| Sujet: www.UNTITREDELAMORTQUITUETOUT.com Jeu 15 Sep - 18:23 | |
| ❝ AMY ECLIPSE PORTER ❞
ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE ■ 20 ans, Née le 15 juillet 1991, à Los Angeles CELIBATAIRE ? ■ Célibataire NATIONALITÉ ■ Américaine MÉTIER/ÉTUDES (UFR) ■ UFR 6 (Droit civil) ORIENTATION SEXUELLE ■ Hétérosexuelle GROUPE ■ Gamma AVATAR ■ Amber Heard CREDITS ■ We it
C'est l'histoire de la vie ..
Les contes de fées commencent tous de la même manière… « Il était une fois… » Eh, il était une fois, un papa et une maman, qui s’aimaient très très fort. Durant des années, ils s’étaient concentrés sur leur travail, négligeant quelques peu leur vie de couple. Et puis un beau jour, dans la belle ville de Los Angeles, la madame a découvert qu’elle attendait un « heureux évènement », qui s’avéra neuf mois plus tard être une adorable petite fille à la chevelure blonde comme les blés, à la peau nacrée et aux grands yeux bleu intelligents. Jusqu’ici, rien d’anormal. La vie suivait son cours, semblable à celle décrite dans les livres que l’on lit le soir pour endormir nos chères petites têtes blondes… La petite Amy recevait tout l’amour de ses parents qui, malgré le fait qu’ils étaient souvent en déplacement pour leur travail (ils avaient monté une entreprise rapidement devenue une « référence » dans leur domaine, et étaient très influents, donc souvent en déplacement !), passaient le plus de temps possible avec elle… Elle restait sous la responsabilité d’une femme qu’elle avait toujours appelé « Nanny », bien que le prénom de cette dernière soit Dolorès. Amy aurait sans aucun problème pu devenir l’une de ces petites princesses, habituées à avoir tout et tout de suite, de celles qui piquent des crises lorsque l’on a l’audace de leur dire non. Mais non. Pourquoi ? Et bien parce que « Nanny/Dolorès » était maman d’une petite Maria, qui avait un an de moins qu’Amy, et avec qui notre jeune fille avait grandi. Maria était atteinte d’une maladie réduisant considérablement l’existence de vie des malades… Et Amy avait toujours été présente pour la petite fille, qu’elle considérait comme sa sœur. C’est sans aucun doute grâce à elle qu’elle a pu rester, parmi un monde plein d’hypocrisie et de faux-semblants, la jeune fille douce et gentille qu’elle est encore aujourd’hui. « Waaai mec, t’as vu la BOMBE là-bas ? » « La blonde ? Purée comment elle est bonne ! J’lui proposerai bien d’aller faire un tour dans ma caisse ! » Oui… C’est souvent cet effet là qu’Amy produisait sur les hommes. Plus jeune, elle baissait la tête et rougissait… En grandissant, elle lançait à ses admirateurs des regards amusés, qu’elle entrecoupait de petits sourires significatif… Oui, bon, vous l’aurez compris : elle était canon (il faut dire qu’on peut difficilement passer à côté d’une belle plante telle qu’elle : sa longue chevelure blonde, sa silhouette de mannequin, ses longues jambes fuselées, ses traits fins et nobles, ses lèvres délicatement pulpeuses, et ses grands et beaux yeux bleus…), et elle aime plaire ! Comme toute fille sur cette planète vous me direz (ou presque !) C’est un autre aspect de sa personnalité : outre sa gentillesse et sa douceur, la jeune femme était une incorrigible charmeuse… En fait, elle aimait qu’on la rassure sur le fait qu’elle était jolie… Elle avait connu plusieurs « histoires d’amour » déjà, mais l’une d’elle l’avait particulièrement marqué… Lorsqu’elle avait rompu avec le jeune homme, il l’avait copieusement insulté et… vous savez ce que l’on dit « dîtes à une femme qu’elle est belle, elle vous croira un instant, dîtes lui qu’elle ne vaut rien, elle le croira pour l’éternité »… Mais, comme le disait souvent Madame Porter : « Ma petite Amy, tu sais, la beauté n’est pas tout dans la vie. Sans rien dans la tête, tu ne seras bonne qu’à défiler sur des podiums jusqu’à tes vingt-trois ans, et