblait s’amuser de cette situation. C’est qu’il allait vraiment finir par croire qu’il me troublait s’il continuait sur cette voix…
    D’un geste, je remis en place la chaise, objet de ma chute, me retenant pour ne pas la frapper (ce qui n’aurait servi à rien, vous en conviendrez, car une chaise ne sent pas quand on la frappe, vu que… c’est une chaise !), et posa le chiffon qui me servait jusqu’à il y a quelques minutes à nettoyer les tables sur le dossier de celle-ci, venant essuyer mes mains contre mon short. Euh. Oui, parfait, très bien, je venais de me taper la honte de ma vie (ou pas loin, parce qu’il m’en était arrivé des choses –dont je ne vous parlerai pas maintenant, afin d’éviter de m’enfoncer plus encore, et puis parce que ce n’est pas le sujet ! –dans ma vie) devant un parfait inconnu, qui semblait d’ailleurs à deux doigts de se moquer de moi (intimement, je me demandais comment il avait fait pour tenir tout ce temps pour ne pas exploser de rire car, reconnaissons-le, d’un point de vue extérieur, la scène était plutôt… Amusante. Beaucoup moins quand c’est à vous que ça arrive cependant.

    « Okay, si tu as l’intention de te moquer de moi, fais-le tout de suite, au lieu de te retenir, comme ça, tu en seras débarrassé, et ça m’évitera une mauvaise surprise dans quelques secondes… » lançai-je, d’un voix légèrement boudeuse.

    Nerveusement, je repris mon vieux tic d’entortiller une mèche de mes longs cheveux blonds autour de mon index, détournant le regard avec insistance, fixant un pont invisible sur le mur d’à côté, attendant la sentence comme un condamné : Ris donc, bel inconnu, ou tais-toi à jamais…

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyMer 12 Oct - 0:25

Ian observait la demoiselle qui changeait de teinte très rapidement après sa question, en simple guise de réponse pour le moment. Honnêtement, il comprit cette bouffée de chaleur comme étant la plus simple des réactions humaine et possible, a savoir, de la honte. N'importe qui aurait eu ce soucis d'affut de sang. D'une part parce qu'elle avait été surprise par sa présence, d'autant plus qu'elle devait se penser réellement seule – puisqu'aux dernières nouvelles on ne se dandinait pas dans un café ainsi – et d'autre part, sa dernière chute n'avait rien de très glorieux, si ce ne fut qu'elle avait miraculeusement réussir a s'en sortir indemne. Ça aurait été fâcheux de devoir l'emmener à l'hôpital tout de même... « Je euh… » finit-elle par articuler difficilement après, sans pour autant perdre ses pommettes rosées. Ça arracha un premier sourire au brun. La pauvre.. il la mettait mal a l'aise n'est-ce pas? Ennuyeux tout ça. D'autant plus qu'elle n'avait pas à l'être ! Elle mâchouilla sa lèvre tout en passant une main dans ses cheveux. Il avait fréquenté suffisamment de femmes pour savoir que ce geste était typiquement celui d'une fille gênée. Que se passait-il dans sa tête pour la mettre dans tout ses états? Il n'eut pas le loisir d'y réfléchir longtemps, celle-ci reprenant alors la parole : « Euh… Comment vous êtes entré ? » . Il plissa des yeux a cette question. Enfin, il plissa des yeux.. des paupières plus exactement, puisque techniquement, plisser des yeux est impossible. Bref, il la regarda avec des yeux emprunt a un certaine interrogation. Comment était-il entré? Devait-il vraiment répondre a cette question idiote, ou..?

Un instant, il songea a lui répondre un truc du genre : Bien qu'habituellement j'me prend pour le père Noël en descendant par les cheminée, aujourd'hui j'ai voulu innové en prenant la porte.. Mais il se ravisa. N'était-elle pas assez mal a l'aise pour qu'il rajoute une réplique cynique par dessus tout ça ? Cependant, cette question lui valut un nouveau demi sourire, et elle sembla comprendre la raison, puisqu'elle ajouta : « Eeeuh… On est fermés. » Ha, bonne précision. Effectivement, en envisageant le faite que le café aurait du être fermé, il devait être presque déstabilisant qu'elle y ait vu quelqu'un. M'enfin bon, il n'était pas tenu de le savoir.. Mais ça le rassura sur le fait qu'il n'avait donc pas un problème de clientèle... ! « Enfin, pas nous, mais le café quoi ! » commenta-t-elle, ce qui valut inévitablement un troisième sourire plus large au jeune homme. Oui, elle était vraiment gênée pour en venir a expliquer le simple terme de «  fermé »... Il avait évidemment comprit. Mais le fait qu'elle justifie par un  « nous », rappelant alors le terme « on » laissait penser qu'elle avait quelque problème de schizophrénie la pauvre petiote, parce que, jusqu'à preuve du contraire, elle était toute seule ici, hormis sa présence a lui... Et puis, le coté «  expansive » se mit de coté, calmement, elle décida de ramasser la chaise qui était tombée, et son chiffon, qu'elle posa par dessus. Peut-être allait-il enfin pouvoir en placer une? Histoire de s'excuser encore une fois de l'avoir effrayé, déranger, et partir? Il s'apprêta d'ailleurs a ouvrir la bouche quand elle le devança : « Okay, si tu as l’intention de te moquer de moi, fais-le tout de suite, au lieu de te retenir, comme ça, tu en seras débarrassé, et ça m’évitera une mauvaise surprise dans quelques secondes… » Il cligna successivement des yeux – ou paupières si vous préférez - complètement dérouté par cet...ordre? Il sentit son sourire se fendre en deux, laissant entrevoir ses dents, et, s'il ne s'en était pas empêcher en pinçant se sourire, il aurait probablement succomber a un fou rire. Cette fille était un vrai phénomène. Cependant, ayant un coté assez respectueux, ou simplement ne voulait-il peut etre pas l'enfoncer d'avantage – elle s'y prenait déjà suffisamment bien toute seule pour ça – il avait préférer rester calme. En plus de ça, elle se mit a regarder ailleurs d'une façon qui accentua la voix boudeuse dont elle avait eut usage quelques secondes plus tot..

«  Me moquer? » demanda-t-il comme cette idée lui était impossible a comprendre, comme si cette été n'avait a aucun moment effleurer son esprit.. «  je n'en ai jamais eu l'envie » mentit-il a la perfection. Mais bon, personne n'est parfait n'est ce pas? Et puis elle n'était pas dupe, n'importe qui aurait eut envie de rire, et beaucoup de personne n'aurait pas eu sa contenance quand a cette envie, parce que franchement, c'était presque remarquable de n'avoir ébauché que de simple sourire face a tout ça... «  Bon oui d'accord , capitula-t-il, D'accord, peut-être que j'en ai eu envie.. en même temps, difficile de résister a.. ça » fit-il la voix moqueuse. «  d'ailleurs, je serai partant pour tout reprendre depuis de début... on pourrait faire comme si je venait d'arriver, je te filme pendant que tu danse, et puis tu chute. Sur Youtube tu fais le buzz en une semaine tu sais ? » ricana-t-il en sortant son Iphone, pointant l'objectif sur elle avant d'ajouter, en baissant l'objet, le rangeant dans sa poche «  mais y'aurait plus cette authenticité ça serait dommage... » Bon, il pouvait peut-être laisser la demoiselle tranquille maintenant ? Il baissa les yeux sur l'objet par terre, et le ramassa avant de mettre un écouteur dans son oreille, écoutant la musique qui passait dans l'Ipod et lui fit : A défaut d'avoir un bon équilibre, t'as de bon goût musicaux. » Il retira l'écouteur et lui lui annonça, en se dirigeant vers la porte«  j'ai un deal a te proposer. Je t'aide a fermer, en commençant par retourner la pancarte – il s'exécuta, et tourna même le verrou de la porte et revint près d'elle lentement tout en continuant le marché – et toi tu me fais le meilleur café du monde, ok? » il lui tendit l'Ipod, en guise de signature de contrat. Remarquant que, ce qu'il venait de faire pouvait paraître.. étrange – dans le sens ou il était un inconnu qui s'enfermait avec une fille déjà mal a l'aise en sa présence – il lui adressa un sourire qui se voulait amicale. Au pire, si elle ne voulait pas, il n'allait pas l'assommer a coup d'écouteur non plus. Il partirait, voilà tout.
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyJeu 13 Oct - 3:29

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    Dire que j’étais mal à l’aise aurait en fait été un euphémisme. Le terme plus approprié était sans nul doute « littéralement morte de honte ». Et d’ailleurs, plus je parlais, plus je m’enfonçais. C’était le miracle Amy lorsque j’étais gênée (pour parler simplement). M’emmêler les pinceaux, rougir, dire des trucs débiles (comme par exemple « comment vous êtes entré ? », qui si dans mon esprit signifiait « comment ça se fait que vous êtes là alors que Skye est censée avoir tourné la pancarte indiquant que le café est fermé ! », était plutôt bizarre dans un autre esprit que le mien, car on se doutait bien que le jeune homme était passé par la porte : comme tout le monde.)… Vous voyez le tableau ! « Me moquer ? … Je n’en ai jamais eu l’envie. » Mon regard se fixa de nouveau sur le jeune homme. Ah, oui, vraiment ? Etait-il un saint, ou un excellent menteur ? La réponse ne tarda pas à se faire savoir, bien que j’aurais mis ma main à couper qu’il n’était pas un saint. Pourquoi ? Appelez ça l’instinct féminin ! « Bon oui d’accord… d’accord, peut-être que j’en ai eu envie.. en même temps, difficile de résister à… ça » Je poussai une sorte de petit gémissement plaintif, en levant les yeux au ciel. En effet, oui, « difficile » de résister… Pour ma part, je me serais sans doute allègrement moquée de moi-même si j’en avais eu l’occasion… Mmm… Ou pas… Malheureusement, j’étais, au fond, assez gentille, et je pense que je me serai plutôt précipité vers moi pour m’assurer que je n’avais rien… (il est assez étrange de dire ça ainsi… j’ai l’impression d’être schizophrène !) La voix du jeune homme se fit plus moqueuse… pour mon plus grand malheur… « D’ailleurs, je serai partant pour tout reprendre depuis le début… on pourrait faire comme si je venais d’arriver, je te filme pendant que tu danse, et puis tu chute. Sur Youtube tu fais le buzz en une semaine tu sais ? » J’ouvris de grands yeux. Non mais non mais ça n’allait pas bien dans sa tête à l’autre ?

    « Eeeeeuh… On va éviter ! Merci ! Je tiens à ma réputation ! »

    Mensonge, mais je n’avais aucune envie qu’une telle vidéo de moi traîne sur le net… Le jeune inconnu sortit de sa poche un Iphone, le pointant vers moi, et je vins placer ma main devant l’objectif de l’engin électronique.

    « Hum Hum ! »

    « mais y’aurait plus cette authenticité ça serait dommage… » Sage décision ! Je baissais la main en même temps que le jeune homme rangeait son joujou dans sa poche. Sage sage… Je l’observais, un sourcil haussé, se pencher en avant, et mon visage s’éclaira en voyant qu’il ramassait mon Ipod. Ah, mais quelle galanterie que voilà ! A croire que les vrais hommes existent encore ! « A défaut d’avoir un bon équilibre, t’as de bon goût musicaux. » Je lui lançai un sourire ironique, et tendis la main, afin de récupérer mon bien. Mais visiblement, le jeune homme-point-si-galant avait d’autres plans en tête. Il commença à marcher vers la sortie, mon Ipod à la main, et je me serais sans doute mise à crier au voleur, s’il n’avait pas commencé à parler… « J’ai un deal à te proposer. Je t’aide à fermer, en commençant par retourner la pancarte… et toi tu me fais le meilleur café du monde, ok ? » Joignant le geste à la parole, il alla retourner la pancarte, indiquant par la même occasion que le café était désormais fermé, et revint près de moi, déposant mon Ipod au creux de ma main. Je lui souris, et referma ma paume.

    « Marché conclu ! » lançai-je avec un sourire.

    Je passais de l’autre côté du comptoir, actionnant les diverses machines afin de préparer le café demandé par le jeune homme. Après tout, je n’étais pas à cinq minutes près… Je l’observais du coin de l’œil repousser quelques chaises… Mm… Je me demandais s’il avait jamais travaillé de sa vie… Quoique, pour ma part, je dois bien avouer qu’avant ces huit semaines de boulot dans ce café, je n’avais jamais eu à travailler… Ni d’ailleurs depuis… Mais c’était un truc plutôt marrant. Enfin… Moi j’aimais bien faire la fermeture.

    « Le produit pour nettoyer les tables est sur la table du fond… » lui dis-je, à tout hasard…

    Puisqu’il voulait m’aider à fermer, autant le faire complètement non ? Je lui adressais un sourire, tandis que la machine à ma droite sifflait, indiquant que le tout était presque prêt… Je virvoletais dans ma cuisine, à la recherche d’une tasse, en attrapa une, versa le café dedans, et leva la tête vers l’inconnu de service.

    « Noir, lait, sucre ? » demandais-je.

    Après sa réponse, je saisis la tasse à café, brûlante vous vous en douterez, et vint la déposer devant lui, la tournant de manière à ce qu’il puisse attraper la hanse sans problème. Je lui adressais un sourire, et récupéra le chiffon. Si j’avais eu un minimum de bon sens, nul doute que je n’aurais pas accepté son offre. Après tout, peut-être que c’était un dangereux psychopathe qui aimait découper les jeunes femmes blondes en sirotant un café ?
    Je lui lançai un regard à la dérobée… Mmm, il n’avait pas l’air dangereux mais, vous savez ce qu’on dit : Prudence est mère de sûreté…

    « Et puis-je savoir à qui j’ai affaire ? »

    Comme ça, s’il tentait de me tuer, je pourrais écrire son nom en lettre de sang sur le sol, et les policiers sauraient alors que c’était lui le coupable ! Bon, sauf que moi je serais morte, mais quitte à mourir, autant envoyer le meurtrier en prison non ?

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptySam 15 Oct - 16:42

La jeune femme referma sa main sur son Ipod avec douceur, avant de déclarer qu'elle acceptait les terme du contrat proposé par Ian, et ne tarda pas a les honorer. Elle fila en direction du comptoir et le son des machines a café fit sourire notre homme, un instant. Quand on veut, on peut, jamais cette expression n'avait été aussi vrai n'est ce pas? Il allait l'avoir ce foutu café, mais pour ça, il devait a son tour respecter les clauses de cet entendement. Ça lui fit presque perdre son sourire d'ailleurs. Il aurait préféré qu'elle accepte de lui faire sa boisson chaude, sans rien en échange, par pur gentillesse dirons nous. Quelle lui dise quelque chose comme ceci : un café? Bien sur, mais assied toi, je finirai mon travail après. Ce fut dans un soupir qu'il s'empara du chiffon sur le dossier de la chaise, et commença sa tâche. Il n'était pas fainéant, mais disons que faire le ménage lui posait problème. Pouvait-il revenir sur ce contrat, et payer le café a prix double? Triple? Peu importe.. Non, non. Il pouvait bien lui donner un coup de main, après tout, sans son entrée silencieuse – ou plutôt dissimulée par la musique – elle aurait peut-être fini sa journée, elle ne serait pas tombé mollement par terre... Allez, on se motive Blackwood ! Il fit une boule avec le tissu dans sa main, et passa sur la surface des tables, afin d'en ôter les tâches diverses ainsi que les miettes qui y trainait, envoyant le tout au sol. Il allait pas les mettre dans sa main non plus.. Il fit quelques tables avant d'entendre la voix de la demoiselle a l'autre bout du café, lui demandant de quelles façon il désirait le sien. Sans réfléchir bien longtemps, il l'informa : " noir.. très très très sérré " il allait en avoir besoin s'il voulait tenir un peu la soirée, déjà assommé par la fatigue. Il ajouta a la suite " sans sucre, s'il te plait." Ha, là dessus Ian avait tout d'une fille. Il évitait comme le diable tout ce qui était sucré, sans ceder a un paquet de bonbon ou autre. D'une part parce qu'il était plus salé que sucré, et puis parce qu'il mangeait suffisamment de connerie, ce qu'on qualifierait de junk-food ou de mal-bouffe. C'était pas qu'il faisait attention, ou pas de façon démesuré, mais il n'avait pas forcément envie de prendre 10kg pour rien...

