J'étais de retour de l'hôpital depuis maintenant deux semaines et jamais je n'avais apprécier New York a ce point. Passer deux semaines dans un hôpital m'avais ouvert les yeux sur la belle et grande ville qu'elle était. Mais passer deux semaines a l'hôpital m'avais aussi ouvert les yeux sur autre chose, le fait était là, je pouvais mourir a tout moment et ca, je crois que j'avais oublier de le réaliser. Depuis que j'étais tout petit que mon coeur pouvait cesser de battre a tout instant et jamais, je n'avais réaliser a quel point la vie m'étais plus fragile pour moi que pour les autres.
J'avais aussi réaliser a quel point mon entourage tenait a moi. Ils étaient tous, ou presque, venu me voir. La première avertie avait été la première a venir me voir, Megan. Et ensuite, tout les autres sont venu. Vivien, Leya, Jonathan, Mia tous ceux et celles qui avaient été mis au courant étaient venu m'apporter un peu de soutient moral. Et c'est durant ces deux semaines que je m'étais mis a réfléchir sur beaucoup de choses, beaucoup de questions. Il faut dire qu'avec Olga comme infirmière, j'avais beaucoup de temps libre. Durant mes derniers jours a l'hôpital, je m'étais rendu compte a quel point j'avais ignorer Artemis. En fait, j'avais plus ignorer ses sentiments qu'elle en particulier.
Artemis n'était pas une ex comme les autres, c'était une ex que je respectais beaucoup car elle avait été mon amie durant un temps. Mais nous deux, c'était impossible dans le temps, j'étais encore dans mes ébats sexuels a droites et a gauches, toujours le sexe un peu partout quoi! Mais maintenant, j'étais un peu plus... sérieux. J'avais remarqué a quel point la vie était courte et a quel point je devais en profiter au maximum. Je respectais Artemis autant que j'avais de respect pour Leya ou même Megan.
Hier soir, j'avais décider de retenter le coup avec elle et peut-etre que cette fois, j'allais être assez intelligent pour la garder a mes côtés. C'est vrai quoi, une femme comme elle qui a des sentiments pour un mec comme moi, sa se garde! Je lui avait donc lâcher un coup de fil, l'avertissant que j'allais passer en après midi chez elle pour la voir.
Heureusement, pour une fois j'ouvris les yeux et il était assez tôt pour que j'ai le temps de me préparer, prendre une douche, etc. Lorsque je fus enfin prêt, je lui lança un nouveau coup de fil pour la prévenir que j'arrivai dans quelques minutes, barra la porte de la chambre et me dirigea vers le coin des gammas. Rendus devant sa porte, je cogna puis m'écria.
-Artemis! Si tu ne m'ouvre pas la porte immédiatement, je vais souffler, souffler, souffler jusqu'à se que ta chambre s'écroule!
Je rigolais comme un enfant, j'étais de bonne humeur et je ne voulais gacher sa pour rien au monde!