ensuite, ta vie sera finie… » Et Amy savait pertinemment que sa mère avait raison. C’est pourquoi elle travaillait à l’école, au lieu de se la couler douce comme la plupart de ses amies. Ajoutez à ça qu’elle était douée et dotée d’un esprit vif et intelligent, secouez, et vous obtiendrez… La parfaite reine du bal ! Car, oui, par-dessus tout, Amy était populaire… Vous comprenez mieux l’allusion au conte de fée ? Mais l’évènement qui changea vraiment la vie d’Amy, ce fut sa rencontre avec Jonathan Weathy. Ils se sont rencontrés et… ils ont craqué l’un pour l’autre. Rien de bien compliqué. Ils se sont mis à sortir ensemble et c’était… et bien le paradis. Amy, qui n’avait jusqu’alors fait qu’enchaîner les histoires sans grande importance, avait découvert qu’il était possible d’aimer quelqu’un à un point…inimaginable… Elle était un peu comme un tournesol avec lui. Quand il bougeait, elle le suivait… Il était devenu nécessaire à son existence, et elle ne cache pas qu’elle s’imaginait déjà vivre son « HAPPY EVER AFTER » avec lui… Elle les imaginait déjà prendre une maison à Los Angeles, avec un chien… Elle brillante avocate, lui sportif de haut niveau… Et tout bascula. Littéralement. John vint lui annoncer qu’il avait décidé de quitter Los Angeles pour New-York. Ce qui signifiait à l’autre bout du pays… Amy en a pleuré de rage dans sa chambre ce soir-là. Il l’abandonnait ! A ses yeux, il était clair qu’il ne voulait plus d’elle, car tout le monde sait ce qui arrive aux couples qui partent étudier à quelques milliers de kilomètres l’un de l’autre : la fin. Mais malgré tout, elle voulait croire que c’était possible… Car oui, elle l’aimait, elle l’aimait comme une folle… Mais le soir même, elle se rendit à une fête… Encore une me direz-vous ! Elle but plus que de raison et, sans trop savoir comment, elle se retrouva dans le lit de l’un des amis de John. Les lèvres serrées, elle se donnait envie de vomir… Elle était en train de tromper celui qu’elle appelait « l’amour de sa vie », de la pire manière que ce soit… Mais il aurait été trop simple que cette histoire en reste là n’est-ce pas ? John arriva au même moment, et la surprit dans les bras de cet autre, cet autre qu’elle ne désirait même pas, cet autre qui la dégoûtait, tout comme elle se dégoûtait… Il partit en hurlant qu’elle avait tout gâché, en lui hurlant des horreurs, qu’il ne voulait plus la revoir… Et c’est là qu’elle se rendit compte qu’elle perdait l’être le plus cher à son cœur… Elle tenta bien de le retenir, mais rien n’y fit… Suite à cette perte, Amy sombra quelques temps dans une sorte de dépression post-rupture… La jeune femme déjà mince refusait de s’alimenter. Elle voulait mourir. Elle n’arrivait plus à se lever le matin, et avait ordonné qu’on couvre tous les miroirs, car son reflet la dégoûtait… Elle sortait chaque soir, se lançant corps et âme dans une vie de papillon de nuit, s’enfonçant peu à peu dans les ténèbres et les vices du monde de la nuit… Jusqu’au jour où elle parvint à sortir la tête de l’eau, grâce à son meilleur ami… Il l’aida à remonter la pente. Une sorte de coach mental… Elle obtint son diplôme les mains dans les poches, avec un nouvel objectif en tête : intégrer la même école que Jonathan, afin d’avoir l’occasion de s’excuser, encore et encore et, peut-être de le récupérer ? Malheureusement, la tâche se révèle plus compliquée qu’il n’y paraît… Peut-être peut-elle compter sur la petite sœur de Jonathan, qu’elle connaît bien, car elle passait énormément de temps avec elle (chose logique lorsque l’on sort avec son grand frère !) Ne sous-estimez jamais la jeune femme. Elle est d’une volonté de fer et, sous sa grande gentillesse, sa douceur et ses regards charmeurs se cache une jeune femme prête à tout, ou presque, pour obtenir ce qu’elle veut. Elle fait preuve d’un déterminisme plutôt…prononcé dirons-nous !
