I was about to desperate to find friends... Lucky me, I have you ♥

Jonathan & Delilah ♥

« Never say never. »

Lundi
matin, 11 heures. J'ai une heure de trou et je m'ennuie ferme. Mon
portable n'avait pas sonné depuis plus de trois heures. Record battu
! Mes amis m'ont-ils oubliée ? Non, impossible ! Il pleut donc le
tour sur la pelouse pour bronzer un peu est sérieusement compromis,
à moins d'être suicidaire. Les couloirs sont vides je déambule
donc comme une âme en peine, à la recherche de quelqu'un, n'importe
qui, même un prof ou un pion depuis plus de... WAOUH ! Quarante-cinq
minutes ! Je me laisse glisser contre un mur, à côté d'une porte,
ferme les yeux et renverse la tête en arrière. C'est pathétique
!
*
Allez Deli, ne te laisses pas abattre, c'est pas toi ça ! Lèves la
tête, souris et trouves une idée pour occuper ses foutues quinze
prochaines minutes !*
J'ai
enfin l'idée de regarder la porte à côté de moi. "UFR 10"
est inscrit sur une plaque en métal doré. UFR 10... Mais c'est
l'amphi de John ! Je pousse un petit cri de joie assorti d'un bon de
plusieurs centimètres.
*Un
ami ! Enfin ! Et pas n'importe lequel ! Mon confident !*
J'entrouvre
la porte et me faufile à l'intérieur de l'amphithéâtre. La
sonnerie retentit. Bien sûr, John est le premier à se lever. Je
souris malgré moi puis m'approche de lui. Il m'aperçoit et souris.
Je lui fais la bise.

-
Alors, beau blond, ça va ?

Aujourd'huit était un jour comme les autres. Partagé entre cours dans l'amphi et entrainements. Evidement, les cours avaient beaucoup moins d'intéret pour moi que les entrainements mais j'avais depuis longtemps compris que je devais être attentif en cours. Il me rester juste 15 minutes de cours et cela me rejouis. Je suis concentrer. Le cour n'est pas encore fini, avant même qu'aucun des élèves ne se lèvent Delilah fit son entrer. Ah ma Delilah, si je ne l'avaîs pas dans ma vie celle là, il faudrait quelqu'un comme elle. Elle c'étais monrayons de soleil, ma confidente, ma double un peu. Je souris en la regardant. La sonnerie retentit, je me lève en une seconde et la rejoins. Elle me fait la bise, je lui souris.

- Alors, beau blond, ça va ? Me demanda t-elle.

Je l'entraine dehors par la taille et lui souris. Je lui fait un bisou et la regarde gentillement. Delilah était une personne vraiment formidable et extra-ordinaire.

- Je vais bien D et toi ma belle ? Toujours de bonne humeur ?

J'avais vraiment besoins de la voir et elle était là ! Incroyable non ? Je souris, heureux de la voir et ne pas être seul. Nous étions au debut de la semaine et elle ne semblait pas triste, débousollée, dégoutée de reprendre les cours. Elle était la joie de vivre incarnée et c'était une bouffé d'air pur.

Jonathan avait vraiment l'air aussi heureux de me voir que j'étais
heureuse moi aussi. Ca me fait rayonner. J'ai besoin de lui et trois
minutes plus tard, il est sous mes yeux. Il est tellement important pour
moi, c'est fou ! On se ressemble tant, des fois, ça me fait peur !
C'est la seule personne qui connaît toute ma vie en long, en large &
en travers. Personne ne peut lui arriver à la cheville. Je le prends
dans mes bras. Il me sourit.

- Je vais bien, et toi ma belle, me répondit-il, toujours de bonne humeur ?
Je me mets à rigoler et le relâche.

- Tu m'aurais vu il y a deux minutes, t'aurais
sûrement pas dis ça ! J'étais littéralement désespérée et désespérément
seule ! Mon portable était silencieux, les couloirs aussi. Heureusement
tu es là ! Tu es le véritable soleil de ma vie !, dis-je en riant, tu
m'es indispensable, tu sais.
Je le prends par la taille et souris de nouveau.

- Et sinon, quoi de neuf dans ta vie ?