Continuant sa part du marché, il attrapa les chaises et les posa sur les tables – du moins, celle qu'il avait déjà lavée. Avec tout ce qu'il avait laisser tomber par terre, il allait devoir passer un coup de balais. Oh comme il était attentionné notre petit là. Oui ou pas. Les termes étaient : je t'aide a faire la fermeture et toi tu me fais un café. Quand elle aurait fini, ils fermeraient ensemble, elle passera le balais, elle devait avoir ça dans les gènes puisque c'était une fille. Un poils macho pour le coup, effectivement. Mais il y avait plus de femme de ménage que d'homme n'est ce pas? C'était bien qu'il y avait une part de réalité dans ses pensées non? « Le produit pour nettoyer les tables est sur la table du fond… » précisa-t-elle un peu plus tard. Il se retourna, la foudroyant du regard alors qu'il venait tout juste de poser une nouvelle chaise sur la table, étant a environ la moitié de sa besogne. Du produit... Il regarda le chiffon entre ses mains. Quoi, c'était pas imbibé de produit cette connerie la? Avec tout ce qu'il avait du nettoyé? Il regarda alors les tables "propres" et serra sa main, écrasant le tissus dans sa paume. Ouais, on voyait encore les taches, mais... moins? C'était pas demain la veille qu'il allait être nommé roi du ménage le loustique. " t'aurais du le préciser encore plus tard tu sais " railla-t-il en allant chercher le pchit au fond de la salle. Il en vaporisa sur le tissus et repassa que rapidement sur les tables "déjà lavées", contournant les quatres pieds de chaise déjà dessus. De toute façon, le lendemain, ils allaient devoir les relaver si les chaises étaient dessus non? Bon ben alors, ça n'était pas impératif qu'elle brille.

La demoiselle vint lui apporter son mug après, dont il en attrapa la hanse avec un sourire de soulagement. Fini le nettoyage, c'était la pause ! Il souffla a la surface du liquide noir, et se risqua a une gorgée immédiate. Il était bon, cependant.. mhhh une pointe de chantilly ne serait peut-être pas de refus. Et tant pis pour les calories, il n'allait pas en mourir... Il lui avait rendu le chiffon, et elle le regarda en lui demandant : « Et puis-je savoir à qui j’ai affaire ? » Il haussa un sourcil, tout en soufflant a nouveau sur la boisson. Ha oui, bonne question. Enfin pas " bonne question" dans le sens " en voila une colle" mais plutot : tu as raison, on ne s'est pas présenté. Un instant il songea a l'effrayé pour s'amuser, lui donner le prénom d'un dangereux criminel, mais ayant une tasse bouillante entre les mains et ignorant la réaction qu'elle aurait pu avoir, il se contenta de lui dire la vérité : " a un mec vraiment sympa tu n'trouve pas? " il sourit alors et ajusta sa réponse : " mais appelle moi Ian, c'est un synonyme." Il reposa sa tasse sur la table a coté de lui, et leva la main devant elle en lui disant : " attends deux secondes " Il se dirigea alors ensuite pres du comptoir ou il y sauta fesses dessus, et tourna sur lui meme pour entré dans la parti "employé". Oui il aurait pu prendre le même chemin que tout le monde, sans sa petite cascade, mais il n'avait pas souvent l'occasion d'entrer comme ca dans cette zone, ou d'entrer dans cette zone tout court même. Sautant a pieds joints sur le sol, il lui adressa ensuite un sourire et lui demanda, comme la politesse l'en obligeait " et toi, je dois t’appeler comment ? " il se tourna vers le frigo caisse et y prit une bombe de chantilly tout en parlant " la femme du café, la femme qui se laisse entrainé par un inconnu? Ou tu as un vrai prénom bien a toi?" S'il était venu de l'autre coté du comptoir, ça n'était pas exclusivement pour la chantilly. Ses yeux se baladèrent sur le bas de celui-ci, cherchant quelque chose a boire autre que de la caféine. Après tout, il pouvait bien célébré leur alliance de travail non? Bon.. ok, tous les prétextes sont bon pour faire la fêtes, oui. " t'as un truc plus fort que le café ici ou on trinque a notre duo de choc avec du lait chaud?" Il lui adressa un sourire radieux. Quoi, ils pouvaient bien s'amuser un peu ici non? Enfin de son coté ça ne le perturbait pas, ça n'était pas son lieu de travail a lui en faite.
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyLun 17 Oct - 21:20

Ian & Amy
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« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul_Wesley_2_29 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 1314896774Amber%20Heard « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-Wesley-paul-wesley-21721446-100-100« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 2pq8kuc « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-paul-wesley-24122282-100-100 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Amber_Heard_Icon_3_by_ProjectRevolution

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    Passant de l’autre côté du comptoir, je remis en route les machines consciencieusement éteintes par Skye (bon, ça me ferait du boulot en plus, mais tant pis…), et entreprit de lui préparer ce qu’il demandait. Pure politesse, mais aussi pur intérêt, puisque pendant que je le regardais bosser, je n’avais qu’à me tenir debout derrière le comptoir, à attendre que la machine fasse son œuvre. « Noir… très très très sérré. » Je souris doucement.

    « Dure soirée en préparation ? »

    Pour ma part, quand je savais que je devais être d’attaque pour une soirée, et que j’étais complètement naze, je prenais un café particulièrement caféiné, et un verre de jus d’orange, une douche fraiche, et HOP j’étais d’attaque. Sauf que point de douche ici. Et de toute manière, je n’aurais pas laissé le jeune homme utiliser la douche. Il y a des limites à ma générosité, je n’voulais pas que Skye ai des problèmes par ma faute. Après tout, je ne travaillais plus ici… « Sans sucre s’il te plaît. » Mmm… C’est dingue ce que l’on apprend de quelqu’un par une simple commande. « Dis-moi ce que tu bois, je te dirais qui tu es. » Je m’occupais de préparer le tout, précisant que le produit était posé sur l’une des tables du fond. Je ne quittais pas la tasse des yeux, jusqu’à ce que je l’entende dire : « T’aurais dû le préciser encore plus tard tu sais. » Je relevais la tête, surprise. Euh, il tenait un chiffon sec et propre à la main, pas même humidifié, et devant lui se trouvait des tables pleines de miettes, et il n’avait même pas l’idée qu’il fallait vaporiser du produit sur les tables avant de les nettoyer ? Il me foudroya du regard, et je me mordis la lèvre pour ne pas sourire. Je jetais un coup d’œil à la salle, où des chaises étaient déjà mises à l’envers sur certaines tables. J’aurais presque pu dire qu’il avait fait du bon boulot… Mais… Non.

    « Désolée… souris-je, amusée de la situation, mais tentant de me contenir. Ce n’était pas poli de rire de quelqu’un qui vous aide en échange d’un café… Si ça peut te faire plaisir, ton café est prêt.. »[/color]

    Il se laissa tomber sur une chaise, visiblement ravie d’en avoir terminé, et je repris le chiffon, histoire de continuer ce que j’avais commencé, et qu’il avait si gracieusement (HUM) continué : le rangement de la salle. « Et puis-je savoir à qui j’ai affaire ? » « A un mec vraiment sympa tu n’trouves pas ? » Je haussais presque malgré moi un sourcil. Mmm… Si on oublie le fait qu’il m’avait flanqué la frousse… « Mais appelle moi Ian, c’est un synonyme. » Je souris. Ian, c’était mieux. Ne me laissant pas le temps d’en placer une, il leva la main, m’intimant l’ordre « d’attendre deux secondes », et je le fixai. Je le suivais du regard, sauter sur le comptoir, et passer de l’autre côté, dans la partie réservée aux employés : ce n’est pas moi qui irait le dénoncer, vu que je n’avais pas non plus le droit de m’y trouver. [b] « Et toi, je dois t’appeler comment ? … La femme du café, la femme qui se laisse entraîner par un inconnu ? Ou tu as un vrai prénom bien à toi ? » Je levais les yeux au ciel avec un petit sourire, tandis que je l’observais mettre de la chantilly au-dessus de son café.

    « La jeune femme qui aurait mieux fait de ne pas accepter de rendre service à une de ses amies et qui s’est presque fait mal en tombant ? » hasardais-je, le sourire aux lèvres.

    Le narcissisme n’avait jamais été un trait de caractère me qualifiant, et ce n’est pas aujourd’hui que ça allait commencer.

    « Amy… Juste Amy. Enfin, techniquement parlant, c’est Amy Eclipse Porter, mais on se contentera d’Amy… »

    Bien que j’aimais tout particulièrement mon second prénom. Il intriguait toujours les gens d’ailleurs. Il m’arrivait même de signer de celui-ci. Après tout, avoir deux prénoms, c’est pas pour rien. [b] « T’as un truc plus fort que le café ici ou on trinque à notre duo de choc avec du lait chaud ? » Je secouais la tête de gauche à droite. J’en savais rien si y avait autre chose ! J’bossais pas ici… et même, je n’étais pas certaine que ce soit bien légal de taper dans les réserves…

    « Je dois bien t’avouer que je n’en ai pas la moindre idée… J’bosse pas ici… »

    Devant son air dépité, je ne pus m’empêcher de sourire, de ce beau et large sourire qui faisait pétiller mes yeux bleus, et creusait une fossette au niveau de ma joue droite. Je m’humectais les lèvres, lâcha le chiffon, et me hissa à mon tour sur le comptoir, me laissant retomber avec l’agilité d’un chat (ou d’une panthère, animal qui me caractérisait plutôt bien en fait) de l’autre côté. Me mettant sur la pointe des pieds, j’ouvris quelques armoires. Mm… Pas là…pas là… Je me tournais vers le jeune homme, visiblement occupé à m’observer.

    « Tu sais, si tu m’aides, on ira plus vite… Enfin, c’est une théorie scientifique qui a été prouvé… Mais bon, je pourrais pas t’en dire plus, moi je fais des études de droit… »

    Je lui indiquais du bout de mon index les tiroirs inférieurs, l’air de dire « allez, hop, hop, on cherche ! » Après tout, c’était lui qui avait émis l’idée en premier. Je n’étais pas contre (même si quelque part, j’appréhendais que Skye aie des ennuis à cause de ça…c’était loin d’être mon intention !), mais je n’étais pas au service du « mec super sympa » alias Ian…

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyVen 21 Oct - 18:56

De nature très peu gênée, et encore moins lorsqu'il était avec une personne ayant sensiblement le même âge que lui – pas besoin de faire bonne image, bien qu'en général, il était une personne assez polie et sympathique – il cherchait quelques choses a boire. Enfin, chercher était un bien grand mot, il ne touchait qu'avec les yeux. Ça n'était pas de la gène mais plus de fainéantise. Et puis avoir mit les chaises sur les tables lui avait presque lancé quelques douleurs au dos. Il était pas très habitué a travailler faut dire. Son CV ne comportait aucune expérience dans le monde du travail, il avait ses parents pour régler ses dettes. Pourtant, il n'était pas vraiment ce qu'on pouvait appelé un ''fils a papa''... Il avait donc apprit que la « La jeune femme qui aurait mieux fait de ne pas accepter de rendre service à une de ses amies et qui s’est presque fait mal en tombant ? » s'appelait en faite Amy, et même Amy Eclipse Porter. Il ne sembla pas plus intrigué par ce nom pour le moins original. Y'avait bien des personnes qui s'appelaient Sunshine... en bon faux Américain, il ne fut pas vraiment choqué. Cependant, il ne pouvait qu'imaginer la raison de ce deuxième prénom. Elle était un jour d'éclipse? Sa mère était joyeuse comme le soleil, son père sombre comme la nuit, ou vice versa? Ou peut-être que par un phénomène étrange, elle était née les fesses en premier.. on dit bien voir la lune non? Et que « Moon » ne plaisait pas a ses parents et que... oui, il était probablement temps d'arrêter de penser a chercher une explication...

Après qu'il lui ait demandé si y'avait de l'alcool dans le coin, Amy répondit quelque chose.. d'étrange. « Je dois bien t’avouer que je n’en ai pas la moindre idée… J’bosse pas ici… » Il la fixait en levant un sourcil interrogateur. Comment ça, elle bossait pas ici? Dans ce cas que foutait-elle ici? Peut-être qu'il avait surprit une voleuse ce soir? Mhhh, une voleuse au méthode bien étrange, a écouter la musique a fond au lieu d'être a l'affut du moindre bruit, et assez gauche dans ses gestes – pensée qui disparu lorsqu'il vit avec quelle agilité elle avait rebondit sur ses jambes – Et pire encore, une voleuse qui faisait le grand nettoyage, a moins d'être maniaque ou de vouloir enlever ses empruntes... Mhh non, elle ne devait pas etre voleuse non... Mais ça ne répondait pas a la question, qu'est ce qu'elle foutait ici ? Il n'y avait donc aucun responsable? Il leva machinalement les yeux en l'air afin de déterminer s'il y avait des caméras... Non non, loin de Ian l'envie de saccagé un lieu sous prétexte qu'il était dedans sans surveillance, il n'avait rien d'un vulgaire délinquant ! Mais juste que c'était presque amusant du coup, d'être ici..Cherchant une explication, il l'observait sans meme se focaliser sur elle, c'était plus ses yeux qui suivaient ses mouvements en alerte, sait-on jamais qu'elle fasse quelque chose de stupide contre lui. Son esprit était occupé a chercher qui elle était, mais la voix de l'imposteur le rappela : « Tu sais, si tu m’aides, on ira plus vite… » Hin hin ! Elle avait peur de se faire trouvé par quelqu'un, elle n'avait donc pas la conscience tranquille ! « Enfin, c’est une théorie scientifique qui a été prouvé… Mais bon, je pourrais pas t’en dire plus, moi je fais des études de droit… » En droit? Mhh un casier serait donc mal vu non ? Elle lui indiqua du bout du doigts des tiroirs dans lesquels regarder, et au lieu de porter son attention sur cette direction, il prit dans sa main celle d'Amy et feinta l'incompréhension de cet ordre en lui la complimentant faussement dans un sourire amusé : «  mais quelle jolie manucure que voilà! »

Il relâcha son doigt et reprit : «  Théorie scientifique de mes deux ouais, si les sujets n'ont pas la même connaissance des choses, l'aide est nulle. L'un va ralentir l'autre... Conclusion, j'travaille pas la, meme au black, alors j'vais pas fouiller, cherche donc, je regarde a quel point tu es capable de te débrouillée seul.. Vois ca comme une étude de cas ! » Après tout, il était en sciences lui. Il lui fit un sourire moqueur, et pas sur qu'elle comprenne la ou il voulait en venir – a savoir, comprendre pourquoi elle bossait la aujourd'hui – il pencha la tête légèrement sur le coté, en la perçant du regard. Finalement, la réponse qu'elle avait donnée quand a son prénom résonna dans sa tête. Elle avait bien parlé d'une amie a qui elle donnait un coup de main ? Il remit sa tête droite, et croisa des bras «  alors comme ça tu fais les heures de tes amis? C'est sympa de ta part dis donc... surtout un vendredi soir. » Il s'était adossé au comptoir en lui parlant, et dans un soupir bruyant volontairement, il fit en se redressant «  bon! J'imagine que je peux t'aider a te donner l'illusion que tu es a une soirée étudiante alors ! » taquina-t-il. Il ouvrit donc les tiroirs en vain. Y'avait rien d'autre que du café, des tickets, des prospectus... rien d’intéressant Sauf dans le dernier tiroir ou il trouva un clé. Il la sorti en jetant un coup d'oeil a Amy, qui avait l'air occupé de son coté aussi. Il reporta son regard sur la clé, et se releva, a la recherche de ce qu'elle pouvait ouvrir en parcourant les alentours des yeux. Près du comptoir il n'y avait rien d'autre que cette porte a quelques pas de lui. Il les accomplit donc a reculons, se voulant discret. Un peu curieux et très peu désireux que la demoiselle l'empêche d'ouvrir la porte... Il fourra la clé dans la serrure et sourit en entendant et ressentant au bout de ses doigts un déclic. Il alluma ma lumière, et entra.

