| Sujet: Dustin ; « UC » Mer 8 Sep - 21:21 | |
| Dustin Taylor Miller
© Crédit
|
- NOM : Miller
- PRÉNOM(S) : Dustin Taylor
- SURNOM(S) : Dust', c'est ça d'avoir des amis originaux.
- ÂGE : Dix-neuf ans.
- DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 6 février à Los Angeles, Etats-Unis.
- NATIONALITÉ : Américaine.
- ÉTUDE : Sport ; basket.
- GROUPE : Delta.
|
Qui se cache dans ta petite tête ?
[color=#6B6B6B][font=Georgia] Le physique de Dustin? Aha. Bah on va dire qu'il a pas à se plaindre le petit. Non mais c'est vrai! Des yeux bleus, des cheveux courts et châtains... des muscles, il est grand, il sait s'habiller, il est sportif. Dieu, quoi. Bon, non, okay, d'accord, j'exagère. Ca n'empêche qu'il est plutôt pas mal. Bon, des fois, il oublie de se raser... mais ça, ça le rend encore plus... enfin, vous voyez quoi, non? Tant pis. Généralement, il met des jean's troués, des converses, des tee-shirts, des chemises, beaucoup de sweats... oui, non, parce qu'il vénère les sweats. Ah ouais, vous avez pas intérêt à dire du mal des sweats! Il a un sourire à en faire craquer plus d'une si vous voulez mon avis, digne de colgate quoi. Enfin, tu vois le truc quoi. Il est réputé comme étant l'un des garçons les plus beaux de la fac mais bon, vous savez... ça, il en a rien à foutre. C'est pas du genre à courir après n'importe quelle fille.
Sinon, au niveau du caractère... un peu chieur sur les bords je dirais. C'est le premier à faire des conneries. Sa cible? La plupart du temps, la directrice mais chut, c'est un secret. Il est calme mais pas trop. En cours, c'est le premier à foutre ce qu'on appelle le "bordel". Il faut dire que la seule matière dans laquelle il se donne vraiment à fond, c'est le sport. Ah, le sport et Dustin, enfin, le basket et Dustin. Toute une histoire. Oh, c'est pas parce qu'il est sportif qu'il a rien dans le crâne, faut pas croire. C'est qu'il est intelligent. Mais ça, il le montre rarement vu qu'il fait souvent le con. En fait, c'est plutôt le genre à profiter de la vie à fond. Le seul truc où ne peut rien lui reprocher, c'est en amour. Et ouais! Il est fidèle. C'est pas parce qu'il peut avoir toutes les filles dans son lit qu'il trompera sa petite amie avec la première venue... d'ailleurs, si il avait une petite amie, il ne la tromperait pas, étant donné que c'est... une chose qu'il déteste. Les coups d'un soir? Ouais... vite fait quoi. Étant donné qu'il est pas casé, ça va encore. C'est un type plutôt jaloux et possessif. Ah mais le premier mec qui s'approche un peu trop près de sa petite amie... paf, dans ses dents! Ne jamais jouer avec le feu. En fait, il aime juste montrer que certaines choses sont SA propriété privée et qu'il est interdit de les toucher, même avec les yeux. Et oui, c'est un romantique notre Dustin.
Et si tu me parlais un peu de toi ?
