| Sujet: Kathlyn J. Wilson ; «100%» Mer 8 Sep - 21:05 | |
| Kathlyn Jenny Wilson
© Faith
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- NOM : Wilson
- PRÉNOM(S) : Kathlyn Jenny
- SURNOM(S) : Kath'
- ÂGE : 18 ans
- DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 21 juillet 1992 à Londres.
- NATIONALITÉ : Américaine
- ÉTUDE : Arts - Photographie
- GROUPE : Gamma
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Et si tu me parlais un peu de toi ?
Le collège anglais de Kath' a demandé à ses élèves de raconter leur vie et de se décrire, enregistrés sur un magnétophone qui sera écouté dans 50 ans. Voici le récit de Kathlyn Jenny Wilson :
« Salut salut... moi c'est Kathlyn, mais je crois que vous l'a déjà dit en fait. Mais appelez moi Kath' lorsque vous me critiquerez dans cinquante ans s'il vous plait, je préfère. Je dois donc vous parler de moi... Par ou commencer ? Au commencement oui, je vous vois venir. Mon père était français. Un pur français, bien riche, vous voyez. Et ma mère était une anglaise, un peu bourgeoise elle aussi. Vous voyez, le genre de femme au collier de perle, au gilet bleu marine avec le chemisier en dessous, la jupe sans faux plis, les petites chaussures noires et la mise en plis sur les cheveux teins en blond platine. Bah, ça, c'est ma mère. Mes parents se sont rencontrés lors d'une croisière, et se sont tout de suite aimé. Pour l'argent, la situation sociale, je sais pas, mais ils se sont vite mariés et ont fait un enfant. Une petite fille tiens. Moi ! Oui, bien deviné, je suis la seule enfant qu'ils aient eut. Je crois qu'ils s'en seraient bien passés d'ailleurs, mais il fallait bien une héritière à toute cette fortune. Sans blague, la maison ou j'ai grandit est tellement grande que j'aurais pu inviter toute ma classe à dormir. Je dis pas mes amies parce que j'en avais pas de vraies. A l'école, on me parlait pour ma fortune, que mes parents me forçaient à montrer à travers mon style et mon comportement à l'école. Le genre de fille que personne ne peut voir parce qu'elle n'a que des très bonnes notes et que ses professeurs l'adorent, alors qu'elle n'a rien demandé. Je vivais dans le parfait monde de focu. Au niveau de mes relations avec mes parents, nous n’avons jamais été très… complices. Mon père était trop occupé à gérer la fortune de la famille pour s'occuper de moi. Quant à ma mère, je crois qu'elle ne m'a jamais aimé... Peut être était-ce parce que je ressemblais plus à mon père qu'à elle. La femme de ménage me disait tout le temps que j'avais les yeux de mon père, de petits yeux marron foncés qui pétillaient comme un feu d'artifice, mais aussi sa couleur noire de cheveux. Quoiqu'il en soit, je n'ai pas hérité grand chose de ma bourgeoise de mère, hormis... la taille. Je m'en serais bien passée pourtant, car admettez que mesurer 1m65 à 18 ans, c'est limite. Heureusement pour moi que je n'ai jamais été grosse, mais qu'au contraire, je suis plus mince avec quelques formes qui, d'après mes oncles, sont agréables à regarder. Ah oui, je ne vous ai pas parlé du reste de la famille. Disons qu'en fait, je ne connais pas trop mes grands parents. Non pas parce qu'ils sont morts, mais ceux de mon père habitant en France, il m'est difficile de les voir. Ceux du côté de ma mère sont eux aussi riches, mais surtout bien trop snobs pour inviter leur petite fille dans leur grande maison d'Ecosse. Les oncles dont je vous parlais aussi on eut quelques problèmes avec les forces de l'ordre, c'est pourquoi ma famille refuse de leur parler, de peur de nuire à sa réputation. Vous savez, chez moi, on ne reçoit jamais beaucoup de gens. Bon, certes, nous avons les femmes de ménage, le cuisinier, et tout le personnel qui s’occupe de l’entretien de notre maison, mais eux, ils font en quelque sorte partis