Se doutant qu'il n'était plus discret dorénavant, il fit en s'approchant d'une armoire «  Mhhh Amy, jusqu'où vont tes scrupules d'amie? Tirer dans la réserve personnelle du big boss c'est dans tes fonctions ou pas? » Avec un sourire il attrapa une bouteille de whisky et regarda l'étiquette. Elle avait de l'age en tout cas. Il ouvrit cette ci et senti a travers le goulot. Mhhh, il devait être plutôt pas mal ce bourbon. «  personnellement, ça n'me pose aucun problème » commenta-t-il plus a lui même qu'a elle – pas sur qu'il l'est dit suffisamment fort d'ailleurs pour qu'elle l'entende – en prenant une gorgée pour gouter...
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyLun 24 Oct - 18:15

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    « Je dois bien t’avouer que je n’en ai pas la moindre idée… J’bosse pas ici… » Le regard que me lança Ian m’indiqua que je l’avais surpris. Quelque part, je le comprenais, il était plutôt rare de voir des gens faire la fermeture dans un endroit où on ne travaille pas. Pour ne pas dire que ça ne s’est sans doute jamais vu. Enfin, il faut bien une première fois non ? Et après tout, je ne faisais que rendre service à une amie et ancienne collègue (car, oui, j’avais travaillé dans ce café durant quelques semaines, lors de mon arrivée à New-York. Ne cherchez pas à savoir pourquoi, je n’le sais pas vraiment moi-même. Ou plutôt, si, mais je ne veux pas m’étendre sur le sujet…). « Tu sais, si tu m’aides on ira plus vite… Enfin, c’est une théorie scientifique qui a été prouvé… Mais bon, je pourrais pas t’en dire plus, moi je fais des études de droit… » Je tendis la main en direction des tiroirs, et il se saisit de ma main : « Mais quelle jolie manucure que voilà ! » Idiot ! pensais-je avec un sourire. « Théorie scientifique de mes deux ouais, si les sujets n’ont pas la même connaissance des choses, l’aide est nulle. L’un va ralentir l’autre… Conclusion, j’travaille pas là, même au black, alors j’vais pas fouiller, cherche donc, je regarde à quel point tu es capable de te débrouiller seule… Vois ça comme une étude de cas ! » Feignasse ! Mais s’il voulait jouer à ça…

    « Si tu le prends comme ça… Ce que je trouve sera à moi, et exclusivement à moi ! »

    Je luttais pour ne pas lui tirer la langue, et reprit ma fouille archéologique des lieux, lorsque sa voix résonna une fois encore dans mon dos. Avait-il finalement décidé de me donner un coup de main, à l’idée d’être privée de boisson plus forte s’il ne m’apportait son aide ? « Alors comme ça tu fais les heures de tes amis ? C’est sympa de ta part dis donc… surtout un vendredi soir. » Je souris doucement, tournant la tête vers lui :

    « Il en a fallu du temps pour que ça monte à ton cerveau… Et tu pourras constater que je suis quelqu’un de gentil… Ce qui explique que je sois là un vendredi soir, et que je t’ai servi un café… »

    « Bon ! J’imagine que je peux t’aider à te donner l’illusion que tu es à une soirée étudiante alors ! »

    « Dis plutôt que tu as peur que je garde tout pour moi si je suis la première à mettre la main sur une bouteille… »

    Je l’entendis farfouiller dans des tiroirs, tandis que j’ouvrais toujours les placards du haut et du bas, à la recherche de la bouteille mystère… [b] « Mhhh Amy, jusqu’où vont tes scrupules d’amie ? Tirer dans la réserve personnelle du big boss c’est dans tes fonctions ou pas ? »
    Je tournais la porte, et eu la surprise de constater qu’il avait ouvert une porte qui, en temps normal, était toujours fermé, et allumé la lumière.


    « Mais euh maaais… »

    Comment t’as ouvert ça toi ? semblais-je demander. Je le vis se saisir d’une bouteille de whisky, et l’ouvrir. Je retins un cri de protestation. « MAAAAIS on n’a pas le droit de faire ça !!! » Sauf qu’il ne tint visiblement pas compte de mes pensées (comment aurait-il pu de toute manière, ce n’était ni un vampire capable de lire les pensées, ni un sorcier, ou je n’sais quelle connerie), puisqu’il porta la bouteille à ses lèvres. « Trop tard… » Il se tourna vers moi, et je le regardais, un sourcil haussé, les mains posées sur ma taille fines et mes hanches aux courbes sensiblement généreuses et bien dessinées.

    « Et si ça me dérangeais ? »

    J’avance vers lui, et vient lui prendre la bouteille des mains, avant qu’il n’ait eu le temps de réagir, et la porte à mes lèvres, rejetant la tête en arrière, le liquide ambré coulant le long de mon œsophage. Je suis certes une fille, je suis certes de taille moyenne et mince, mais j’ai une bonne descente, et une capacité à tenir l’alcool qui surprends généralement les hommes. Tout en déglutissant, je garde mon regard porté sur lui et, lorsque je finis par détacher mes lèvres des bordures du goulot, je grimace.

    « La vodka, c’est quand même meilleur… Et le whisky, ça passe mieux avec du coca ! »

    Je lui rends la bouteille en secouant ma crinière blonde comme les blés, et quitte la pièce, tout en éteignant la lumière. Ma silhouette se dessine dans l’embrasure, et je tourne doucement la tête vers Ian.

    « Tu viens ou tu restes dans le noir ? »

    Pas que ce n’était pas une expérience intéressante, mais il était tout de même plus agréable de regagner la salle (et puis, sans vouloir me vanter -loin de moi cette idée- je n’étais pas de mauvaise compagnie non plus…). Sans l’attendre, je repassais par-dessus le comptoir, attrapant deux verres, et alla chercher une bouteille de coca (zéro s’il vous plaît !) dans le frigo. Je laissai tomber le chiffon sur l’une des tables. Et puis zut, je finirais plus tard ! De toute façon, il était impoli de laisser quelqu’un boire seul non ? (non, non, promis, je ne me cherches pas d’excuse pour « porter un toast » à notre rencontre avec Ian)

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Ian Blackwood

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyLun 24 Oct - 21:09

Amy. S'il devait penser, là, un truc sur elle, tout de suite, spontanément. Que pourrait-il penser ? Jolie? Oui. Non mais, sérieusement. On sait que Ian est un homme et que la première chose qu'il remarque chez une fille n'est pas sa beauté intérieur. De toute façon, il ne mentait pas en affirmant ce genre de stupidités. Hé ho les mecs, on est en 2011, c'est des bobard ca ! Comme si les yeux des hommes, ou des femmes, étaient équipés d'un super radar « beauté intérieur ». Mensonges confirmés le jour ou le maquillage est apparut. Comme si on faisait un ravalement de façades de son « moi intérieur » avec toutes cette peinture. Enfin bref, on s'égare. Oui, donc, un truc a dire d'Amy? Mis à part qu'elle était jolie, et qu'on pouvait souligné le fait qu'elle n'était pas un pot de peinture.. Amusante. Mhh, voilà qui était une pensée plus civilisée. Oui, amusante. Ce petit coté taquin qu'elle avait plaisait beaucoup au jeune homme. Qu'importe qu'il ne connaisse quasiment rien d'elle, et que, probablement, il ne la reverrait jamais, cette soirée s'annonçait amusante. Du moins, le temps qu'il allait passé en sa compagnie. Parce qu'après tout, il avait eu son café, il pourrait très bien partir tout de suite. Alors pourquoi restait-il? Rien a voir avec le fait qu'il venait de dégoté une bouteille plutôt sympa. Non, il venait juste de dégoté une nana plutôt sympa. De son coté elle aurait très bien pu lui demander de partir, il avait plus ou moins – d'accord surtout moins.. - remplit sa part de contrat, a savoir l'aider. Elle ne semblait pas presser de le mettre a la porte, a croire que cette bonne entente était réciproque.


« Et si ça me dérangeais ? »
demanda-t-elle en faisant référence au fait qu'il venait de boire dans la réserve du patron? Il avait d'ailleurs de très bon goût. Cette gorgée n'avait rien d'amer, ou d'écœurante comme un whisky premier prix. Plutôt bon oui, voir très bon même. C'était un grand amateur. Et si ça la dérangeait? Bah, elle allait devoir faire avec non, ce qui était fait était fait. Préférait-elle qu'il se grattouille la glotte pour rendre sa gorgée? Il n'eut cependant pas le temps de formuler sa pensée qu'elle lui prit la bouteille des mains. Ah, ça la dérangeait vraiment? Elle tenait a protéger ce qu'il n'avait pas encore bu? Cette réflexion s'envola a jamais lorsqu'il la vit boire de façon plutôt théâtrale dedans. Un rictus vint éclaircir son visage, confirmant ce qu'il avait pensé plus tot : Amy était amusante.. mais flippante ! C'était quoi cette descente? Il la regarda étonné, amusé, troublé. Un alien. Cette fille était un alien. Il en connaissait des nanas qui voulait faire les belles en buvant comme un trou, mais elle finissait en pleure dans les toilettes en rendant tout ce que leur estomac avait acquis. Surprenante. C'était ça, la vrai définition dans le fond. Elle était stupéfiante. Quand il remarqua sa grimace après coup, son sourire s'étendit. Ah, quand même, une réaction humaine. Bon, peut-être qu'elle n'était pas un être venu d'une autre galaxie.. quoi que, pour rendre service a quelqu'un un vendredi soir, faut être dingue...

« La vodka, c’est quand même meilleur… » il fit une moue dépité. La vodka c'était meilleur? La vodka? Meilleur que ça? Meilleur que cet enchainement de saveur? La vodka? C'était sans goût, mis a part une sensation dégueu dans la bouche. « Et le whisky, ça passe mieux avec du coca ! » Elle allait l'achever. Il senti presque une goutte derrière sa tête comme dans les mangas. Avec du coca? Ce whisky là !? Ah non surement pas, lui vivant, jamais un tel crime ne serait commis sous ses yeux! Elle se débarrassa de la bouteille avant de faire danser ses cheveux dans tout les sens – ce qu'il trouva assez sexy d'ailleurs – et repartit dans le café, le laissant dans le noir après un clic sur l'interrupteur. Ha? Heu. Oui bon, Ian est un homme désolé s'il lui venait en tête des trucs étranges. Après tout, c'était un homme adulte avec une femme adulte, seuls.. Elle tourna la tête a l'entrée de la porte, en lui demandant : « Tu viens ou tu restes dans le noir ? » Il resta dans le noir une fraction de seconde de trop, le temps de se demander si elle avait conscience de ce qu'elle faisait. Elle avait une attitude plutôt sensuelle, et dans d'autre circonstance, cette question lui aurait fait penser a un sorte de jeu, tout du moins, le feu vert. N'importe quoi, songea-t-il lorsqu'elle disparut de son champs de vision. A s'entendre penser, il allait finir par croire lui même a ses conneries. Il prit une gorgée dans la bouteille, s'émerveillant encore une fois devant la qualité de la boisson, et entreprit de la rejoindre. Il allait pas faire contre soirée tout seul. Quoi que, c'est lui qui avait la bouteille, elle allait revenir. Il hésita un instant, et finalement, il regagna la sortie. Il ferma la porte derrière lui et la retrouva dans la salle, passant cette fois-ci le comptoir de façon plus...conventionnelle. Il pensa a saisir deux verres au passage, mais constata qu'elle l'avait devancé, ce qui lui valut un regard reconnaissant. Il remarqua malheureusement qu'elle s'était également munie d'une bouteille de coca, et il soupira :

«  t'es sérieuse la? Tu compte vraiment gâcher ce moment? » il la rejoignit en soupirant de façon trop poussée pour que ce soit prit comme tel, et se munit d'un verre dont il remplit alors le fond. Il imita l'action pour le deuxième et prit la bouteille de coca, avant de la dissimuler dans son dos : « Si tu veux vraiment ta bouteille tu vas devoir la gagner » taquina-t-il en s'éloignant de quelques pas. Il la fixa alors avec un sourire malin, le regard tout aussi espiègle. «  J'te propose un petit jeu. Tu veux boire, tu le prouve. Fais moi une danse a la coyote girl sur le comptoir, après tout, tu danse plutôt bien quand on ne prend pas en compte les chaises alentours... ». Ben quoi? Autant s'amuser un petit peu hein. C'était moins drôle de prendre un verre, juste comme ça. Bon, je vous avoue qu'elle refuserait, il ne bouderait pas et se résignerait a lui rendre le soda, après tout, il devait bien y avoir d'autre bouteilles dans le coin. Elle en avait trouvé une, elle pouvait tout aussi bien en trouver deux... Et comme pour la convaincre, il retira le coca de son dos, tenant la boisson par le bouchon, la laissant se balancer dans les airs d'un air de défi.
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyMar 25 Oct - 12:41

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« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul_Wesley_2_29 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 1314896774Amber%20Heard « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-Wesley-paul-wesley-21721446-100-100« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 2pq8kuc « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-paul-wesley-24122282-100-100 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Amber_Heard_Icon_3_by_ProjectRevolution

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    J’éteignis la lumière en me dirigeant vers la porte, me retournant vers lui, demandant s’il avait l’intention de passer le reste de la soirée à boire son whisky seul dans le noir. Sans attendre sa réponse, je disparus de l’embrasure de la porte, repassant dans la salle, après m’être saisit de deux verres. Je posais mon butin sur la table, attendant que le jeune homme décide de ramener ses fesses dans la salle. « T’es sérieuse là ? Tu comptes vraiment gâcher ce moment ? » Message reçu cinq sur cinq Houston : j’avais devant moi un jeune homme préférant grandement boire du whisky pur. Perfect, je boirais le coca moi-même… Ou pas… Je suivis des yeux le mouvement du liquide ambré coulant dans les deux verres et, alors que j’allais me saisir de la bouteille de coca, afin de réaliser ce cocktail qui, s’il n’était pas aussi bon que de la vodka/orange (et encore), avait le don de me plaire. Sauf que Ian, visiblement décidé à m’embêter, se saisit de la bouteille de coca, venant la cacher derrière son dos. « Si tu veux vraiment ta bouteille tu vas devoir la gagner. » Je le regardais, les sourcils haussés, s’éloigner de moi. Quoi ? Il me proposait un combat à mort pour une bouteille de coca ? J’étais pas complètement folle, ce n’est pas avec ma corpulence que j’allais pouvoir avoir le dessus sur lui –pas ce genre de dessus tout du moins ! – (quoique, ne sous-estimez jamais la malice d’une femme : nous avons des armes que les hommes n’ont pas, principalement un cerveau !). Me saisissant d’un des verres posés sur la table, je le portais à mes lèvres, le regardant droit dans mes yeux tandis que le liquide coulait le long de ma gorge. « J’te propose un petit jeu. Tu veux boire, tu le prouve. Fais-moi une danse à la Coyote Girl sur le comptoir, après tout, tu danse plutôt bien quand on ne prend pas en compte les chaises alentours… » Je manquais de m’étouffer avec mon whisky, et reposa le verre en toussant légèrement.

    « Pardon ? »

    Il plaisantait hein ? Oui, bien sûr qu’il plaisantait, il n’était pas sérieusement en train de me demander de… Au même moment, je le vis agiter la bouteille sous mon nez, un air de défi dans le regard. Oh oh… Je n’veux pas dire, mais me mettre au défi, c’est pas forcément une bonne chose à faire…

    « T’es pas bien hein ? »

    Son sourire s’élargit, et il agita de nouveau la bouteille, un air qui semblait dire « Bah quoi ? T’en n’es pas capable ? T’as les chocottes ? » sur le visage… Non, me mettre au défi, c’est mal, très mal, parce que…

    « Tu l’auras voulu ! » lançai-je avec un sourire victorieux accroché à mes lèvres.