Je veux savoir ..
COULEUR PREFEREE ■ Gris (chiné de préférence) ANIMAL PREFERE ■ Panthère TA PLUS GRANDE PEUR ■ Le vide... (oui, j'ai le vertige, et alors ?) TON PLUS GRAND SECRET ■ Si je vous le disais, ce ne serait plus un secret n'est-ce pas ? TON PLUS GRAND REVE ■ "La paix dans l'monde !" Non mais tu m'as prise pour une Miss USA ou quoi ? -quoique...- DESSERT PREFERE ■ Tout ce qui est à base de chocolat... FRUIT PREFERE ■ La pomme... Après tout, c'est le fruit de la tentation non ? Ah, et les fraises aussi ! Surtout les fraises au chocolat ! Toc toc toc, qui est là ? PRENOM/PSEUDO ■ Eléonore, mais appelez moi Elo... Ou bien... "mais elle est complètement malade cette nana", ça marche aussi... parfois... *SORS* AGE ■ Je suis très, très, très proche de mes 18 ans COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ■ Eh bien pour tout vous dire, j'étais en train de m'ennuyer, et puis bah je cherchai un nouveau forum et PAFF je suis tombée sur celui-là sur un topsite et... Tadaaaaam ! TA PREMIERE IMPRESSION ■ (en espérant que vous ayez compris c'que ça veut dire XD) MULTICOMPTE ■ Nop ! Jusqu'à preuve du contraire, je n'suis pas encore skizophrène CODE REGLEMENT ■ - Spoiler:
OK BY LOU' EXEMPLE DE RP ■ - Spoiler:
Emy Alana McFear, debout un dimanche matin à sept heures ? Vous y croyez, vous ? Moi difficilement… Et pourtant, tel était le cas. Sept heures, et déjà debout, à m’activer dans la cuisine, sortir une tasse, et me préparer un café. Toujours pas faim cependant… Depuis près d’un mois, je suis incapable de manger le matin. Sans trop savoir pourquoi… J’ai l’estomac noué, et pas faim. Pas du tout. Moi qui avais toujours été fan des croissants, je n’arrivai plus à les avaler… Enfin, le matin quoi… Bref, mon appétit n’était pas la question ici. La question était la suivante : que faire ? Que faire un dimanche matin, à l’heure où tout le monde dors encore. Un jogging ? Pourquoi pas, ça fait désormais deux jours que je n’avais pas été courir… Mais non. Je ne me sentais pas d’humeur à être seule avec mes pensées. Alors quoi… Quoi, quoi, quoi… Tournant en rond dans ma chambre, farfouillant dans mon armoire, une carte tomba à mes pieds. Je m’accroupis pour la ramasser, et la porta à hauteur de mes yeux… Un mince sourire se dessina sur mes lèvres, tandis que mon sourcil droit se redressai, et un air amusé passa devant mes yeux… « Steven Ward : tuteur de tennis ». Pas tant que je m’intéresse au tennis (quoiqu’à Steven non plus), mais je me souvenais de notre rencontre, enfin, plutôt de la toute première fois où je lui ai adressé la parole, dans ce bar obscur, où nous avions disputés une partie de billard. J’avais presque oublié son existence d’ailleurs… Un détail retint mon attention… Quelque chose qu’il m’avait dit au cours de notre conversation… Je fronçai les sourcils, et sur mes lèvres se dessina une adorable moue renfrognée, tandis que je cherchai dans mes souvenirs. Et soudain, tout s’éclaira, chaque muscle de mon visage se relâcha, avant que ceux nous servant à sourire ne se remettent à