de la famille ; même si la plupart ne reste que parce qu’on les paye bien. Mais sinon, mes parents sont plutôt du genre à protéger leur chez eux et à ne pas prendre de risque de se faire mal voir en invitant des gens. Il nous arrive de recevoir des gens de la « haute société », comme des associés de mon père ou des copines de club de tricot de ma mère, même si elle ne fait pas de tricot. Et moi dans tout ça ? Et ma vie ? Et bien moi, j’ai grandis avec comme seconde mère la femme de ménage. C’est elle qui m’a fait devenir ce que je suis aujourd’hui : une fille qui ne supporte pas le monde de la bourgeoisie. Elle m’a apprit ce qu’était la vraie vie, comment on pouvait vivre avec peu d’argent et qu’elles étaient les choses que les enfants normaux qui avaient des amis faisaient. Je suis restée avec elle jusqu’à ce que ma mère s’aperçoive que j’étais beaucoup attaché à elle et qu’elle la vire, à l’âge de 12 ans. A partir de là, j’ai continué seule ma vie d’enfant. A l’école, j’étais toujours l’élève modèle, j’avais, sous le poids de mes parents, prit gout aux études. J’excellais dans tout, et le soir, avant d’aller danser dans ma chambre et faire de la gym, je me plongeais dans mes leçons comme si ma vie en dépendant. Car oui, depuis toute petite je pratiquais la danse moderne et la gymnastique. C’était les seules heures de la semaine durant lesquelles je pouvais être ce que je voulais vraiment être, et où je pouvais faire n’importe quoi sans supporter les remarques de ma mère. Mes professeurs me disaient que j’étais très doué pour ces deux sports, ce qui me motivait encore plus à me donner à fond. Autre passion, et, je l’espère, mon futur métier : la photographie. Grâce à ma fortune personnelle assez… élevée, j’ai pu dès mon plus jeune âge m’acheter un bel appareil photo de professionnel, et m’entrainer à prendre les animaux du parc de la maison en photo. Mon premier album photo, j’ai du le faire à 8/9 ans… et j’ai voulu en faire mon métier à 12 ans. Quand j’en ai parlé à l’école et que mes professeurs en ont parlé à mes parents, le savon qu’ils ont pu me passer… « Ma fille, photographe ?! Et pourquoi pas éboueur ! Tu reprendras la tête de l’entreprise de ton père, un point c’est tout ! ». N’empêche qu’ils n’ont jamais réussi à me faire changer d’avis.
Et mais attendez, j’ai oublié de vous préciser une chose. Je vous imagine avoir pitié de moi là, vous dire « Oh, quelle pauvre petite, être malaimée ainsi par ses propres parents ». Mais non ! Je n’ai jamais été malheureuse. Je n’étais pas heureuse, certes, mais à force d’entrainement, on finit par aimer être une solitaire. On y prend même gout. J’ai juste appris à être indépendante. Mes parents me croient heureuse avec l’argent qu’ils me donnent, mais, même si ça peut être utile parfois, je dois vous admettre que moi, cette vie de rêve, je m’en serais bien passée. Déjà, les gens deviennent vite focu lorsqu’ils voient les vêtements que vous portez, et ils ne vous parlent que par intérêt. Ou alors ils vous jugent : ils vous voient sortir de votre château, et vous rangent tout de suite dans les bourgeois snobs à qui il ne faut pas parler. J’en suis quand même arrivée à être complexée par ce monde qui se dégageait de moi, surtout que je ne suis pas comme ça. Les gens à qui je préfère parler, ce sont les gens modestes, qui ne se font pas remarquer et qui n’étalent pas leur argent comme peuvent le faire certains. Je suis une fille simple en fait, je déteste me prendre la tête, et on m’a souvent dit que j’étais généreuse. Je ne fais pas partie de ce monde, et je ne suis en aucun cas comme ma mère. Une chose que, je crois, on me reproche, c’est de me consacrer un peu trop aux études. Mais je crois que ça, c’est la seule chose que mes parents ont réussi à me faire aimer en m’y forçant.