    Je me levais, venant poser le pied sur la chaise sur laquelle j’étais assise quelques secondes plus tôt, grimpant sur la table, passant sur la suivante, esquivant les chaises déjà déposées dessus (bon, je sens qu’il allait falloir re-laver tout ça après…), et monta sur le comptoir, me tournant vers le jeune homme, ce même air de défi toujours sur le visage.

    « Tu lances la musique ou il faut que j’me mette à chanter moi-même ? »

    Vous voulez que je vous révèle un secret sur moi ? J’adore chanter. Réellement. Chanter et danser, ce sont deux grandes passions dans ma vie, même si je n’en parle pas, même si je le cache. Je n’sais pas pourquoi. Peut-être à cause des espoirs que mes parents ont placés en moi. Quand j’étais petite et qu’ils m’ont demandés ce que je voulais faire plus tard, j’ai répondu avocate. Pourquoi ? Parce que le jour même, j’avais pris la défense d’une petite fille plus jeune que moi qui se faisait embêter par des garçons dans la cour de récréation et que, pour plaisanter, ma maîtresse de l’époque, Madame Anderson, m’avait dit que je ferais un excellent avocat. Mes parents sont restés bloqués sur cette idée. Bien sûr, j’aime les études que je fais. Devenir avocate est, avec le temps, devenu un rêve. Je me vois déjà dans un tribunal, plaidant avec passion la cause d’un client. Mais derrière ces rêves très « adultes », il y a la danse, et le chant. Petite, j’avais accompagné un jour ma mère à un de ces rendez-vous (mes parents ont fondés une entreprise qui marche extraordinairement bien), et j’avais vu des petites filles s’entraîner à la danse classique en compagnie d’une grande et belle femme. Je suis tombée amoureuse de la danse ce jour-là. Plus tard, j’ai appris que cette belle et grande brune était une étoile du ballet de Moscou. J’ai supplié ma mère de me laisser prendre des cours. Et je n’ai plus jamais arrêté. Danser, ça me permet d’évacuer le stress. Bien plus que le violon, l’un des seuls autres « caprices » que mes parents m’ont passés (Maria adorait le violon, mais je n’en n’ai plus touché un depuis la mort de celle que je considérais comme ma petite sœur). Et le chant… A Los Angeles, j’avais mes habitudes dans un club karaoké que personne parmi mes amis ne connaissait. Arrivée à New-York, pour ne pas me sentir trop dépaysée (le simple fait de débarquer à New York m’avait déprimé en voyant qu’il n’y avait pas un seul rayon de soleil), j’avais cherché un club sympathique, trouvé, et j’avais gagné ma place à coup de chansons. J’aimais chanter. J’aimais danser. Mais nous nous éloignons du sujet non ?
    Ian voulait un show à la coyote girl ? Ouvre grand les yeux beau brun, tu vas être servi… Des yeux, je cherche la prise pour Ipod des hauts parleurs. Une idée à Skye, qui en avait marre de la radio, et voulait pouvoir passer la musique qu’elle aimait. Lorsque je la vis, je sortis mon Ipod de ma poche, venant me mettre à quatre pattes sur le comptoir pour pouvoir l’atteindre sans avoir à en descendre. Je tendis le bras, venant clipper l’Ipod, et tourna le bouton tactile jusqu’à ce que je tombe sur la chanson que je voulais. Les premières notes de One way or another résonnèrent dans le café, et je me tournais vers Ian, lui lançant un haussement de sourcil significatif. Coyote Girl. Film que je n’avais vu que DIX FOIS avec Cleo. Enfin, Lia. Elle n’aimait pas qu’on l’appelle Cleo, il n’y avait que moi qui avais ce privilège. Enfin… AVAIS. Les choses étaient devenues… Compliquées. Mais là n’était pas la question à l’heure actuelle.
    Me redressant sur mes pieds, j’époussetais ma tenue quelques instants faisant attention à ne pas me casser la figure, et me tourna une fois encore (la dernière, promis !) vers le jeune homme. J’avais un sourire aux lèvres, comme si j’étais en train de me dire : Mais qu’est-ce que je fabrique et, je vous jure, Piper Perabo décida de venir élire domicile dans mon corps le temps de la chanson. Saisissant un truc non identifié en guise de micro, j’enchaînais les paroles et les mouvements de bassin, imitant la jeune actrice blonde, au déhanché beaucoup moins sexy que le mien tout de même.

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptySam 29 Oct - 21:08

Guettant la réaction de la demoiselle tout en laissant la bouteille en suspension, Ian l'observait avec un grand sourire. Elle s'était tout de même casser la figure quand elle avait remarqué qu'il l'observait alors qu'elle dansait, peut-être était-elle trop timide pour ça après tout? Cependant, elle avait accepté son premier dilemme, et ainsi passer du temps avec un inconnu qui avait fermé la porte a clé, pour ne pas dire qu'il l'avait finalement presque séquestré... Donc, sa réaction était plutot imprévisible. Oui, sauf qu'en faite, après y avoir réfléchit un instant, si elle avait eu ce mouvement de recul en le voyant et si elle s'était montrée maladroite et bafouilleuse, ça n'était pas dut a de la timidité mais a de la surprise... Après tout, ça aurait dérouté n'importe qui de découvrir un mec derrière soit alors qu'on se croyait seule, non? « T’es pas bien hein ? » commenta-t-elle de son défi. Il se mit a sourire de plus belle. Quoi? Elle flippait? Oh, il aurait tout de même pensé qu'elle en avait plus que ça dans le ventre... Finalement, il n'allait pas se résigner a lui donner simplement la bouteille. Non, si elle la voulait vraiment, il fallait qu'elle le mérite. Au diable sa dernière pensée quand au fait qu'il lui rendrait tout simplement si elle refusait. Il l'agita alors a nouveau comme on tendrait une carotte a un âne pour le faire avancé. «  amy...? » fit-il d'une voix plutôt douce, chantonnante, qui, par conséquent, au vue du marché, n'annonçait rien de très gentil. Comment la convaincre d'avantage? Vidé la bouteille par terre? Non il n'allait pas tout salir non plus... Mhhhh, dans le lavabo alors? Le soda qui s'écoulerait ressemblerait au graine d'un sablier...

Et puis finalement, non. Il n'eut pas a réfléchir plus longtemps : « Tu l’auras voulu ! » lança-t-elle fièrement en se relevant. Il retint alors un sourire tandis que la blonde traversait les tables pour rejoindre le comptoir sur lequel elle monta bientôt. Finalement, ça avait été plus simple qu'il ne l'aurait imaginé. Après tout.. n'avait-il pas pensé précédemment qu'Amy était amusante, stupéfiante? Elle le prouvait encore une fois. « Tu lances la musique ou il faut que j’me mette à chanter moi-même ? » La musique? Mhhh oui c'était sans doute mieux, elle avait raison. Il reposa alors la bouteille sur l'une des tables et fouilla sa poche pour sortir son iphone. Essayant de se connecté a Youtube, il releva les yeux sur le jeune femme et ricana en la découvrant a 4 pattes sur le comptoir. Il ricana, certes, mais ça ne l'empêchait pas de se rincer l'oeil. Bonn..belle quand même hein? Constatant qu'elle avait été plus rapide que lui et la connexion internet trop faible pour un bon fonctionnement de son petit joujou, il abandonna la page internet et se mit a sourire en entendant One way or another traverser les enceintes du café. La potentielle danseuse se releva alors, et épousseta sa tenue ce qui lui valut une réflexion de la part de l'unique spectateur : «  mhhh n'essaierais-tu pas de gagner du temps pour te défiler jeune fille? » réplique qui s'acheva dans un sourire en coin.

Amy se retourna alors et au vu de son rictus a elle, il comprit que non. Non elle n'essayait pas de gagner du temps. Que dalle. Au lieu de reprendre raison et de descendre du comptoir, elle attrapa un objet en guise de micro. Le brun croisa alors les bras en continuant de la suivre du regard avec intérêt et amusement. Oui, décidément, il avait tout pour passer une bonne soirée. De l'alcool, une fille sympa et qui lui offrait un joli show. Posant une fesse sur le coin de la table, il prit appuie dessus prêt a en prendre plein les yeux. Amy commença a se déhancher tout en chantant sur la musique. Visiblement, elle connaissait bien le film, parce que d'après ses souvenirs, ça ressemblait bien a ça. Quoi que, les films avait l'air moins bien. Ou peut-être dansait-elle mieux? Ou peut-être qu'il avait été trop occupé a embrasser son ex de l'époque durant la totalité de cette scène... ça devait être un mélange de tout ça, oui.

Avant que la chanson ne soit terminée – le spectacle également – il se donna une petite impulsion pour se relever, prit au passage le verre de la jeune femme ainsi que le soda et avança près du comptoir. Il dévissa la bouteille du coin des dents et versa seulement un fond de coca dans le récipient, le posant alors entre les jambes d'Amy. «  Ca vaut a peine ça... » expliqua-t-il en relevant les yeux sur elle, d'une voix monotone comme si le show avait été minable. Évidemment, il faisait preuve d'une terrible mauvaise foi, il en va de soit. Il se souvint cependant d'une scène du film et reprit donc d'un air nonchalent : «  y'a pas 3 nanas, tu n'sers pas les boissons et aucun feu sur le comptoir... mouais... ». Il se retenait de rire, ou même, de relancé une deuxième fois la chanson. Il ne pouvait qu'espérer, prier pour que l'ipod beug et que la musique ne s'arrête plus.
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyMer 9 Nov - 16:40

Ian & Amy
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« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul_Wesley_2_29 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 1314896774Amber%20Heard « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-Wesley-paul-wesley-21721446-100-100« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 2pq8kuc « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-paul-wesley-24122282-100-100 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Amber_Heard_Icon_3_by_ProjectRevolution

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    « Amy… ? » Mais quel enquiquineur celui-ci ! C’était vraiment mesquin de sa part de me torturer de la sorte… Mais puisqu’il le voulait… « Tu l’auras voulu ! » Il apprendra qu’on ne met pas Amy Eclipse Porter au défi, au risque de se voir dans la position du perdant. Car je ne recule devant rien. (ou presque bien entendu !) A quatre pattes sur le comptoir (vous savez, cette position qui vous place les fesses dans une position particulièrement attrayante pour l’œil masculin –voire même féminin hein !), je branchais mon Ipod, afin de faire passer One way or another dans les hauts parleurs. Me redressant, j’époussetai ma tenue. « Mhh, n’essaierais-tu pas de gagner du temps pour te défiler jeune fille ? » Je me tournais vers lui, plongeant mon regard clair dans ses prunelles noires, tandis qu’un sourire de défi passait sur mes lèvres. Oui, bien sûr, je me défile, et lui, c’est le père-noël ! La chanson reprit de plus belle, et j’ajoutais ma voix à celle de la chanteuse de Blondie, venant me déhancher sur le comptoir. Je sentais le regard de Ian glisser le long de mes courbes, et je lui adressais un sourire et un clin d’œil : en fait, je m’amusais comme une folle. Si, sérieusement ! Avant que je n’ai fini, Ian se leva de la tête contre laquelle il est appuyé, et vint déposer entre mes pieds mon verre, contenant un mini-fond de coca. Je le regarde avec de gros yeux. « Ça vaut à peine ça… »[/b] J’ouvre la bouche de surprise, et fronce les sourcils. VILAIN ! S’il veut jouer à ça, eh bah, dans ce cas, j’arrête ! Je cesse de danser, de chanter, de me déhancher, de m’amuser et de l’amuser, et BASTA, arrivederci, je le flanque à la porte du café, et je me vide la bouteille toute seule. NA ! « Y’a pas 3 nanas, tu n’sers pas les boissons et aucun feu sur le comptoir… mouais… » Je m’agenouillais face à lui, penchant la tête, afin que nos visages se trouvent proches l’un de l’autre, prenant appui du bout des doigts sur le comptoir, pour ne pas risquer de tomber.

    « Désolée de n’être pas encore capable de me dédoubler pour satisfaire tes fantasmes… »

    Je me redressais aussitôt, ne restant dans cette position que le temps de lui susurrer cette phrase, venant frôler son nez du mien, mon regard plongé dans ses prunelles, après m’être saisit de mon verre, que je vidais, dépitée. La chanson continuait de tourner mais, bien vite, elle cessa. Ou plutôt, elle fut remplacée par une autre. Je fis un geste en avant pour descendre, avant de reconnaître les premières notes de Little Bad Girl. Oh, non, ça c’était une invitation… Comment résister à l’envie de mettre à danser sur cette chanson, vielle comme le monde certes, mais intemporelle, comment résister à l’envie de mettre en application le : « shacking her ass from the left to right, moving it… round, just the way that I like ! » Je regarde Ian, et un mince sourire vient se dessiner sur mes lèvres.

    « File moi la bouteille. »

    Vous vous en douterez, il ne me la donna pas. Au contraire, il la décala, venant la poser loin du comptoir, donc loin de moi, puisque j’étais toujours debout dessus. Je poussais un (faux) soupir triste, et m’assis en tailleur sur le comptoir.

    « Dommage… J’aimais beaucoup cette chanson, mais maintenant, je n’ai plus envie de danser ! »

    Tiiiens ! Mais qu’est-ce donc que ce verre qui apparaît sous mes yeux quelques secondes plus tard, remplit d’un liquide noir aux reflets ambrés ? Je retiens un rire, et me contente d’un sourire éblouissant. C’est DINGUE ce que les hommes sont manipulables ! Un soupir, une moue boudeuse, nos attributs mis en avant, un battement de cil, une proposition indécente plus ou moins explicite, et ils étaient prêt à tout. On aura beau dire tout ce qu’on veut sur les machos... Comme je le dis toujours, un homme peut dire ce qu’il veut, devant une femme à demi-nue, il n’y a pas créature plus soumise. (bon, même si je n’étais pas à demi-nue devant Ian à ce moment). Je me saisis de mon verre, et le porta à mes lèvres, en buvant une longue, longue gorgée, avant de le reposer, et de me remettre debout sur le comptoir. Je n’ai qu’une parole, c’est bon à savoir. Quand je promets ou dit quelque chose, je m’y tiens. Rien de plus, rien de moins. Venant donner du volume à ma crinière, mes hanches se mettent à rouler, mes jambes et mes bras s’activent et, en fermant les yeux, je pourrais presque avoir l’impression d’être en boîte de nuit. Il ne manque plus que l’atmosphère tendue et orgiaque, et la pression de corps divers et variés contre moi, les basses qui résonnent dans le sol sous nos pieds, traversant tout notre corps comme une décharge électrique, jusqu’à remonter dans notre cœur, pour faire se caler les battements dans notre cœur sur les rythmes des basses. Je ne garde pas les yeux fermés longtemps (peur de me casser la figure si je loupe le comptoir en me retournant), et les rouvre, alors qu’un sourire est venu flotter sur mes lèvres. Je fixe mon regard dans celui de Ian, tout en continuant mes mouvements de bassin, de perdre mes doigts dans mes cheveux, mais le visage sérieux. Je suis littéralement en train de lui dire « Allez, viens, monte sur le comptoir, et danse avec moi ! Tu vas voir, c’est trop marrant… »

    « C’est juste que tu sais pas danser ou tu as peur de grimper sur le comptoir ? »

    Non parce que si ce n’est que ça, je le rassure : j’ai le vertige (et aussi peur de la noyade, mais ça c’est une autre histoire), et pourtant je suis debout sur le comptoir, parce que mon esprit rationnel m’indique clairement que, MEME si je tombais, je ne me ferais pas grand-chose.
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Ian Blackwood

Et si tu nous disais tout de toi ?
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyMer 9 Nov - 23:48

Ian n'était pas ce genre de personne a caresser les autres dans le sens du poils, et pire encore, il adorerait agacer les autres a l'aide de petite remarques absolument pas méchantes mais pleine de sens, il était dans son élément avec Amy. C'était une espèce de tennis entre eux, se renvoyant la balle avec humour et petits piques. Elle n'avait pas l'air d'avoir grandement apprécier le manque d'éloge quand a sa danse, bien que ceux-ci étaient présent, juste cloués dans la bouche du brun a l'aide de grand coup de marteau muet. Cependant, il doutait franchement qu'elle les prennent mal, qu'elle soit ce type de fille a se vexer pour un oui ou pour un non, de façon tout a fait aléatoire. Néanmoins, il eut un leger doute lorsqu'elle arrêta de danser. Elle n'allait pas nous faire un caca nerveux non plus? Ça étira d'avantage le sourire permanent du jeune homme, qui perdit en élasticité lorsqu'elle se baissa sur le comptoir, venant placer son visage juste devant celui du Bêta. Ian avait cette fâcheuse tendance a être très sérieux lorsqu'une distance comme celle qui les séparait était aussi moindre. Par exemple, aussi près, il n'arriverait pas a éclater de rire quand bien même en aurait-il eu l'envie. Seul ses yeux et le rictus qui s'installa a la commissure de ses lèvres étaient témoins de son amusement, et de son interrogation quand au comportement de la demoiselle. « Désolée de n’être pas encore capable de me dédoubler pour satisfaire tes fantasmes… » Dans un sourire pincé, il humidifia du bout de sa langue ses lèvres en la regardant dans les yeux. Mhhh, sans doute une habitude a devoir embrasser les filles qui osait trop s'approcher de lui ainsi ? Un instant, il songea au pouvoir de dédoublement qu'Amy n'avait pas. Dommage. Enfin, non, tant mieux plus exactement, ou dans quel cas, il y aurait probablement eut des débordements... Finalement ce fut lorsqu'elle se releva qu'il parvint a lâcher un ricanement discret.