[center][size=11] Mon histoire? Oh, vous savez, rien de bien original. Non, c'est vrai. Mes parents n'étaient ni trop riches, ni trop pauvres... non, ils étaient moyennement riches. Alors oui, il y avait quelques fois des hauts des bas mais on s'en sortait toujours... avec mon père, alors que j'avais à peine trois ans, on faisait du basket, dehors, dans le jardin avec le panier que mon père avait installé. Mon père avait été basketteur professionnel, ça aide. Mais à la suite d'une blessure, il a du arrêter... et il a rencontré ma mère. C'était quelqu'un de très connu dans le monde du basket. Il m'a beaucoup aidé à m'améliorer. Mon père était plutôt sport alors que ma mère... elle, elle voulait que je privilégie mes études. Vous connaissez les parents, jamais d'accord. J'ai toujours adoré ce sport, une vraie passion. Pour moi, il n'y avait que ça. Même en primaire, c'est pour dire. Mon entrée au collège fut marquée par évènement très perturbant, ce qui me fit perdre un mois de cours. Mon père était mort. Paf, comme ça! Enfin non, pas comme ça. Accident de voiture, c'est tout bête... je crois bien que ça a achevé ma mère. Les ennuis d'argent ont commencé. On ne s'en sortait plus... alors, pour faire plaisir à ma mère, j'ai doublé mon travail au collège. Je n'ai pas abandonné le basket pour autant, loin de là! Je m'y mettais à fond... en espérant que mon père me regard et soit fier de moi. Il avait tellement placé d'espoir en moi que je me devais de ne pas le décevoir. Le lycée arriva très vite, aucune petite amie à mon actif. Bien trop concentré par mes études, le basket et mon petit boulot. Oui car j'avais pris un petit boulot, histoire d'aider ma mère à payer les factures... je voyais bien qu'elle se rendait malade à cause de la mort de mon père. Elle travaillait trop. Je lui ai dis d'arrêter mais rien à faire, elle voulait tout faire pour me rendre heureux. Elle enchainait dépression sur dépression, maladie sur maladie, hospitalisation sur hospitalisation... enfin, vous voyez le truc. Comme quoi, l'amour peut rendre malade... je confirme. Elle s'était rendu malade à cause de la mort de mon père. Elle en est morte. C'est triste à dire mais c'est la vie. Ca se passa durant ma période "lycée". Mes grands-parents s'occupèrent de moi. Eux qui n'avaient pas approuvé le mariage de mon père avec une parfaite inconnu, me reconnaissaient enfin comme leur petit-fils. Enfin, surtout ma grand-mère parce que mon grand-père, c'est le genre têtu. Je ne leur en veux pas. C'était leur choix et puis c'est du passé. Ils me payèrent la fac. J'avais décidé d'étudier le sport. Ainsi, je pourrais être à fond dans mes études comme le voulait ma mère et à fond dans le sport comme le voulait mon père. Bien entendu, spécialisation basket! Qui sait, un jour, je deviendrais basketteur professionnel.
Je n'ai toujours pas eu de petite amie. Juste des histoires d'un soir, sans grande importance, souvent parce que j'étais bourré. Non, je n'aime pas l'alcool mais bon, aux fêtes, ça part tout seul... enfin. J'ai des amis. Des amis. Des amis. Des amis et encore des amis. Des filles qui me courent après, encore et encore. Mais le plus important, j'aime une fille. Elle est mignonne, intelligente... et décidément pas pour moi. Et pourtant, je me suis juré que je lui avouerais ce que je ressens pour elle, quitte à me prendre le râteau.
Et puis, qui sait, peut-être m'aime-t-elle. L'espoir fait vivre... enfin non. Mais c'est bien de se le dire. Mes parents ont toujours voulu me voir heureux. Et bien, je vais vous dires quelque chose, je ne serais pleinement heureux que quand je serais dans ses bras. Là où je me sentirais le mieux.
Un peu plus sur toi
© Crédit
| - COULEUR PRÉFÉRÉE : Le bleu. Ouais, t'as un problème avec ça? C'est PEUT-ÊTRE cliché mais je préfère m'habiller en bleu pétant qu'en rose flash...
- FRUIT PRÉFÉRÉ : Banane.
- STYLE DE MUSIQUE : Rock.
- VOS PEURS : Les insectes... Viril, hein?
- VOS SECRETS : Des secrets sont des secrets.
- VOTRE PLUS GRAND RÊVE : J'en ai pas vraiment en fait... moi vous savez, un rêve, c'est un rêve... un truc qui est pas censé se réaliser. Sinon, ce serait plus un rêve. Quoi? Je réfléchis trop...?
- CE QUE TU AIMES : Le sport (bien entendu), la musique, la guitare... les fruits, euh. Ma future petite-amie que je connais pas encore étant donné que c'est ma future. Et pis, c'est tout.
- CE QUE TU DÉTESTES : Les légumes. Les araignées, ouais, les trucs avec des pattes... qui vous pondes dans le genoux dès qu'elles en ont l'occasion... (ne pas chercher à comprendre). Ah ouais, danser aussi. Oh et pis, un petit dernier, les poufs!
|
Il y a quelqu'un derrière l'écran ?
© Crédit
|
- PRÉNOM / PSEUDO : James/Teepex/Happy
- AGE: Vingt-ans.
- SEXE : M.
- FRÉQUENCE DE CONNEXION [/7] : 7/7.
- COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Beuh, je sais plus...