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I'm So Lucky With You

Ma journée est enfin devenue belle. Pourquoi ? Grace a Delilah Donovan ! Qui d'autre ! Cette fille est vraiment une vrai perle. Elle et moi nous ressemblions plus que quiconque pouvait le remarquer. C'était nôtre secret à nous et à nous seuls. Nous somme pareils, cela nous fait même peur dés fois ! Je vous jure ! Dingue cette histoire !
Je suis tellement content de la voir et elle aussi visiblement. Elle avanca vers moi, toute souriante et me prend dans ses bras. Je souris, heureux d'avoir ma Déli' avec moi.
Je répond a sa question sur mon état du jour et elle éclate de rire puis me relache, ce qui déclanche un moue boudeuse de ma part.

- Tu m'aurais vu il y a deux minutes, t'aurais sûrement pas dis ça ! J'étais littéralement désespérée et désespérément seule ! Mon portable était silencieux, les couloirs aussi. Heureusement,tu es là ! Tu es le véritable soleil de ma vie ! Dit t-elle en riant. Tu
m'es indispensable, tu sais.

Je souris et la regarde tendrement. Ma petite Déli' ! Qu'est ce que je ferais sans elle ? Probablement rien du tout. Mes camarades de classes nous regardaient avec de gros yeux surpris. Je souris, Déli ne s'en apperçoit même pas. Elle me prend par la taille. Tous mes compère équarquille les yeux encore plus. Je lève les yeux au ciels.

- On nous regarde Déli' ! Murmurai-je hilare à son oreille. Et oui, je sais que je t'ai manquais !

Je sais bien ce que se disent les gars, " Tient ! John a une nouvelle copine !". Si seulement ils savaient ! Non Déli' n'est pas ma petite amie. Bien trop de chose pourrais se perdre si nous passions le pas. Car evidement que quelque fois je me demande de que cela serai d'être avec elle et elle aussi surement mais nôtre relation et bien comme elle l'est.

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You Mean So Much To Me

Je souris et me mets à penser à ce que je serai devenue si je ne l'avais pas rencontrer à cette fête, il y a deux ans. Sûrement une gothique en dépression, faisant des tentatives de suicide à répétition et uniquement vêtue de noir ! A l'époque, je n'allais vraiment pas bien. Heureusement, alors que je pleurais seule dans une chambre, il m'avait trouvée et on avait passer la soirée à discuter. Grâce à lui, ma vie était enfin devenue belle et elle le restera tant qu'il sera à mes côtés. Je suis complétement perdue dans mes pensées lorsqu'il me fait redescendre sur Terre de cette voix douce et sarcastique, reconnaissable entre mille. Il rigole :
- On nous regarde Déli' ! Murmure-t-il hilare à mon oreille. Et oui, je sais que je t'ai manqué !
Je soupire en souriant légèrement. Les mecs sont tellement prévisibles ! Je sais ce qu'ils pensent. Que notre relation est ce que j'ai toujours voulu qu'elle soit tout en me répétant non-stop que je veux qu'elle soit ce qu'elle est rien d'autre. Mes pensées s'embrouillent. Je reviens une nouvelle fois à la réalité et souris, espiègle.
- J'adore les quiproquos !, murmurai-je en réponse au creux de son oreille. Tu me suis ?

I'm So Lucky With You

Vous savez, parfois il y a des rencontre qui change notre vie pour le meilleur et pour le pire mais c'est rencontre vous change que vous le vouliez ou non. Un ami, un amour passagers ... Toute ses personnes ont fait de vous ce que vous êtes. Delilah était une de ses personnes pour moi. Elle et moi c'était comme des jumeaux. Pas besoins de tout le temps se parler pour se comprendre, il suffisait d'un regarde, d'un sourire pour que je sache ce qu'elle voulait me dire ou me faire comprendre. C'était comme çà entre nous et on ne restaient jamais longtemps éloigné l'un de l'autre. Nous ne poivions pas passer très longtemps sans nous voir, c'était impensable pour nous. J'étais elle, elle était moi. Point. Rien d'autre ne compter. J'étais vraiment heureux de l'avoir dans ma vie car sans elle, je crois qu'avec tout ce qu'il se passe dans ma vie, je serai entrain de boire dans un bar. Après que je lui est dit des mots a l'oreille rieur, Deli' soupira en rigolant. cela l'amusai aussi visiblement cette situation.