Un bref instant, Ian cru dur comme fer que là s'arrêterait le spectacle d'Amy. Et aussi surprenante qu'elle était, elle resta sur le comptoir lorsqu'elle sembla reconnaître la chanson qui passait dorénavant. Elle donna l'impression d'être un chien – ou chienne a voir – qui entendrait un sifflet a ultrason. Quelle clubbeuse, pensa-t-il en la regardant. « File moi la bouteille. » Il fit la moue et lui lança un regard désolé «  hin hin. » suivit d'un énième sourire. Attendez, qu'on soit clair. Pour un peu de coca, elle lui avait offert une danse. Pour une bouteille entière, elle allait jusqu'à ou ? Bon d'accord, là c'est pour la frime. La vrai raison qui l'empêchait de la lui donner était que notre cher Blackwood était un emmerdeur né et qu'il était tout a fait invraisemblable qu'il la lui offre si facilement. Ça ferait tellement tache sur son CV ça. Ainsi, au lieu de la lui donner comme elle l'avait si gentiment demandé, il attrapa le verre et le goulot du bout des doigts et avança en faisant trainer la boisson sur le comptoir, histoire de faire durer cet éloignement. Il ne s'éloigna d'elle que de quelques pas – si elle venait rechercher son dut, il pouvait aisément prendre de la distance- avec un regard tyrannique rivé sur la jeune femme. « Je te l'ai déjà dit, tu n'l'a pas mérité » Etait-ce mal de mentir pour une deuxième danse? Elle soupira avant de s'assoir. Boudeuse? Oh bordel de merde, non, ne me dite pas qu'Amy était finalement ce genre de fille? Elles venaient décidément toutes du même moule...

« Dommage… J’aimais beaucoup cette chanson, mais maintenant, je n’ai plus envie de danser ! » Il la fixa une fraction de secondes jaugeant le pour et le contre. Il ne se rendait pas compte qu'elle bluffait, comme un con, alors l'imaginer vexé le titilla. Cependant, il ne pouvait manquer l'espèce de chantages dans ses mots. Elle disait ça, il entendait «  dommage, si tu me rend la bouteille, peut-être que j'aurai envie de danser a nouveau ». Ses yeux firent lentement le tour de leur orbites, et il daigna servir le verre correctement. Elle avait gagné, la fourbe. Et pire encore, elle en avait conscience puisqu'elle le gratifia d'un large sourire qui disait muettement : «  TU ES FAIBLE » . Il s'était fait avoir. Tant pis pour la réputation de chieur ! Il lui rendit donc son verre, puisqu'elle l'avait gagnée de façon déloyale. Bon, pas totalement, puisqu'elle aurait déjà dût l'avoir depuis quelques minutes. Après tout elle avait dansée. Rah, il n'allait pas s'accuser lui même d'escroc si ? Non, c'était elle. Point barre ! Elle prit une longue gorgée savourant de toute évidence sa victoire. Il aurait dut corsé le verre tiens, ça lui aurait fait une jolie surprise a son presque cul-sec ! Tuant son sourire mesquin dans une gorgée de pure malt, il la laissa danser a nouveau. Déloyale, mais très bonne danseuse, ça il ne pouvait pas le nier. Avec un peu plus d'alcool dans le sang, il... Il but une nouvelle gorgée en échangeant un regard étrange avec elle. Il se demandait clairement si le message qu'il comprenait en la voyant se déhancher devant lui était le même qu'elle lui lançait silencieusement. Son coté homme devait lui faire croire en bien des occasions que tel ou tel regard était lubrique. En l'occurrence, ceux-ci avaient tellement l'air d'invitation. Oui, enfin peut-être pas. Amy et lui avait l'air de bien s'entendre, d'etre sur une longueur d'onde similaire, dans le cas contraire, il ne serait pas tout deux ici bien entendu... « C’est juste que tu sais pas danser ou tu as peur de grimper sur le comptoir ? » ça le piqua droit au coeur. Enfin non, dans l'vif plutot. Sa fierté plus exactement. Il la regarda avec ses yeux qu'on les tueur en série avant de commettre un meurtre. Lui? Peur de monter? Lui, ne sachant pas danser? Hé ! Il n'avait pas passer toute son adolescence et pas mal de ses soirées fourré dans tous les clubs branchés pour ne pas savoir danser ! Rah, son égo, j'vous jure. Il prit une dernière gorgée et posa la bouteille sur le comptoir-dancefloor, et ancra son regard dans celui d'Amy, ricanant alors à nouveau. Il passa ses mains sur les mollets de la demoiselle les remontant jusqu'au creux de ses genoux, et y exerça une pression, qui obligea ainsi la danseuse a se baisser afin qu'il ne limite la casse, puisque, dans la suite du mouvement, il la fit tomber fesses contre bar, face a lui. Elle voulait jouer au je t'allume? Il se souleva a la force des bras pour grimper au dessus d'elle, l'obligeant ainsi a se coucher un peu. «  Tu pense VRAIMENT que j'ai...peur? » il prononça ce mot comme si soudain ce fut le plus drôle de la langue anglaise. A califourchon au dessus du corps de la blonde, son regard et son silence semblèrent un défi. Il se releva doucement en attrapant d'une main la bouteille, et de l'autre la main de son amie afin de l'aider a se relever.

Et comme danser pour un homme n'était pas aussi évident qu'une femme pour ne pas être ridicule – dans le sens ou un mec qui danse en se déhanchant et tripotant ses cheveux court ça n'avait rien de sexy – il l'attira vers lui afin de lui faire face, jouant d'une léger sensualité sur la voix de Taio Cruz puisqu'il n'y avait pas lieu de se trémousser dans tout les sens pour le coup cependant qu'il tentait de suivre ses mouvement a elle. Sur la fin de la chanson qui fut plutôt proche, il glissa sa main dans la chevelure blonde d'Amy en y entremêlant ses doigts et l'incita a pencher un peu sa tête en arrière, laissant alors couler quelques gouttes de whisky sur ses lèvres. La musique s'arrêta, et avant que ne commence la suivante, le blanc ne le gêna pas, l'occupant en la redressant venant gouter la boisson qui s'écoulait sous son menton. Got 2 luv U fut alors la chanson suivante. Intelligence artificielle? Ca l'amusa. Il la fit alors tourner sur elle même et la plaça dos a son torse, engageant alors une danse quelques peu suggestive. Passant ses bras par dessus les épaules de la jeune femme, tenant son pécher mignon liquide entre ses doigts, il ressera sa prise contre lui, comme s'il comptait l'étrangler a l'aide de ses avant bras, sauf qu'il ne le faisait pas, bien évidemment. Penchant sa tete sur le coté, il lui fit au creux de l'oreille «  et donc, je ne sais pas danser c'est ça? Je .. bouge mal? » a ces mots, il fit onduler son bassin dans un léger coup de reins provocateur, en souriant, toujours. Bon, déjà qu'en temps normal il souriant beaucoup, alors si ce soir il avait en plus l'alcool joyeux... ! Il prit une nouvelle gorgée en la tenant toujours ainsi contre son torse, et effleura ensuite ses lèvres avec le goulot «  sans ou sans coca? » demanda-t-il , en commençant a lever la bouteille pour que la boisson coule.

Effectivement, si Amy se dédoublait, il y aurait des débordement. Mais était-ce nécessaire quelle soit capable de ça...?
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyVen 11 Nov - 4:28

Ian & Amy
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« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul_Wesley_2_29 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 1314896774Amber%20Heard « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-Wesley-paul-wesley-21721446-100-100« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 2pq8kuc « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-paul-wesley-24122282-100-100 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Amber_Heard_Icon_3_by_ProjectRevolution

Got 2 luv U – Sean Paul ft. Alexis Jordan




    « File moi la bouteille » J’aurais dû me douter qu’il ne suffirait pas d’un grand sourire, et de quelques mots doux pour qu’il me la donne. Il s’attendait à quoi ? A un strip-tease contre une bouteille de coca ? Pitié, je valais mieux que ça ! Contre la bouteille de whisky encore je ne dis pas mais… Non, je plaisante, bien entendu ! Tout de même, vous me prenez pour qui ? (pour une fille qui vient d’offrir à un parfait inconnu une danse des plus sexy –habillée, je tiens à le préciser !– en échange d’un fond de coca ?) « Hin hin. » Il éloigne la bouteille, la faisant lentement glisser sur le comptoir. Si je lui saute dessus, je peux l’attraper vous pensez ? « Je te l’ai déjà dit, tu n’l’a pas mérité » Dis tout de suite que je danse comme mes pieds et que mes mouvements de bassins sont dignes de ceux d’une planche à pain tant que t’y es ! Non mais oh ! Un peu de respect tout de même ! La vengeance d’une femme est terrible, à bon entendeur salut ! Je viens m’asseoir sur le rebord du comptoir, mes longues jambes pendant dans le vide, et une mine boudeuse s’installe sur mon visage… « Dommage… » Je pousse un petit sourire navré, et hausse les épaules. Cinq… Quatre… Trois… Deux… Oh, mais tiens ! Qu’est-ce donc que ceci ? J’adresse un sourire de vainqueur à Ian lorsque je vois apparaître un verre plein sous mes yeux. AH AH ! HOMME SOUMIS ! C’est dingue ce qu’ils sont manipulables ces homo sapiens sapiens ! Mon regard toujours fixé sur lui, je portais le verre à mes lèvres. Bon, allez, je suis de bonne humeur ce soir et, en tant que clubbeuse, je me dois d’onduler sur ce morceau… Après tout, tout est dans le titre… Little Bad Girl ? Cette chanson a été écrite pour moi ! (si si, je vous jure !). Debout sur le comptoir, je reprends mes mouvements, bougeant mon bassin, de gauche, à droit, en cercle, les bras repliés derrière ma tête, ou tendus au-dessus, jouant avec mes cheveux, ou dégageant mon visage… Tout y passe. Ambiance boîte de nuit, si si ! Il ne manquerait plus que je me mette à sautiller comme dans le clip (déconseillé quand on est sur un comptoir !), et on s’y croirait presque ! Mais rapidement, je plongeais à nouveau mon regard dans le sien, le mettant mentalement au défi de me rejoindre. Mais comme il ne semblait utiliser que 10% (et encore !) de son cerveau, il ne parvenait pas à lire dans les pensées… Boulet va ! « C’est juste que tu sais pas danser ou tu as peur de grimper sur le comptoir ? » Touché, coulé ! Blessé dans son orgueil, Ian se relève, me lançant un rrgard de défi. Ah ah ! Je ne demande pas mieux ! Je le suis du regard porter la bouteille à sa bouche, désireuse de l’avoir contre la mienne (la bouteille, pas sa bouche !). Radin ! On partage son magot entre gens civilisés ! Baissant les yeux vers Ian (oui, moi je suis debout), j’étouffe un cri de surprise lorsqu’il me fait tomber sur le comptoir, les fesses dessus, assise face à lui. Ah, soudain, plus besoin de baisser les yeux. Se rapprochant dangereusement de moi, Ian vient se soulever pour grimper sur le bar, me forçant à m’allonger pour éviter qu’il ne me rentre dedans (en tout bien tout honneur !). Je m’exécute, me penchant en arrière, sans quitter son regard. Le premier qui cligne des yeux a perdu ! « Tu penses VRAIMENT que j’ai…peur ? » Les hommes et leur ego ! Nous restons dans cette position un court instant, le temps pour mon cœur de battre un brin plus vite, et Ian finit par se mettre debout, me tendant la main pour que je me relève. J’ai à peine le temps de faire un mouvement qu’il m’attire contre lui. Le sourire aux lèvres, je me détache de lui le temps du : « Shacking her ass from the left to the right… Moving it, round, just the way that I like ! », mimant et reproduisant les paroles en shackant mes fesses de gauche à droite, en les mouvant round (eh ouais !), avec un plaisir évident, la bouche entrouverte, un sourire accroché à mes lèvres pulpeuses, les mains sur les hanches. Je récupère la main de Ian qui en profite pour m’attirer de nouveau contre lui, dansant avec et contre moi, nos jambes entrelacés, nos bassins respectifs bougeant en un geste harmonieux et diablement sexy. Ses doigts viennent se perdre dans la blondeur de ma crinière, et il l’enroule quelque peu autour de sa main, afin de pouvoir exercer une pression suffisante qui me fit basculer la tête en arrière, alors que quelques gouttes de whisky tombaient sur mes lèvres. Instinctivement, je passais ma langue sur mes lèvres pour récupérer ces précieuses gouttelettes, ne cessant le jeu du regard avec Ian. Okay, je l’avoue, c’est peut-être un peu tendancieux de le fixer de la sorte et de passer ma langue sur mes lèvres dans un même mouvement ! Les premières notes de Got 2 luv U (ce morceau maudit que j’écoutais plus tôt, me déhanchant pensant être seule, alors qu’en fait, je me faisais discrètement mater par le jeune homme présent face à moi sur le comptoir !) Face, face… C’est vite dit, puisqu’il venait de me retourner comme une crêpe (comparaison bien peu flatteuse !), collant son bassin contre mes fesses, son torse contre son dos, ses cuisses contre les miennes. Sa voix retentit au creux de mon oreille. « Et donc, je ne sais pas danser c’est ça ? Je …bouge mal ? ». Ses bras enserrant mes épaules, et le mouvement de bassin qu’il effectua me firent me mordre les lèvres (pour empêcher un gémissement ?).

    « Hmmmm… » fut tout ce que je parvins à dire.

