Un réveil difficile, Noah trouvait que son lit était moins confortable que d'habitude, beaucoup moins confortable. Il tenta doucement de se redresser, mais une douleur aiguë le traversa alors au niveau du front. Il poussa un léger gémissement tout en portant d'instnct sa main à son front. Il se redressa et les yeux fermés ne remarqua pas tout de suite où il se trouvait, mais une fois quil ouvrit ses yeux son regard s'aggrandit. Il observa alors le lieu dans lequel il se trouvait et prit une grande bouffée d'air. Cela devait sans aucun doute être un rêve oun plutôt un terrible cauchemar. Il ferma les yeux et croisa les doigts pour que lorsqu'ils les ouvrent à nouveau il se retrouve dans sa chambre malheureusement ce ne fut pas le cas.

Il se recroquevilla sur lui même toujours assis sur un banc et se couvrit la tête de ses mains. Se souvenir, il fallait se souvenir de ce qui s'était passé la veille, seul petit problème il n'y avait qu'un profond trou noir dans son esprit. Puis il eut comme une révélation, un fragment de ce qui semblait être un souvenir. Son père était venu le voir, ils avaient passés une excellente journée, puis son père avait tout gâché. Il avait bu puis avait reçu ce coup de téléphone de ce sombre inconnu. Il s'était dépêché de rejoindre le lieu en question pour découvrir avec horreur l'état de son ami. Après ça tout était flou mais il lui semblait resentir comme un sentiment de profonde insatisfaction mais aussi une grande deception. Il releva la tête et observa le plafond, il avait dormi ici ou venait-il seulement d'arriver ? Peut-être que demander à... non peut-être pas... ou peut-être que si ? C'était assez difficile pour Noah de se décider à demander à quelqu'un qui l'avait sans doute vu totalement ivre s'il venait d'arriver dans cette cellule ou...

Tout était si compliquer dans son esprit, il n'arrivait pas à se souvenir qu'il avait bu plusieurs bouteilles de vin lorsqu'il se trouvait à la soirée organisé par les actionnaires de la société où bosait son père. Il était heureusement parti sans que personne ne remarque son état et avit pris sa moto. Il avait roulé sur une centaine de mètres et s'était écrasé contre unevoiture dans un parking. Heureusement pour loui il était tellement bourré qu'il n'avait pas remarquer que ce qui semblait être pour lui la vitesse max était en réalité le minimum. Seul problème, lmalgré la vitesse à laquel il allait il s'était débrouillé pour légèrement fissurer la vitre de cette voiture. Et le propriétaire n'avait pas tardé à le rejoindre et à lui demander des comptes, Noah lui avait répondu par une droite bien placer. Mais il s'était fait prendre par dérrière et s'évanouit après avoir reçu un coup dérrière la tête. Apprès ça la police était arrivé, on l'avait roué de coups d'où la douleur qu'il devait resentir lui traverser tout le corps.

Il grogna et entoura ses genoux de ses bras avant de soupirer et de fixer les personnes qui se trouvaient en sa compagnie. Des types effrayants et des filles peu fréquentable.....

Noah était toujours assis gardant une bonne distance avec ces inconnus tous ou presque plus effrayant les uns que les autres. Ce n'était pas vraiment le fait qu'il ait peur d'eux mais plutôt celui d'éviter d'avoir plus d'ennuis que ce qu'il avait déjà. Plus il réfléchissait et plus il se disait que le seul moyen qu'il avait de sortir d'ici était d'appelé ses parents ou son avocat. Dans les deux cas cela risquer d'être problèmatique, d'un côté ses parents... il était tout bonnement impensable de ne serait-ce que les prévenir. Et de l'autre son avocat, le problème avec celui-ci est qu'il irait directement voir ses parents pour tout leur raconter. En résumé dans les deux cas il aurait à expliquer à ses parents pourquoi leur enfant prodige, cet enfant sur lequel ils avaient déposés tout leurs espoirs venait de gâché sa vie en l'espace de quelque heure. Et ne compter même pas sur la phrase : "Ce n'était qu'un accident ça ne se reproduira pas."

Car après tout ses parents étaient connus pour être des personnes non seulement très exigente mais aussi et surtout têtu comme pas deux. S'ils se mettent en tête que cela aller se reproduire ils ne le lâcheraient plus. Noah poussa un soupir alors que dans un coin une jeune femme se rapprochait de lui. Il manquait plus que cela à ses problèmes, un être non identifié pénétrant dans son espace vital. Il l'observa du coin de l'oeil, s'il était dans le même état que tout ces gens ça ne devait pas être superbe à voir. Il répondit rapidement à la phrase de la jeune femme par un simple haussement d'épaules. Il poussa un soupir, il allait aussi devoir trouver un moyen de masuqer ça... du maquillage ? Non, à cet instant en observant le visage de tout les indivudus de sexe féminin qui se trouvaient dans cette cellule c'était là la seule chose qu'il ne ferait pas. En plus la dernière fois qu'il avait mis du maquillage sur son visage pour cacher ce genre 'd'égratignures" ses camarades l'avaient remarqués et il avait passé une semaine terrible. Heureusement une autre histoire, ,plus croustillante était vite arriver et le rôle de souffre douleur avait changé d'acteur.

"....mouais, ça devrait passer d'ici quelque heure."

Il commençait à avoir l'habitude, mais en temps normal il se trouvait toujours chez lui ou dans sa chambre. C'était la première fois qu'il se laissait aller à boire en dehors d'un lieu où il se trouvait en sécurité. Mais au fond c'était assez amusant, après tout ne s'était-il pas promis de s'ouvrir à de nouveaux horizons ? Il se retourna vers la jeune femme et lui présenta sa main.

"-Noah, enchanté."

Après tout même s'il était coincé dans cette cellule et même si chacune de ces personnes qui l'entouraient avaient l'air franchement peu fréquentable.... lui aussi devait faire le même effet à ces personnes. Ne jamais juger sur de simples apparences, il sourit à cette personne et après lui avoir serré la main se mit à fouiller dans la poche intérieur de sa veste. Il finit par trouver un mouchoir, un mouchoir en soie blanc et propre je tiens à le préciser. Il le tendit à la damoiselle pour qu'elle essaye de "se refaire une beauté" dirons nous.

"- Pour votre visage."

S'il n'était pas persuadé d'être dans un état encore plus ou du moins aussi lamentable que le sien, il en aurait sans doute ris.