ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE ■ 26 ans, 3 février 1986, New York.
CELIBATAIRE ? ■ Célibataire
NATIONALITÉ ■ Américain
MÉTIER/ÉTUDES (UFR) ■ Videur dans une boite de nuit
ORIENTATION SEXUELLE ■ Hétéro
GROUPE ■ Citadins
AVATAR ■ Jensen Ackles.
CREDITS ■ Bazzart et Tumblr.

PHYSIQUEMENT ■ Avant que je ne vous entretienne, en long et en large, à propos de ma vie laissez-moi saisir cette opportunité vous parler de mon apparence. On dit de moi, du moins ceux qui ont eu la chance de me côtoyer au fil des ans que je possède un physique sommes toute assez impressionnant comme en témoigne ma taille dépassant de peu le 1 mètre 90 et mon poids avoisinant les 95 kilos. Adepte de la parfaite condition physique, il m'arrive de passer de longues heures au gymnase, faut dire que j'aime paraître à mon mieux, c'est pourquoi je ne possède aucun gramme de gras superflu. Ce qui me permet de passer allégrement d'un style vestimentaire à un autre sans craindre que le moindre défaut soit croqué au vif par l'oeil sans merci des gens que je connais et qui ne cesse de me scruter à la loupe, faut dire que le monde dans lequel je trempe depuis ma naissance est sans merci et que mes détracteurs sont ce que nous pouvons appeler des langues sales . Que ce soit un jeans taille basse, un t-shirt et des baskets comme tenue de tout les jours ou tout simplement une tenue plus habillé comme en témoigne ses complets Hugo Boss...étant un véritable caméléon je peux me permettre de porter a peu près tout..

MENTALEMENT ■ Pendant de longues années les gens ont prit plaisir à dépeindre de mes parents un portrait peu flatteur, leurs pourfendeurs semblaient éprouver un malsain plaisir à les qualifier d'élitistes, de hautains et de méprisables snobinards et je dois avouer qu'au cours des premières années de ma vie j'ai souffert de ce jugement aussi cruel que superficiel injustement posé sur ma famille et par ricochet sur ma petite personne et puis au fil des ans j'ai fini par réaliser qu'il n'y avait rien de plus méprisable qu'une personne qui prend plaisir à déverser son venin dans le seul but de se défouler afin d'éviter de se regarder dans la glace. J'ai donc fini par réaliser que le succès de ma famille et l'ampleur du nom que je portais suscitaient que de la jalousie et c'est alors que je compris que cette haine dont je semblais faire les frais – tout comme mes parents – n'étaient que le pâle reflet de cette colère qui hante , par moment, ces petits crétins qui fantasment à l'idée de se retrouver à ma place et je finis par complétement les ignorer. Bien évidemment depuis mon arrivée à l'âge adulte certaines choses ont changés alors que d'autres sont restées les mêmes, alors que mon esprit indépendant me poussa à mettre une distance considérable entre moi et mes parents - alors que je me refusais obstinément de me tourner vers eux lorsque je pouvais avoir besoin d'aide - je continuais de me foutre de l'avis des autres, balayant les critiques du revers de la main.

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New York c'est dans cette ville, qui ne dort jamais et célèbre pour son sobriquet de la Grosse Pomme, que je vis le jour alors que le destin me fit poindre le bout de mon nez en cette journée ensoleillée du 23 mai 1983. Alors que la plupart des jeunes fréquentant mon lycée étaient issus de quartier plus favorisés, j'appartenais pour ma part au Bronx...un quartier qui n'était pas des plus calmes et qui parvenait, par moment, à flanquer la frousse aux policiers chargés de le surveiller. Bien qu'ayant des moyens plutôt modestes mes parents ne reculaient devant aucun sacrifices pour moi, après tout mes parents tenaient tellement à ce que j'aspire à de plus hauts horizons qu'ils avaient crus bon de s'endetter afin que je puisse fréquenter cette école privée à laquelle ils m'avaient inscrits.

Plus le temps avançait et moins je me sentais à ma place dans ce lycée dont la clientèle était essentiellement constitué de gosses de riches, je m'ennuyais de ces petits voyous avec lesquels j'avais pourtant grandis et mes nouveaux collègues de classes semblaient voir d'un mauvais oeil que je fraternise avec les jeunes du ghetto car pour eux c'était de la façon dont il convenait de désigner mon quartier et je n'éprouvais qu'un seul et ardent désir en les entendant parler ainsi de mon petit oasis de paix : leur fracasser la mâchoire en laissant parler mes poings.

On avait beau me dire qu'il était mal d'intimider les gens en me servant de mes muscles mais était-il mieux d'intimider les gens en usant de votre statut social afin de leur faire comprendre qu'ils ne sont que tolérer mais qu'ils ne seront jamais acceptés ? De toute façon je n'y étais pas par choix mais plutôt par contrainte et j'avais déjà planifié ma sortie, bien que je savais que j'allais décevoir mes parents, j'étais déçu de savoir que mes parents payaient pour ce lycée alors qu'ils n'en avaient pas les moyens après tout je savais pertinemment qu'ils croulaient sous les dettes.