- QUE PENSES-TU DU FORUM ? : : J'aime. :D.
- MULTICOMPTE : Non.
- PERSONNALITÉ DE VOTRE AVATAR : Brant Daugherty.
- CODE DU RÈGLEMENT : J'ai du le croiser quelque part... ah oui.
- Spoiler:
OK by the goldfish
- EXEMPLE DE RP :
- Spoiler:
► Elle, elle et encore elle. Il n'aimait qu'elle, il n'aimerait qu'elle. Il ne jurait que par Melissa. C'était ce qu'il avait de plus précieux. Vous ne pouvez même pas imaginer ce qu'il avait ressentit pendant ce mois... . Torture ultime. Combiner tristesse, torture, douleur, le tout formant, pour Edwin, ce qu'il aimait appeler, l'enfer. Il n'avait jamais osé aller la voir. Enfin, lors de son absence, il la croyait morte... donc forcément, enterrée quelque part. Mais il n'avait jamais osé y aller, de peur d'avoir encore plus mal... . Au fond, peut-être que ça l'aurait aidé à l'oublier, qui sait? Mais lui, il n'en avait eu aucune envie. Il n'avait jamais voulu l'oublier. Il préférait souffrir plutôt que de vivre sans elle, sans penser à elle... . Il l'aimait, d'un amour éternel. Edwin n'arrivait pas à s'imaginer vivre sans elle, c'était purement impossible. Vous allez me dire que ça, ça n'existe que dans les contes de fées... . Que l'amour éternel n'existe pas, que forcément, un jour, on se lasse de cette personne. Et bien non! L'amour peut-être éternel. Je vous assures. Et pas que pour Edwin et Melissa. Non, pour d'autres aussi... . Si, je peux vous l'assurez, ça existe. Ce n'est pas parce que vous n'y croyez pas, que ça n'existe pas. Quand ça vous tombes dessus, je peux vous assurez que vous êtes dans la merde. Mais vous êtes heureux. C'est ce qu'on appelle, plus communément, l'amour. Alors bien sûr, les deux tourtereaux avaient déjà eu des disputes... . Mais sans gravité. Ils se réconciliaient toute suite après. Quand on aime, on n'en veut jamais longtemps à la personne aimée. Oui, on peut dire que ça s'appelle être con. Mais bon. On n'aime jamais trop. On peut toujours aimer plus (+). Beaucoup plus. Et c'était le cas d'Edwin. Il aimait, chaque jour, de plus en plus Melissa. C'est possible? Bien sûr. La preuve. Et vous savez comment il s'était rendu de l'amour qu'il portait pour elle? Enfin, l'amour fou qu'il portait pour elle, plutôt. Lorsqu'elle a disparu. Chaque jour, il pensait à elle. Tout le temps! Il n'arrivait pas à penser à autre chose. Chaque jour... . Pendant trente et un jours, il avait ressenti cette sensation de manque. Ne plus entendre la voix de la personne qu'on aime, ne plus pouvoir la toucher, la voir sourire, l'entendre rire aux éclats... . C'est triste. Ça fait mal. Et pour seul compensation, il vous reste des photos. Des photos, de vulgaires bouts de papiers que vous regardez, chaque jour durant, comme si c'était ce que vous aviez de plus précieux... . Et parfois, dans un moment de manque intense, le jour de votre "anniversaire", par exemple, vous la verrez, au détour d'une rue, d'un couloir. Vous l'entendrez rire, vous entendrez ses "je t'aime"... . Mais non. Lorsque vous fermerez les yeux, il n'y aura plus rien. Seul les souvenirs resteront. De simples souvenirs. Vous essayez de paraître fier devant vos amis: "Non, ne vous inquiétez, je vais très bien... ." Vous n'en pensez bien sûr, pas un mot. Tout seul, vous pleurez, devant une photo, devant sa photo, devant son sourire qui restera figé. A partir de ce moment, vous vous rendrez compte que sa photo, est la seule chose qu'il vous restes. Mis à part les souvenirs, bien entendu. Et, je peux vous assurez que vous allez vous y accrochez à ces putains de souvenirs. Parce que c'est la seule chose qui va vous restez. C'est ce qu'on appelle, l'amour. Et bien, pendant ce mois, Edwin avait ressenti ça...cette sensation de manque. Cette sensation de la voir partout, de la sentir près de lui alors que, ce n'était bien sûr, pas le cas.... . Il en avait pleuré. Et là, maintenant, il l'avait près de lui, il ne la laisserait pas filer, jamais! Il l'aimait trop pour la laisser. Pendant son absence, c'est bête à dire, mais il s'en voulait de l'avoir laissé comme ça. Ce qui le faisait encore plus (+) souffrir. Et encore maintenant, même si elle ne le savait pas, il s'en voulait pas. Il l'avait laissé seule. Il aurait du rester jusqu'au bout mais il avait été anéantit. Tellement... .