    Orgasme étouffé ou onomatopée mal formulée ? Mais il n’était pas le seul à savoir danser ! Qui plus est lorsque mon dos était collé contre le torse d’un homme… D’un mouvement, je me libérais, et vint poser mes mains, à l’envers, sur le cou de Ian, effectuant masse de mouvement de bassin, pliant dans un même mouvement les genoux, me faisant par la même occasion accomplir des mouvements verticaux. Mes fesses venaient effleurer à la fois son bas-ventre et le haut de ses cuisses, tandis que mes cheveux caressaient son visage et son torse. Je sentis la bouteille venir doucement cogner contre une de mes côtes, alors que les mains de Ian se rapprochaient, venant frôler les courbes à chaque fois que mes mouvements entraient en contact avec elles. « Sans ou sans coca ? » me demanda Ian, alors qu’il levait la bouteille de whisky légèrement au-dessus de ma tête. Je tournais doucement la tête vers lui, un sourire venant étirer mes lèvres pulpeuses entrouvertes…

    « Quel choix cornélien… »

    Je penchais la tête en arrière, me cambrant légèrement, et ouvrit la bouche, alors que le liquide ambré commençait doucement à s’écouler. Je sentis la main de Ian venir se poser sur mon ventre, comme pour me maintenir contre lui, et souris doucement. Mauvaise idée : Ian avait déjà des difficultés à viser correctement mes lèvres entrouvertes, si en plus je réduisais l’espace, ça risquait de couler sur le côté…. Lorsque Ian décida que j’avais assez bu (c’est que ma tête commençait presque à tourner !), je relevais doucement la tête, fermant les yeux, venant me recoller contre Ian, qui avait toujours sa main droite sur mon ventre, la gauche contenant la bouteille. De l’index, j’essuyais le whisky qui avait légèrement coulé le long de mes lèvres, et leva mon index vers ma bouche, pour éviter de perdre des gouttes de cette précieuse boisson…

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyJeu 17 Nov - 0:14


Ian était en train de faire boire le jolie blonde tout en réfléchissant a la situation qui s'offrait a lui. Non, parce que attendez, remettons les choses au clair. A combien de personne ça arrivait, ça? A venir faire chier pour un café, et de se retrouver en très bonne compagnie – admettons le – a danser sur un comptoir en picolant de whisky? D'accord, New-York étant New-York, ça n'avait rien de très surprenant ce genre de choses, mais tout de même ! La tournure de la soirée aurait-put être tout autre. Amy lui refusant le café, et lui qui partirait en maudissant cette blondasse. Mais non. La blondasse en question était en train de se trémousser contre lui, qui n'avait franchement pas l'air de s'en plaindre, rapprochant leur contact en venant glisser sa main sur le ventre de la demoiselle, tuant ce qui restait d'espace entre leur deux corps tout en la faisant boire doucement. Elle avait prouvée qu'elle avait une bonne descente plus rot, mais il n'était pas un monstre qui voulait la faire vomir non plus. N'empêche, pensa-t-il, elle était franchement inconsciente. Il la faisait boire ça pur, elle allait finir raide la demoiselle avec son poids plume. N'avait-elle pas peur? N'avait-elle donc jamais entendu parler d'abus sexuel? Bon, la chance étant de son coté, Ian n'était pas comme ça, fort heureusement..

Il redressa la bouteille une bonne poignée de secondes plus tard en souriant en coin. Rare était les personnes qui parvenait a boire ainsi sans une ébauche de relan après. Hommes comme femmes d'ailleurs. Quel genre de fille dépravé avait-il contre lui franchement? Il la regarda, comme pour vérifier que tout était okay, tandis qu'elle essuya a l'aide de son index le coin de ses lèvres. Il pencha alors de quelques degrés sa tête sur le coté. Y'avait des filles, quoi qu'elles fassent, c'était... sensuel. Quoi que, là, il avait la certitude que sa n'était pas un geste anodin, pensée qui se confirma lorsqu'elle leva son doigt vers sa bouche. " Tu te décide pourtant facilement" commenta-t-il après qu'elle ait préférée la version "sans coca" à la version 'sans coca." A l'aide de sa main qui tenait la bouteille, il attrapa celle d'Amy, tournant la demoiselle de 90° dans ses bras, laissant son autre main glisser sur sa hanche. Avec un petite sourire amusé, il déposa ses lèvres sur l'index de la demoiselle et lui lança ensuite un clin d'oeil. Amusant comment en sa présence, il avait tout oublié. La soirée a laquelle il devait se rendre? Zappée. La fille qui obsédait ses pensées? Rien. Là, la seule chose a laquelle il pensait, c'était à s'amuser. Ce qu'il était clairement en train de faire actuellement. Mais en toute honnêteté, il pensait a plus encore. Sa bouche s'éloigna de l'index, laissant le goulot de la bouteille se rapprocher, prenant quelques gorgées en la fixant dans les yeux. Soit c'était Amy qui lui faisait tout oublier, soit la boisson. Dans tout les cas, il n'avait pas envie que tout ça s'arrête, parce que sans déconner, c'était bon de ne songer a rien...

Lorsqu'il prêta attention a la chanson, il remarqua que c'était S.W.E.A.T de Snoop Dogg. La tournant dans ses bras avec une facilité incroyable, comme si elle n'avait été qu'une poupée dont il jouait a en tirer les cordes, il la remit face a lui et chanta muettement, en play back, la fin du refrain : I just wanna make you sweat , I wanna make you sweat ... Sweat, sweat !
Il lui fit un nouveau sourire en accrochant son regard dans le sien tandis que ses mains se faisait alors quelques peu.. baladeuses? Tactile le Ian? Hé, on reste Italien même a NYC ! La bouteille de whisky reposait désormais dans le dos d'Amy, son bras entourant presque sa nuque. La main sur ses hanches avait bifurqué un peu plus loin, et plus bas aussi, reposant sur le creux de ses reins, presque sur ses fesses. S'amuser n'était pas le but? Oui bon, a la base ça n'était qu'un verre. Remarquez, ils n'en avait en rempli qu'un, le reste se faisait a même la bouteille ! Leur visage se frôlaient dangereusement, ne cédant ni l'un ni l'autre a ce jeu de regard quand bien même le brun y mettait du sien, souriant doucement et si proche d'elle qu'il était convaincu qu'elle pouvait sentir ses lèvres s'étirer sans même les voir. Elle céderait avant lui. Oh que si ! La main dans son dos se fit plus légère, et a l'aide de son index, il remonta son échine, traçant cette trajectoire lentement, ne faisant que frôler sa colonne vertébrale. Quand il arriva a sa nuque, ses cinq doigts se glissèrent dans ses cheveux blonds alors qu'il s'amusait a la taquiner en même temps près de ses lèvres , pulpeuses, constata-t-il en baissant une fraction de seconde ses yeux sur les concernées. Et puis, comme s'il s'était soudain perdu dans son jeu, ou juste prit au piège, il ne maintenu pas longtemps le peu d'espace entre leur lèvres, venant l'embrasser, resserrant sa prise contre sa nuque. D'accord, il avait perdu. Et s'il consommait son prix de consolation ? Oh et puis merde, si elle n'en avait pas envie elle le repoussait. Il ne pensait a rien en sa présence, et se demandait presque jusqu’où sa pensée pouvait se déconnecter. Non il ne la voyait pas comme un test, mais .. un jeu ? En même temps, n'était-il pas aussi le sien?
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptySam 19 Nov - 2:16

Ian & Amy
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« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul_Wesley_2_29 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 1314896774Amber%20Heard « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-Wesley-paul-wesley-21721446-100-100« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 2pq8kuc « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-paul-wesley-24122282-100-100 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Amber_Heard_Icon_3_by_ProjectRevolution

Got 2 luv U – Sean Paul ft. Alexis Jordan




    Un léger sourire aux lèvres, j’essuyais les gouttes de whisky qui perlaient au coin de mes lèvres. Je commençai à avoir chaud moi, dans mon short en jean, mon chemisier, et mes talons ! La faute au whisky sans aucun doute ! [b] « Tu te décides pourtant facilement. »[/b) Je me contentais de lui adresser un sourire suggestif : c’est pas comme si j’avais eu le choix hein ! (et je crois que, même, de toute façon, si je l’avais eu, j’aurais choisi la version sans coca… Allez savoir pourquoi, une soudaine poussée de folie !). Tandis qu’il me faisait me retourner, ses lèvres glissèrent sur mon index, attrapant les restes de whisky précédemment sur mes lèvres. Ses doigts frôlèrent mes hanches alors qu’il me lançait un clin d’œil. Ses lèvres revirent se porter sur le goulot de la bouteille, et je l’observais, les yeux doucement plissés. Sacré descente le bonhomme ! Nos regards ne se lâchaient plus. Qui cèdera le premier, là était toute la question…
    Alors que S.W.E.A.T de Snoop Dogg retentit dans le café, ses mains s’enroulent autour de ma taille, et il me fait une fois encore me retourner, se collant tout contre moi, nos visages proches l’un de l’autre. Ses lèvres mimèrent (sensuellement…) la fin du refrain, et je plongeais mon regard dans ses yeux, rendant mes mouvements de bassins plus lancinants, me callant sur la musique. Un peu plus, et on aurait pu que j’étais l’une de ces nanas à peine vêtues (moins qu’à l’heure actuelle !), dansant langoureusement tout contre le type tout seul entouré de nana. Ô, pardon, ce n’est pas déjà le cas ? Je me mordis doucement la lèvre, mon regard pétillant quelques peu, alors que ses mains se faisaient plus aventureuses, plus… baladeuses… De mes hanches, ses mains avaient lentement glissé plus bas, caressant mes reins, jouant avec le tissu de mon chemisier, jusqu’à venir frôler mes fesses. Un doux frisson me parcourut, mais je ne cédais pas, ne quittais pas son regard. Je vins déposer avec délicatesse mes mains sur son cou, sa nuque, avant de les laisser glisser jusqu’à sa clavicule, ses pectoraux, continuant cette caresse sensuelle jusqu’à venir déposer mes mains près de son nombril, tandis que mes doigts se déposaient un peu en dessous… Pendant ce temps, Ian faisait exactement l’inverse, remontant du haut de mes fesses jusqu’à ma nuque, frôlant ma colonne vertébrale, m’arrachant quelques frissons. Ses doigts vinrent se perdre dans ma crinière blonde. Nos nez ne faisaient plus que se frôler à ce stade là, c’était d’ailleurs plutôt le cas de nos lèvres… Je les sentais, proche des miennes, je sentais son souffle chaud sur ma peau, et ma poitrine se souleva, sous le coup de l’inspiration que je pris, pour résister à l’envie soudaine qui m’avait traversé l’esprit… Ce même mouvement se reproduit quelques instants plus tard, mais de surprise cette fois-ci, lorsque Ian vint plaquer ses lèvres tout contre les miennes. Je ne m’attendais je l’avoue, absolument pas à ce contact, même si j’y avais songé, et mes doigts se resserrèrent sur le t-shirt du jeune homme de surprise, alors que mes yeux s’écarquillaient. Ses doigts posés sur ma nuque se refermèrent plus encore, me maintenant contre lui, comme pour m’empêcher de m’échapper. Une seconde passa. Une seule, avant que je ne ferme les yeux, et vienne me coller tout contre lui, plaçant mes mains sur ses joues pour attirer plus encore son visage contre le mien, entrouvrant les lèvres, lui rendant par la même occasion son baiser.
    Je ne sais absolument pas pourquoi je réagissais ainsi. Pourquoi j’agissais ainsi. Forcer la réserve ? Danser sur le comptoir ? Danser contre un type que je connais depuis quoi… Quelques dizaines de minutes, sur un comptoir ? Embrasser un type que je connais depuis quelques dizaines de minutes ? Si mon cerveau avait été en état de marche, peut-être aurait-il eu la bonne idée de me mettre un bon, un gros, WARNING ! Mais mon cerveau n’était pas en état de marche. En fait, il s’était branché en mode : plaisir & amusement. Et c’était justement ça que je faisais à l’heure actuelle. Je m’amusais. Mes lèvres s’entrouvrirent plus encore, forcées par la langue de Ian, qui ne semblait attendre que ça, venant cogner délicatement contre mes dents. Je l’accueillis avec un plaisir plus qu’évident, tandis que la mienne venait la rejoindre dans une danse sensuelle à l’intérieur de nos bouches, à l’abri des regards. Embrasser un presque inconnu dont je ne connaissais que le nom, la passion pour le whisky et les jeunes femmes lui offrant des danses « intéressantes » ? Amy, Amy, Amy…
    Nos lèvres ne cessaient plus de se chercher, et je vins coller mon bassin tout contre le sien, mon ventre plat se plaquant tout contre ses abdominaux. Je sentais sa main sur la nuque, dans mes cheveux. Je n’sais pas pourquoi, mais généralement, les hommes avaient tendances à apprécier glisser leurs doigts dans ma crinière dorée. Et ce n’était pas pour me déplaire… Les sentir saisir avec délicatesse mes cheveux pour me forcer à rejeter la tête en arrière, dévoilant par la même occasion mon cou… MIAM ! Oui, une fois encore, je le notifie : le cou, c’est l’endroit érogène par excellence chez moi. Certes, il y en a bien d’autres, comme tout un chacun ! Mais le cou… Il suffit que des lèvres s’y posent, s’y pressent, que les dents et la langue s’en mêle, et je perds le contrôle. Je m’enivre de ce contact, je me mords les lèvres, j’étouffe des gémissements…
    Féline et joueuse, l’une de mes mains vient reprendre cette descente sensuelle que j’effectuais avant qu’il ne vienne me troubler par son baiser. Je dessine ses muscles du bout des doigts, continuant ma route, caressant ses abdominaux.

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Ian Blackwood

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyMer 30 Nov - 23:26

C'était peu commode comme comportement dans le fond. Ou était la morale de ses deux étudiants? Toute notre enfance on nous baratine avec des phrases telques : ne monte pas dans la voiture d'un inconnu ou n'accepte pas les bonbons d'un inconnu, ne parle pas a une personne que tu ne connais pas. Et passé l'age adulte, ou mettre ses conseils? Aux oubliettes visiblement. Ne parle pas a n'importe qui mais embrasse la premiere venue, ça, ça personne ne le réprimandait hein. Surtout pas Ian, qui se laissait aller dans ce jeu a deux. Embrassant la demoiselle sur le comptoir, il fut surprit dans un premier temps qu'elle ne le repousse pas. On a beau dire des américains puritain, lorsqu'on est sur le terrain, on se rend compte qu'ils ne sont pas si réservés. Serrant délicatement ses doigts dans ses long cheveux fins, ils endiablèrent leur baiser sans aucun scrupule. Fourré sa main dans ses cheveux était un sacré défaut de l'italien, parce que ce geste, bien que minimim et insignifiant montrait ce coté un peu macho de notre homme, ce coté légerement dominateur. Parce que soyons honnête, cette prise lui permettait de faire ce qu'il voulait d'elle. Une femme réagissait comme un cheval a qui on tiendrait les rennes. S'il serrait sa poigne, elle allait se serrer contre lui. D'accord, la comparaison au quadrupède n'était pas très élogieuse, mais vous comprenez l'idée. Là n'était pas un ordre, mais le partage d'une passion. Un homme n'était pas délicat lorsqu'il était prit d'une vague de fougue. La douceur et tout le tralala c'était bien dans un autre contexte. Là, non. Aucune parcelle du corps du brun ne se voulait douce, si ce n'est qu'en aucun cas ses gestes étaient brusque.

Finalement, après un échange langoureux, Ian finit par admettre que dans le fond, il n'y avait rien d'étonnant qu'Amy ne l'ai pas repoussé. Non pas qu'il considérait qu'aucune fille pouvait lui résister, mais que depuis leur rencontre, il s'accordait sur le fait que l'un comme l'autre était sur une longueur d'onde sensiblement identique. Et donc, leur ligne de conduite actuelle était de toute évidence : on s'amuse et on réfléchira aux conséquences plus tard. Bon, d'accord, a l'instant présent entrait également en compte qu'ils avaient tous deux un physique abordable. Il ne l'aurait pas embrassé si elle ne lui avait pas plut, et il imaginait parfaitement que la réciproque était valable également. Leur baiser devint bientot taquin comme leur attitude depuis tout a l'heure. Ils cessèrent de s'embrasser un instant, jouant de quelques regards curieux, avant de venir chercher leur lèvres et entamer d'autres baiser plus amusé que sincère semblait-il. Les mains de la demoiselle finirent leur course sur le corps du brun par dessus un T-shirt si fin qu'elle devait sentir les formes qu'il dissimulait sous sa couleur gris clair. Les lèvres de l'étudiant explorènt alors plus loin, embrassant les siennes a la comissure, déviant par la suite sur sa joue, puis glissant doucement sous le lobe de son oreille avant de picorer son cou. L'inconvéniant d'être dans le vide, au dessus d'un comptoir, c'est qu'on devenait vite limité dans la découverte du corps de l'autre. Ses doigts se détachèrent de ses cheveux pour descendre que de quelque centimètres afin de s'accrocher autour de sa nuque, la bloquant dans le dos a l'aide du revers de son avant bras. A ce moment précis, ses cinq autres doigts se voulurent curieux. Sauf qu'elle était déjà occupé a tenir ce qu'il restait de la bouteille. Il releva alors la tête cessant alors de parssemer son cou de baiser et la regarda un instant avec un petit sourire en coin. La musique qui passait ne l'interessait même plus, il ne cherchait pas a savoir s'il la connaissait ou non. La seule chose qui l'interessait actuellement n'était même pas une chose, mais une personne, et elle se tenait entre lui et son avant bras. " Bon.." fit-il en jaugeant du regard le liquide ambré. Il prit une longue gorgée et en offrit a la blonde avant de lancé derriere son épaule l'objet qui éclata en entant en contact avec le sol. Il la regarda avec une légère mou et haussa les épaules plein de désinvolture, ce qui fit contraste avec ses paroles : " oups.." Bah, ils n'avaient pas encore nettoyer le sol.. juste les tables, et encore ! Sans produits, et Amy les avaient pietinées pour monter sur le comptoir...