Et vous vous demanderez sans doute : mais côté cœur ? Eh bien côté cœur, ça a toujours été le néant. Je suis déjà tombée amoureuse, mais ce n’était jamais réciproque. Je suis sortie une fois avec un garçon, mais j’ai vite découvert qu’il ne sortait avec moi que pour l’argent et le cul, alors je l’ai plaqué. D’ailleurs, cet idiot a eut le don de me dégouter des garçons et de l’amour. Je crois que je finirais ma vie célibataire, et si vous voulez un conseil, aliens du futur, faites en autant.»
Trois ans se sont écoulés depuis que Kath' a fait cet enregistrement. La situation est restée inchangée, et elle a toujours continué la danse, la gymnastique et la photographie. Le lycée étant finit, elle est partie l'année de ses 18 ans du cocon familial pour se rendre aux Etats-Unis, à la fac, pour y étudier le droit. Enfin, ça, c'est ce que ses parents croient. En réalité, ils se fichent tellement d'elle qu'ils n'ont pas remarqué qu'au dernier moment, elle avait coché l'étude des arts avec comme spécialité la photographie. Elle a tout de même réussi à les convaincre de lui prendre une chambre universitaire, et non pas un appartement de luxe au dernier étage d'un building, prétextant qu'elle travaillerait mieux si elle restait en permanence sur le campus. Elle essaye de montrer le moins possible qu'elle a de l'argent, et apparemment, ça a l'air de plutôt marcher pour le moment. Elle a des amies, et même... un amoureux ! Mais il ne le sait pas encore en fait. Et la connaissant, elle n'osera jamais lui dire. Alors elle prends sur elle, se retient de piquer une crise de jalousie dès qu'elle le voit avec une autre fille (Car elle est très jalouse, et que lui, est un beau sportif. Imaginez un peu), mais surtout, tente de ne pas s'avouer ses sentiments, se souvenant de sa dernière expérience et n'ayant pas envie de souffrir comme elle a pu souffrir.
Un peu plus sur toi
© Faith
| - COULEUR PREFEREE : Rouge
- FRUIT PREFERE : Cerise
- STYLE DE MUSIQUE : Pop / Rock
- VOS PEURS : La mort... et les araignées.
- VOS SECRETS : Ils sont secrets ;)
- VOTRE PLUS GRAND RÊVE : Faire du tour du monde.
- CE QUE TU AIMES : La gymnastique, l'équitation, lire, sortir, prendre des photos.
- CE QUE TU DETESTES : La politique, les gens riches et qui le montrent, les allumeuses et allumeurs.
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Il y a quelqu'un derrière l'écran ?
© Faith
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- PRENOM / PSEUDO : Nolwenn
- AGE: 16 ans
- SEXE : Fille
- FRÉQUENCE DE CONNEXION [/7] : 7/7
- COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Par Dustin ♥
- QUE PENSES-TU DU FORUM ? : : J'aime :D
- MULTICOMPTE : Non
- PERSONNALITÉ DE VOTRE AVATAR : Selena Gomez
- CODE DU REGLEMENT :
- Spoiler:
OK by the goldfish
- EXEMPLE DE RP :
- Spoiler:
Les rues de New York étaient désertes. Même le plus futé d'entre tous n'aurait pu entendre le moindre bruit. La nuit tombée, New York devenait dangereuse. Malheureusement, beaucoup le savaient, et rentraient donc chez eux quand le soleil laissait place à la lune. Cette nuit là, on pouvait seulement entendre la marche rapide de Joy, perchée sur ses hauts talons. Une marche rapide, décidée, mais surtout sûre d'elle. Cette jeune vampire se rendait droit dans la rue du Strip Club. Là ou se trouvaient tous les imprudents et ignorants ivrognes de la ville lorsque la nuit tombait. Le rendez-vous des trainées et des maris infidèles, la rue du plaisir comme la surnommait Joy. Elle détestait le genre d'activité qu'on y pratiquait, mais elle adorait y chasser, la nuit bien sûr. Le moment de la journée ou il fait sombre dans les rues malfamées, et ou les clients ne s'attendent tellement pas à avoir ce genre de visite qu'ils sont à la limite de la crise cardiaque lorsqu'ils voient un vampire. Cette peur qui rend leur sang chaud et qui provoque un intense plaisir au consommateur, celle qui les oblige à se mettre à genoux devant leur maître pour mieux les implorer de leur laisser la vie. Rien que d'imaginer la scène, un long sourire sadique s'étira sur les lèvres de Joy, la rendant encore plus pressée d'arriver.