- J'adore les quiproquos ! Murmura t-elle au creux de mon oreille. Tu me suis ?

Je souris. Delilah Donovan dans toute sa splandeur. Toujours de bonne humeur, sauf exception et si jamais cela arrive je serai à ses côtés jours et nuits si il le faut et personne ne me délogera. C'est automatique^pour nous. Quand cela ne va pas, que l'ont ne se sens pas au top, on va voir l'autre afin de passer une soirée ensemble et puis on passe la soirée, la journée a parler et puis lorsque nous nous quittions, tout aller beaucoup mieux. Magie !

- Evidement que je te suis ! Je te suit toujours, tu le sais bien ma chère ! Tu me mène par le bout du nez. Dis-je rien que pour elle.

You Mean So Much To Me

Je lui prends les mains et lui fais mon regard de chien battu. Ca marche toujours.
- Evidemment que je te suis ! Je te suis toujours, tu le sais bien ma chère ! Tu me mènes par le bout du nez.
J'accueille sa réponse avec mon plus beau et mon plus grand sourire.
- Mais bien sûr, c'est ça !, dis-je en éclatant de rire, Tu vas aussi me dire que je suis irrésistible ? Arrêtes John, ou je vais finir par croire que tu dis la vérité ! En fait, tes conneries m'ont fait changer d'avis... Dehors !, dis-je en le prenant par les épaules et en le poussant hors de l'amphi, dans les couloirs. Je me mets à côté de lui, passe un bras autour de ses épaules et remonte mon sac sur la mienne.
- Jonathan Weathy, tu es officiellement et complètement timbré !, dis-je dans un sourire.
- Tu veux faire un truc ? J'ai envie de sortir d'ici, j'en peux plus d'être enfermée ici !

I'm So Lucky With You

Bien des fois, la complicité que j'avais avec Delilah me faisais peur et m'étonnais. Elle me faisais peur car c'était vraiment une chose troublant que de voir que nous deux nous nous complétions parfaitement et je me demandais ce que je ferai si je ne l'avais pas. Oui Delilah était la personne qui me connaisait certainement le mieux au monde. Même ma famille ne me connaisait pas aussi bien qu'elle c'est dire !
Jétais vraiment content qu'elle soit venu me voir.

- Mais bien sûr, c'est ça ! Dit -elle en riant de ma réponse. Tu vas aussi me dire que je suis irrésistible ? Arrêtes John, ou je vais finir par croire que tu dis la vérité ! En fait, tes conneries m'ont fait changer d'avis... Dehors !

Elle posa ses mains sur mes épaules et me poussa hors de l'amphi et hors de la vue de mes camarades. Nous sommes maintenant dans les couloirs de l'université, Deli' passe un bra sur mes épaules et remonte son sac sui tombais de la sienne. Je ris tellement je savais devancée les réactions de Deli'.

- Mais quoi ?! Je dis la véritée , c'est toi que ne veut pas le croire ! Dis-je avec un sourire.

Je la regarda en riant.

- Jonathan Weathy, tu es officiellement et complètement timbré ! Dit t-elle avec un sourire a mon égard. Tu veux faire un truc ? J'ai envie de sortir d'ici, j'en peux plus d'être enfermée ici !

Je sourit et la regarda avec des yeux rond. Moi ? Un taré ? Même pas vrai !! C'est elle qui me rend comme çà et elle ose me dire çà a moi. Pff ...
J'éclate d'un rire franc et tonitruant. Je ne peux jamais lui en vouloir très longtemps.

- Je ne suis pas timbré ma chère ! Ou si je le suis, vous aussi vous l'êtes ! Hum oui sortont d'ici mais pour aller ou ... Ca, je ne sais pas ...