Désormais libre, sa main vint s'avanturer contre son buste, frolant alors sa poitrine qui lui parut généreuse, ce a quoi il n'avait pas tant fait attention jusqu'à présent. Il sourcilla tout en maintenant son regard, et déboutonna le premier bouton de son chemisier en relevant un sourcil sur son front, l'air de dire : jusqu'où va-t-on ainsi Amy? Un sourire éclatant s'étira sur son visage lorsqu'il ouvrit le deuxieme bouton avec ce coté "défi' qui avait animé leur soirée. Un peu comme tout a l'heure avec ce jeu de regard, c'était le premier qui allait se rétracter, le premier qui allait dire stop, le premier qui arrêterait d'allumer l'autre. Mais s'ils tardaient trop, l'étincelle serait dejà devenu incendie et ils auraient du mal a reculer non? Et comme pour la dissuader de le faire, il attaqua a nouveau ses lèvres en faisant sauter le troisieme bouton, laissant entrevoir désormais son soutien-gorge. Il calla alors sa main contre ses cotes la rapprochant de lui, l'empechant de découvrir plus de son propre corps. Finalement ses deux mains ses rejoignirent sous les fesses d'Amy, et un petit ricanement brisa leur baiser en s'échappant de ses lèvres lorsqu'il la souleva contre lui, ne lui laissant pas d'autre choix que d'entourer ses jambes autour de lui si elle voulait éviter de tomber. Il fit un pas pour retrouver un équilibre, et lutta contre celui-ci en s'agenouillant sur la surface lisse sur laquelle ils se tenaient debout plus tot. Bientot, il se pencha en avant et l'allongea dos au comptoir en la posant aussi délicatement que possible, soutenant sa tête avec sa main afin qu'elle ne se cogne pas. Il déposa ensuite la paume de celle-ci a coté de son visage en lui souriant et l'autre pas très loin de ses hanches, plongeant son regard clair dans ses yeux bleus. Quand je vous disais que s'ils tardaient trop, ça serait trop tard. En tout cas, pour Ian. Au moins, il était fixé, là, il ne pensait a rien d'autre qu'à cette fille allongée devant lui, vers qui il se pencha, embrassant la peau qu'il avait fait apparaitre en ouvrant les premiers boutons du chemisier....

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyVen 2 Déc - 3:59

Ian & Amy
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« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul_Wesley_2_29 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 1314896774Amber%20Heard « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-Wesley-paul-wesley-21721446-100-100« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 2pq8kuc « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-paul-wesley-24122282-100-100 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Amber_Heard_Icon_3_by_ProjectRevolution

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    La pression de ses lèvres contre les miennes me faisait tourner la tête. A moins que ce ne soit le whisky. Ou la musique. Ou l’atmosphère. La chaleur de la pièce. Peu importait en fait ce qui était (ou non) responsable de cette fièvre qui s’emparait de moi. Le fait était qu’elle était là, présente, ressentie dans chaque cellule de ma peau frissonnante, chaque souffle, chaque baiser, chaque pression de mes lèvres contre les siennes. Alors que mes doigts venaient découvrir le torse du jeune homme, ses lèvres quittèrent les miennes pour venir glisser le long de ma joue, de ma commissure à mon lobe, avant d’atterrir dans mon cou. A l’instant même où ses lèvres chaudes entraient en contact avec la peau de cette zone particulièrement érogène, je me mordis les lèvres, agrippant le t-shirt de Ian avec force, pour ne pas flancher, ou gémir. Chaque être humain a un point sensible… Le mien est peut-être trop facile à trouver, ou « classique », mais les lèvres dans le cou… C’est absolument incontrôlable chez moi. Je frissonnais de tout mon être tandis que ses lèvres venaient torturer encore et encore mon cou, allant même m’arracher jusqu’à un soupir fugueur. La pression de mes doigts s’était resserrée autour de son t-shirt. Ses doigts entortillés dans ma crinière virent effleurer ma nuque, me rapprochant très légèrement de lui par ce geste. Je sentis la bouteille venir taper doucement contre mes fesses. Ian devait avoir compris que la zone de mon cou était particulièrement sensible, car ses lèvres y retournèrent rapidement, me torturant à nouveau, alors que je me mordais les lèvres pour tenter de rester plus ou moins sobre et stoïque face à la situation. Bien heureusement pour moi (ou pour Ian ?), il cessa cette activité, pour venir porter ladite bouteille à ses lèvres, me la tendant par la suite. Je vins apposer mes lèvres autour du goulot où, quelques secondes plus tôt, les siennes étaient, pour en prendre une gorgée qui me brûla l’œsophage. « Oops… » se contenta-t-il de lâcher quelques instants plus tard, alors que la bouteille venait se fracasser contre le sol. Je tournai la tête pour observer la catastrophe, avant de revenir porter mon regard bleu clair dans les prunelles sombres du jeune homme. Ses mains se firent plus aventureuses tandis que, d’une caresse, il venait effleurer ma poitrine, comprimée dans un soutien-gorge sous mon chemisier. Je ne lâchais pas son regard. A croire que nous étions deux enfants jouant à « celui qui baisse les yeux le premier a perdu ! »… Sauf que lorsque nous étions enfants, le petit garçon ne déboutonnais pas le chemisier de la petite fille… Je répondis à son regard par une sorte de sourire amusé, alors qu’il faisait sauter le second bouton de mon chemisier, avant de s’attaquer au troisième. Les pans s’entrouvrirent, dévoilant le soutien-gorge noir que je portais par-dessous, bordé de dentelle des plus affriolantes (quiconque me connait sait que la lingerie est chez moi une passion, et que je ne jure que par Aubade et Victoria’s Secret… Il vous est donc aisé d’imaginer le genre « d’ensemble » que je pouvais posséder !) Mes propres mains étaient toujours sur son torse, mais il m’empêcha d’aller plus loin en venant me plaquer tout contre lui. Ses mains, taquines, glissèrent le long de mes côtes, froissant le tissu de mon chemisier, avant de venir se poser sur, puis sous mes fesses, tandis que d’un mouvement, il me souleva, me forçant à venir enrouler mes jambes autour de sa taille pour ne pas tomber. Je dois bien vous avouer que l’espace d’un instant, j’ai bien cru que nous allions tomber… Pas que j’étais particulièrement lourde, mais le poids nous faisait pencher vers l’avant et Ian tangua quelques instants avant de retrouver un semblant d’équilibre en venant poser un genou à terre. Je ris doucement alors que Ian m’allongeait sur le comptoir, sans relâcher mes jambes autour de sa taille, le maintenant par la même occasion à quatre pattes au-dessus de moi. L’avantage d’avoir pratiqué la danse pendant de longues, longues années, c’est qu’on conserve une excellente souplesse (très pratique pour certaines positions du kamasutra je vous l’accorde !), bien utile dans le cas présent, me permettant d’enserrer sa taille de mes jambes tout en m’installant « confortablement » (autant que possible dirons-nous plutôt) sur le comptoir. Les yeux de Ian brillaient. L’excitation ? Le désir ? Le jeu ? Je ne saurais vous le dire mais, ce que je peux vous assurer, c’est que les miens étaient tout aussi brillants que les siens… Mes prunelles étaient légèrement dilatées sous le coup de l’excitation et du désir vibrant en moi, tandis que mon cœur avait légèrement accéléré.
    Ian se pencha en avant et ses lèvres virent se poser sur ma peau découverte, à la naissance de ma poitrine. Je me cambrais doucement, rejetant la tête en arrière, venant mettre ma poitrine plus en avant, pour lui permettre un accès plus… libre. Si ce n’était pas une invitation à ne pas s’arrêter en chemin, je ne sais pas ce que c’est ! L’une de mes mains vint se déposer sur son épaule tandis que doucement, je détachais mes jambes de lui, venant les poser, repliées, de chaque côté de lui, tandis que doucement, les ongles effleuraient son dos à travers son t-shirt fin. Ses baisers ne me laissaient pas sans réaction, et j’eus soudainement très chaud… Mes mains glissèrent le long de son dos, agrippant son t-shirt jusqu’à ce que je ne puisse plus descendre, et je tirais doucement dessus, remontant le morceau de tissu jusqu’à ce que mes doigts entrent en contact avec la peau. Je laissais mes doigts parcourir son dos, avant d’aller taquiner de mes paumes et de mes doigts ses abdominaux saillants et bien dessinés. Ses mains n’étaient pas laissées en reste et, rapidement, un autre bouton de mon chemisier fut défait, avant que les deux derniers ne sautent aussi, dévoilant mon ventre plat et ma poitrine généreuse comprimée dans mon soutien-gorge de dentelle noire. Je me mordis les lèvres, étouffant tant bien que mal (et même plutôt mal) un gémissement alors que ses mains venaient se poser sur mes cuisses, glissant vers mon short avant d’aller effleurer mon nombril, passant langoureusement sur mon ventre plat, avant d’aller torturer mes côtes et ma poitrine.

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyJeu 15 Déc - 18:02

Il se demandait comment les choses avaient pu tourner ainsi. En entrant dans ce café, la demoiselle avait-elle eut en tête la suite de leur rencontre? Avait-elle songé qu'il se passerait quelqu'e chose entre eux? Etait-il tombé tout droit dans son piège, prisonnier de son désir? Ou était-ce lui qui avait tout mit en oeuvre pour achever leur rencontre de cette façon ? En ayant commencer a la faire boire, peut-être avait-il, inconsciemment, chercher a ce quelle soit dans cet état? Finalement, qui avait été la proie et qui avait été le prédateur dans ce jeu? Ca n'était la faute de personne. De toute façon, le mot "faute" n'avait rien a faire ici dans le sens ou personne n'était en tord. Peut-être était-ce simplement deux étudiants en quête de sensations forte, de plaisir, d'amusement? En tout cas, il était clair qu'ils étaient tout deux addicts aux mêmes choses. Sous ses caresses, la jolie blonde montrait des signes de plaisir certain, et celui du jeune homme était largement traduit par ses traits tirés sous l'effets de son sourire ainsi que par ce qui trahissait tous les hommes en proie de plaisir... Alors qu'Amy découvrait son corps, lui provoquant quelques frissons tout en augmentant son excitation alors que ses doigts rencontraient son dos ou son ventre, les laissant parcourir ses abdos, Ian s'affairait a finir son travail, a savoir, enlever son chemisier afin qu'elle soit plus a l'aise – et pour profiter de la vue, admettons le.

Il glissa sa main contre sa hanche en passant sous le vetement maintenant devenu presqu'un futilité ennuyeuse, oubliant son cou que ses lèvres connaissaient desormais dans les moindres recoins - ayant eu le temps de prendre conscience des parcelles de sa peau qui étaient les plus réactives a ses attaques sensuelles – et celles-ci prirent une toute autre direction, venant embrasser sa poitrine maintenue dans ce soutien gorge qu'il jugea tout aussi inutile que la totalité de ses vêtements. N'empêche, il était chanceux de tomber sur une fille qui prenait soin d'elle au niveau de sa lingerie. Bien qu'il était certain que de vieux habits ne l'aurait pas arrêter, il était plus plaisant qu'une jolie femme soit dans de jolis vetements. Bien que... il faut l'admettre, les hommes avaient en regle général un non respect incroyable quand aux efforts de leur consoeurs... Celles-ci s'achetaient encore et toujours de jolie tenue pour plaire, mais elles n'avaient toujours pas comprit que l'emballage n'était pas ce qu'attendaient ces messieurs. Dans un cadeau, on désire la surprise, pas le papier ni les rubans qui l'emballe... Le souffle du brun était probablement bouillant sur la peau douce et parfumée de la petite blonde cachée sous son corps. Il avait juste l'impression de se consummer. Pas parce que l'excitation était a son paroxysme mais parce que leur chaleur mutuelle se mélangeait, parce que l'alcool tenait chaud, et parce que ses vetements commençaient a le faire chier, que ce soit les siens ou ceux d'Amy et les doigts de celle ci lui donnait l'impression de tracer des lignes de feu dès qu'ils entraient en contact avec sa peau. Alors que son visage remonta plus près de celui de la blonde, remontant contre son cou jusqu'à ses lèvres, son regard fut distrait par autre chose, et il tourna a peine la tête en direction de le vitrine du café. Son corps, déjà indépendant de son esprit ne voulait pas s'arrêter pour si peu, et alors qu'il se redressait légerement le regard toujours en direction de la rue, prenant desormais appuie sur ses genoux, ses mains vinrent s'occuper du bouton de son short, lui faisant lacher prise en un rien de temps. Il se mit a sourire doucement puis a ricanner avant de s'adresser a Amy : " j'avais pas encore fait attention a ça, mais on risque de se donner en spectacle ici..." Il glissa l'une de ses mains sur le creu de ses reins, l'obligeant presque a se cambrer a nouveau sous ce contact. Il parut hésitant une fraction de seconde avant de dire en haussant les épaules d'une voix rieuse, reportant toute son attention sur la personne la plus interessante ici en jouant avec le tissus entourant le bas de sa taille : " j'espère que la rue n'est pas trop fréquentée le soir... " Il tira alors sur celui ci, au niveau du fantome du bouton qui refermait anciennement le short, l'incitant a un peu de souplesse pour remonter son corps contre le sien. Il l'aida cependant a l'aide de la main qu'il avait conserver contre le bas de son dos. Il frolla la pointe de son nez contre sa poitrine qui était presque son nouveau vis-a-vis par ce changement de position, et il remonta sa main dans son dos, jusqu'a heurter les agraffes de son soutien gorge.