FLASHBACK Vingt heure. Vingt et une heure. Vingt-deux heures. Vingt-trois heures. Minuit. Le temps passait si lentement... . Pour le temps de Melissa s'était-il arrêté, d'ailleurs? C'est vrai. Edwin aurait préféré que ce soit son temps plutôt que le sien... . Après tout, il avait fait beaucoup plus de conneries qu'elle dans sa vie. Et c'était elle qui avait disparu. Edwin n'avait rien eu contrairement à elle... ah. Si. Il avait perdu la personne qu'il aimait le plus (+) au monde. Qu'est-ce? Était-ce la vengeance d'un Dieu dans lequel Edwin ne croyait pas? Était-ce la vengeance de la vie, tout simplement. Traitresse. Elle n'avait pas mérité ça.Elle ne l'avait pas mérité! Même lui n'avait pas mérité ça. Mais il s'en voulait, c'était irrévocable. Il s'en voulait. C'était de sa faute si elle n'était plus là, si elle était morte. Il ne méritait pas de vivre, il ne l'avait jamais mérité. Pendant le temps où Melissa était là, il avait eu l'impression d'être quelqu'un de bien... . Ce n'était qu'une impression.Lorsqu'elle fut débranché, son monde s'écroula. Son âme se déchira en millier de morceau, son cœur se brisa en million de morceau... . Il n'existait plus. Il était, en quelque sorte, mort. Il déprimait à longueur de journée. Il écoutait de la musique dépressive à longueur de journée. Il pleurait à longueur de journée. Il avait délaissé sa guitare. Il n'existait plus. Edwin n'était plus. Il passait ses journée à pleurer sur la photo de sa bien aimée, à la regarder sourire.Sans arrêt, elle souriait. Un sourire figé. Il essayait de se rappeler. De se souvenir de ses innombrables sourires qui avaient, pendant quelques temps, illuminaient sa vie. Et maintenant, que lui restait-il? Un vulgaire bout de papier? Un papier qui avait figé un instant de la vie de Melissa. Un papier si vulgaire aux yeux des autres mais si précieux pour ceux d'Edwin. Jamais il ne s'en séparait. Jamais. Aussi longtemps qu'il vivrait. Même si, pour lui, vivre sans elle était purement impossible. Improbable. Jamais il ne pourrait. Non, jamais. Qu'allait-il faire sans ses sourires? Sans ses gestes remplit de douceur? Douceur propre à Melissa. Qu'allait-il faire sans l'amour de sa vie? Ces questions revenaient sans cesse. Il ne pouvait pas vivre sans elle, c'était impossible! Merde! Vous vous imaginez, vivre sans la personne que vous aimez? Non, bien sûr. Vous êtres trop heureux et fier pour vous dires qu'un jour, vous pleurez pour ça... . Depuis dix-huit ans, Edwin ne s'était jamais plaint. Il avait toujours souffert en silence. Et encore maintenant, il souffrait. Mais plus en silence. Ses sanglots pouvaient être entendu dans tout le couloir, dans toute la maison.... dans tous les cœurs. Il n'était jamais à court de larmes. Pourtant, il aurait aimé l'être. Mais dès qu'il essayait de ne plus penser à elle, son visage souriant revenait dans son crâne de piaf. Son sourire, ses mimiques, ses "je t'aime"... . Tout. Son visage, si fin, si doux... .Plus rien, le néant. Il ne lui restait plus rien. Ces derniers jours, il avait vaguement songé à aller la "voir"... . Mais il n'en avait pas eu le courage. Trop peur de lui dire "au revoir." , trop peur des conséquences... . Il ne voulait pas lui dire "au revoir". Non, il ne voulait pas. Quitte à souffrir toute sa vie. Il l'aimait trop pour lui dire "au revoir". C'était impensable. En tout cas, une chose était sûre. Jamais il ne l'oublierait, jamais il n'oublierait cette fille si agréable, gentille, douce qu'était Melissa. Jamais. Je sais, il ne faut jamais dire jamais mais cette fois-ci, il le disait et le revendiquait. Elle est et elle restera, la seule qu'il ait jamais autant aimé... . Elle restera sa petite amie. Quoi qu'il arrive. Et c'est, sur ces dernières pensées, qu'il prononça, une dernière fois....