You Mean So Much To Me

Il y a des gens qui vous font vous demander comment vous avez fait sans eux, avant de les connaître. Des personnes qui vous sont indispensables, autant que l'oxygène. John est tout ça et bien plus encore pour moi. Tant et si bien que ça me fait carrément bizarre la plupart du temps. Au point de prédire les gestes, les réactions et les paroles de l'autre. C'est... intense. Je crois que c'est la personne qui me connait le mieux sur Terre. Je savais qu'avec lui j'allais oublier mes problèmes et bien rire, comme d'habitude. Il me fait un grand sourire, ce qui me fait sourire aussi.
- Mais quoi ?! Je dis la vérité, c'est toi que ne veut pas le croire !, dit-il en souriant.
- Jonathan Weathy, tu es officiellement et complètement timbré ! Tu veux faire un truc ? J'ai envie de sortir d'ici, j'en peux plus d'être enfermée ici !
Il me regarde bizarrement puis éclate d'un rire tellement bruyant que je fais un bond de quatre mètres de haut. Il sait que je suis sérieuse mais que, selon moi, c'est une qualité.
- Je ne suis pas timbré ma chère ! Ou si je le suis, vous aussi
vous l'êtes ! Hum oui sortons d'ici mais pour aller où ... Ca, je ne sais pas ...
-Ca va pas de me faire peur comme ça ?!, cris-je en le frappant derrière la tête.
- La ville, ça te tente ?, réponds-je en souriant.

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I'm So Lucky With You

Je me sens bien avec Deli'. Je peux être honnête, dire ce que je pense, ressens sans avoir peur d'être juger ou rabaisser par elle. Elle me connaisait tellement que je n'avais jamais besoins de beaucoup lui parler pour qu'elle sache tout. Si j'allais bien ou pas, si j'étais fatigué, malade, de mauvaise humeur. Elle savait si elle pouvait me parler ou pas. Bref, elle savait comment me rendre le sourire et de bonne humeur quand çà n'allait pas du tout.

- Ca va pas de me faire peur comme ça ?! Cria t-elle en me frappant derrière la tête.
John éclata de rire et regarda Delilah d'un air ahuri. Il l"attira contre lui en riant, et embrasse son front tendrement. Il passa un bras dessu les frèles épaules de la jeune femme et la regarda en souriant. Il avait oubliée combien Deli' pouvait réagir au quart de tours.

- La ville, ça te tente ? Me demanda t-elle.

John réfléchit rapidement et sourit à sa double, celle qui le connaissait par coeur, même mieux que lui se connaisait. A eux deux, ils formaient un équipes du tonnerre que rien ne pourrai brisait tant leur entente était grande et irrévocablement durable.

- La ville ? Si tu veux ouais ! J'en est aussi marre de passer mes journée ici. Dit-il en souriant. On pourrai aller se prendre un café ou faire autre chose si tu veux !

Spoiler:

Je sais que je suis folle, impulsive et que je réagis au quart de tour. Avec la curiosité, ce sont mes plus gros défauts. Je m'attends à ce qu'il m'engueule mais non. Il me regarde juste de ce doux air ahuri qui n'est que le sien et éclate de rire avant de m'attirer contre lui de m'embrasser sur le front. C'est ça qui est bien avec John : il n'est jamais là où on l'attend. Y a pas plus imprévisible que lui. Une des nombreuses choses qui me plaît chez lui. Je ris et me serre un peu plus contre lui. Mon regard s'attarde quelques secondes de trop sur ses lèvres. Je reprends mes esprits rapidement, en croisant secrètement les doigts pour qu'il ne remarque rien. Il me sourit.
- La ville ? Si tu veux ouais ! J'en ai aussi marre de passer mes journée ici. Dit-il en souriant. On pourrait aller se prendre un café ou faire autre chose si tu veux !
- Avec plaisir !, réponds-je en souriant. Je grimpe son dos comme une gamine. Au fond de moi, j'ai honte de faire ça, mais je ne peux pas m'en empêcher. Toujours dans mon fou-rire, les mains autour de son cou, j'ai l'impression d'être toujours à l'école maternelle ! C'est génial !
- GO !, cris-je dans un état euphorique.

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Tout était si simple avec elle. C'était tellement bizarre ma relation avec elle, nous étions comme les deux même personnes. Cela me faisait tellement de bien de l'avoir a mes côtés, cela me faisait oubliée qu'apart des amis, je n'avais plus personne dans ma vie. J'étais seul, sans copine. Alors passr du temps avec Delilah me faisait le plus grand bien. Elle me rendait le sourire rien qu'en restant à mes cotés. Elle rit se rapproche de moi. Je ris aussi. Cette fille est folle mais c'est pour cela que l'aime au fond. Elle est encore une fois, comme moi.