L'époque ou il se battait avec ces attaches lui parut bien loin lorsque ses doigts, en en simple petit mouvement ouvrirent cette barrière, lui laissant alors tout le loisir de se balader sur ce dos lisse. Droit qu'il ne prit pas, venant loger sa main sur sa nuque lui demandant par une legère pression de baisser la tête. Il embrassa alors à nouveau ses lèvres dans une fougue encore inconnue a ce jour, faisant tomber les bretelles du vetement noir tour a tour sur ses épaules. Assis sur le talon de ses pieds, Amy sur ses cuisses, lui meurtrissant son cou et sa poitrine de façon arbitraire par de petits baisers et légères morsures impatiente, voilà un beau tableau qu'ils offraient aux potentiels passants. Mais ce qu'il y a de beau dans l'art, c'est que tout est éphèmère... Jugeant que leur petit moment "tendre" avait déjà trop tarér, Ian glissa sa main sous le short en jean, venant alors caresser les formes de ses fesses qu'il avait probablement jugé de parfaite en les voyant remuer sur le comptoir précédemment. Il en avait la preuve désormais . Et malgré qu'il commençait a avoir terriblement envie de plus que ça avec la blonde presque dévêtue devant lui, un détail ne lui échappa pas. Pour avoir eut quelques frayeurs en certaines occasion, il lui lança un regard qui signifiait : m'oblige pas a arrêtez la.. " Dis moi que tu es une fille prévoyante Amy..." Mhh, Ian aurait pu être l'égérie d'une marque de condom tant il était vigilent par rapport a ça. Pour avoir cru une fois avoir mit une fille enceinte, ou chopper une saloperie, il ne réitérerait pour rien au monde ces erreurs. Ca faisait des lustres qu'il était passé outre le stéréotype du mec qui a une capote dans son porte feuille. Généralement, les coup d'un soir se passait ailleurs... Dans des toilettes? Un peu de monnaie suffisait a etre satisfait. Chez des gens ? On en trouvait toujours quelques part. Dans sa chambre d'internat? Sous son lit, sa table de nuit, la salle de bain... Dans la rue? A NYC, il y a presque un distributeur dans chaques ruelles... Alors franchement...
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyDim 18 Déc - 21:49

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« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul_Wesley_2_29 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 1314896774Amber%20Heard « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-Wesley-paul-wesley-21721446-100-100« Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| 2pq8kuc « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Paul-paul-wesley-24122282-100-100 « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Amber_Heard_Icon_3_by_ProjectRevolution

Got 2 luv U – Sean Paul ft. Alexis Jordan



    Ses lèvres décidèrent de cesser de me torturer l’espace de quelques instants, quittant mon cou pour venir se déposer sur mes seins rebondis comprimés encore dans mon soutien-gorge bordé de dentelle, tandis que ses mains glissaient sous mon chemisier, venant caresser mon dos, ma peau étant alors parcourue d’un frisson électrisant, me donnant presque la chair de poule. Son souffle chaud sur ma peau me faisait littéralement tourner la tête, et ma température corporelle augmentait à vue d’œil, presque de quoi alerter un médecin ! Lorsqu’il se releva pour s’attaquer à mon short en jean, je me cambrais légèrement pour l’aider dans cette tâche, loin d’être ardue cependant ! Ce n’était après tout qu’un bouton à défaire, et une fermeture éclair à dézipper ! « J’avais pas encore fait attention à ça, mais on risque de se donner en spectacle ici… » Je tournais la tête vers la vitre du café. Ce n’était pas comme si c’était une grande baie vitrée, le nom du café étant inscrit en grosses lettres dessus, mais si on venait coller son nez contre, on voyait sans trop de problèmes de qu’il pouvait se passer à l’intérieur… Et une personne observatrice aurait tôt fait d’apercevoir nos deux corps l’un au-dessus de l’autre sur le comptoir… Mais sa main, venant se glisser au creux de mes reins, me fit totalement oublier ce détail (car, oui, ce n’était qu’un détail pour moi à l’heure actuelle), me faisant me cambrer plus encore… Ses doigts s’amusaient avec mon short, découvrant par moments des parcelles de ma peau, ou encore le tissu noir de mon tanga, assortit bien entendu à mon soutien-gorge. « J’espère que la rue n’est pas trop fréquentée le soir… » Je souris doucement, alors que d’un coup, il venait tirer mon short, me forçant à me redresser tout contre lui. Ce n’était pas un exercice très compliqué, n’oublions pas que j’ai derrière moi une carrière de danseuse et de cheerleader, ce n’est pas un simple usage plus ou moins intense de mes abdominaux qui allait me faire peur ! Ma crinière blonde suivit le mouvement presque au ralentit, venant cogner doucement contre mon dos alors que je me retrouvais à demi assise sur ses cuisses, ma poitrine au niveau de son visage (Mmmm, quelle vue plaisante !). Son nez frôla mes seins tandis qu’il remontait lentement l’une de ses mains dans mon dos, pour venir dégrafer d’un geste expert mon soutien-gorge, libérant ainsi ma poitrine voluptueuse… Ses doigts remontèrent jusqu’à ma nuque, et il n’eut même pas besoin d’attendre d’y exercer une légère pression pour que je baisse ma tête, venant me saisir de ses joues pour attirer son visage vers le mien, tandis que mes lèvres venaient recouvrir les siennes et que ma langue cherchait la sienne, le tout exécutant une danse langoureuse, sensuelle, et brûlante de désir. Les bretelles glissèrent jusqu’à mes avant-bras, ma poitrine désormais nue venant se comprimer, ronde et ferme, contre son torse cette fois, alors que je me plaquais plus encore contre lui, et les mains du jeune homme passèrent outre le tissu de jean pour venir caresser mes fesses à demi-découvertes par le sous-vêtement que j’avais choisi le matin même, après ma douche brûlante. L’une de mes mains quitta sa joue pour venir se glisser sous son t-shirt : il n’y avait pas de raison pour que je sois la seule à me faire déshabiller et, plus encore, pour qu’il soit le seul à prodiguer des caresses au corps de l’autre ! Il faut dire que Ian était plutôt bien foutu, et il ‘y avait pas de raison pour que je n’en profite pas non plus, après tout, nous étions là pour ça tous les deux… Dieu qu’il me semblait loin le moment où je dansais toute seule (ou presque !) dans le café…A mon plus grand regret, il interrompit notre baiser. Oh non eh ! Il n’allait pas en rester là, j’avais à peine eu le temps de torturer ses abdos de mes caresses ! « Dis-moi que tu es une fille prévoyante Amy… » Un léger sourire vint étirer mes lèvres cerises, et je frottais doucement mon nez contre le sien, reprenant le souffle qu’il m’avait volé à coup de baiser.

    « Oh oui, rassure toi, plutôt deux fois qu’une… »

    Je me dégageais de son étreinte, me débarrassant des vêtements gênants qui pendouillaient le long de mes bras (c’est-à-dire le soutien-gorge principalement !) alors que je descendais du comptoir. Je donnais un coup de volume à ma chevelure tandis que je marchais, telle une panthère, jusqu’à mon sac à main, après avoir appuyé en passant sur le bouton de la commande des stores, qui commencèrent à se baisser tout seuls (les miracles de la technologie !). Arrivée près de la masse sombre qui constituait mon bien le plus précieux (non, quand même pas, les filles tiennent beaucoup à leur sac, mais de là à dire ça…), je me penchais en avant, offrant à Ian une vision plus que plaisante, et farfouilla quelques instants dedans, à la recherche de ce qui allait nous sauver la mise ce soir… Un sourire aux lèvres, je me redressais, tenant entre mon majeur et mon index un préservatif dans son emballage de plastique bleu, et adressa au jeune homme qui m’attendait sur le comptoir toujours un sourire charmeur, tandis que je revenais vers lui, d’une démarche… féline ! Arrivée juste devant le comptoir, je fis lentement glisser mon short le long de mes cuisses, me retrouvant alors quasiment nue face à lui, et grimpa là où il était installé, m’attendant tranquillement, profitant de la vue sans aucun doute. A quatre patte, je m’approchais de lui, joueuse, les yeux rieurs, et viens doucement frôler ses lèvres des miennes, ma main posée à plat sur le comptoir juste au niveau de son entrejambe. Le store acheva de descendre, et le « Clic » retentit au même moment.

    « Bien… Où en étions-nous ? »

    Question rhétorique bien entendu, je ne m’attendais pas à ce qu’il y apporte une quelconque réponse. D’un geste rapide, je revins prendre possession de la bordure de son t-shirt, cessant cette fois de jouer avec, le lui retirant rapidement, avec son aide (si si, il avait levé les bras !), venant déposer mes lèvres sur son torse avant même que le tissu ne touche le sol. Mes lèvres glissèrent le long de son cou jusqu’à sa clavicule, ses pectoraux, tandis que mes mains s’activaient toujours sur son torse, caressant ses pectoraux, glissant jusqu’à ses bras aux muscles appréciables, avant de revenir flatter ses abdominaux, mes lèvres ne cessant elles pas non plus leur découverte du corps que j’avais sous les yeux. C’est tellement plus sympathique de découvrir le corps de son partenaire à l’aide de ses lèvres et de ses mains plutôt que des yeux…


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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyMer 11 Jan - 1:55

Et si... et si Amy n'était pas la fille prévoyante qu'il l'espérait ? Et si elle lui disait qu'elle n'avait pas de quoi se proteger? Aurait-il seulement pu perdre toutes ses ardeurs, tous ses désirs, ses envies, ses pulsions, là comme ça, au simple fait qu'elle n'avait rien sur elle? Franchement ? Non. Tant pis... C'était bien beau de vouloir se rassurer, d'éviter maladies et tout ça, mais n'était-ce pas mieux de prendre du plaisir inconsciemment? Pas si dangereusement que ça mais depuis quand des étudiants de 21 ans devait-il être consciencieux, mature et impliqué dans la cause du latex? Mais peut-être que si, finalement. Peut-être qu'il aurait réussi a s'interdire d'aller plus loin – avec beaucoup de détermination, car il aurait fallut... on ne pouvait dire non a une fille comme elle – ou il l'aurait entrainé avec lui au distributeur le plus proche – elle ne bossait pas la après tout – mais cela aurait sans doute casser leur fougue... Mais dans le fond, pourquoi se poser ces questions connes alors que ses propos se faisait on ne peut plus... parfait ? «  oh oui, rassure toi, plutôt deux fois qu'une. » Elle était donc ce genre de fille. Mais de ce fait elle était aussi ce genre de fille qui nécessitait le port de capotes non? Parce qu'elle disait en quelques sortes qu'elle avait l'habitude d'en avoir , des préservatifs et des coup d'un soir? Oui bon, là il allait finir en bad trip s'il commençait a penser dans cette direction là hein... Elle quitta ses bras un instant, se redressant pour bientôt descendre du comptoir, perdant le sous vêtement qui tenait encore grâce – ou a cause – de ses bras. La vision lui plut d'avantage, ce qui expliquait ce sourire en coin qui prit place sur son visage. Il s'accouda au comptoir, suivant les mouvements de la demoiselle sans en perdre une goutte. Elle chiffonna ses cheveux, et il ricana face a ce coté « sauvage » qu'elle avait désormais, presque nue, habillée de ses long cheveux et de son short. Elle appuya alors sur un bouton qui fit fermer les stores du café, attirant l'attention du jeune homme qui prit conscience que désormais, ils étaient totalement seuls. Plus de passants dans ce jeu à deux. Elle fouillait désormais dans son sac a main, se courbant de telle façon a ce que l'absence du corps de la demoiselle ne devenait pas un manque, mais un supplice. Un instant il crut qu'il allait se relever pour la rejoindre là, mais comme il ne pensait déjà plus avec sa tête, il fut incapable de tant d'effort. Seuls ses yeux se promenèrent sur le corps de la blonde, qui semblait parfait. Franchement, que foutait une fille comme elle, ici, en week-end? Ah oui, elle aidait une amie. Quel gâchis. Il était content de cette obstination pour ce café finalement. Quand elle se redressa, 'arme' en main, son sourire se fit encore plus éclatant, et il lui dit, en la gratifiant presque par un clin d'oeil : «  Tu dois être un genre de femme parfaite... ». Il rit alors légèrement en l'observant revenir à lui, se délectant de cette vision qui s'offrait a ses yeux – probablement de braise a ce moment précis d'ailleurs- se redressant un peu plus, prêt a l'accueillir de nouveau sur le comptoir.

Elle se débarrassa de son short avant de grimper dessus, et tandis qu'elle s'approchait de lui a quatre pattes, il ota la boucle de sa ceinture sur laquelle il tira, l'enlevant totalement de son jean. La main de son amante se posa entre ses jambes alors qu'elle venait jouer prêt de ses lèvres, ravivant le désir entre eux. Il jugeait d'ailleurs ses cinq doigts trop loin, et la bouche voluptueuse trop taquine. «  Bien... ou en étions nous? » Son sourcils s'arqua tout comme son sourire se releva sur la commissure de ses lèvres. Soutenant ce regard terrible qu'il échangeait, il fut obliger de la voir disparaître de son champs de vision lorsqu'elle releva son T-shirt, il l'aida a s'en débarrasser. Bien, elle n'avait pas tant perdu le fil des choses finalement? Elle lâcha a peine le tissus par dessus le comptoir que dejà ses mains et ses lèvres parcouraient son corps, lui procurant des frissons. Sensations étranges alors qu'il avait l'impression de bruler de milles feux. Les hommes avaient ça d'égoïste. Alors qu'ils prennent un malin plaisir a connaître la moindre forme du corps de leur partenaire, poitrine, silhouette, fesses, visage – oui, dans cet ordre la ! - la réciproque leur semblait trop longue, futile. Un coté macho peut-être? Moi, homme, je peux, toi, femme, contente toi d'écarter les cuisses. Un coté Cro-magnon aussi peut-être. La pression montant, l'envie suivant le même phénomène, il se laissa tomber doucement sur le dos – non non, ça n'était pas pour contracter ses abdos et montrer comme ils étaient beaux ! - et lorsqu'elle remonta suffisamment haut, il passa le cuir de la ceinture qu'il avait encore en main autour de la nuque de la jeune femme, brisant le volume qu'elle avait gagné lorsqu'elle s'aplatit sur ses cheveux, la capturant ainsi et plissa ses paupières avant de dire, d'une voix tranchante : «  assez joué.... » Les meilleurs préliminaires sont les plus courts comme on dit ! Ah, non, ça c'est pour les blagues... Pas grave, pour Ian, c'était la même choses ! Les préliminaires n'étaient de toute façon qu'une grande farce. Quand on a envie d'un personne, immédiatement, ça ne sert a rien. C'est bien dans un couple, pour se montrer tout ce qu'on s'aime. Il préférait la démonstration qui s'en suivait, personnellement. Il releva sa nuque et embrassa la demoiselle avec une telle ardeur qu'elle ne pouvait que comprendre qu'il n'en pouvait plut, et que, maintenant que les stores étaient fermés, plus rien ne les retenaient – comme si ça aurait changé grand chose s'ils étaient resté ouvert - .

Pendant qu'elle était allée chercher la capote, il avait eu le temps de réfléchir a leur situation. Comment s'y prendre sur le comptoir, plus exactement. Quoi ? Je vois avais bien dit que l'attente lui avait parut très longue. S'il était au dessus d'elle, sans accroche, il risquait non seulement de lui bruler le dos mais d'avancer un petit peu a chaque coup de bassins.. S'amuser a changer de position n'était pas envisageable sauf s'ils tenaient a chuter du septième ciel.. C'était donc ainsi, elle au dessus de lui qui semblait le plus faisable. Ils auraient pu tout aussi bien descendre, mais la hauteur de ce comptoir n'étant pas la même que celle d'une table, il aurait eu du mal... Et puis, ça lui plaisait assez de se dire, a chaque fois qu'il passerait devant ce café qu'il avait trainé ici avec elle, de se dire que la moitié de Manhattan viendra boire sa boisson chaude accoudée ici, sans même imaginer un instant ce qui avait pu se passer dans ce lieu. Alors qu'il l'embrassait, tenant la boucle qui maitrisait la nuque de la jeune femme, deux doigts de son autre main se mirent a galoper le long du bras de la jeune femme, venant rencontrer le préservatif qu'elle tenait entre les siens. Il s'empara de celui-ci, et libéra la blonde de la ceinture, qu'il abandonna quelque part dans le coin, probablement avait-elle déjà rejoints son T-shirt. Pas de panique, le reste de ses vêtements allaient bientôt élire domicile vers eux aussi ! Il cessa son baiser, et la poitrine qui pressait contre son torse ne se fit qu'un bon souvenir. Il ouvrit le petit sachet a l'aide de ses dents, sur le bord – bah oui, ça serait ballot de le percer... - en lui disant milles choses du regard, entre autre : j'ai vraiment envie de toi, tu es sexy, envoutante, magnifiquement bien roulé et en plus de ça, tu sais que je commence a bien t'apprécier? Ca restera un moment marrant je pense. Oui enfin sauf que des yeux ça ne pouvait pas dire tout ça et la seule chose qu'elle devait comprendre c'était : met moi ce putain de préservatif et que ça saute ! - sans mauvais jeu de mot- mais en même temps, n'était-ce pas ce que tout ça signifiait? D'autant plus qu'il ponctua cette non phrase en lui donnant l'objet lubrifié. Il lança l'emballage par terre d'un coup d'index, comme dans un mégot – décidément, c'était presque dur a croire que c'était eux qui allaient faire le ménage – et il cracha le petit bout bleu qu'il avait encore en bouche sur le coté, sans la quitter du regard. En même temps, outre ce jeu de charme, Amy avait un sacré regard pétillant. Mais comme tout homme, il en vint a loucher sur les mauvais yeux...
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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyLun 13 Fév - 13:30

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| EmptyDim 19 Fév - 4:41

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MessageSujet: Re: « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| « Bah dit donc, c’est fou l’effet que je te fais ! » [ft. Ian |HOT| Empty

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