La dernière fois. Il éclata en sanglot et s'allongea sur son lit, fermant les yeux, se remémorant sa voix, son visage, son rire, son sourire... . Elle, tout simplement.
FLASHBACK Elle était là, avec lui. Il aurait pu le crier sur tous les toits, mais qui l'aurait cru? Et puis, il s'en foutait. Tout ce qui comptait pour lui, c'était elle. Elle, elle et encore elle.... . Lorsqu'elle répondit à son baiser, il ne fut pas surpris, non, il frissonna. C'était un moment qu'il aurait aimé faire durer le plus longtemps possible. Lorsque Melissa y met fin, il n'eut le temps de faire rien d'autre que de reprendre son souffle. Bientôt, elle se retrouvait sur lui, la tête dans son cou. Edwin était heureux. Heureux comme jamais il ne l'avait été. C'était ça l'amour? ... Apparemment. Il passa ses bras autour de sa taille et la rapprocha un peu plus (+) de lui. Il soupira. Depuis le temps qu'il rêvait de la revoir, de la tenir contre lui, de l'embrasser, de la prendre dans ses bras, de la voir, de l'entendre, de voir son sourire, de l'entendre rire, depuis le temps qu'il rêvait d'elle. Tout simplement.
EDWIN ▬ « Plus jamais un coup comme ça. Je te jure que je m'en remettrai pas. Je t'aime bien trop pour ça... . Toi, Melissa. Mon seul et unique amour. » Il esquissa un sourire à ses paroles. Il était pathétique et niais et il le revendiquait.
Franchement. Vous trouvez ça pitoyable, pathétique, niais? Il n'y a pas de quoi. C'est l'amour, tout simplement. Il l'aimait plus que tout au monde. Plus que tout. Imaginez-vous, un seul instant, perdre la personne que vous aimez comme un(e) fou/folle. Imaginez que cette personne, vous ne la reverrez plus jamais. Que son sourire, sa voix, son rire, son visage, vous n'y aurait plus le droit? Que la seule chose que vous pouvez faire pour elle, c'est de pleurer toutes les larmes de votre corps. Son visage, son sourire, elle/lui, tout simplement... . Ah oui, ça fait mal hein? J'avoue. J'ai déjà essayé, moi aussi, d'y penser. Je n'y arrive pas. Je n'arrive pas à imaginer ma vie sans elle, c'est tout. Et bien, Edwin, c'est exactement pareil.... . Il le voyait mal, le fait de l'oublier. Jour et nuit, il pensait à elle. Il pensait à ce livre, qu'ils avaient commencé à écrire, ensemble... . Livre, qui, pendant un mois, n'était plus prédestiné à devenir un best seller. Non, la fin avait été écrite bien trop rapidement. Trop brutalement. Car, normalement, ils n'avaient prévu aucune fin, aucune. Ça aurait été sans aucun doute, le plus gros livre qu'il puisse exister au monde. Il battrait tous les records. Plus magique que Harry Potter et toutes ses adaptation cinématographiques. Plus mystérieux que le Da Vinci Code! Plus connu que tout et n'importe quoi. Leur histoire était tragique, joyeuse et magique à la fois... . Et dire que cette histoire, aurait pu être fini, il y a de ça un mois. L'amour, le vrai, le seul, l'unique. Jamais il n'aurait pu se résoudre à lui dire au revoir, jamais. JAMAIS! C'était strictement impossible. Mais dans un sens, il n'avait pas été le plus à plaindre. Melissa l'avait été aussi. Vous vous imaginez vous, mort aux yeux de vos amis, de votre famille, de la personne que vous aimez? Mort auprès de tout ce qui vous ai chère. Vous vous imaginez, laisser les personnes que vous aimez, involontairement? Moi pas. En tout cas, une chose était sûre... . Ils s'aimaient. ■
- AUTRE(S) : Je suis fou amoureux. ♥
|
Dernière édition par Dustin T. Miller le Jeu 9 Sep - 21:06, édité 6 fois |
|