Arriva finalement le jour ou je décidai de frapper un grand coup en tabassant le président du conseil étudiant, je savais que cette agression allait me procurer ce billet de sortie que je désirais depuis si longtemps mais malheureusement la destination qu'allait me procurer ce billet s'avéra tout autre, au lieu de me retrouver à la maison j'aboutis dans un centre de détention pour jeunes et c'est à cet endroit que je découvris ma passion pour les sports de combats. J'y passai donc les deux dernières années me séparant de l'accession à l'âge adulte et c'est sous la férule du responsable du département des sports que je découvris les joies de la boxe, du judo et de la lutte libre, disciplines pour lesquelles je m'avéra considérablement doué.

Retrouvant ma liberté je retournai à la maison mais comme je refusais de bosser pour l'employeur de mes parents et que je refusais systématiquement de reprendre mes études je me fis montrer le chemin de la porte. Expulsé du foyer familial je me fis la promesse de ne jamais y revenir et c'est dans la rue que je passai les mois suivants. Plus souvent qu'autrement me retrouvant au centre des différentes bagarres éclatant dans le quartier je me retrouvai à nouveau en tôle et c'est à ce moment que je fis une rencontre qui allait bouleversé mon existence. En effet mon partenaire de cellule se trouvait à être un combattant d'arts martiaux mixtes de la région de Seattle et après avoir vu mes prouesses lors d'une altercations avec quelques détenus décida de me venir en aide et me proposa d'aller le rejoindre à ma sortie. Bien sur j'hésitai quelque peu , car après tout je n'avais jamais quitté New York, mais comme rien de bon ne semblait vouloir m'y retenir je décidai de me laisser tenter par l'aventure.

Mon arrivée à Seattle se déroula sans le moindre accrocs, j'habitais chez l'entraîneur du gym auquel je m'étais joints – après avoir décidé de suivre mon nouvel ami – et j'amorçai ma carrière de combattant sous les chapeaux de roues. En effet je livrai 15 combats au cours des trois premières années suivant mon arrivée à Seattle, triomphant à chaque fois par mise hors de combat et puis survint ce combat auquel j'aurais du renoncer mais bon étant orgueilleux et téméraire il m'était difficile – voire impossible – de renoncer au danger et je décidai de monter dans l'arène sachant que mes chances de triompher étaient pratiquement nulles...après tout j'avais tant besoin de la bourse qui m'était promise. Arriva donc ce qui devait arriver, je me fis botter le train et je me retrouvai dans un bien piteux état. Suite à cette raclée en règle, je me retrouvai entre la vie et la mort – végétant dans le coma – et les truands ayant organisés le combat décidèrent de m'abandonner sur le bord de la route alors que ma vie ne semblait tenir qu'à un fil.

Refaisant surface je passai quelques semaines à l'hôpital afin de bien soigner mes blessures et c'est avec étonnement que j'appris qu'un mystérieux bienfaiteur avait décidé d'acquitter ma facture reliée aux frais d'hospitalisation. Pendant de longues semaines je me creusai les méninges afin de découvrir qui pouvait bien être mon bienfaiteur mais plus je semblais vouloir chercher moins je semblais être en voie de découvrir et puis un jour je reçu un couriel provenant d'une adresse que je ne connaissais aucunement et dans le ce couriel il y était fait mention d'un certain monsieur X qui désirait me rencontrer à sa boîte de nuit, bien sur je connaissais de réputation cet établissement, et bien que je me demandais ce qu'un inconnu pouvait bien me vouloir – surtout à cet endroit – je décidai de m'y rendre afin d'étancher ma soif de curiosité. Je finis donc par revenir à New York et par découvrir que mon bienfaiteur anonyme n'était autre que le directeur du personnel de l'endroit – qui avait toujours été un de mes fans invétérés – et que sa générosité à mon endroit n'était qu'une simple façon de me témoigner son admiration. Finissant par devenir assez proche avec mon bienfaiteur et ami j'en devins à accepter le boulot qu'il me proposa, après tout faire le videur c'était parfaitement dans mes cordes.

COULEUR PREFEREE ■ Bleu.
ANIMAL PREFERE ■ Tigre.
TA PLUS GRANDE PEUR ■ Ne plus avoir d'espoir en un monde meilleur.
TON PLUS GRAND SECRET ■ j'ai eu des problêmes de drogues quand j'étais môme.
TON PLUS GRAND REVE ■ Finir par trouver le bonheur véritable
DESSERT PREFERE ■ La tarte aux pommes
FRUIT PREFERE ■ Pomme.

PRENOM/PSEUDO ■ IDfix
AGE ■ 21 ans.
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ■ pub sur PRD.
TA PREMIERE IMPRESSION ■ j'adore
MULTICOMPTE ■non
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