Bien décidée à se dépêcher, elle accéléra progressivement sa marche, jusqu'à parvenir à courir. Courir si vite qu'on entendait plus le claquement de ses talons. Joy était assoiffée comme jamais, et toute personne raisonnable aurait signé son arrêt de mort si elle avait vu les crocs sortis de la jeune vampire. Sa seule pensée était celle de faire souffrir quelqu'un. Et ce soir, elle avait envie d'un homme qu'elle accuserait d'adultère. Ce n'était pas son met préféré, c'était juste une simple vengeance de la part de toute ces femmes qui souffrent à causes de l'infidélité de leur mari. Arrivée dans une zone de lumière non loin de l'entrée du Strip Club, elle ralentit la marche jusqu'à retrouver un rythme normal pour passer inaperçue. Ce qui fut plutôt ratée, car dès qu'elle fut repérée par un ivre, elle se retrouva reluquée de tous les coins à cause de sa chemise peu être un peu trop ouverte et de son jean slim noir qui faisait bien ressortir ses rondeurs. En guise de réponse, elle se contenta de sortir ses crocs avec un regard menaçant à ceux qui osaient l'approcher pour tenter de la toucher. Soudain, elle entendit une troupe d'homme rire plus fort que la normale. Elle se retourna brusquement et vit Sidney qui se fit toucher la cuisse par un autre ivre.
Tout ceux que vous voulez, sauf Sidney. On ne touche pas aux jouets de Joy, c'est pourtant bien connu ! Elle tira la même grimace que celle que les tigres font lorsqu'ils rugissent, et alla se coller au mur, cachée de la vue de Sidney et des hommes. A l'odeur qu'ils dégageaient, ils ne semblaient être que de simples humains inconscient de leurs actes. Elle avait au moins trouvé son repas de ce soir. Elle observa la scène avec attention, fière de la sérénité qu'affichait sa jeune humaine. Les hommes reprirent leurs chemin, et Sidney s'en alla au loin. Parfait. L'heure de la vengeance et du repas venait tout juste de sonner.
Elle se détacha lentement du mur, passa la main dans ses cheveux d'un geste sensuel pour faire de l'effet, et s'approcha du trio qui s'était arrêté non loin de là. L'un d'eux tourna la tête vers elle et affichait le genre de sourire niait qui exaspérait Joy, qui se contenta de lui sourire de toutes ses dents.
"Bonsoir poupée, dit-il en jetant un coup d'œil aux alentours. Que fait une aussi belle nana dehors à cette heure-ci seule ? "
" Je me suis perdue " rétorqua-t-elle sèchement.
Elle lui aurait bien sauté dessus tout de suite, mais elle préférait le chauffer un peu. Peut être qu'en faisant cela, elle parviendrait à rendre la viande meilleure. Car vu l'odeur qu'il dégageait, il se semblait pas aussi bon que d'autres auquel elle avait déjà gouté.