fonctionner, et je fonçai sous la douche, avant d’aller enfiler une jupe (oui, vous avez bien entendu, une jupe… Oui, il m’arrive d’en porter de temps en temps, quand l’envie m’en prend, ou qu’il fait chaud) blanche, et un haut noir. Une fois mon sac et ma veste pris, j’hésitao un moment entre ballerines, escarpins, et sandales, et j’optai finalement pour des ballerines. Bon, tant pis, j’aurais l’air petite… Enfin, plus que d’habitude… Malgré l’heure matinale, le Judge Hatchett’s Children’s Theatre était bondé… Comme toujours en même temps… C’était un petit coin de paradis dans ce quartier défavorisé… Rien d’étonnant à ce qu’il y ai autant de monde… Adossée à la barrière, je regardais toute cette agitation un sourire aux lèvres. Voir tant de joie briller dans les yeux de ces enfants, ça avait quelque chose… de beau. Je passai une main nerveuse sur mon ventre, et me mordis la lèvre, avant de secouer mes longs cheveux blonds… Mon regard se perdit dans la foule. Des bénévoles proposaient cafés et beignet aux spectateurs… Je déclinais leur proposition avec un sourire et un geste négatif de la tête, et vis un petit garçon me regarder avec des yeux ronds, comme s’il s’imaginait qu’on ne pouvait PAS refuser un café et un beignet… Je lui adressai un sourire, auquel il répondit en me montrant toutes ses dents, les yeux pétillants (d’ailleurs, il lui en manque une devant, c’est mignon !). Il retourna rapidement auprès de sa mère et, alors que je tournais la tête, je croisais le regard amusé (mais intrigué) de celui qui était responsable de ma présence ici. « Je te manquais déjà ! » Je fis un pas vers lui, et m’appuya contre la barrière à mon tour, et entortilla une mèche de mes cheveux autour de mon doigt…
-Ne rêve pas… Je m’ennuyais, et j’avais envie de voir ce que tu valais…
Je lui lançai un sourire éclatant et, le voyant porter son café à ses lèvres, je regrettai une seconde d’avoir décliné l’offre de ce brave bénévole. Heureusement pour moi, un second bénévole passa à mes côté, et je pût obtenir un café. Bien chaud. Le rêve… J’en bû une gorgée, avant de reporter mon attention sur Steven.
-Et puis, je m’ennuyais, et je n’savais pas quoi faire…
Je regardai tout autour, et un air nostalgique passa sur mon visage… Le Judge… Toute mon enfance… Enfin… Quand j’étais arrivée à Atlanta, j’y passais beaucoup de temps. Une idée à ma mère. Je me souvenais encore des spectacles de marionnette que j’allais voir quand j’étais à Boston… Et ma mère avait pensé qu’aller ici ne me dépayserai pas trop… C’était surtout ça qu’elle voulait : que je me sente à la maison…
-Rien n’a changé ici…
L’esprit un peu ailleurs, la voix de Steven me tira de ma rêverie, et je reportais mon attention sur lui, avec un « Hmm ? » qui signifiait : Hein, pardon, je n’écoutais pas, tu disais ?
SUGGESTIONS POUR AMELIORER LE FORUM ■ Organiser une bataille d'oreiller géante ? *SBAAAAAAAAAAAAAAFF* AUTRES ■ Ecrire ici.
Dernière édition par Amy E. Porter le Ven 16 Sep - 3:36, édité 6 fois |
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