- Avec plaisir ! Repondit-elle en souriant à mon invitation a aller boire un café ou aytre chose en ville.

Elle grimpa sur mon dos comme un petit lutin tout mignon. Elle n'a jamais honte avec moi. Lorsque nous étions tout les deux, il fallait être prudent cat cela partait souvent a délire complet et nous étions incapable de nous calmer. Dé"li était morte de rire sur mon dos, les main autour de mon cou.

- GO ! Cria t-elle soudain.

Je ris et me mis en marcher vers la sortir du batiments afin que nous nous dirigeons vers ma voiture pour aller en ville. J'était content de passer cette journée avec elle. Grace a elle, j'oubliais tout ce qui me traquacais depuis quelque temps.

- A vos ordres très chère ! Dis-je en rigolant.

Spoiler:

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Notre relation est vraiment unique en son genre. Presque trois ans d'amitié étrange et pas une seule dispute, juste du bonheur à l'état pur, du rire, des confidences et des délires. A propos de délires, je sens que la situation ne va pas tarder à dégénérer, si ce n'est pas déjà fait. Mon âme d'enfant prenant toujours le pas sur mon âme de quasiment adulte que je ne suis toujours pas, je continue à rire tout le long du trajet.
- A vos ordres, très chère !, dit-il en rigolant tout en continuant à marcher vers sa voiture.
- Arrêtes John !, dis-je en souriant. - Je t'ai déjà dit de pas me faire passer pour la chef et toi le soumis, je hais ça plus que tout au monde. J'ai l'impression d'être une tortionnaire qui te fait du mal et je t'aime beaucoup trop pour ça...

Il me pose à côté de sa voiture et je l'embrasse sur la joue, un léger sourire aux lèvres.
- Merci beaucoup. Je te dois combien pour la course ? dis-je avec un sourire.

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La vie fillait a une vitesse folle et nous ne pouvions rien faire pour l'arreter. C'était comme çà, il faillait en être consciant et vivre a font avant que les chances passent et que nous ne puissions plus rien faire du tout. Délilah était l'une de spersonne auxquels je tenais le plus. Elle était comme de ma famille. Jamais je ne l'abandonnerais.
J'étais heureux qu'elle soit venue me chercher après les cours, c'était important pour moi de la voir régilièrement. Il en avait besoins. Réelement. Déli était perchait sur son dos alors qu'il l'enmener loin de l'université, pour un moment tout les deux comme ils les aimaient.

- Arrêtes John ! Je t'ai déjà dit de pas me faire passer pour la chef et toi le soumis, je hais ça plus que tout au monde. J'ai l'impression d'être une tortionnaire qui te fait du mal et je t'aime beaucoup trop pour ça... Dit-elle presque ofusquée.

John se mit a rire tant il la connaisait par coeur au point d'anticiper ses moindre réactions. Elle n'avait plus de secret pour lui et ce depuis très longtemps. Il secoua la tête avant de la regarder, comment pouvait t-elle pensait celà.

- Je ne suis pas soumis ma chère ! et j'essaye juste de t'enbetter en disant çà car je sais que tu n'aime pas ! C'est çà de se connaitre par coeur ! Dit-il en souriant, Délilah sur son dos.

Il continua d'avance vers la sortit, passanr devanr les élèves qui les regardaient avec des yeux surpris et semblant leur dire " wow ! des fous ! " mais lui comme elle s'en fichaient du regards des autres. Ils s'amusaient et c'était le principal. Ils arrivèrent bientôt a sa voiture. John déposa Déli a coté et la regarda en souriant.

- Merci beaucoup. Je te dois combien pour la course ? Dit-elle en souriant, elle aussi.

John fit mine de réfléchir, juste pour la faire flipper un max. Puis il rit et lui ébourifa les cheveux, ce qu'il savait qu'elle détestait au plus au point.

- Ben rien voyons ! Lança t-il avant d'ouvir la voiture et d'ouvrir la portièrte de Déli pour qu'elle puisse rentrer dans la voiture.