" Je souhaite me rendre au Strip Club, mais je ne le trouve pas " continua-t-elle pour en finir plus vite.
" Viens, suis moi, je vais t'y conduire ... " lui répondit-il en lançant un clin d'œil voulut discret à ses amis.
Il l'attrapa par les hanches en prenant bien soin de lui caresser les fesses au passage et la conduisit dans un cul de sac sans lumière. Elle n'eut pas le temps de réagir qu'elle se retrouva plaquée contre le mur, les mains baladeuses de l'ivrogne se baladant partout sur son corps. Elle le laissait faire un peu pour se préparer mentalement à son attaque. Il lui colla des baisers un peu partout sur le visage et sur le corps, lui passa les mains dans le soutien gorge et dans le boxer, et commença à déboutonner les boutons de sa chemise. De son côté, elle remonta ses mains sur le torse de l'homme en le caressant là ou elle passait, puis lorsqu'elle fut arrivée à sa poitrine, elle approcha sa tête de son oreille.
" Pauvre idiot. Tu est tellement saoul que tu ne remarque même pas que la femme que tu es en train de peloter est un vampire qui n'a qu'une envie, c'est de sucer ton sang jusqu'à la dernière goutte. Tu me fais pitié. "
Elle dirigea ses mains vers les hanches de l'homme, l'enlaça tendrement pour être mieux installée et descendit sa tête au niveau de son cou. Elle sentait son cœur battre à mille à l'heure. Son plan avait fonctionné, son sang était chaud comme de la braise. Elle le colla à lui, et dans un même mouvement planta ses crocs dans les veines du cou de sa proie. Un cri perçant sortit de la bouche de la victime, puis plus rien. Il s'effondra au sol, retenu par Joy qui ne défit pas son étreinte et qui enleva encore moins ses canines du cou de sa victime. Elle l'allongea délicatement sur le sol, se mit à quatre patte par dessus lui et lui suça le sang jusqu'à la dernière goutte. Seulement ce qu'elle n'avait pas prévu, c'était que le reste du groupe avait été averti par le cri du mort. Ils arrivèrent en courant dans le cul-de-sac et virent avec effroi la scène qui se déroulait sous leurs yeux. Joy s'empressa avec regrets de finir le sang encore chaud qui restait dans le corps de l'homme et se redressa en se tournant vers les deux amis du défunt. Un long filet de sang coulait du coin de sa bouche, et un long sourire s'étirait, dévoilant ses dents blanches. Question d'esthétisme, Joy s'était entrainée à boire le sang proprement de façon à ce que quand elle ait fini, ses dents soient aussi blanche que lorsqu'elle avait commencé. Les deux amis crièrent à pleins poumons et coururent le plus loin possible du lieu du crime. Laissant le corps inerte sur le sol, elle se leva, s'essuya la bouche du revers de la manche, laissant involontairement une longue trainée rouge sur la chemise blanche. Elle reboutonna sa chemise, se recoiffa légèrement et sortit de l'impasse mine de rien, les mains dans les poches. Cette chasse n'avait duré pas plus de quinze minutes.
Elle continua sa route vers l'opposé du Strip Club, car maintenant qu'elle avait eut ce qu'elle voulait, à quoi bon y rester ? Elle prit un rythme de marche assez rapide, le regard balayant l'horizon. Mais cette soirée n'était pas finie. Peu de temps après sa reprise, elle sentit une bonne odeur familière. Celle de Sidney. Elle tourna la tête vers la provenance de ce parfum et sourit de toute ses dents, contente de voir que cette petite avait survécu aux ivrognes du coin. Elle s'adossa au mur à côté de son humaine, et croisa les bras en regardant droit devant elle.
" Que fais une belle jeune fille comme toi à cette heure ci dans un endroit aussi mal fréquenté ? "
- AUTRE(S) : Je suis amoureuse ! ♥
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Dernière édition par Kathlyn J. Wilson le Jeu 9 Sep - 19:57, édité 7 fois |
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