You mean so much to me...

- Je ne suis pas soumis ma chère ! Et j'essaye juste de t'embêter en disant ça car je sais que tu n'aimes pas ! C'est ça de se connaitre par cœur !, me répondit-il en souriant, moi toujours sur son dos.
Je levai les yeux aux ciel mais ne dis rien. Je sentais les regards sur nous. Je pouffai puis regardai les étudiants qui nous dévisageais avec un grand sourire éclatant et un geste enfantin de la main. Il me posa près de sa voiture et à ma question sur le budget que je devais compter pour le trajet, il fit semblant de réfléchir, espérant me faire vraiment flipper pendant plusieurs minutes. Ce qui en temps normal et avec une personne quelconque aurait marché. Mais j'étais avec John et j'étais de bonne humeur. J'attendis donc sa réponse, mon éternel grand sourire aux lèvres. Il m'ébouriffa les cheveux, autrement dit, ma phobie, mon pire cauchemar, ma tragédie.
- Ben rien voyons !
- JONATHAN SAMUEL WEATHY !!!!!!!!!!!!, m'écriai-je entre des centaines de coups de poings partout sur son corps.
Il ouvrit ma portière et je m'engouffrai sur le siège passager avant de claquer violemment et bruyamment la portière. Je me recoiffai rageusement dans le rétroviseur, croisai les bras sur ma poitrine et me mit à bouder.

I'm So Lucky With You

- JONATHAN SAMUEL WEATHY !!!!!!!!!!!! Cria Delilah aussi fort qu’elle pouvait.

Il était certain que tout le campus l’avait entendu criait son nom entier. Delilah se défoula sur tout le corps du pauvre John qui n’avait rien fait de mal mais qui apparemment avait froissée la jeune femme. Puis le jeune homme compris. Il avait ébouriffer ses cheveux. Il avait osé faire çà ! Delilah était obsédée par ses cheveux. Il fallait toujours qu’ils soient parfait, propres, lisse, brillant. Elle ne supportait pas d’être décoiffer surtout en public. John ouvrit la portière de Delilah, qui était vraiment en pétard contre lui. Le jeune femme s’engouffra dans la voiture, sur le siège passagers avant de fermer violemment très bruyamment la portière au nez de John pour bien lui monter qu’elle était en colère et John savait qu’avoir mit Delilah en colère n’était pas une bonne chose du tout.
La jolie brunette se recoiffa rageusement à l’aide du rétroviseur. Une fois qu’elle eu finit avec ses cheveux, elle croisa les bras sur sa poitrine et commenca a bouder.
John soupira. Il savait que si Deli commencer a bouder, elle pourrai lui faire la tête longtemps, très longtemps.

- Deli ! Boude pas s’il te plait !! Je suis désolé ok ?! Excuse-moi j’aurai pas du te décoiffer ! Dit-il penaud.

John regarda sa double, celle qui le connaissait mieux que quiconque avec un air toout mignon de chien battu.

Spoiler:

You mean so much to me...

Il soupira. Je fis pareil. Je détestais être fâchée contre lui mais c'était un cas de force majeure. Ma seule obsession était que mes cheveux restent lisses et il le savait parfaitement. Je dirais même plus, PERSONNE n'aurait pu le savoir mieux que lui, puisqu'il me connaissait par coeur, jusque dans les moindres recoins de mon âme et de mon coeur. C'était l'âme soeur que je n'aurais peut-être jamais. C'était d'autant plus presque impardonnable. Presque, car j'avais beau être dans une rage profondément verte, je savais au fond de moi que j'allais bientôt arrêter de faire ma gamine/peste pourrie gâtée et capricieuse et que tout redeviendrai comme avant. Mais pour l'instant, je n'étais pas du tout à ce stade de mes réflexions.
- Deli ! Boude pas s’il te plait !! Je suis désolé ok ?! Excuse-moi j’aurai pas du te décoiffer !, dit-il penaud, avant de me contempler, de me supplier avec ses yeux de chien battu spécial John.
Je ne cédai pas pour autant.
- Va te faire foutre Jonathan !, pestai-je entre mes dents en secouant la tête.

Spoiler:

Sujet abandonné ?

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